But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian
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But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian

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MessageSujet: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeJeu 20 Déc - 19:49


BUT I CAN’T KEEP MY FEELINGS IN DISGUISE

Valadrian

La nuit avait été courte. Il faut dire qu’à cinq heures du matin j’étais encore dehors en train de discuter avec Danielo ; et pas que discuter d'ailleurs... et puis ce n’était pas de tout repos. C’était même très mouvementé. J’en étais tout chamboulé en rentrant. Autant physiquement que mentalement. Comme à chaque fois avec lui, j’avais eu le droit à l’ascenseur émotionnel. Et plus encore. Il y a eu entre nous, quelque chose que je n'aurais jamais cru possible. Quelque chose soulevant des milliers de questions... Aussitôt rentré, j’étais encore ‘pris’ par ce qui venait de se passer. J’ai tout de suite filé à la douche, histoire de me.. détendre. Mais après, j’ai eu du mal à trouver le sommeil, j’avais beaucoup de choses en tête, je repassais toute la scène, je réfléchissais à ce qui pourrait se passer ensuite entre nous, et comment définir ce 'nous' … en bref, je n’ai pas réellement pu profiter de cette première nuit au calme, à l’abri des rôdeurs et autres bandits… Mais je m’étais demandé si j’avais réellement été en sécurité. Je n’avais pas encore eu l’occasion de m’entretenir en tête-à-tête avec Vance, du moins, pas depuis l’entretien ; et là, il fallait vraiment qu’il réponde à mes questions… Et puis, ce matin, on était venu me sortir du lit.  C’était Jimmy-Jo. D’ailleurs, il s’appelle Joe, j’ai enfin pu le confirmer, mais je continuerai de l’appeler comme ça m’enchante. En plus, ça ne le dérange pas, alors ainsi soit-il. Bref, je lui avais demandé hier soir, avant la séance de boxe, de me dire où je pourrais trouver Valentina et de me prévenir quand elle serait présente et libre surtout. Apparemment, hier elle était très occupée, je n’ai pas eu l’occasion de la croiser. Du coup, il m’a dit, que là tout de suite, genre maintenant, je devais le suivre à la zone de rassemblement pour qu’il me montre un raccourci vers l’école car c’est là qu’elle se trouvait. Alors ni une, ni deux, j’avais sauté hors du lit et avais enfilé mes vêtements rapidement. Après ma discussion avec son jumeau, je ressentais le besoin de la voir, de lui parler… Il m’était inconcevable d’imaginer un possible départ sans même l’avoir revue ou lui demander de nous suivre. En me débarbouillant le visage avec de l’eau fraîche, j’avais pris un instant à me regarder dans le miroir. J’avais cette image du brun, effondré… je me demandais s’il avait pu fermer l’oeil cette nuit… et puis, le revoir ce matin me démangeait, mais comme il était de repos, journée que je lui avait imposé suite à son altercation avec grassouillet, je me disais que finalement j’aurais le temps de le revoir et donc autant le laisser se reposer, c’était mérité. Bon, j’étais prêt, c’était parti, Logan et son fils étaient sorti, je les avais entendu au petit-déjeuner puisque j’avais fais nuit blanche et j’avais donc suivi Jimmy-Jo. Je ne l’écoutais pas vraiment car j’avais l’esprit ailleurs. Et tant mieux d’ailleurs car il semblait me dépeindre une sorte de tableau de chasse des femmes du camp et heureusement pour lui que je ne l’écoutais qu’à moitié car s’il avait évoqué la moindre chose déplacée sur ma sœur je lui en aurait collé une direct. Et justement, c’était à elle que je songeais durant le chemin. Je crois que j’appréhende de la revoir. Après, je me dis que nos retrouvailles ne peuvent pas être pire qu’avec l’explosif Dany mais je ne sais pas.. j’avais comme un nœud au ventre… je crois que je stresse ! Arrivé devant l’école, je n’avais même pas porté attention à ce qu’il y avait autour de nous -et pourtant la scène était quelque peu mémorable, des parents laissant leurs enfants à l’entrée, comme si de rien- ouais, la tension montait encore et encore… Mon collègue me laisse devant un bureau ouvert, me lançant un clin d’oeil de ‘bonne chance’ alors je passe le pas de la porte tout doucement… et puis bam… tout mon stress s’envole quand je vois la ravissante brune derrière son bureau. Elle n’a pas encore remarquée ma présence. J’en profite pour m’avancer tout doucement. J’ai le cœur qui bat et le sourire qui s’était dessiné sur mes lèvres ne s’efface pas, au contraire il s’agrandit… « Hello, jolie demoiselle ! », lançais-je alors pour attirer son attention...
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Valentina M. Gomez

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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeDim 27 Jan - 19:31

My feelings in disguise
But i can’t keep my feelings in disguise
Adrian & Valentina

Valentina aimait les enfants, leurs compagnie, leurs curiosité, leurs façon de voir le monde. Elle s’était toujours bien entendue avec les enfants, elle avait toujours su trouver les mots pour les consoler quand il le fallait, pour les faire sourire, les faire rire, ou leurs faire prendre conscience de certaines choses. Oui, Valentina était douée avec les enfants et ça, tout le monde semblait le remarquer. D’ailleurs cela avait toujours ravis sa mère qui avait toujours dit que ce serait elle la première des jumeau a lui donner des petits enfants. Sauf que Valentina n’avait jamais voulu d’enfant. Et bien qu’aujourd’hui, elle se retrouvait plus ou moins propulser dans le rôle de mère, elle savait que ce n’était pas vraiment son enfant, et c’était très bien ainsi. Et, Vance, qui pensait que Nate était son enfant bien qu’elle lui dise le contraire, avait bien vue son don avec les enfants et l’avait assigné a être assistante de direction a l’école. Un métier loin de celui qu’elle faisait avant et pourtant si semblable dans le fond. Elle restait en contacte des enfants, elle avait quand même pour fonction de les aider du mieux qu’elle pouvait quand ils en avaient besoin. Et bien que ce n’était pas le publique qu’elle avait l’habitude d’avoir, elle se ravissait de ce travail. Bon, elle devait aussi composer avec les parents, et la paperasse que Vance avait réinstaurée, mais Valentina était une battante, elle savait s’adapter un peu près toutes les situations.  Enfin, il y en avait une qui la dérangeait tout de même un peu. Le nombre de père qui venait dans son bureau pour lui faire la « conversation », elle n’était pas idiote, elle voyait bien qu’ils étaient seul et triste et avait envie de se réconforter dans les bras de l’hispanique. Sauf qu’ils arrivaient tous trop tard, elle n’était plus disponible, enfin, plus vraiment disons. Elle était toujours en deuil, elle était toujours perdue, mais les récent événement passé avec Fred l’avait beaucoup chamboulé et fait s’interroger. Es ce qu’elle avait des sentiments pour lui ? Où n’était-ce que beaucoup d’affection qu’elle cherchait a faire tourner en amour pour se consoler de la perte de son époux ? Elle n’arrivait pas à trouver de réponse, et chaque fois qu’elle voyait le cousin de feu son époux, tout cela sortait de sa tête et elle ne pouvait s’empêcher de sourire et profité à fond de chaque seconde passer avec lui.  Voilà que maintenant elle jouait a la parfaite petite famille avec Nate un enfant qu’elle avait pris sous son aile et Fred, le cousin de l’homme qu’elle avait épouser et tuer par accident. Le monde ne marchait vraiment plus droit, et le pire dans tout cela ? Elle se prenait à aimer cela de plus en plus.

Elle était en train de remplir de la paperasse après avoir gentiment dit à un homme venu lui parler qu’elle n’avait pas le temps, ni l’envie de parler et surtout qu’elle n’était pas intéressée par ce qu’il cherchait. Elle n’avait donc pas entendu la personne qui entrait dans son bureau grâce à la porte laisser ouverte par le précédent courtisant de la colombienne qui semblait être d’un charme ravageur dans le coin.  Elle sursauta un peu quand elle entendit l’homme qui était entrer parler. Au non, encore un. Elle en avait un peu marre là. Elle n’avait surtout pas reconnu la voix de son ami, surement parce qu’elle ne l’avait pas entendu depuis six ans, six longues années. Et pas qu’elle l’avait oublié, juste mis dans un coin de sa tête et plus penser à lui. Elle l’aimait profondément ce gars-là, il était comme son deuxième frère jumeau, mais elle avait préféré le mettre dans un coin de sa tête pour ne pas trop souffrir de son absence et de ne pas savoir ce qu’il était devenu.  Elle soupira doucement, laissa tomber son stylo « Ecoutez je… » Elle se stoppa net en relevant ses grands yeux noirs sur l’homme de l’autre côté de son bureau.  Elle se figea une seconde en voyant ce visage. Si elle avait un peu oublié le son de sa voix, son visage jamais elle n’aurait put l’oublier. Et même avec l’apocalypse il restait le beau gosse qu’il avait toujours était. « Adri ! » Dit-elle en se levant d’un bond. Elle contourna rapidement le bureau, toujours percher sur ses talons, et fonça dans les bras du blond. Elle le sera très fort contre elle en souriant. « Mon dieu, je suis contente de te voir ! » Dit-elle en le lâchant pour le regarder.  Voilà, le sourire accrocher a ses lèvres n’était pas prêt de s’en décrocher. Elle passa une main sur la joue un peu rugueuse car mal raser du blond et rit un peu « Toujours beau gosse malgré l’apocalypse ! La survie ca te donne du charme en fait » Dit-elle en riant, elle ne voulait pas que leurs relation ai changer alors elle comptait toujours le taquiner autant qu’elle pouvait.
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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeMar 29 Jan - 15:33



I can’t keep my feelings in disguise ValadrianSix années sans la voir, sans savoir ce qu’elle était devenue, ce qu’elle avait enduré de son côté… et puis, il y quatre mois, j’avais appris par son frère jumeau qu’elle avait intégré un groupe de survivants, qu’elle était bel et bien en vie. Cela avait pu apaiser mon esprit, de me dire qu’elle n’était pas seule, que son frère avait aussi gardé le contact avec elle. Et si en rentrant dans le bureau, j’avais ressenti un quelconque stress, d’appréhension de la revoir, me demandant si elle serait toujours la même et si notre relation resterait intacte effaçant ces années d’absences, il m’avait alors suffit de poser les yeux sur elle pour dissiper le moindre doute. J’avançais donc, tout doucement, le cœur battant et tremblant d’impatience de la prendre dans mes bras ; mais j’avais d’abord signalé ma présence par une salutation qui se voulait quelque peu taquine. Surprise, elle semblait s’attendre à n’importe qui, sauf à moi, s’apprêtant même certainement à renvoyer la personne qui avait osé la déranger alors qu’elle soupirait d’embarras… Je ne pu retenir un rire lorsque ses yeux ébènes se levèrent sur moi, affichant sa surprise. Et alors qu’elle contourna son bureau pour venir se blottir contre moi, je l’accueilli les bras grands ouverts, resserrant son étreinte en passant mes bras autour de sa taille. J’avais pris le temps de profiter de ce petit câlin, respirant l’agréable parfum de sa chevelure et vint déposer un petit bisou sur son cou alors qu’elle confirmait être heureuse de nos retrouvailles. « Moi aussi Val’, tu m’as manqué ! » lui répondis-je alors qu’elle se décollait de moi pour me contempler. Les mots qui suivirent me firent sourire davantage, elle n’avait pas changé ! Je me mordis donc la lèvre, faisant mine d’être gêné par ces paroles flatteuses avant de répondre sur le même ton qu’elle « C’est vrai que c’était difficile de survivre avec ma gueule d’ange ! Mais bon je crois que tu as eu le même vécu, tellement ta beauté m’éblouis ! ». Je plaisantais mais j’étais sincère en parlant de sa beauté. A l’époque déjà, son charme latino faisait des ravages, notamment parce qu’elle avait appris à prendre soin de son corps, travaillant dur pour garder la forme tout en sachant mettre en avant sa féminité. Et là, elle semblait vraiment radieuse et pas uniquement par les magnifiques traits de son visage, ou de sa jolie chevelure brune qui l’encadrait, mais par ce qu’elle dégageait.. Bon sang, ça me faisait tellement plaisir de la voir, que je l’avais de nouveau prise par les épaules pour la serrer contre moi une fois encore. Ouais je crois qu’en fait, j’avais vraiment besoin de rattraper ma dose de câlin avec elle. Et puis, pour ne pas qu’elle me charrie avec ce débordement de sentimentalisme, je finis par m’en décoller, soupirant doucement. « T’as l’air en forme… tu vas bien ? » lui demandais-je alors pour qu’elle me rassure, me confirmant que ce n’était pas juste une façade, qu’elle allait vraiment bien… ©️ YOU_COMPLETE_MESS
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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeDim 10 Fév - 14:24

My feelings in disguise
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Adrian & Valentina

Revoir Adrian. C’était une chose qu’elle avait espéré, sans vraiment l’espérer. Elle avait mis le blond dans un coin de sa tête afin de ne pas souffrir de son absence, ou du fait qu’elle ne savait ce qu’il était advenu de lui. Parce qu’elle avait toujours tenu a lui. Parce qu’elle le voyait comme un frère. Parce qu’il était un Gomez sans vraiment l’être. La mère de la famille Gomez l’avait toujours accueilli avec joie a sa table, le père Gomez l’avait de nombreuse fois appelé « Fils » en lui tapant sur l’épaule. Comme il l’avait toujours fait a tout ses fils.  Il n’était pas son frère de sang, mais tout comme. Elle avait donc fait avec lui comme elle avait fait avec tout le reste de sa fratrie : mis dans un coin de son esprit et s’efforcer de ne pas trop y penser.  Et aujourd’hui, alors qu’elle avait fini par arrêter d’espérer, il se présenter à elle.  Et maintenant elle en avait la certitude. Il était bien là. C’était bien lui. Elle pouvait le sentir contre elle. Elle sentait son odeur presque inchangée. La chaleur de ses bras qui enlacèrent sa taille. La chaleur de son souffle contre elle. Et les battements de son cœur. Ce n’était pas un rêve, ni un délire du aux effet secondaires du vaccin. Son frère de cœur était bel et bien là.   Elle exprima sa joie de le voir. Et dire qu’elle allait l’envoyer sur les roses si elle n’avait pas relever les yeux sur lui. Elle sourit quand il dit qu’elle lui avait manqué. Et lui donc. «  Toi aussi tu m’as beaucoup manqué » Dit-elle en fermant doucement les yeux sous le baiser dans son cou. Entre eux, il  n’y avait pas d’ambiguïté. De l’extérieur, si, on pourrait le croire, mais eux, ils savaient que non. Aucun sentiment amoureux, aucun désir charnelle. Ils étaient comme frère et sœur. Elle était sa confidente, il était son confident. Comme des meilleurs amis. Chose qu’ils étaient en réalité en y regardant bien. Et s’ils étaient très tactile l’un envers l’autres, ce n’était que pour se prouver leurs affections.  Elle finit par se détacher de lui en souriant, et après une douce caresse sur sa joue rugueuse, elle le taquina. Comme au bon vieux temps.   Elle aimait le taquiner sur son physique. Parce qu’ils savaient tout les deux qu’il était du genre bellâtre et bien sûr, il en jouait.  Et lui, il aimait aussi lui souligner qu’elle n’était pas sans charmes. Un jeu stupide entre eux, mais qui les amusaient tellement.  Elle rit un peu a sa remarque et lui lança un clin d’œil « Même l’apocalypse ne peux rien face a nos charmes ravageur ! »

Il la prit a nouveau dans ses bras, et elle n’y opposa aucune résistance. Elle aimait être dans les bras du blond. Ça avait toujours eu quelque chose de rassurant, presque autant qu’être dans les bras de Danielo, ou d’un de ses frères de sang. Elle était réellement heureuse de le retrouver et s’il voulait des câlins, et bien elle était prête a lui en donner autant qu’il le voulait. Après tout, ils avaient six longues années à rattraper. Elle sourit quand il lui dit qu’elle avait l’air en forme et lui demanda si elle allait bien. Oui, elle avait l’air en forme, comme toujours. Mais es ce qu’elle allait bien ? Elle n’était pas sur. Elle était tenté de dire oui, mais au fond d’elle  quelque chose aurait put dire non. Elle était en deuil, encore. Et comme elle ne l’accepter pas vraiment, contrairement a ce qu’elle pouvait clamé haut et fort. Et bien elle se voyait incapable d’avancer dans cet entreprise. Mais elle allait bien se garder de le dire a son ami.  «  J’ai toujours l’air en forme ! » Elle lui offrit encore un de ses grand sourire plein de joie. Puis elle lui fit signe de s’installer sur un des deux siège prévue pour les gens venue lui parler a son bureau. Elle s’installa sur le deuxième siège a coté du blond et lui attrapa doucement la main. Comme par peur qu’il s’échappe si elle n’avait pas un contact physique avec lui. «  Je vais bien. Et toi ? » Elle regarda sur son bureau et fit une petite moue. Elle n’avait rien a lui offrir a boire ou a manger. «  Et toi alors ? Raconte, tu va bien ? T’as vécu des folles aventures ? » Dit-elle alors qu’elle reportait son attention sur lui. «  Tu veux qu’on aille chercher un truc a boire ou manger ? Voir les deux ? » Demanda-t-elle ensuite sans attendre la réponse a ses première questions. S’ils trouvaient de quoi boire et manger, elle aurait l’impression d’être de retour dans le passé, quand ils passaient des soirées où des après-midi a discuté autour d’un verre ou d’un café, et d’un repas ou un gouter.  De doux souvenir qui lui revenait et la faisait que sourire d’avantage.  
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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeMer 13 Fév - 20:35



I can’t keep my feelings in disguise ValadrianSe sourire, se toucher, se taquiner, rire ensemble, c’était une habitude que je me plaisais de retrouver avec Valentina. A croire que le temps n’avait rien effacé de nos petits rituels, nos petits jeux fraternels. Sa phrase sur l’apocalypse m’avait fait sourire mais en même temps, m’avait fait réalisé que nous nous étions perdu de vue depuis six longues années. C’est certainement pourquoi après mon deuxième câlin obtenu, je lui avais finalement demandé si elle allait bien. J’en avais connu des gens qui préféraient prétendre qu’ils voyaient la vie en rose et ce, dans le but de ne plus penser à leur problème, comme si les évoquer les rendraient plus réels disons et d’autre le faisaient dans l’espoir de protéger ceux qu’ils aimaient en ne les impliquant pas dans leur souci. Alors je voulais être certain que pour ma douce Valentina, ce ne soit pas le cas. Alors après, bien entendu, je ne me voilais pas la face, nous avions six années à rattraper et ce ne serait pas en deux mots échangés, là tout de suite, qu’on se dirait tout. Mais ce qui m’importait, c’était de connaître sa situation actuelle, si aujourd’hui elle se sentait bien, si elle n’avait pas de problèmes quelconque. Pour le reste, j’espérais que nous aurions l’occasion d’échanger plus longuement. A dire vrai, hier j’avais pratiquement passé toute la journée auprès de son jumeau, et à aucun moment je n’ai pu lui demander ce qu’il avait vécu durant ces années à survivre dans cet enfer, je ne savais même pas ce qu’il lui était arrivé après notre soirée au bar avec nos potes.. et peut-être même que Val’ était avec lui, le rattrapant pour tenter de le calmer. Bref j’en savais rien. Mais j’ai bon espoir que nous trouverons le temps de se parler, de tout se raconter. J’avais moi-même ma petite histoire au sein du Cartel Mexicain qui aurait pu les amuser. On verra bien. Pour l’instant, toute mon attention était concentré sur cette jolie brune qui me souriait et qui me rassurait par une réponse amusée d’une évidence sans nom. J’aurais du me douter qu’elle me dirait ça ! Je m’étais ensuite installé sur le siège qu’elle m’indiquait et la laissait prendre ma main dans la sienne. Entre nous, le contact était essentiel, et le fait qu’on soit tout les deux tactiles nous permettait d’être libre d’agir de la sorte, sans avoir à se poser de questions sur le fait de déranger l’autre ou d’en faire trop. Au contraire, avec elle, je pouvais être moi-même et rien de ce qu’elle ferait ne serait jamais de trop. Chez les Gomez, les femmes étaient souvent tactiles quand j’y repense et les hommes quant à eux, aimaient bien s’exprimer avec les mains ! Enfin bref, elle reprit la parole pour me répondre avec sincérité et ça me rassura, j’en fis autant. « Pareil, je vais bien, surtout maintenant ! » répondis-je alors que je réalisai que j’étais vraiment bien. Après six ans à rechercher ma famille, voilà qu’hier je tombe sur Danielo et qu’aujourd’hui je retrouve Valentina. Je suis au paradis. Quand elle me parle de folles aventures, je ne peux m’empêcher de sourire et lorsqu’elle enchaîna sur ce que je voulais boire ou manger, j’avais tout de suite secoué la tête. « Rien du tout, ta présence me suffit amplement Val’ » ça pouvait sonner cliché, mais sincèrement, je n'avais pas envie de bouger, je voulais rester là, ma main dans la sienne, nos regard plongé l’un dans l’autre, à se parler, à se retrouver. « Je pense qu’on aura l’occasion de se retrouver autour d’un verre plus tard hmm ? Avec Dan’ peut-être même ! On a tellement de choses à se raconter, de temps à rattraper ! » cette idée ne me déplaisait pas et étrangement, je réalisais que je m’étais finalement vite habitué à la sérénité de ce camp. Me voilà, prévoyant déjà de retrouver les personnes que j’aimais autour d’un verre, aussi simplement que ça, comme si le monde apocalyptique autour de nous s’était mis en pause. Qu’importe, j’avais ensuite repris la parole, avec une réponse que l’on pourrait croire inventée de toute part « D’ailleurs, tu me croirais si je te disais que je suis devenu ami avec le plus grand Chef de Cartel du Mexique ? » En réalité, en y repensant, on pouvait même dire qu’il était l’unique chef finalement, vu qu’il avait éliminé toute la concurrence dans le Nord du Mexique et certainement bien au-delà encore. Ça me faisait penser à toutes ces choses que j’avais vécu et je me demandais ce qu’il en était pour elle. Parce que tout n’était pas que positif, j’ai eu de la chance d’avoir fait de belles rencontres, mais j’ai entendu et vu des choses horribles. Toutefois, cette idée m’offrit un pincement au cœur que je préférais éviter d’avoir, ne voulant pas l’imaginer dans une situation difficile. Après, il est vrai que Danielo m’avait rapidement évoqué le fait qu’elle allait bien parce qu’elle avait trouvé un bon groupe, enfin c’était il y a plusieurs mois de ça maintenant, mais bon, elle était là, en forme et souriante, c’était bon signe et ça me suffisait.
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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeJeu 14 Mar - 12:57

My feelings in disguise
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Adrian & Valentina

Elle aurait put le dire a Adrian, elle savait qu’elle pouvait tout lui dire. Ou presque. Mais c’était dur. Vraiment très dur.  Elle l’avait pourtant déjà dit a voix haute, elle avait déjà mangeait ce coup dans son cœur, et pourtant… Là. Face a Adrian, c’était dur. Très dur. Trop dur.  Alors elle souriait. Elle offrait un peu de joie a son ami. De la poudre aux yeux, qui pourtant n’était pas totalement un mensonge. Oui, elle allait bien. Elle allait bien quand elle ne pensait pas a Eric, le moment où elle l’avait transpercer avec son arme, ou qu’elle n’avait pas un effet secondaire du vaccin qui l’avait pousser a tomber dans la drogue. Oui elle était heureuse de voir le jeune homme et bien sur qu’elle n’allait pas lui dire qu’elle avait arrêter d’espérer le revoir un jour. Pour épargner son cœur d’une énième perte. Elle avait servi du « je vais bien, tout va bien » a son ami, et lui, il lui avait répondu la même chose. Accentuant le fait qu’il allait encore mieux maintenant. Sous entendant maintenant qu’il l’avait sous les yeux. Et bien elle aussi. Elle aussi elle était heureuse de le voir en chair et en os, de le voir sauf. De le voir inchanger ou presque. Parce qu’elle ne savait pas tout bien sûr. Six ans c’était long, et elle était bien placé pour savoir que ça laisser place a bien des aventures.  Alors elle voulait tout savoir. Elle voulait qu’il lui raconte. Elle l’invita a s’asseoir, lui attrapa la main, et lui demanda de tout lui raconter. Avant de lui proposer d’aller cherher a manger ou a boire, n’importe quoi, tout ce qui pourrait lui faire plaisir. Mais il ne voulait rien. Rien sauf sa présence. Elle souri doucement et serra un peu son étreinte sur la main du beau blond. Comme pour lui dire «  je suis là, je n’irais nulle part » Non, maintenant qu’elle l’avait auprès d’elle, elle ne comptait pas s’enfuir, elle ne comptait aller nulle part sans lui.


Elle souri doucement quand il proposa de faire une sortie avec elle et Danielo. Une sortie a trois, comme au bon vieux temps. Comme avant, quand le trio infernal évoluer dans le monde banale, au milieu du commun des mortel et non au milieux des zombies et de la mort en permanence. «  Ce serais merveilleux Adrian ! » Dit elle sans cacher la joie que cette idée lui apporter. Oh oui, elle ne rêvait que de cela, ou presque. Elle allait surement prendre les devant pour organiser tout ça. Parce qu’elle n’avait pas envie d’attendre la nuit des temps pour aller boire ce verre avec ses frères.  Un frère de sang et un frère de cœur, elle ne pourrait pas rêver mieux que de les avoir ici  auprès d’elle. Elle s’était un peu perdu dans ses pensées, quand le blond face a elle l’en sortie en lui annonçant un fait… Des plus surprenant. Elle ne cacha d’ailleurs pas sa surprise, elle pouvait probablement se lire sur son visage.  «  Toi ? » Elle ne put s’empêcher de le montrer du doigt en parlant «  Ami avec un chef de cartel mexicain ? » Elle rit. Haut et fort. Rire cristallin qui envahi la pièce «  J’ai du mal a le croire ! Faut que tu me raconte ! » Et puis, elle perdit légèrement son sourire. Ils allaient parler de drogue. Hors, elle en avait prit, pour palier les effets indésirable du vaccin. Et elle n’était pas totalement sevré. On lui avait prit son petit sachet de poudre, elle s’était justifié auprès de Vance, disant que c’était pour le vaccin et surtout qu’elle n’y touchait plus,  elle ne se souvenait plus qu’elle avait cela. Mais en réalité…Elle avait encore parfois des pulsions, des envies d’en prendre. Elle n’avait jamais vraiment était accroc, du moins, elle était convaincue de ne jamais l’avoir était. Et elle préféré ne pas vraiment se dire qu’elle se trompé peut-être.

Pouvait-elle en parler a Adrian ?
Elle savait qu’elle pouvait tout lui dire.
Mais jusqu’à quel point ?


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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitimeSam 13 Avr - 18:39

Rp archivé suite à la suppression d'Adrian. I love you
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MessageSujet: Re: But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian But i can't keep my feelings in disguise - Valadrian Icon_minitime

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