{Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah
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{Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah

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Rebekah Fitz-Williamson

Rebekah Fitz-Williamson
Rebekah Fitz-Williamson
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And in that moment, i swear we were infinite
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Award 2018:

× Âge du perso : : 36 ans mais elle préfére se dire qu'elle n'a jamais passer la trentaine

× Caravane + colocataires : : Caravane 12C avec son mari Conrad

× Poste assigné : : Assistante des spécialiste au centre d'entrainement

× Messages : : 7803

× Points de vie : : 176

× Copyright : : schizophrénic (avatar) & MYERS. (signature)

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MessageSujet: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeSam 2 Jan - 11:32

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
Elle se reveilla en sursaut a cause des grognements des trois rôdeurs qui essayait de l'attraper alors qu'elle avait grimpée dans un arbre pour dormir en paix. Quand elle était seule, la brune faisait en sorte de dormir en hauteur, là où les rôdeurs ne pouvait pas l'atteindre. Mais cela ne voulait pas dire qu'elle dormait forcement bien. De toute façon la brune dormait rarement bien. Trop de démons la hantait et l'empêchait de dormir. Elle en était devenue insomniaque et passait parfois plus de deux jours sans dormir plus de quatre heures.  Elle soupira en voyant les rôdeurs au pied de l'arbre qui tendaient les bras pour essayer de l'attraper. La journée commençait visiblement pas vraiment bien.  Pour une fois qu'elle arrivait a dormir plutôt bien, les rôdeurs devaient la réveiller, chose dont elle avait horreur.   Elle usa donc trois balles pour les tuer et pouvoir descendre tranquillement de son arbre. Heureusement que la brune savait bien viser, il faut dire qu'elle avait appris a tiré a l'age de 5 ans avec son père. Donc elle avait de l’expérience et puis le fait de devoir tuer au moins un rôdeurs par jours, vous fait acquérir de l'expérience. On pouvait donc en conclure que Rebekah était plutôt... Dangereuse avec une arme dans les mains car ses tirs était très précis.  Une fois au sol elle soupira et trouva un petit coin pour s'asseoir et manger un bout. Elle soupira a nouveau quand elle vit qu'elle n'avait bientôt plus rien a manger. Elle devait donc vite se mettre en quête de quelques survivant ou d'une maison, mieux, d'un magasin a piller et vite, elle ne tenait pas vraiment a avoir faim. De plus elle avait déjà perdu pas mal de kilos depuis le début de l'apocalypse, et ressembler a un sac d'os ne lui disait pas grand chose.  Elle mangea donc sa dernière barre de chocolat, but une gorgée d'eau en constatant soulager qu'elle avait encore quelques bouteilles d'eau. Puis elle se leva, mit son sac a dos sur son dos et se mit en marche  pour trouver quelque chose a piller.   Enfin, ça ne devait pas être sa journée car a part des rôdeurs, il n'y avait visiblement personne a piller dans cette satané forêt. En plus il commençait a faire froid. Elle s'arrêta en chemin, enfila sa veste et repris son chemin en soupirant. Elle commençait a en avoir marre de l'apocalypse, elle rêvait d'un hôtel cinq étoile, d'une coupe de champagne avec un bon bain.  Mais bon, elle était pas prête de se laver, même pas dans une rivière car, visiblement cette forêt n'était pas traverser par une quelconque source d'eau. Même pas un tout petit ruisseau, rien du tout. Au plus grand damne de Reb' qui ne s'était pas lavée depuis au moins trois jours et elle avait horreur de cela.  De plus, elle portait actuellement sa dernière tenue propre. C'était désagréable pour Miss Fitzgerald qui avait horreur d'être sale et de ne rien avoir pour se changer si elle salissait ses vêtements. Même en pleine apocalypse il fallait savoir rester propre.
Il était a peut prés le début de l’après-midi, en faite elle avait un peu perdu la notion du temps depuis un moment. Elle ne savait pas du tout quel jours il était de quel mois. Elle aurait très bien put prendre un an de plus aujourd'hui qu'elle n'en aurait rien sut. En faite elle s'en fichait pas mal, maintenant tout ce qu'il comptait c'était de survivre a tout prix.  Elle avait déjà  croiser quelques rôdeurs dans la journée, aucun n'avait survécut. De toute façon des qu'elle croisait un mort sur pied, Reb' le tuait illico. Les laisser en "vie" c'était beaucoup trop risqué.   Elle était assez tranquille, si bien qu'elle s'était accorder une petite pause. Elle était posé sur une souche d'arbre, en train de prendre le soleil qui était revenue depuis peu, quand elle entendit du bruit. Des bruits de pas, beaucoup de personne vue le boucan qu'ils faisaient. Eux ils n'avaient pas peur d'attirer des rôdeurs....Enfin normal s'en était. Elle soupira en voyant les six rôdeurs qui se diriger assez vite sur elle.  Elle se releva en soupirant, arma son magnum et tira, un coup dans la tête, le premier rôdeur, une femme dans un état de décomposition assez avancer tomba. Puis elle tira un deuxième coup, un autre rôdeur tomba mort. Mais bon, ils continuait a avancer sur elle, et donc elle commençait a reculer.  Elle en tua un troisième, puis un quatrième, toujours en reculant.  Elle était au bord d'une fausse quand elle tua le cinquième  qui n'était qu'a même pas trois centimètres d'elle.  Elle eu a peine le temps de se remettre de ses émotions qu'elle  fut prise par surprise par le dernier rôdeur de la mini-horde qui l'attaquer. En essayant de le retenir par le cou, elle tomba en arrière dans la fausse entraînant  le mort-vivant dans sa chute.  Avant de toucher le sol, elle lui fit sauter la tête a bout touchant. Elle se retrouva donc éclabousser de tête de mort vivant. Et le corps lui tomba dessus quand elle tomba sur le dos dans la fausse. Elle eu une seconde le souffle coupé a cause de l'impacte.  Quand elle reprit ses esprit, elle poussa le cadavre qui était sur elle, en poussant un "beurk" très sonore. Elle se releva tapota ses vêtements maintenant tâcher en soupirant, mais fut contente de constater qu'elle n'aurait aucun mal a sortir du trou dans lequel elle était.  Elle prit appuie sur le rebord de la fausse, mais poussa un "Putain fait chier" bien audible quand elle sentie quelque chose de visqueux sous sa main. Elle venait de poser une main dans de la cervelle de mort vivant.  Quand elle fut sortie de la fausse elle soupira.  Elle regarda sa main dégoûtée et se tourna pour aller rejoindre son sac a dos a quelque mètre de la fausse. Sauf qu'elle tomba nez a nez avec un homme qu'elle connaissait bien. Très bien même... Trop bien ! Elle soupira " Non mais c'est même plus une blague a ce niveau là. C'est un complot contre moi ou quoi ?! " Elle regarda l'homme de la tête aux pieds. Conrad, ou le type qu'elle aimait le moins sur cette fichu terre " Moi qui pensais que tu serais le premier blaireau a mourir. Visiblement t'es moins nul que ce que j'pensais ! " Elle lui fit son habituel petit sourire narquois. En faite elle ne savait pas trop si elle était contente ou non de le voir en face d'elle. D'un côté, oui elle était contente de voir qu'il était vivant, mais d'un autre elle n'avait qu'une envie, le tuer.  Décidément a chaque fois qu'elle était face au beau brun elle avait trop de sentiments mitigés, cela ne lui plaisait pas, mais vraiment pas.
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Conrad Williamson

Conrad Williamson
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× Âge du perso : : Trente-six ans, et toujours aussi sexey.

× Caravane + colocataires : : Caravane 7A, en compagnie d'Anissa, Ambroisie, Apolline et Matthew.

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeDim 10 Jan - 6:52


Rebekah x Conrad
Are you kidding me ?!
Just one more time before I go, I'll let you know that all this time I've been afraid wouldn't let it show. Nobody can save me now, no.. Nobody can save me now. Stars are only visible in the darkness, fear is ever-changing and evolving, and I, I can poison the eyes, and I, I feel so alive. Nobody can save you now. The king is crowned. It's do or die! The only sound is the battle cry.

J’avais passé une sale nuit, ces derniers temps ça n’allais pas beaucoup. Après Aileen, et après Jane, je ne voyais plus vraiment de but à vivre. La blonde était introuvable et la solitude commençait à me peser, la nourriture manquait aussi. Depuis un moment je m’étais installé dans une petite cabane, qui je croyais bien était autrefois une cabane de chasse. Ça empestait la bière ici, pas que c’est une odeur qui me déplaisait, même qu’après un moment on ne la remarque même plus, seulement ça me rappelais un peu trop à mon goût un temps qui était révolue. Plus d’une année était passé depuis le début de tout ça, alors je n’espérais plus que tout s’arrange, il fallait se dire les vrais choses ; la vie maintenant c’était ça. Se battre chaque jour pour vivre, traiter l’eau et la nourriture comme de l’or et se méfier des autres survivants qui ne te veulent pas toujours que du bien, disons seulement que beaucoup en profite maintenant que c’est la loi de la jungle. Apparemment ils pensent que c’est la seule façon de faire, qu'aujourd'hui les plus faibles doivent mourir ou tu meurs avec eux, mais je ne pensais pas comme ça. Nous ne sommes pas Dieu, et nous n’avons pas le droit de décidé qui vie ou meurt, même en temps d’apocalypse un meurtre reste un meurtre, et pour moi dépouiller un pauvre type de toute ces réserves c’est pire que lui foutre une bonne balle entre les deux yeux. Si je suis pour mourir en aidant quelqu'un à survivre tant mieux, je ne tiens pas à monter là-haut tout de suite mais s’il le faut… Je me redresse finalement du canapé puis fait craquer mon dos et mon cou, ce meuble était plus dur que de la roche. J’avais l’impression de sortir de la gym, puisque tous mes muscles me faisaient un mal de chien, mais ce n’était pas parce qu’ils avaient bien travaillés bien au contraire ; c’était parce qu’ils n’avaient pas travaillés du tout. Bordel de merde, ce que le foot me manquait. J’essayais de garder au mieux ma forme, j’en avais besoin plus que jamais, mais ce n’était pas vraiment facile avec ce que j’avalais tous les jours, j’avais l’habitude d’avaler dix fois ce que je mange aujourd'hui, et en bougeant trop je ne faisais que perdre les minces partielles d’énergie qu’il me restaient. En bref, je m’épuisais plus qu’autre chose.

Malheureusement, c’était plus fort que moi. De toute façon, il fallait que je change de planque et que je trouve un peu de bouffe, j’étais presque à sec. Quelque chose de bon j’espère… Je n’avais jamais vraiment été difficile, je pouvais être heureux avec presque rien, la seule chose que je demandais c’était de la bonne bouffe, ce n’était pas moi le capricieux c’était mon estomac et il ne semblait pas comprendre le sens des mots apocalypse et survie. Je pourrais peut-être trouver quelque chose dans les bois, une petite bête à faire griller… Je n’étais pas bon chasseur par contre, en fait je n’avais jamais chassé de ma vie alors je ne savais même pas comment faire pour traquer un animal. Je savais tirer mais… C’est pas mal tout ce que je savais faire dans le processus de la chasse, j’étais mal barré, et avec la chance que j’ai ces derniers temps je ne comptais pas sur celle-là. Le point positif c’est que le propriétaire avait laissé une bonne boîte de munition et qu’elles ressemblaient sensiblement à celles de mon grand-père alors j’imaginais qu’elles ferraient l’affaire. Je ramasse donc toutes mes choses, puis je mets mon sac contre mes épaules, il était un peu plus lourd que d'habitude mais j’avais déjà couru avec pire sur le dos, croyez-moi. Je garde ma hache avec moi, au cas où, puis je sors en regardant bien autours de moi. Je ne voyais que du vert partout, c’était bon signe. Je me mets donc à courir vers la gauche, puisque j’avais vu une petite ville non loin de là lorsque j'étais monté sur le toit pour observer les alentours, et que j’espérais y trouver des petits marchés pour refaire le pleins de provisions. Je venais de la droite, et je n’avais aucune idée d’où j’étais en plus, la dernière fois que j’avais vu un panneau c’était il y a au moins deux semaines, et j’étais encore en Oregon, dans le sud de l’Oregon pour être plus précis et si je me souvenais bien de mes cours de géographie ce dont je doute très fortement. Je cours et j’essaie de garder un rythme régulier, malgré que ça me démange d’accélérer et de courir jusqu'à tomber, sauf qu’un rôdeur pouvait me tomber dessus d’une minute à l’autre, ou pire, alors valait mieux rester concentré.

C’est à ce moment que j’entends des coups de feu, à l’opposé de la direction d’où j’allais. Six balles ont tranché l’air l’une après l’autre, puis plus rien. Je me suis arrêté, mais rien ne me disais que la personne en question semblait en difficulté, sauf que six c’était beaucoup… La personne ne savait peut-être simplement pas tiré. Je m’apprête à continuer mais je souffle, j’étais incapable de tourner le dos à quelqu'un qui pourrait avoir besoin d’aide. Si je partais maintenant, je me demanderais pendant un longtemps ce qui avait causé ces coups de feu, si la personne est en vie, et si elle ne l’est pas, si j’aurais pu l’aider… C’est pourquoi je pars à courir vers où le bruit m’avait semblé venir, mais j’étais loin de me douter que j’allais tomber sur Rebekah, depuis le temps elle m’avait complètement sortie de la tête celle-là, on ne s’était plus vu depuis un long moment maintenant. Je m’arrête juste avant de piétiner une pauvre femme à qui le visage était bien rongé par les insectes, puis je lève les yeux pour compter quatre autres cadavres de rôdeurs. Le sang était frais. « Beurk ! » Je lève la tête et fronce les sourcils, la voix m’avait semblé familière mais je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus, et avant qu’une main n’en sort je ne m’étais pas rendu compte du petit faussé à un mètre ou deux de là. « Putain fait chier. » J’aurais pu réagir, reculer et me cacher derrière un arbre -on n’était jamais assez prudent- mais cette voix… Me troublait, et le visage de la jeune femme à qui elle appartenait me surprend d’autant plus. J’avais peine à la reconnaître, crasseuse comme elle était, comme Rebekah avait toujours été soignée de sa personne, c’était presque aussi étrange que de la voir là. Figé, je me réveille qu’une fois qu’elle m’a aperçue, et ça ce n’était pas de bol. Quand je vous dis que la chance n’est pas avec moi… « Non mais c'est même plus une blague à ce niveau-là. C'est un complot contre moi ou quoi ?! » Cette fois je sors de ma stupéfaction bien rapidement, et bah, si j’avais peur qu’elle ne soit plus elle-même je n’avais plus à m’en faire maintenant ; c’était bien cette bonne vieille Reb, toujours aimable, souriante et rayonnant comme le soleil au printemps. J’encaissais ces mots comme un salut, j’étais habituer avec le temps. « Moi qui pensais que tu serais le premier blaireau à mourir. Visiblement t'es moins nul que ce que j'pensais ! » Mes mains serrent les bretelles de mon sac et je souris face à sa réplique. « Toujours aussi sympathique. Ça m’avait vraiment pas manqué. » En vrai, peut-être qu’elle m’avait un peu manquer, et peut-être que j’étais légèrement soulagé de la savoir en vie, mais ça elle n’avait pas besoin de le savoir, même moi je refusais de me l’avouer, si je le faisais ça me donnerais la gerbe et déjà que je n’avais presque rien dans l’estomac… « C’est jolie ce que tu as fait à tes cheveux.. » commence-je en pointant sa tête. « Le style un peu.. J’ai pas pris pas douche depuis trois semaines, ça te va à merveille » termine-je avant de sourire un peu plus. Ça aussi ça m’avait manquer, je ne me lassais pas de la taquiner, et elle non plus apparemment comme ça faisait des années maintenant qu’on se faisait la guerre et à chaque fois c’était pareil, c’était à peine si on s’insultait pas en pleine action aussi. On était pire que des gamins et on n’avait clairement pas grandis depuis la cour d’école.

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Dernière édition par Conrad Williamson le Ven 4 Aoû - 21:23, édité 2 fois
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeLun 11 Jan - 22:33

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
Ce n'était définitivement pas sa journée du tout. Si elle en doutait de moins en moins en tombant dans cette fausse, avoir Conrad face a elle la fit définitivement arrêter de douter. Ce n'était vraiment pas son jour.  Et fidele a elle même, Rebekah avait lancer les hostilités en le voyant. C'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait pas s'empêcher de le taquiner.  Et il le lui rendait bien. En faite ces deux là étaient de véritable gamin quand ils étaient l'un face a l'autre.  Deux gamins qui finissait toujours pas faire des choses d'adultes. Bien que même pendant l'acte ils trouvaient le moyen de s'insulter. Bien qu'en général pendant ces moment là, Rebekah faisait un peu moins la maligne car elle était en position de faiblesse. Enfin... J'ai bien dit "un peu moins" car elle l'ouvrait quand même, ce n'est pas Conrad qui allait la faire taire.  Elle lui fit un sourire narquois, comme d'habitude en faite quand il lui dit qu'elle ne lui avait pas manquée.  "Je ne te crois pas! Je suis quasiment certaine que tu pense a moi tout les soirs ! "Elle rit  puis de sa main propre toucha la pointe de ses cheveux. Cheveux qu'elle avait était obligé de coupé avec son couteau quand un rodeur l'avait choppée par les cheveux il y a quelques jours de cela. En faite, c'était assez etrange de voir Conrad dans cet état. Et cela devait lui faire bizarre a lui aussi de voir Rebekah en mode survivante. Lui qui avait l'habitude de la voir toujours très propre sur elle, parfaitement coiffé et maquillée. Toujours habiller avec beaucoup de gout et de classe.  Elle fit une grimace quand il se moqua du fait qu'elle était sale.  "Très drôle ! Tu t'es vue toi avec ta barbe de trois jours et tes fringues tâcher ? J'veux pas cassé ton trippe mais t'es pas assez viril pour avoir l'air d'un bucheron!  " Elle le défia du regard. Puis s'arrêta net et lui fit signe de se taire. De sa main propre elle tira son couteau de chasse de sa ceinture et chuchotta a Conrad "Ne bouge surtout pas... Laisse moi faire. " Elle se mit a avancer doucement, se mettant en position comme si elle s'appretait a tuer un rodeur. Mais une fois a deux centimetre du grand brun, elle se redressa et essuya sa main pleine de cervelle sur le torse de Conrad, en souriant toute contente. Une fois sa mains a peu prés propre, elle tapota la joue du brun toujours en souriant "Merci de t'être rendu utile pour une fois."  Elle le regarda une nouvelle fois et soupira. Puis elle posa une main sur son épaule et fit une pression dessus pour qu'il se décale "Attend pousse toi de devant pour voir ?"Quand il ne fut plus vraiment devant elle, elle souri "Ah le paysage est bien plus jolie d'un coup !" Elle rit de facon narquoise et fit les quelques mettre qui la séparait de son sac. Elle sortie de son sac une petite bouteille d'eau, quelle se vida sur le visage et les cheveux, pour se nettoyer un minimum. Une fois fait, elle passa ses mains mouillé dans ses cheveux qui lui arrivaient juste au dessus des épaules, et qui comme avait était taillés au couteau de chasse lui donnait un air un peu sauvage, pour les rabatre vers l'arrière. Puis elle posa a nouveau ses grand yeux vert sur l'ex sportif et haussa un sourcil "Tu as l'air assez reposé, tu vien d'où comme ca ? Ta trouver un endroit sur avec de la nouriture de l'eau et tout ?" Dit elle d'un air curieuse, et en même temps pleine d'espoire. S'il avait un endroit a peu prés sur pour dormir et avec de l'eau et de la nourriture elle le rejoindrait peut-être. "Ah moins que tu allais chercher de la nourriture. Tu as un stock  ou tu sais où t'en faire un ?" Demanda t elle sans le lâcher du regard et en posant par reflexe sa mains sur son arme a feu.  C'était vraiment un reflexe, elle ne savait pas si elle aurait la force de le braquer. Lui. Elle pouvait braquer n'importe qui, elle avait braquer plein de gens, mais elle ne savait pas si lui elle le pouvait. Il était si...Spécial a ses yeux. Elle ne savait même pas expliquer ce qu'il était pour elle. Enfin une chose est sur, elle, elle n'avait jamais était dans le fan club de Conrad. Bien au contraire, ce qui était peut-être pour cela qu'il avait fait attention a elle. Alors qu'il n'avait jamais vraiment fait attention a toutes ses fan- et dieux sais ce qu'il en avait- il avait toujours fait plus ou moins attention a celle qui le detestait le plus de tout leurs lycée, voir de l'univers même.  En fait y avait il vraiment une explication logique a la relation entre Conrad et Rebekah ?
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeSam 16 Jan - 5:51


Rebekah x Conrad
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Just one more time before I go, I'll let you know that all this time I've been afraid wouldn't let it show. Nobody can save me now, no.. Nobody can save me now. Stars are only visible in the darkness, fear is ever-changing and evolving, and I, I can poison the eyes, and I, I feel so alive. Nobody can save you now. The king is crowned. It's do or die! The only sound is the battle cry.

Elle était vraiment restée la même, c’était presque impressionnant de voir à quel point elle ne semblait pas plus affectée que cela par l’apocalypse, hormis physiquement mais ça ce n’était pas vraiment quelque chose qu’on choisissait. Je ne devais pas avoir l’air plus troublé qu’elle d’ailleurs puisque je prenais un air décontracté, comme je l’avais toujours fait devant elle. Hors de question de lui montrer que je peux être atteint moi aussi, et si elle apprenait pour Aileen elle se foutrait simplement de ma gueule, ça lui ferrais beaucoup trop plaisir d’apprendre ça, je n’avais donc pas du tout l’intention de lui ouvrir la porte, puisque j’avais besoin de tout sauf de ces commentaires malicieux. Normalement j’étais toujours partant pour qu’on se bagarre un peu, mais je ne me sentais pas au top de ma forme depuis quelques semaines. Je pouffe pourtant de rire à sa réplique, et étrangement c’était un rire plus ou moins sincère, je ne m’en savais plus capable. Elle aurait bien voulu hanter mes pensées va, derrière ces blagues et ces crases qu’elle n’a pas cesser de me faire endurer tout au long de mon adolescence et même durant le début de ma vie adulte, j’y voyais un manque d’attention, et moi comme un idiot je lui en avais toujours beaucoup donné, mais malheureusement j’avais eu beaucoup de choses en tête ces derniers temps, avec toute la folie du début de l’apocalypse, Aileen puis Jane… J’en avais oublié Rebekah, mais je n’étais pas assez malveillant pour lui cracher au visage -voilà pourquoi elle gagnait toujours quelques points de plus que moi. « Tu voudrais. Parle plutôt pour toi. » Je disais ça mais elle m’avait peut-être oubliée elle aussi, bien que j’en doutais, j’étais surement le seul ou presque assez patient pour la supporter, même après le lycée, alors que moi au contraire, j’avais toujours été beaucoup entouré, malgré que Rebekah avait une place bien spéciale même si je ne me l’avouais pas. Je souris ensuite lorsque je remarque que ma réplique à eu l’effet escompté, avec toutes ses années j’ai appris à connaître ce qui était dit dans le vent, ou ce qui, au contraire, pouvait la mettre en colère. « Oh désolé, madame, de vous offusquer. Malheureusement j’étais trop occupé à buté des putains de cannibales et à sauver ma peau, t’vois? Et puis.. » Je m’arrête lorsqu’elle lève sa main dans les air et s’approche en sortant un couteau. « Ne bouge surtout pas... Laisse-moi faire. » J’hausse un sourcil mais ne bouge pas comme demander, serrant le manche de mon sac et ma hache, juste au cas où elle essayait de me prendre mes choses ou de me faire une crasse comme à sa sale habitude. Le seul truc c’est qu’on n’était plus dans mon appartement, ou au lycée, et que tout ce que j’avais était soit vitale, soit sentimentale, soit un peu des deux, alors je ne me laisserais pas faire ça c’est certain. Je ne lui ferrais aucun mal, même si je sais qu’elle pourrait possiblement m’en faire, mais je n’hésiterais pas à me défendre et je ne baisserais pas ma garde -jamais.

Finalement, elle ne fait que s’essuyer sur mon t-shirt, y laissant une belle trace de cervelle grise qui dégage une forte odeur désagréable. Je grimace et le tire pour admiré son œuvre. « Vraiment classe, Rebekah. » Je ne réagis pas plus que ça, pas du tout surpris de son geste -c’était du Fitzgerald tout craché. Elle poursuit son petit jeu en me poussant sur la gauche et en affirmant que la vue était beaucoup plus jolie. Je roule des yeux et souffle. « Trop drôle » dis-je un peu ennuyé. J’aurais peut-être plus réagis que cela si les derniers mois n’avais jamais existé mais ils avaient pourtant bien eut lieu et ils m’avaient changé. Si la brune était quelqu'un de normal avec un cœur elle aurait surement réagit de la même manière mais ce n’était pas le cas. Je la vois qui s’éloigne vers son sac et j’attrape quelques grandes feuilles pour essuyer un peu mon t-shirt puisque l’odeur était vraiment dégueulasse. Je promets je m’en trouver un nouveau dès que possible. « Tu as l'air assez reposé, tu viens d'où comme ça ? T'as trouver un endroit sûr avec de la nourriture, de l'eau et tout ? » J’hausse un sourcil mais ne lève pas les yeux de mon t-shirt que j’essuie toujours à l’aide d’une feuille. « Non, et je ne crois pas que ce soit encore possible un endroit pareil » avoue-je en dévoilant un peu mon manque d’espoir, ce qui me rendait négatif à souhait et qui n’aidait pas du tout à l’amélioration de mon morale. Je jette la feuille avec une légère grimace alors que la brune s’enflamme et entame carrément un interrogatoire. Lorsque je pose de nouveau les yeux sur elle, elle a les cheveux trempe et donc elle semble un peu moins sale, même si j’avais un peu de la difficulté avec sa nouvelle coupe, j’aimais bien mais il fallait que je m’y habitue. Je ne manque pas de remarquer qu’elle à sa main contre la crosse de son arme également. Je rigole doucement, pas du tout impressionné. « Tu penses faire quoi avec ça? » C’était, certes, une attitude un peu risqué, mais j’étais à peu près sûr qu’elle ne serait pas capable de me flinguer, de m’assommer et de me voler toute mes choses peut-être, mais me tuer ça j’en doutais fortement. « Et pourquoi je te le dirais? Pourquoi je t’aiderais, hein, Reb? » J’avance tout en continuant d’être désagréable. « Tu te sens seule? C’est ça? Désolé mais c’est la putain d’apocalypse j'te signale, et tu peux plus débarquer chez moi à chaque fois que tu as besoin d’affection, parce que de toute façon plus personne à un chez soi, et peut-être que je n’ai plus envie de toi aussi. » C’était dur et sèche, et je me recule d’un pas comme si je réalisais que j’y avait été un peu fort cette fois, mais avec tout ça… Aileen et la petite, ça m’avais un peu énervé qu’elle pose sa main sur son arme, même si elle ne l’utilisait pas au final, le monde partait vraiment en couille et j’étais à cran puisque ça me blessait et que je regrettais désespérément le monde d'avant. « Désolé, c’est pas sorti comme je le voulais. » C’était peu dire d’ailleurs, puisque je ne dirais pas non à de la compagnie en vrai, ou à de l’affection, mais je ne pouvais pas lui faire confiance. Si je perdais tout ce qui me restais, et cela dit ça tenais dans un sac de sport et c’était triste de le constater, c’était carrément la fin pour moi, ça serait la goutte qui ferrais déborder le vase. « J’allais chercher des provisions dans la ville voisine, c’est à deux kilomètres je dirais, tu peux venir si tu veux, j’imagine qu’il y aura assez de boutique à piller pour nous deux. » Putain, pourquoi je faisais ça? Et si il n’y avait pas assez de bouffe, qu’elle prenait tout ce qu’il y avait de potable là-bas et qu’en plus elle se servait du fait que je sois occupé à autre chose pour m’assommer et prendre le peu qu’il me restait encore? Non, ça n’allait pas arriver, je ne baisserais pas ma garde, on se séparera les boutiques et ensuite c’est nos chemins qui se sépareront, comme d’habitude.

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMar 26 Jan - 23:54

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
En réalité elle était plutôt contente de voir qu'il n'était pas mort. Certe elle n'avait pas vraiment pris le temps de s'en soucier depuis le début de tout ce merdier. Elle l'avait pas vraiment oublié, elle avait juste pas trop penser a lui.  Elle lui fit un sourire amuser a sa réponse puis passa totalement a autre chose.  Elle soupira quand il lui dit qu'il était trop occuper a sauver sa peau pour se soucier de son apparence. En réalité, même si elle faisait de son mieux pour être propre et tout ça, parfois son instinct de survie faisait que son apparence passait un peu a la trappe aussi. La preuve pour sauver sa vie elle avait sacrifiée ses cheveux.  Enfin elle ne le laissa pas finir sa phrase qu'elle lui fit une sale blague. De toute façon il avait l'habitude avec elle. C'était leurs grand jeux de se faire des sale blagues qui ne faisait en général pas trop rire l'autre. C'était ça depuis toujours de toute façon. En réalité c'est grâce  a toutes ces blagues qu'elle avait attiré l'attention de Conrad, et il avait sans réfléchi répondu a son "appelle au secour" en lui donnant toute l'attention dont elle manquait et avait cruellement besoin.  Il avait un peu était sa bouée de secours au lycée et même dans ses début de vie d'adulte.  Enfin une fois qu'elle s'était essuyait sur lui et qu'elle l'avait pousser de devant elle, elle s'était un peu nettoyer le visage et les cheveux, histoire qu'il ne lui fasse pas encore une remarque la dessus.  Et en le regardant de plus prés, elle s'était enflammée. Elle lui avait fait un véritable interrogatoire, et en plus de cela elle avait par réflexe porté la mains sur la crosse de son arme. Depuis le début de l'apocalypse elle avait choppé ce réflexe, elle était prête a dégainé son magnum a chaque instant.  Enfin il avait pas tord, ce n'était pas trop possible un endroit sécurisé avec de l'eau et de la nourriture. Elle avait était un peu utopiste sur le coup. Mais elle était persuadée qu'il en savait plus qu'il ne le montrait.  Et elle avait raison. Enfin, elle aurait préféré l'apprendre autrement. Elle aurait mieux aimer ne pas se prendre le discourt de Conrad dans la gueule.  Il avancer, il faisait le dur, il était dur d’ailleurs, il savait qu'elle n'allait pas le blessait. Il avait vue sa faiblesse. En faite, il était le seul a connaitre la seconde facette de Rebekah. Lui seul avait déjà vue ses larmes, lui seul avait connue la Rebekah tendre et douce. Lui seul avait eu le droit a un peu de tendresse et de douceur de la part de Rebekah. En faite il connaissait la brune sous un angle totalement différent que tout les autres. Elle avait d'ailleurs horreur de cela, savoir qu'il réussissait a la percer a jours. Savoir qu'il pouvait la faire frissonner, ou même se souvenir qu'il l'avait déjà vue pleurer toute les larmes de son corps. Qu'il l'avait déjà enlacé gentillement. Et le pire c'était ce qu'il était en train de lui dire. Il s'en prenait a elle méchamment alors qu'elle n'avait rien fait de méchant contre lui. Elle avait juste portait sa mains sur sa crosse par réflexe, en même temps qui n'aurait pas se réflexe dans le monde actuel ?  Elle le fixait depuis le début, elle encaissait ce qu'il lui disait et ne laissait rien paraître. Mais en réalité, elle avait mal, le fait qu'il pense cela d'elle lui faisait mal. Elle aurait crut qu'il aurait quand même une autre vision d'elle. Certes il y avait du vrai dans ses propos mais quand même.  Elle le regarda encore plus méchamment quand il s'excusa. Elle pris son sac sur son dos et se mis a avancer en lançant un  "Ouais mais c'est sortie quand même."Très sèchement en faisant exprès de le bousculer en passant a côté de lui. Elle s’apprêtait a partir, ils s'étaient visiblement tout dit, de toute façon il ne voulait pas d'elle, il l'avait lui même dit.  Elle s'arrêta net quand il lui dit où il allait et lui proposa de venir avec lui. Elle réfléchit deux seconde avant de se tourner et le regarder toujours aussi froidement. " Je te suis."

Ils se mirent donc en chemin, mais elle ne lui adressait même pas la parole, elle ne le regardait même pas. Oh oui il pourrait se vanter de lui avoir rabattue le caquet. Mais était-ce une bonne chose ? Il l'avait surtout blessée en faite. Et même le fait de s'être excuser ne lui suffisait pas. Elle marchait en réfléchissant. En réalité les mots du brun aux yeux vert lui trottait dans la tête. Si bien qu'elle accéléra pour le doubler, et s'arrêta face a lui.   "Tu le pensais vraiment ?  Tu crois que j'ai pas remarquée ce qui se passe dans le monde ? Tu crois vraiment que je suis aveugle ? " C'était a son tour d'être franche, dur et sèche. Mais elle, contrairement a lui elle n’avançait pas, elle restait sur place et a part son regard qui trahissait sa colère, elle ne laissait paraître aucune émotion.  "Franchement tu me déçoit tellement Conrad, j'pensait que tu avait une autre vision de moi. Mais visiblement je me trompait, en faite tu es comme tout les autres. Ça y est, tu sais ce que ça fait de pas avoir un chez soi, de devoir te battre tout les jours. Ça fait mal hein de n'avoir presque rien a soit.  J'suis prête a parier que tu n'avait jamais tuer qui ou quoi que ce soit avant. Alors quoi ça ta troublé ? Ça te fait mal ? Ça t'a changé ? " Elle rit d'un air narquois "Suis-je bête, évidement que ça ta fait mal, troublé et changé, fini ta petite vie de starlette, adieux ton fan club et ta popularité. Ca doit te faire bizarre que maintenant les filles te court après pour te bouffer. Oh oui, un gentil comme toi doit bien souffrir dans cette merde. Toi le gentil géant qui sauve la veuve et l'orphelin. Enfin, tu es gentil si tu veux, tu sauve qui tu veux, tu risque ta vie pour qui tu veux je m'en fou c'est pas mon problème si tu veux mourir bêtement pour rien. Mais ne reproche pas aux autres de vouloir survivre." Sur ces mots elle tourna les talons et se remis en route sans même lui laisser une chance de répliquer. Et elle, elle ne comptait pas s'excuser de si tôt. Après tout, ils avaient mis les choses aux clairs comme ça.  Elle avait pensait ses mots, même si elle s'en voulait peut-être un peu d'être comme cela. Enfin il l'avait blessée en premier, elle n'avait que fait lui rendre l’ascenseur.  Et s'il était un minimum intelligent, il savait qu'avec Rebekah il fallait lire entre les lignes. Qu'il y avait toujours quelque chose qu'elle ne disait pas explicitement. Comme le fait qu'elle était bien contente de le retrouver et que ça lui ferait bien chier qu'il meurt. Ou le fait qu'il l'avait tout simplement blessée. Elle s'arrêta pour prendre une bouteille d'eau dans son sac et but une gorgée avant de tendre la bouteille au brun. S'il en voulait il pouvait en prendre.  Le fait qu'elle se sentait un peu coupable d'avoir était dur avec lui, ou encore qu'elle partage son eau, la ressource la plus vitale et précieuse du monde actuel, montrait a quel point elle était attachée a lui. Elle avait beau le niait, il n'était pas n'importe qui pour elle. Il avait une grande place dans sa vie et quoi qu'il dise ou face, ça ne pourrait pas changer. Si son père la voyait, comme ça, attachée  a quelqu'un il se retournerait dans sa tombe. Il lui flanquerait aussi surement la raclé de sa vie. Heureusement monsieur Fitzgerald n'avait jamais eu connaissance de Conrad, heureusement pour le brun mais aussi pour elle. S'il avait appris que sa fille avait une relation spécial avec quelqu'un, surtout avec un garçon, il aurait surement vue rouge. Il aurait surement fait disparaître Conrad et aurait fait une vie d'enfer a la brune.  Il avait toujours dit a Rebekah qu'être attaché a quelqu'un de quelque façon que ce soit était une perte de temps. Une faiblesse qui pouvait lui apporter des problèmes. En fait Rebekah n'avait pas vraiment la même vision du monde que les autres. Elle avait était élevée pour être égoïste et manipulatrice. Elle avait était élever pour reprendre la tête du gang de son père. Mais bien sur elle n'avait jamais était a la tête de ce gang, après la mort de son père, on lui avait gentillement fait comprendre qu'elle n'avait plus aucun droit sur le gang. Bon heureusement elle avait garder la demeure Fitzgerald et l'argent de son père, son héritage quoi. Mais rien de plus. Et quand elle avait eu l'âge elle s'était tiré de cette maison de malheurs qui lui rappelait beaucoup de souvenirs, des bon, mais aussi des horribles. Et donc quand elle revenait dans sa ville natal pour x raisons en général elle allait s’introduire chez Conrad. C'était plus facile de passer la soirée et la nuit en sa compagnie, comme cela elle ne revivait pas ses mauvais souvenir.  Elle était vraiment beaucoup trop attacher a Conrad, un bien ou un mal ? Son cœur lui disait un bien, sa tête un mal... Qui était-elle censée écouter dans l'histoire ?

Après deux kilomètre de marche silencieuse pour Rebekah, mis a part sa mise au point avec Conrad, en effet ils tombèrent bien sur une petite ville. Petite ville qui semblait pleine de boutique en assez bon état vue de loin, mais surtout déserte. C'était un peu trop beau pour être vrai au gout de Reb. Il y avait forcement un loup quelque part. Les rôdeurs devaient surement être tous regrouper dans un seul et même endroit et rappliqueraient au moindre bruit.  Elle s’arrêta avant de rentrer pour de bon dans la ville et regarda le grand brun. "Puisque  tu veux pas de moi, je suppose que tu prend le risque qu'on se sépare ? Perso j'ai pas des masse envie de me balader seule ici. J'ai un mauvais présentiment." Elle le toisa du regard, elle attendait de voir ce qu'il voulait faire.  
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeLun 1 Fév - 5:12


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J’aurais dut me douter qu’elle ne le prendrait pas vraiment de la même façon que les autres petites bêtises que j’avais pu lui lancer plus tôt pour me défendre, mais c’était vraiment sorti tout seul, de plus que ce n’étais pas vraiment contre elle. Rebekah était seulement tombé sur moi au mauvais moment, j’étais à fleur de peau et j’avais perdu un peu de ma tolérance et de la patience qui m’aidait à supporter le caractère de la brune. Je ne lui voulais pas de mal, à Reb. Elle était haïssable parfois c’est vrai, et à des moments elle est passée proche de me faire perdre la tête, mais en vrai elle demande seulement à ce qu’on la regarde. Parfois j’ai tout simplement besoin de me le rappeler. Vu les horreurs que j’avais enduré ces derniers mois et les gens mal intentionnés que j’avais croisé, j’ai finis par me dire qu'elle était peut-être devenue mauvaise, enfin, pour de vrai je veux dire. Elle l'était un peu, en vrai, elle ne me parlais jamais de son travail lorsqu'elle me rendait visite mais je savais que ça n’avait rien de très légale, pourtant je m’étais toujours dit que je risquais peut-être des trous dans mes vêtements et des fourmis dans mon lit -elle en valait largement la peine d’ailleurs- mais jamais plus gros. J’étais peut-être stupide de le penser d’ailleurs, je ne savais pas réellement ce qu’elle ressentait, elle m’avait parlé honnêtement une seule et unique fois, et cela il y a des années… Elle était compliquée, et j’avais passé ma vie à essayer de la comprendre, j’imagine que je ne réussirais jamais totalement à le faire, elle arrivait toujours à me surprendre, que ce soit une mauvaise ou une bonne surprise, pourtant aujourd'hui j’étais épuisé, et je n’avais pas envie de me casser la tête, mais je n’avais pas envie non plus de rester seul. Rebekah n’était pas la plus agréable compagnie qui soit, mais il y avait bien pire aussi. C’est pourquoi, lorsqu'elle passe près de moi et entrechoque nos épaules avec humeur, je ne perds pas de temps à me retourner et à la retenir en lui disant ce qu’elle voulait savoir, et sa réponse me soulage, elle aurait tout aussi bien pu m’envoyer balader après tout. D'ailleurs c’était assez curieux qu’elle ne répliquait pas, et alors qu’on commençait à se diriger vers le petit village, le silence commence à me peser. Elle allait me faire attendre et se venger lorsque je ne m’y attendrais pas? Ou peut-être qu’elle ne se vengerait jamais concrètement, mais que la vengeance serait tout simplement le fait que je l’attende et soit toujours là, à me dire qu’elle pourrait bondir et décidé que l’heure est arrivé.

Alors que je devenais presque paranoïaque avec tout ça, je finis par sursauté lorsque je la brune se poste devant moi et m’arrête. Je regardais tranquillement mes pieds et me posait quelques dizaines de questions, et c’est pourquoi je ne m’y attendais pas. Je serre ma hache, juste au cas où. Comme j’avais décidé de cesser d’essayer de la déchiffrer, valait mieux que je garde en tête toutes les possibilités en tête. Elle était plutôt imprévisible comme femme, et cette réaction en était la preuve d’ailleurs. Elle avait finalement décidé de répliquer et je soupire à ses premières paroles. « Mais non.. » souffle-je en abaissant presque les épaules comme je le faisais lorsque j’étais petit et que mon père se mettait en colère. C’est tout ce que j’ai le temps de dire avant qu’elle ne se lance entièrement, et je dois avouer qu’elle m’en met pleins la gueule. Je me sens pourtant obligé de lever les yeux au ciel lorsqu'elle remet pour la centième fois ma vie sociale sur le tapis. Peut-être que j’ai un peu pris la grosse tête lorsque j’étais adolescent mais j’étais jeune et stupide, et avec le temps je me suis rendu compte bien assez vite que cette vie ne m’a jamais vraiment comblé et qu'elle ne le ferrait jamais totalement, pas plus que celle de Rebekah la comblait elle, mais ça, je ne lui avais jamais dit. Elle c’était confiée à moi une fois, mais moi je ne l’avais jamais fait. Je me sens tout de même un peu mal face à ses paroles, puisqu'elle me reprochait presque d’avoir des amis et une famille, alors qu’elle, elle avait toujours été terriblement seule. Pourtant, je ne lui avait jamais demander de partir, elle l'avait toujours fait d’elle-même. Je finis par soupirer à nouveau, plus d'exaspération cette fois, alors qu’elle se retournait déjà pour poursuivre son chemin. Je n’étais quand même pas la raison de tous ses malheurs, ce n’était pas de ma faute si elle n’était pas approchable et ce n’était pas tout le monde qui avait la patience que j’avais ou le grand cœur qu’il faut pour accepter tous ses défauts, les oublié et voir ce qu’il y a en-dessous de ce sarcasme, cette méchanceté gratuite et cette froideur. Peu de gens prenait le temps de comprendre, il fallait du temps et beaucoup, beaucoup de self-control pour percer à jour Rebekah, la plupart des gens abandonnait. Je souffle à nouveau, un peu lassé maintenant. Je reprends finalement ma route, laissant la brune se promener devant moi et ne prononçant pas un seul mot. Pas la peine de répliquer, puisque je pouvais être sûr qu’elle répliquerait elle aussi à nouveau, et après ça ne s’arrêtera jamais. J’étais souvent celui qui flanchait, elle avait beaucoup plus de volonté que moi. Plus jeune il m'était arrivé de résister des mois, mais avec l’âge je la laissais de plus en plus souvent et facilement gagner.

J’imagine que me crier par la tête est plutôt thérapeutique pour elle, comme elle s’arrête après quelques minutes et me propose même son eau. Je ne m’attendais pas à ça mais je l’accepte, j’en bois une petite gorgée et vois cela un peu comme des excuses. Je lui rends ensuite en silence et on reprend notre route. Cette fois, le fait qu’on entende que le vent souffler doucement et les feuilles bruissés n’était pas malaisant, même un peu apaisant. Si bien que le temps passe plutôt rapidement et que je suis surpris de la vitesse avec laquelle on arrive finalement au petit village. Il y avait effectivement un bon nombre de boutique qui, je l'espérais, n’avait pas tous été pillés entièrement. Je m’arrête en voyant la brune le faire et hausse un sourcil en la regardant, curieux. « Puisque tu veux pas de moi, je suppose que tu prends le risque qu'on se sépare ? Perso j’ai pas des masse envie de me balader seule ici. J'ai un mauvais pressentiment. » Je souffle un peu en l’entendant me rappeler ce que j’avais dit, pourtant ça ne devrais pas me surprendre c’était tout elle de faire ça. « Arrête. Je t’ai dit que c’était pas sorti comme je le voulais » répète-je un peu sévèrement, pour qu’elle comprenne que je n’avais pas penser ce que j’avais dit et que je ne dirais jamais non à sa compagnie, elle devrait le savoir maintenant, puisque je ne l’avais jamais mise à la porte et que je l’avais toujours accueillit chaleureusement. J’imagine qu’elle aimait que je lui rappelle sans cesse que je n’étais pas de marbre face à elle. Je déglutis ensuite, un peu mal à l’aise et serre la bretelle de mon sac en poursuivant. « C’est plus prudent de piller à deux, juste au cas où, on sait jamais sur qui ou quoi on peut tomber. » Sur ce, je me remets en marche. C’était pas que des conneries, avec le temps j’avais compris, et Rebekah très certainement aussi, qu’on pouvait plus souvent qu’on ne le souhaite tomber dans un piège. Il ne fallait jamais complètement baisser sa garde, puisque ceux qui le faisait, ils finissaient par se faire bouffer. Le but ici était, bien entendu, qu’on en sorte tous les deux indemne, mais il ne fallait pas être un génie pour comprendre que c’était aussi, en même temps, un peu une excuse pour rester ensembles. Si Rebekah n’avait pas parler la première j’aurais certainement dit quelque chose dans le même genre, un reste avec moi dissimulé.

Cela dit, j’entre finalement dans la petite ville et m’approche de la première boutique que je vois. C’était un magasin de jouet et c’est pourquoi j’hésite un peu. Je me tourne finalement vers la brune en haussant les épaules. « On sait jamais. » En même temps, ce n’est pas comme si ils avaient vraiment mieux à faire durant la journée, et peut-être qu'ils tomberaient sur quelque chose d'intéressant, personne ne pouvait le dire. Souvent c’est dans les endroits qu’on ne pensait jamais regarder qu’on trouve les plus belles trouvailles, tout simplement puisque les plus stupides ne pense jamais à y jeter un œil. C’est pourquoi j’entre, me sentant tout étrange une fois à l'intérieur comme la boutique est en assez bonne état, si on ne compte pas la poussière et le fait qu’il fait un peu sombre vu que les lumières du plafond ne fonctionnent plus. Seules les vitrines sales remplis de poupées et de camions éclaire l’endroit. C’était loin d’être de gros dommages, on pouvait dire que la bâtisse a été épargné, elle ne semblait pas du tout souillé par un massacre ou plusieurs même, c’était d’ailleurs assez morbide de me dire que c’est bizarre qu’il n’y ait pas un peu de sang, de cervelle en bouillit ou une odeur de pourriture. Je lève donc le bras et empêche Reb de s’avancer dans les rangées à l’aide du long manche de ma hache. « Au lieu qu’ils nous sautent tous dessus quand on s’y attendra pas, on ferait mieux de les attirés ici et de les butés tout de suite, c’est plus prudent. » Je n’avais pas, non plus, envie d’être forcé de lui foutre une balle entre les deux yeux, et qu’elle m’en foute une entre les miens. Je bouge doucement vers le comptoir et la caisse près de la vitrine, après quoi je cogne contre l’objet à l’aide du dos de ma hache, ce qui fait sauter les sous dans la machine et tue le silence qui plombait. Je serre le manche de mon arme en observant les alentours. Il n’y avait même pas un semble de grognement. Je me tourne donc vers Rebekah et hausse les épaules d’un air nonchalant, peut-être qu'on était seul ici, après tout.

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeDim 7 Fév - 9:53

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
Ce qu'elle pouvait se detester d'avoir dit cela a Conrad, juste pour masquer le fait qu'elle avait envie de rester avec lui. Après tout, elle aurait très bien put partir après qu'elle soit sortie de cette fausse. Elle aurait peut-être même du partir, maudits sentiments innexplicable et incontrolable. Elle qui normalement ne semblait pas en avoir, en avait peut-être un peu trop en réalité. Et quand elle était en présence de Conrad elle était totalement différente. Même si elle faisait tout pour emmerder le beau brun, tout pour rester la même, en sa présence elle s'adoussisait, elle devenait emotive, et elle avait a chaque fois peur de cela. D'où le fait qu'elle partait tout le temps au petit matin avant qu'il ne se reveille ou quand il avait le dos tourné. Ce qu'elle ferait surement encore cette fois, même si le contexte était totalement différent.  Elle le regarda presque tendrement quand il dit qu'il vallait mieux qu'ils restent ensemble, juste au cas où et lui fit un grand sourire. Ce grand sourire sincère que seul quelques rare privilégier avait la chance de voir dans leurs vie.  Elle le suivit donc quand il pénétra dans la petite ville. Plus elle voyait les rues desertes plus elle avait la sale impression que quelque chose de pas rigolo allait leurs tomber dessus. Enfin, elle était avec Conrad, donc elle se sentait toujours plus en sécuritait. Il avait ce dont sur elle, avec lui, elle baissait un peu la garde, elle se sentait tout de suite plus en sécurité qu'en présence de n'importe qui. Elle s'arrêta derrière lui quand il s'arrêta devant une boutique de jouet. Elle grimaca quand elle vit les poupées dans la vitrine. Dieux ce qu'elle pouvait avoir horreur des poupées. Elle regarda le grand brun et hôcha la tête quand il lui dit qu'on ne sais jamais. Il avait raison,  le magasin semblait intacte, il y avait surement des choses utile que personne n'avait prit. Ils entrairent en silence. Le magasin était intacte, ce qui foutait un peu la trouille. Tout était ranger, et mise a part le fait que les lumières ne marchaient pas et qu'il y avait beaucoup de poussière, le magasin semblait  vraiment normal. Comme s'il venait d'ouvrir.  Comme elle était sceptique, elle eu l'idée d'allumer tout les jouet bruyant pour attirer les rodeurs, mais il l'arrêta avec le manche de sa hache. Elle le regarda un peu surpris, mais il lui exposa son plan, le même qu'elle mais... Avec une autre manière de faire.  Elle le regarda taper comme un fou sur la caisse et faire voler l'argent en souriant amuser. Enfin c'était réussit, il faisait un bruit pas possible. Elle s'accouda au contoir en le regardant faire amuser. Quand il eu fini elle rit légérement  "Je savais pas que t'était le genre de gars qui braque les caisses !" Elle lui fit un sourire, amuser de sa propre blague et passa a côté de lui derrière la caisse. Elle passa sa main sous le comptoir pour voir s'il n'y avait rien d'accrocher. Elle souri quand sa main buta contre un pistolet a 8 coups. Elle le décolat de sous le comptoire et regarda s'il était chargé. Il était chargé a bloc"Parfait, ca me fera économiser 8 balles"  Elle le  coinca dans sa ceinture dans son dos et s'aventura dans le magasin.

Heureusement il faisait jours, elle économisait donc des piles de sa lampe de poche car la lumière du soleil rentrait par les vitrines bien que sales du magasin. "Tu trouve des truc cool ? Moi rien a part des piles qui ne marche peut-être même pas !"Dit elle tout haut en s'adressant a Conrad qui était dans un autre rayons. Visiblement le magasin était sûre, aucuns rôdeurs n'avaient répondut  a leurs appelle. Elle prennait donc la liberter de faire tout le bruit qu'elle voulait. Elle marchait dans un rayon en regardant tout, elle prennait de temps en temps des jouets qui marchaient avec des piles pour y prendre ces dernières, mais sinon il n'y avait rien de bien interessant.  Elle souri pourtant quand elle entra dans le rayon des peluches. Elle avait horreur des poupées, mais les peluches elle adorait cela. Oui elle avait un peu garder son ame d'enfant, si tant est qu'elle ai était enfant un jours. Elle attrapa un chiot en peluche et le regarda attendrit en souriant. Elle était train de se remémoré le jour où son père lui avait offert un chiot.  Un petit rottweiler royal mâle de trois mois. Elle en avait passé du temps avec ce petit chien qu'elle avait apeller Shoot. Enfin elle avait pas plus de six ans a l'époque, alors évidement elle était la plus heureuse des petite fille. Oui oui elle était heureuse d'avoir eu en cadeau un chien de combat. Il n'empêche que ce chien avait était son meilleur ami et son garde le plus éfficace.  Elle était figée, perdu dans ses penses carressant machinalement la peluche comme si ca avait était son chien, quand elle se rendit compte qu'elle n'entendait plus de bruit autour d'elle. Elle sortie de ses pensées pour regarde autour d'elle, il était arrivé quelque chose a Conrad ? Visiblement non, quand elle tourna la tête, elle le vit, a quelque metre d'elle en train de la regarder. Elle lui lanca la peluche dessus en riant   "Me regarde pas comme ca ! Ca ce fait pas d'espionner les filles!" Elle venait de lancer une bataille de peluches. Toute sorte d'animaux volait dans le rayons, certains touchait leurs cibles, d'autre non. Mais là a cette instant précie, Rebekah ce sentait bien. C'était comme une bouffé d'air frais, oui voila, Conrad était sa bouffé d'air frais dans ce monde devenue irrespirable. Elle oubliait tout le bordel du monde actuel, elle oubliait que c'était l'apocalypse dehors, car là dans ce magasin de jouet, elle retombait en enfance grace a Conrad.  Et en plus de cela, elle sourait et riait de bon coeur grace a lui.  Mais bon, bien sur comme toute les belles choses ont une fin, quelque chose les ramena vite sur terre. Ce fut des bruits de pas qui arrivait vers eux. Merde ils avaient attirés des rôdeurs en faisant du bruit ? Dans un sursaut, Reb se tourna en direction des bruits de pas tout en sortant le petit pistolet qu'elle avait trouver sous le comptoir.  Elle le pointa sur l'homme, vivant, d'une quarantaine d'année qui venait de sortir de nul part. En voyant l'arme pointée sur lui, l'homme, visiblement pas armé leva les mains en l'air. " Je... Je ne vous veux pas de mal. Vous...Vous pouvez baisser votre arme."  Elle plissa un peu les yeux, elle le fixait d'un air froid et dur. Elle était redevenue en quelques seconde la Rebekah froid et hautaine qu'elle était en public. Et bien sur elle ne baissa pas son arme, elle ne faisait vraiment pas confiance a cet homme. Pourquoi le ferait-elle d'ailleurs, elle ne le connaissait pas après tout.  L'homme regarda Conrad qui était derrière elle. "Mon..Monsieur, vous pouriez dire a votre femme de...De baisser son armes...Elle...Elle me fait un peu peur" La brune appuya lentement sur le chien de son pistolet quand elle entendit les paroles de l'homme. Sa femme ? Sans déconner, elle avait vraiment une gueule a être sa femme ?  L'homme courageux, se mit a avancer doucement les mains toujours en l'air " Vraiment je ne vous veux pas de mal...Vous savez on peut être civilisés... Nous sommes des adultes après tout non ?" La main de la brune se ressera un peu sur l'arme, elle était prete a tiré s'il tentait quoi que ce soit. Il continuait d'avancer en parlant " J'ai... J'ai une femme et des enfants...Dans... Dans une maison pas loin... Je vous est vue depuis la fênetre... Je venais vous... Vous proposer de nous rejoindre... Je ne vous veux vraiment pas de mal..."Il était maintenant très proche d'elle. " Vous savez...Je pense qu'une femme... Ne... Ne devrait pas avoir d'arme...." Il n'eu pas le temps de finir sa phrase que Rebekah lui mit un coup de crosses dans la tête pour l'assomer. Elle le regarda tomber d'un air hautain et se tourna vers Conrad "Il m'a enervée !" Dit elle d'un ton qui trahissait son aggacement "On va l'attacher...Et après on en fait quoi ? " Dit elle alors qu'elle venait de poser son sac, y sortir une paire de lacet et s'était accroupie a côté de l'homme a terre. Elle le tourna un peu pour prendre ses poignets et les attacher avec les lacets, puis elle lui attacha les chevilles ensemble. On est jamais trop prudent.
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMar 9 Fév - 9:25


Rebekah x Conrad
Are you kidding me ?!
Just one more time before I go, I'll let you know that all this time I've been afraid wouldn't let it show. Nobody can save me now, no.. Nobody can save me now. Stars are only visible in the darkness, fear is ever-changing and evolving, and I, I can poison the eyes, and I, I feel so alive. Nobody can save you now. The king is crowned. It's do or die! The only sound is the battle cry.

Je rigole un peu à la réplique de Rebekah. C’était sincère, et putain que ça me fait du bien. Ça avait été bref, et pas très exagéré, mais ça avait fait son effet. Pourtant lorsqu’elle glisse sa main sous le comptoir, je fronce les sourcils, mais je comprends finalement alors qu’elle en sort un pistolet. Ça, c’était plutôt futée, si j’avais été ici tout seul, je n’y aurais jamais pensé, je serais passé à côté comme un con. Je ne lui faisais peut-être pas tout à fait confiance, mais si je pensais uniquement à ma survie, ce que je ne faisais pas bien entendu, elle pourrait m’être vachement utile. Elle pensait à des choses qui ne me venaient pas en tête, très certainement à cause de ce qu’elle faisait avant pour gagner sa vie. Maintenant convaincu que le magasin était vide, je fais comme la brune et je m’aventure dans les rangées, ne la suivant pas comme un petit chien. Je ne pense même pas aux piles, puisque je n’avais rien dans lesquelles elles seraient utiles, et je ne traînais pas toute sorte de chose, je préférais m’en tenir au minimum. Je pensais que s’habituer à un certain confort c’était dangereux, en plus que lorsqu'il fallait fuir, c’était moins épuisant avec un sac comme le mien qu’un autre beaucoup trop remplis. C’est seulement lorsqu'elle m'en parle d’une autre rangée que j'y pense, mais comme je me trouvais dans une qui entreposait des trains, des lego et des petits soldats -d’ailleurs j’en prends un et le glisse dans ma poche discrètement sans pouvoir m'en empêcher- je ne pouvais pas vraiment en récupérer pour elle. Par la suite, je tombe dans la rangée des poupées et on pouvait facilement remarquer que Rebekah était passé par là, désordonnant les tablettes précédemment bien rangées. « Non, y’a pas grand-chose ! » C’est ce que je lui réponds, m’avançant vers une poupée par terre, le dos ouvert. « Hey ! Tu penses pas que ces vêtements, ça brûlerait bien? Après avoir fait le tour des magasins, on pourrait barricader la porte d’entrée, je n’ai pas vu de porte à l’arrière, et se faire un petit feu avec tout ça ? On serait bien ici pour la nuit non ? » Personne n’avait dit qu’on resterait aussi longtemps ensembles, on était censé piller les magasins tout les deux parce que c’était plus sûr comme ça, et c’est tout. Je proposais pourtant que cela dur un peu plus…

Arrivant à la dernière rangée, je surprends Rebekah, penchée au-dessus d’une peluche et semblant pensive. Je m’empêche de pouffer de rire face à cette scène, pour que celle-ci dur plus longtemps, mais elle finit par lever les yeux vers moi, me lançant le petit chien rembourrer qu’elle caressait avec attention quelques secondes plus tôt en pleine tronche. « Me regarde pas comme ça ! Ça ce fait pas d'espionner les filles ! » Impossible de ne pas répliquer en rigolant finalement, et bien entendu entre nous deux il n’y avait jamais personne qui voulait abandonner, même quand c’était qu’une stupide guerre de peluche. Tout en attrapant des animaux rembourrés et en l’assaillant, je m’avançais de plus en plus en rigolant et en me protégeant parfois pour éviter ces lancées, je m’apprêtais à l’attraper lorsqu'un bruit retentis dans le magasin de jouet, et on aurait bien dit que c’était la porte qui s’ouvrait. Les peluches tombent et ne s’envolent plus, on reprend tous les deux notre sérieux très rapidement. C’était peut-être rien, mais de nos jours un bruit sourd dans un endroit silencieux c’était très rarement une fausse peur. Je récupère ma hache que j’avais glissée au travers de ma ceinture, mais aucun grognement retentis, en plus qu’on dirait bien les pas d’une seule personne. Rebekah me fait ensuite sursauter et je fais tout comme elle, étant sur la défensive aux premiers abords, mais je baisse sensiblement ma garde lorsque je vois que c’est un homme bien en vie qui semble totalement inoffensif. La brune n’est visiblement pas de mon avis puisqu'elle le braque froidement et sans même ciller. J’en profite pour le regarder d’haut en bas pour vérifier s’il n’avait pas d’arme, après tout, c’est vrai que les survivants étaient parfois bien pire que les rôdeurs. « Mon..Monsieur, vous pourriez dire à votre femme de...De baisser son arme...Elle...Elle me fait un peu peur. » Je me retiens de pouffer de rire. Ma femme? Quand même… Il était drôle ce petit. Je remarque que Rebekah ne le prend pas aussi bien que moi, maintenant prête à tirer. Moi je trouvais ça plutôt marrant, surtout qu’il tremblait presque devant sa menace. Il avait raison d’ailleurs, ça ne m’étonnerais même pas qu’elle le flingue, en vrai ça m’étonnait qu’elle ne l’a pas déjà fait. Distrait, je n’ai donc pas le temps d’ajouter quoi que ce soit.

Je ne savais pas vraiment quoi penser ce cette homme, il pouvait très bien nous vouloir aucun mal, mais la scène était assez perturbante. Si quelqu'un voulait nous piéger, il agirait exactement de la même manière… Je lance un regard par-dessus mon épaule, juste pour être sûr qu’ils n’étaient pas plusieurs, alors que l’homme nous propose de le rejoindre. Je m’avance un peu plus et je glisse doucement le bout de mes doigts dans le dos de Rebekah. Il fallait qu’elle se détende un peu, quand même. S’il avait vraiment des enfants et une femme, je n’avais pas envie d’être responsable de sa mort. Moi qui allais gentiment décliner l’offre,  je suis pris de court par sa dernière réplique et la brune qui réagit rapidement en l’assommant à l’aide de la crosse de son arme. Je lève un peu les bras le long de mon corps, ouvrant légèrement la bouche en la regardant, surpris, ou peut-être plus comme un parent déçu devant une énième bêtise qu'aurait commis son enfant. « Reb.. ? » lâche-je sur un ton qui lui montre bien que je ne trouvais pas cela nécessaire. « Il m’a énervée ! » Je souffle et lève les yeux au ciel, alors qu’elle agit de nouveau rapidement et se met déjà à le ligoter. « Sans vouloir te vexer, c’est plutôt facile de t’énerver. » Je m’avance ensuite et lui attrape les poignets, l’éloignant de ce pauvre type. « Bordel, laisse-le ! En plus, maintenant que tu l’as assommé, on est obligé d’attendre qu’il se réveille et monter la garde. » J’allais certainement pas causer la mort d’un père de famille. Je souffle et m’installe sur le sol, le dos contre l’étagère et levant les yeux vers la brune. « Tu pensais faire quoi là, ou juste? Le ligoté, le faire brûler et qu’on se grille quelques guimauves au-dessus du feu? » Je lui demande un peu sarcastiquement, mais j’avoue que son agissement me fout un peu la trouille, et même si j’en avait un peu honte, ça m’impressionnait aussi en même temps. Je savais maintenant pourquoi elle avait survécu à tout ça, en tout cas, et surement très facilement en plus de ça. Je savais qu’elle avait déjà fait des trucs plus ou moins horrible, mais elle ne m’en parlait pas, je ne lui demandais pas, et je ne l’avais jamais vu. Le savoir c’était bien différent que de le voir. Pourtant, il y a à peine quelques minutes, on se disputait à coup de peluches… J’étais donc ambivalent. Est-ce que je connaissais réellement Rebekah?

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Dernière édition par Conrad Williamson le Ven 4 Aoû - 21:28, édité 2 fois
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeJeu 11 Fév - 15:15

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
Elle fut un peu surprise de la proposition du brun. Elle pensait qu'ils pilleraient les magasin ensemble par question de sécurité et une fois fait, chacun repartiraient de son côté. Mais visiblement Conrad voulait rester plus longtemps avec elle. Elle sourit quand elle entendit cela, même s'il ne pouvait pas la voir, elle lui répondit sans perdre ce sourire.   "Oui pourquoi pas. On trouvera surement pas mal de truc qui brûlerons." Après avoir répondu, elle partie dans ses pensées en caressant un chien en peluche. Elle en sortie néanmoins quand elle se senti observer par le beau brun. Ce qui lança une bataille de peluche entre les deux adultes.  Ils passaient un bon moment, ils retrouvaient leurs enfances. Elle le voyait se rapprocher vers elle a chaque lancer. Elle savait qu'il allait l'attraper, et elle savait comment  cela finirait quand il l'aurait attrapée. Elle se surprit a n'attendre que cela, être dans ses bras.  Mais comme toute les belle choses ont une fin, ce moment de complicité entre eux fut briser par la venue d'un homme pas armé  qui vint leurs proposer de venir avec lui et sa famille. Alors qu'elle le menaçait avec son arme, elle senti Conrad s'approcher et glisser une main dans son dos. Un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale. Enfin, elle fini par assommer l'homme qui l’énerva par ses propos sexiste et macho sur les femmes armée. Elle se senti obliger de se justifier, quand Conrad lui fit savoir de par son ton qu'il n'avait pas trouver cela nécessaire.  Elle fronça les sourcils quand il lui dit qu'il trouvait qu'il était facile de l’énerver. Mais comme lui au final, vue ce qu'il lui avait dit quelques heures plus tôt. Mais elle ne dit rien pour ne pas envenimé la situation. Elle se contenta d'un regard qui voulait tout dire. Elle était en train d'attacher l'homme par prévention pour quand il se réveillerait, quand l'ancien joueur de football américain vint la prendre par les poignets pour l'éloigner de l'homme au sol.  Le contact de la peau du brun contre la sienne la fit légèrement frémir. Comme souvent quand il la touchait en faite. C'était la raison pour laquelle elle évitait grandement d'avoir trop de contacte physique avec lui.  Elle posa les yeux sur lui quand il se mit a l'engueuler, puis elle dégagea violemment ses poignets de l'emprise de l'homme et  le regarda s'asseoir au sol. Quand il eu fini ses sarcasmes, elle le fusilla du regard et se mit a marcher.

Elle enjamba l'homme a terre et sorti du rayon, disparaissant ainsi de la vue du brun. Elle se dirigea vers la caisse, mais s'arrêta devant la porte. Elle se  mit a hésiter un instant a sortir, s'en aller, le laisser seul. A fuir, en somme. Un peu comme elle le faisait a chaque fois au final.  Elle ferma les yeux, prit une seconde pour peser le pour et le contre. Quand elle rouvrit ses grand yeux clair, elle secoua la tête et se dirigea vers la caisse.  Elle passa derrière comme elle l'avait fait pour chercher le pistolet, mais cette fois elle se mit a fouiller un peu plus en profondeur le comptoirs. Elle prit tout les papiers qu'elle trouvait et les mit dans la corbeille a papier qui était juste en dessous. En continuant a fouiller, elle trouva un lot de trois paquets de chips. Elle prit donc la corbeille plein de papier et les paquets de chips et retourna dans le rayon peluche. Elle posa la corbeille devant Conrad, prit un papier et grâce au briquet qu'elle avait dans sa poche, elle enflamma le papier avant de le laisser tomber dans la corbeille. Le feu prit très vite. Une fois fait, elle lança les paquets de chips a Conrad  "Désoler j'ai pas trouvée  de guimauve" Dit elle avec une très grande pointe de sarcasme dans la voix.  Elle ne lui laissa même pas le temps de répondre qu'elle se mit a faire les cent pas dans le rayons. Elle serrait et desserrait les poing de façon nerveuse, elle était a fleur de peau. Elle avait eu un gros coup de sang  face a cet homme, et avait beaucoup de mal a redescendre en pression. Et sans savoir pourquoi, être avec Conrad , avoir fait cela devant lui, avoir vue son regard après cela, ne l'aider pas du tout a retrouver on calme.  Quand elle passa devant lui, pendants un de ses aller retour nerveux dans le rayon,elle croisa son regard. Ce qui la fit s'arrêter. Elle lui tourna le dos et s'appuya des deux mains sur le rayon face a elle. Elle ferma les yeux, prit une grande inspiration  et lâcha   "Je te déçois pas  vrai ?" Elle se tourna face a lui "Tu t'y attendais pas hein ?" Elle soupira "Et ne dit pas le contraire, je le vois dans tes yeux. On a beau pas se voir souvent, je sais comment tu marche, je te connais..."Elle secoua la tête  " Pff, j'suis tellement conne, quand t'es là, je m'attendris. Je sais pas pourquoi.. Surement parce qu’inconsciemment j'essaye d'être celle que tu imagine que je suis... Sauf que je sais foutrement rien de comment tu m'imagine. Je sais pas, mais je suis prête a parier que t'es loin du compte." Elle se remit a marcher, toujours nerveuse. "Putain mais au final t'attend quoi de moi ? " Elle l’inonder de questions, il n'avait rien demander, et en plus elle ne lui laissait même pas le temps de répondre. Elle avait juste besoin d’évacuer. Rebekah était comme un volcan, elle gardait tout, absolument tout pour elle, bouillonnait, mais finissait toujours par exploser. Et faisait souvent des ravage, bien que ces ravages lui causait souvent plus de dommage a elle qu'aux autres.  Aujourd'hui, c'était Conrad qui subissait son explosion, la faute a pas de chance surement.  Son regard était passer de froid, glacial et énerver, a triste, angoisser et brillant a cause des larmes qui menaçait de déborder. Elle était en pleine montagne russe émotionnelle. Cette accumulation de tout avait fini par exploser, et tout ce que Conrad réveillait en elle était la goutte de trop. Après trois aller retour, elle s’arrêta a nouveau face a lui. Elle posa a nouveau son regard sur le grand brun. "Tu fais chier putain ! Ta vue dans quel état tu me met ?! Tu n'es certes pas totalement le responsable , mais grandement quand même. Avec toi je ressent des choses que je ressent pas normalement. Mais surtout que JE NE VEUX PAS ressentir. Ça m’énerve si tu savais comme ça me rend folle ! " Elle passa une main sur son visage, en grande partie pour essuyait les larmes qui commençait a couler, mais aussi comme si cela allait enlever ses émotions. C'était la deuxième fois qu'il voyait ses larmes et elle avait horreur de cela. Puis elle se remit a marcher. "A... Avant tout ça, j'avais prévue de revenir... De m'installer pour un ou deux ans a San Francisco..." Elle s'arrêta a nouveau, prit une peluche par terre, tira son couteau de chasse de sa ceinture et décapita l'ourson brun.  Elle  en sortie toute la mousse et alla la laisser tomber dans le feu qui commençait a s'éteindre.  Tout cela lui servait a marquer une pause. Comme cela il avait le temps de réfléchir a tout cela, et puis même de répondre si cela lui chantait.   Elle s'approcha de l'homme toujours inconscient et se mit a le détacher.  Elle se releva ensuite après avoir rangée ses lacet et le regarda. Elle l'avait finalement frapper plus fort qu'elle n'avait pensée. Puis elle regarda Conrad par dessus son épaule car elle lui faisait dos. "Tu aurais fais quoi toi ? " C'était une question a double sens, qu'il devait interpréter. Elle voulait parler de ce qu'il aurait fait, si elle était venue s'installer pour de  bon a San Francisco.  Mais comme elle était presque penchée au dessus de l'inconnue inconscient, suivant l'interprétation, il pourrait penser qu'elle parlait de ce qu'il aurait fait si elle ne l'avait pas frappé. Evidemment elle l'avait fait exprès. Et s'il savait lire entre les lignes, comme il fallait le faire a presque toutes les paroles de la brune, il comprendrait le sens de la question.
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 17 Fév - 23:17


Rebekah x Conrad
Are you kidding me ?!
Just one more time before I go, I'll let you know that all this time I've been afraid wouldn't let it show. Nobody can save me now, no.. Nobody can save me now. Stars are only visible in the darkness, fear is ever-changing and evolving, and I, I can poison the eyes, and I, I feel so alive. Nobody can save you now. The king is crowned. It's do or die! The only sound is the battle cry.

Je la fixais droit dans les yeux et mon regard n’avais rien d’accusateur, j’étais plus surpris qu’autre chose, perdu et un peu paniqué. Je ne me retrouvais jamais avec des gens comme Rebekah, quand j’en croisais je m’éclipsais toujours. Ces gens me rendaient parano, je me sentais tout de suite stupide d’agir avec autant de bonté et d’héroïsme, mais je ne pourrais pas faire autrement. Je ne pouvais pas me dire que tout le monde autour de moi était mauvais, ça me briserais je le savais. Pourtant à mes yeux Rebekah était différente… Rebekah changeait tout. Elle avait toujours été l’exception à la règle, enfin, depuis notre première nuit ensembles. C’était tellement plus simple avant, quand on n’avait pas à se poser des questions, qu’on se contentait de se détester et puis c’est tout. Elle brise notre contact visuelle et pique vers l’entrée, ça ne me prend pas plus pour me lever à la halte et la suivre. « Reb ! » Je ne voulais pas qu’elle parte, pas tout de suite, on venait tout juste de se retrouver, et aujourd’hui je ne pouvais plus être sûr qu’on se reverrait, qu’elle reviendrait. Avant je ne la retenais pas, je n’avais même pas le temps de le faire, elle s’en assurait, sauf qu’avant je savais qu’elle repasserait, dans quelques semaines ou dans quelques mois, mais tout avait changé maintenant. Elle s’arrête devant la porte quelques secondes, j’espérais que ça avait fait son effet, ce n’était pas grand-chose, mais on avait pas besoin de mots pour se comprendre, mon ton avait tout dis, ça avait été presque un cri à l’aide, je l’avais presque supplié. Mon expression change pourtant radicalement lorsqu’elle tourne les talons vers la caisse et se met à chercher je-ne-sais quoi. Je ne tarde pas à le savoir puisqu’une corbeille tombe à mes pieds et elle y met le feu, assez violemment, ça me fait même un peu sursauter. Je devrais m’attendre à de telles réactions de la part de la brune, depuis le temps, mais je ne m’y habitue pas. Je n’ai pas le temps de réagir plus que ça qu’elle me lance un petit paquet de chips dans les mains, ça aussi sa me surprend, de sorte à ce que je jongle un peu avec le sac avant que je ne le stabilise totalement entre mes mains. « Désolé j'ai pas trouvée de guimauve. » Je roule alors des yeux, comprenant enfin pourquoi elle avait fait tout ça. Bon, c’était déjà mieux que de partir, de toute façon ce n’était pas la première fois que j’endurais son caractère, je n’allais pas en mourir. Je décide de m’asseoir à nouveau et d’ouvrir le paquet de chips, j’imaginais qu’elles ne seraient pas très délicieuses, mais tant pis. Je voyais bien au travers de ces gestes qu’elle fulminait, et que ce n’était pas le moment de dire ou faire quoi que ce soit. Je ne suis pas stupide, ou suicidaire.

J’attends donc patiemment qu’elle explose, habituer à ce genre de comportement, tout en grignotant quelques chips qui avaient perdues de leurs goûts, j’imaginais par contre qu’elles seraient nourrissantes, enfin je l’espérais. J’étais donc maintenant concentré, à la lecture des petits caractères derrière mon sac lorsqu'elle me fait à nouveau sursauter. Elle serait un jour à l’origine de ma mort ça c’est certain. Je pose une main sur ma poitrine et lève les yeux vers elle. J’ouvre la bouche plusieurs fois pour répondre mais elle était partie dans un monologue et ne me laissais pas placer un seul mot. J’avoue que pour le coup je ne savais pas quoi répondre et en vrai je ne pensais pas qu’elle cherchait une quelconque réponse de ma part. Mon regard s’égare un peu partout, j’essaye d’articuler quelque chose de concret, gesticulant comme si ça m’aiderait à rassembler mes idées, mais finalement j’abandonne et glisse une nouvelle croustille dans ma bouche, la fixant alors qu’elle se remettait à faire les cents pas. Elle revient finalement vers moi et je me sens un peu mal de voir que ces yeux sont remplis d’eau, même si je me savais pas tout à fait fautif, ma réaction n’avais été que la goutte qui avait fait débordé le vase, elle le disait elle-même d’ailleurs. Vu comment elle agissait depuis qu’on était ensembles, elle avait dû agir, pendant un long moment, si ce n’est pas depuis le début, comme si tout ça, les rôdeurs et l’apocalypse imminente, n’avait rien d’important, que ça ne changeait pas grand-chose au final. Alors bien entendu à un moment ou à un autre ça devait sortir, tout simplement. J’aurais pu me lever, essuyer ces larmes et la rassurer, mais elle ne m’aurait surement pas laissé faire, beaucoup trop remontée pour ça. Bon, maintenant je cherchais sérieusement quelque chose d’intelligent à lui répondre, sauf qu’encore une fois elle ne m’en laisse pas le temps. Je n’avais jamais vraiment été rapide, il me fallait toujours quelques secondes pour rassemblés mes idées, c’était notamment la cause de mes notes médiocres dans le passé, j’avais toujours eut un trouble de l’attention, elle ne m’aidait pas du tout là.

Elle réoriente bien vite et complètement mes pensées, je reste sans voix, choqué. Pardon ? C’est surement ce que j’aurais lâché si je ne savais pas pertinemment qu’elle le prendrait mal. Je fixe le sol un moment, presque la bouche ouverte, et lorsque je tourne les yeux vers Rebekah elle éventrait un pauvre ourson. Je retrousse le nez et frisonne légèrement, elle voulait définitivement me foutre la trouille ou quoi? Je regarde les petites mousses qu’elle laisse tomber dans le feu quelques secondes avant de lever les yeux vers la brune, posant mon sac sur l’étagère. « Tu m’avais pas dit ça… » C’était peu dire. Elle n’avait jamais exprimé un besoin de stabilité, j’avais toujours cru qu’elle aimait se promener un peu partout, seulement passé en coup de vent. Je ne savais même pas si ce qu’elle venait de dire voulait dire autre chose en même temps, quelque chose de camouflé. C’était bien son style, mais de peur de me prendre un de ses râteaux du siècle je préfère me taire. En même temps, je ne savais pas comment j’aurais réagi si elle avait demandé quelque chose de sérieux, je ne pensais pas que c’était son genre, et si ce l’était je ne pensais pas qu’elle aurait voulu cela avec moi. Je ne savais même pas si moi je le voulais, je ne savais pas du tout ce que je ressentais exactement pour Rebekah, je préférais ne pas le savoir, en vrai. Peut-être parce que je ne voulais pas être celui qui tient un peu trop à l’autre, même si, sans me l’avouer, je pensais l’être. « Pourquoi ? Tu voulais prendre une pause ? T’aurais repris la baraque de ton père ? » Tant qu’à parler à l’aide de sous-entendu, ne le faisons pas à moitié. Je savais que c’était le meilleur moyens pour obtenir des réponses, sans ça, elle se renfermerait et m’aurais très certainement envoyé balader. Un peu irritable, la femme. Il fallait toujours être vigilant, j’avais toujours été patient, peut-être qu’aujourd’hui j’en aurais un peu moins, de patience, mais ce n’est pas pour autant que je ne ferais pas attention à elle.

La voyant se pencher au-dessus de l’homme pour le détacher, je m’avance et l’arrête en posant mes mains contre les siennes. « Nah, c’est plus prudent. Tu l’as assommé il ne sera surement pas aussi amical qu’au début… » Je le pousse et l’assoit contre l’étagère, par respect, et je vérifie rapidement sa tête. Il aura un gros bleu, peut-être même une bosse, mais elle ne l’avait pas fendue, au moins ça… « Tu aurais fais quoi toi ? » Je fronce légèrement les sourcils et je prends un petit moment avant de réagir et de tourner le regard vers elle. Je ne suis pas sur du sens de sa question mais je décide de m’aventurer sur le chemin ne moins sinueux. « Bah premièrement je ne l’aurais pas cogner… Mais c’est pas grave. » Je lui souris un peu, je ne voulais pas qu’elle croit que je la prenais pour un monstre, c’était pas grand-chose de toute façon, je savais qu’elle était capable de bien pire, qu’elle avait fait bien pire. Sauf que je comprenais qu’elle pouvait être méfiante, pourtant, bien que je m’inquiète un peu pour elle, je savais qu’elle était capable de s’occuper d’elle-même, de se défendre. Je me pousse de l’homme. « Il était pas armé, le pire qu’il aurait pu faire c’est essayer de s’en prendre à nous à mains nues, et t’aurais facilement put l’assommer du coup, il est pas très gros. On aurait pu juste décliner son offre... » Je reste calme et j’essaye du mieux que je peux pour qu’elle ne se sente pas juger, puisque ce n’est pas ce que je faisais. Je ne l’avais jamais fait, je ne lui avais jamais posé de questions, j’avais jamais essayé de la changer. J’avais toujours accepté ces mauvais côtés, j’endurais ces crises et ces blagues, je lui laissais sa liberté et je ne lui demandais rien, jamais. J’attrape sa main, d’une façon assez amicale, même si rien n’avais jamais été vraiment amicale entre nous, même si n’y elle, n’y moi ne se l’avouait. « Ça ira de toute façon. On est ensembles maintenant. » Encore des sous-entendus, c’était un peu notre façon à nous de marcher. Je savais qu’elle partirait encore, elle le faisait toujours, mais pour une fois je lui montrais que j’appréciais sa présence et que j’étais d’accord si elle décidait de rester. Je lui disais aussi en même temps qu’elle n’avait plus à être aussi méfiante, qu’elle n’avait plus à être seule, que je pouvais être là et assurer ses arrières. Restait plus qu’à voir ce qu’elle ferrait de mes aveux, comment elle les prendrait.

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeVen 26 Fév - 9:08

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
Elle était devant la porte, prête a partir, a le laisser seul, encore une fois. Prête a fuir, comme d'habitude. Et lui la regardait, elle le savait, elle sentait son regard sur elle. Son cerveau marchait a cent a l'heure, elle hésitait, pesait le pour et le contre. Il ne suffit a Conrad que de prononcer son nom, un simple "Reb" avait suffit a faire frisonner tout le corps de la brune aux yeux vert. Elle ne s'y attendait pas, elle ne savait pas qu'il allait vouloir la retenir. Elle avait crut qu'au contraire, il ne voudrait pas de sa présence, après tout. Il le lui avait dit quand ils étaient encore dans la forêt. Ces mots lui trottait encore dans la tête. Et maintenant qu'elle avait assommer ce pauvre gars, il était choqué et en colère, elle le savait. Elle l'avait vue dans ses yeux.  Ce simple prénom, prononcer comme un appelle a l'aide en quelque sorte, avait suffit a réveiller des envie très contradictoire en Reb. Elle avait envie de fuir, de partir loin de lui. Tant il lui faisait peur, a cause de tout ce qu'elle pouvait ressentir quand il la regardait, la touchait, lui parlait, lui souriait. Tout ce qu'elle pouvait ressentir quand, comme toujours ils finissait par s'envoyer en l'air. Tout cela lui faisait peur, tellement peur qu'elle fuyait a chaque fois. Et en même temps, ces simple paroles avait suffit  a lui donner envie de rester encore avec lui. Après tout, elle ne savait pas si quand elle serait partie, elle le reverrait un jour. C'était peut-être la dernière fois qu'ils se voyait. L'un d'eux allait peut être mourir en passant cette porte. Elle ferma les yeux un instant et se donna une claque mental pour prendre son courage a deux main et rester. Profité un peu de l'instant présent. Il faut dire qu'être seule tout le temps commençait a la peser un peu. Elle n'aurait peut-être pas du tuer Tony...Enfin le temps n'était pas au regret. Elle regretterait toute les choses affreuses qu'elle avait put faire quand elle serait morte.  Elle se détourna donc de la porte et alla prendre de quoi faire du feu derrière le comptoir. Et avec en prime des paquets de chips. Après avoir allumer le feu face a Conrad et lui avoir presque balancer a la figure un paquet de chips et poser les autres sur une étagère, elle se mit a fulminer en faisant les cents pas. Il devait très bien savoir qu'elle fulminait, ce qui expliquait surement le fait qu'il était si silencieux, qu'il se contentait de manger des chips sans rien dire.  Après tout, il la connaissait quand même bien, et elle le connaissait aussi bien. Ils se connaissaient plus qu'ils ne le pensait. Conrad lisait en Reb presque comme dans un livre ouvert, ce qui avait le dont de la rendre folle d'ailleurs. Elle ne savait pas trop ce qu'elle avait comme relation avec Conrad. Elle ne savait pas vraiment quel était la place du beau quaterback dans sa vie, tout ce qu'elle savait c'est qu'il était très important pour elle. Qu'il était un peu son premier tout. Le premier homme qu'elle avait  embrassée, le premier avec qui elle avait couchée de façon consentante, le premier a avoir fait vraiment attention a elle. Il était beaucoup de première fois pour elle, il lui avait fait découvrir beaucoup de choses. Et même si elle ne savait pas qui il était vraiment pour elle, même si elle savait qu'il ne savait pas qui elle était vraiment, qu'il n'avait aucune idées de toutes les choses mauvaise qu'elle avait fait, jamais, au grand jamais elle ne pourrait lui faire de mal.  Elle pouvait pointer une arme sur lui, elle pouvait le menacer, mais jamais elle ne passerait a l'acte. Jamais elle ne le blesserait, ou du moins physiquement.  Et après lui avoir fait un monologue, assez... Violent, auquel elle aurait aimé une réponse, et en même temps n'en voulait pas. Elle lui fit un aveux qui sembla le surprendre.  Et oui, l'apocalypse avait commencer, quand la brune avait eu envie d'un peu de stabilité. Quand elle avait envie de se poser pendant quelque temps. Sa folle vie  de débauche, avait fini par la lasser et la fatiguer. Elle n'en avait pas était au point d'imaginer quelque chose de sérieux avec quelqu'un. Elle avait juste penser a ce poser, prendre un peu de temps pour elle. Comme si le fait d'avoir eu ce projet avait provoquer l'apocalypse. En faite, c'était encore quelque chose qui lui faisait dire, qu'elle n'avait pas le droit a une happy ending. Que le bonheur lui était interdit et qu'elle serait toute sa vie en vadrouille sans but. Toujours en danger, toujours a faire des choses horrible pour survivre. Qu'elle était et resterait quelqu'un de très peu fréquentable. Un monstre peut-être même, comme certaine personnes avait aimés a la qualifié parfois.  Elle était en train de s'approcher de l'homme a terre, quand il lui posa une question qui la fit se stopper net. Elle n'y avait en réalité pas vraiment réfléchit. Reprendre la maison de son père. Cette maison où elle avait grandi, ou elle avait passer 95% de son temps jusqu’à ses 15 ans. Ce manoir a la fois, beau mais aussi sinistre et lugubre. Cette maison qu'elle aimait autant qu'elle la détestait. Elle haussa les épaules   "Je sais pas si j'aurais repris le manoir...Ou si j'aurais essayer de le vendre... J'avais pas réfléchit a cela...Mais oui...J'avais besoin d'une petite pause... D'un peu de...Stabilité. " Sa dernière phrase était a la fois simple a comprendre, mais aussi pleine de sous-entendu. De toute façon ils avaient l'habitude de ces conversations remplis a outrance de sous-entendu, et qui n'était même peut-être jamais vraiment compris par l'autre. Après tout, elle n'était pas dans la tête du brun, elle ne savait pas ce qu'il comprendrait dans cette phrase.  Puis elle alla commencer a détacher l'homme qu'elle avait assommé. Mais chose surprenante, Conrad l'arrêta en lui disant que c'était plus prudent de le laisser attacher car il ne serait peut-être pas si sympa après avoir était assommé. Et sans aucune surprise, il répondit complètement de travers a sa question. Elle se fichait totalement de savoir qu'il n'aurait pas assommé l'homme, elle le savait. Elle savait que le brun était un gentil, qu'il aurait juste dit non a l'offre de l'homme et voila. Et que s'il avait était attaqué, il aurait tout fait pour réglé cela sans faire trop de blesser. Alors qu'au contraire, Reb elle aurait tuer tout ce qui bouge si elle avait était attaquée. Ils étaient tellement différent et si complémentaire. Conrad était plus réfléchit alors que Reb fonçait dans le tas se fichant pas mal des conséquences. Elle le regarda donc asseoir l'homme contre une étagère et regarder si elle ne l'avait pas blessé. En roulant des yeux, mais restant silencieuse. D'un côté elle était un peu déçut qu'il réponde pas vraiment a sa question.   Mais une part d'elle était aussi soulagée, après tout, elle avait eu un peu peur de sa réponse. Lui n'avait surement pas envie de stabilité, enfin pas avec elle du moins. Peut-être que le fait que Reb ne soit qu'un courant d'air dans sa vie lui allait très bien. Il devait avoir prit l'habitude qu'elle vienne avec la lune et parte avec le soleil. Elle ne lui avait jamais laisser l'occasion de la retenir de toute façon. Une fois, elle était rester un peu plus longtemps, car elle s'était endormie et du coup avait pris le petit déjeuner avec lui. Elle s'en souvenait, il avait eu l'air surpris de la voir arrivé dans la cuisine avec un de ses tee-shirt. Elle avait souri amuser de le voir la regarder s'installer a côté de lui, comme si de rien était et même de lui prendre sa tartine sans rien dire. Enfin, quand le brun avait était sous la douche, elle en avait profité pour s'habiller et filer en douce. Elle était en train de se souvenir de cela, quand le grand brun se planta face a elle et attrapa sa main. Elle fut surprise de ce geste si... Amical ? Non, jamais ils n'y avait rien eu d'amical entre eux. Entre eux c'était soit ils se déteste, soit ils se comportent comme des gamins, tout ou rien. Aucun n'avait le cran d'essayer de mettre un mot sur ce qu'ils ressentaient pour l'autre. Elle le regarda avec de grand yeux quand il lui dit que comme ils étaient ensemble, tout irait bien. Un sous entendu, qu'elle ne voulait pas essayer d'interprété, par peur encore une fois. Elle lui fit un sourire amuser et rit même "Ta les mains pleine de chips ! " Elle le regarda tendrement, en glissant ses doigts entre ceux du brun. Quand le silence s'installa entre eux, il fut encore une fois briser par l'homme qui venait de se réveiller " Oh la vache... Vous avez une sacré droite madame." Ce qui eu le mérite de faire sursauter la brune. Elle tourna un peu la tête pour le regarder et grimaça en voyant le quarantenaire sourire. "Vous êtes adorables tout les deux. Vous êtes ensemble depuis longtemps ?" La brune regarda a nouveau Conrad   "Il me donne encore envie de le frapper !" Lâcha t elle d'un ton sec en lâchant violemment la main du grand brun.  Puis elle se tourna vers l'homme, lui détacha les main sans même le regarder et lui tendis une bouteille d'eau."On va pas venir avec vous et votre famille. Et vous ne devriez pas proposer cela a n'importe qui." L'homme souri et d'un geste refusa l'eau " Un jeune couple ne va pas nous faire de mal." Rebekah leva les yeux au ciel et regarda Conrad. "Tu vois un jeune couple quelque part toi ?" L'homme se releva et regarda la brune surpris "Oh vous n'êtes pas..." "Non"Répondit la brune sèchement d'un ton qui trahissait son manque de patience.  L'homme rit doucement "Oh j'ai crut. Vous feriez un beau couple pourtant." La grande brune retourna ver son ami d'enfance et se mit presque dans ses bras "Retien moi j'ai envie de le tuer là."Marmonnat- elle entre ses dents en posant son front sur l'épaule du brun.
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeSam 5 Mar - 1:02


Rebekah x Conrad
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Je ne sais pas pourquoi on faisait toujours ça ; parler en ne faisant que sous-entendre. À la fin, je ne savais même pas si on finissait par vraiment se comprendre. Certes, je connaissais Rebekah, je pouvais souvent prédire ces réactions, comprendre ce qu’elle voulait, ce qu’elle ressentait ou ce qu’elle avait besoin d’entendre, mais Reb était une femme, et une femme puissance dix. En plus d’être plus que compliquée, elle ne disait jamais rien de vraiment concret sur elle ou sur ce qu’elle pensait -voilà pourquoi cela m’a autant étonné lorsqu’elle m’a confié qu’elle désirait s’installer à San Francisco un instant, avant que tout cela ne nous tombe dessus. Il fallait toujours deviner, au final. Bien qu’avec les années je m’y étais habitué et amélioré -enfin je l’espère- il m’arrivait de me tromper sur ses intentions, ou de ne pas capter. C’est pourquoi je me perds quelques secondes dans mes pensées face à sa réponse. Elle dit qu’elle n’y avait pas pensée, alors peut-être qu’elle voulait dire que le manoir n’était pas du tout dans ces projets, que c’était autre chose qu’elle avait prévu, pour San Francisco et cette stabilité. Je m’empêche de sourire, puisque ça serait être pire que faible, en plus que ça casserait le petit jeu qui s’était installé entre nous, soit, prétendre avoir une conversation normal sur un sujet qui n’est pas du tout le centre de la conversation, en réalité. On parlait presque à l’aide d’un code, ce qui exclut qui quiconque essayerait de se taper l’incruste ou de comprendre ce qu’on racontait. Après tout, même nous, on devait s’y perdre un peu à la fin, je n’imagine donc absolument pas quelqu’un d’autre s’y retrouver, personne n’avait jamais vraiment compris ce qu’on partageait, tous les deux, on ne le comprenait pas nous-même. « Tu aurais pu te faire un sacré paquet d’argent avec cette baraque, en même temps... J’sais pas, t’aurais pu te trouver un endroit bien sympa, surtout si tu as les poches pleines et re-pleines. Quelque part où ça serait ton chez toi tu vois. Pas trop grand sinon c’est vide, genre juste assez pour deux personnes. » Je commençais sérieusement à m’emmêler les pinceaux. Je passe une main sur ma nuque et la sert. « Comme ça tu pourrais avoir un chat. » Je rajoute cela en grimaçant, je m’étais un peu foiré en voulant en dire un peu trop, et le pire c’est qu’en essayant de me rattraper je faisais encore plus un débile de moi-même…

Je l’avais arrêté puisque après tout, vu comment Reb l’avait assommé, je ne l’imaginais pas se réveiller du bon pied, et vu sa réaction face à l’homme je me sentais plus méfiant aussi, je pensais au pire des scénarios alors que j’avais l’habitude de le chasser de mon esprit et avec raison. Elle me rappelait qu’il y avait des gens mauvais, que la plupart des humains qui avaient survécu étaient mauvais, en fin de compte, alors je devais faire un effort supplémentaire pour rester optimiste, voir le monde et les choses du bon côté. Voilà qu’elle enlaçait nos doigts et que ce geste, que j’espérais être plutôt amicale même si il ne l’était pas totalement, n’avait plus aucune chance de l’être, maintenant. Je soutiens son regard et doucement, je me mets à me sentir légèrement mal à l’aise, mais je n’osais pas retirer ma main pour autant. Une chance que Rebekah était toujours là pour s’assurer que rien ne bascule trop vers le romantisme ou la douceur ; elle avait toujours eut la réplique qui cassait tout. Je souris et me détend lorsqu’elle se plaint de mes mains pleines de chips. D’ailleurs, ce n’étais pas vraiment la réponse que j'aurais voulu, mais je ne pouvais pas m’attendre à plus de sa part, ça ne m’étonnais pas du tout qu’elle ait changé de sujet et peut-être que c’était pour le mieux, après tout. J’avais toujours été plutôt doué avec les femmes, cela dut à des années de pratique et de conquêtes, mais avec la brune je n’osais pas vraiment, de plus qu’elle ne se laissait pas facilement faire, t’avais plus de chance qu’elle te casse le nez qu’autre chose -ouais, parce que Rebekah ne se contentais pas d’une bonne vieille claque, c’était trop facile, presque inoffensif, trop doux. J’avais eu mon lot de grosses claques, adolescent d'ailleurs, alors j’avais finis par apprendre à les éviter, enfin, la plupart du temps, avec Rebekah en tout cas, je mettais souvent fait rembarrer. Il ne fallait pas que je sois trop gentil, mais pas trop méchant non plus, n’y trop romantique ou trop macho. En bref, c’était beaucoup trop compliqué pour les minces capacités intellectuelles dont je disposais, alors la plupart du temps c’était juste beaucoup plus simple et sûr que je ferme tout simplement ma gueule.

Le pauvre homme décide de se réveillé à ce moment précis, décidément il avait le don, tout comme Rebekah, de tout gâché. Il arrivait aux mauvais moments et en plus, on aurait dit qu’il était né pour énerver la brune -bien que beaucoup de gens me donnait cette impression. N’empêche que sa réplique me fait sourire en coin, comme si j’étais fier, alors que je ne vois pas pourquoi je le serais, c’était elle qu’il avait complimenté. Je secoue la tête un peu perturbé. « Vous êtes adorables tous les deux. Vous êtes ensemble depuis longtemps ? » Cette fois, j’hausse un sourcil. Rebekah me repousse assez brutalement mais je n’en fais pas tout un plat, ce n’était pas la première fois qu’un moment plutôt tendre se terminait ainsi, surtout quand on n’était pas seuls, sinon c’était quand je disais une connerie -enfin, une connerie pour elle c’était des mots un peu trop gentils, qui rendait le moment trop niais à son goût. De toute façon ça valait la peine des dires, même si la plupart du temps ça m’échappait, puisque si elle pétait sa coche au début, très souvent on repartait de plus belle.

Je ne peux m’empêcher de rigoler vu la suite des événements, il n’était pas très vite et bientôt il recevrait un nouveau coup sur la tête, si ça continuait. J’observe en silence Rebekah s’énerver et tenter de se contrôler pour ne pas lui sauter à la gorge, c’était plutôt hilarant comme scène. « Oh j'ai cru. Vous feriez un beau couple pourtant. » Ça, j’en doutais. On serait surtout, la plupart du temps, en train de se chamailler comme des gamins et cela me faisait me demander si ça pourrais être tout bonnement possible, un couple, enfin peut-être, mais on sait tous comment ça finirait : en meurtre. Je rigole un peu à nouveau, vu l’image que j’avais maintenant en tête. La brune me rejoint et je la laisse faire, l’entourant d’un de mes bras d’une façon assez naturel, ayant retrouvé un petit sourire joueur. « Ça va, ça va. » Je tapote doucement son dos. « L’idée passera. Retiens ton envie de gerber, on n’a pas de la bouffe à profusion. » Je lève ensuite mes yeux vers l’homme, je pense plus sécuritaire d’erroner un peu la vérité, au cas où. « On a pas prévu de resté ici, on doit repartir, on a un campement plus loin, merci quand même mais ça ira. » Inutile qu’il sache qu’on restait ici pour la nuit, même si je ne savais pas si la brune le voulait toujours, peut-être que même si j’avais mentis elle voudrait qu’on bouge. L’homme s’avance un peu. « Un grand campement ? » Il n’aimait pas se faire dire non, apparemment. C’était soit ça, soit il n’était carrément pas très clean. « Non, rien que nous deux, et on tient à le rester. Bonne chance avec votre famille. » Je souris un peu, par politesse, même si je ne lui souhaitais pas, n’y à lui, n’y à ses enfants ou sa femme de finir entre les mâchoires d’un rôdeur, c’était une fin atroce. « Vous devriez retourner au près d’eux, vous êtes rester inconscient une bonne dizaine de minute, ils doivent s’inquiéter, et on doit se remettre en route. » J’espère qu’il n’insistera pas d’avantage, je ne savais plus comment lui dire non poliment, sans ça. Ça me faisait un peu étrange de décliner, d’ailleurs. Depuis le début je faisais tout ce que je pouvais pour être le moins longtemps possible avec moi-même, mais comme j’avais retrouvé Rebekah, c’était problème résolu. Enfin, pour un ou deux jours, voir une semaine si j’ai de la chance, mais d’après-moi elle en profitera pour filer dès cette nuit lorsque que je m’endormirais, en plus qu’elle savait pertinemment que j'étais un grand dormeur, et que je dormais dur aussi, au nombre de fois qu’elle était partie en douce pendant que je roupillais, elle a eu amplement le temps de remarquer qu’il fallait carrément se mettre à lancer des trucs sur les murs pour me déranger dans mon sommeil, même si me foutre une assiette de crêpe sous le nez marchait tout aussi bien. Cela dit, ce n’était vraiment pas, alors là vraiment pas son genre de me faire ce petit plaisir, et si elle l’aurait fait j’avoue que je ne sais pas si j’aurais oser goûter au petit plats -elle avait une imagination débordante et qui sait ce qu’elle aurait pu mettre dans le mélange pour se foutre de ma gueule…

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 16 Mar - 19:20

Are you kidding to me ?! × ft. Conrad & Rebekah
"juste assez pour deux personne" a ces mots la grande brune releva la tête et regarda le brun un peu surprise. Serai-ce un lapsus révélateur ? Elle souri quand il essaya de se rattraper. Elle adorait quand il faisait ce genre de chose, il avait l'air encore plus benêt que normalement et cela lui donnait un air mignon. Ca avait le dont de la faire rire en général. Elle pencha un peu la tête " Mais t'en fait pas, j'avais pas besoin de vendre la maison où j'ai grandi pour avoir les poches pleine et re-pleine. J'était péter de tunes mon p'tit" Dit elle en riant. Même si dire cela la rendit un peu mélancolique.  Elle aurait presque put sortir le fameux "c'était le bon vieux temps" que sortait avant toute les personne âgées en repensant a un bon souvenir de leurs jeunesse passé.  Mais bon, le temps n'était pas a la mélancolie. " Pourquoi j'aurais prit un chat ? J'aurais put aussi prendre un chiens.. Un poisson rouge, un oiseau, un rat... Ou un furet ! Mieux! Un mec !" Dit elle avec un sourire malicieux. Elle avait dit cela juste pour l'embêter. Il était certain qu'elle n'aurait pas prit un mec...Ou du moins pas n'importe lequel.  Elle avait eu beaucoup d'amant, mais ce n'était jamais le premier venue ou n'importe qui. Non, tous lui avait fait la court, avait gagner le droit de l'avoir. Même si aucun n'avait eu le droit de l'avoir très longtemps. Elle avait se défaut de très vite se lasser des personnes. Enfin du moins elle s'était lassé de tous ces amants jusque là. Il n'y avait que d'une personne jusqu'ici dont elle ne s'était pas encore lassé en tant qu'amant... Lui. Bon jamais elle ne lui avouerait, mais peut-être qu'il l'avait comprit par lui même. Même si elle en doutait fortement. Leurs conversation pleine de sous-entendu laissa la place a un moment de tendresse. Bien sur, Rebekah avait part une réplique assez...Décaler par rapport a tout cela, empêcher les deux jeunes gens de tomber dans le romantisme niai. Enfin, même si elle avait empêcher que trop de douceur ne s'installe entre eux, ils partagèrent quand même un moment de complicité, jusqu’à ce que le quarantenaire ne se réveille.  Et comme lors de sa venue ne gâche tout. De plus, il énerva a nouveau Rebekah, qui pourtant avait réussi a se calmer. Décidément, cet homme n'était vraiment pas fait pour être enfermer dans la même pièce que Rebekah.  Elle fini par se mettre dans les bras de Conrad pour essaye de se calmer. Elle ferma les yeux quand elle senti le bras du brun se poser dans son dos de la façon la plus naturelle du monde.  Elle rester là contre lui, l'écoutant décliner l'offre de l'homme. D'ailleurs elle fut surprise de l'entendre refuser et même mentir. Le gentil Conrad aurait il un côté rebelle ?  Et même si cela lui aurait plus de rester indéfiniment dans les bras du quaterback, la brune fini par se décoller de lui quand elle entendit l'homme se relever. "Très bien...Dans ce cas je vais comme vous le dites retourner avec ma femme et mes enfants...Avant qu'ils ne s'inquiètes. J'espère que vous ferais bonne route." La brune regarda un instant Conrad avant de se tourner vers l'homme "Je vous raccompagne. Vous n'êtes pas armé, ça peut être dangereux de se promener dehors seul et sans arme." L'homme la regarda surpris. Et elle était prête a parier que le brun derrière elle aussi la regardait surpris. Quand l'homme ouvrit la bouche elle passa devant lui. "Vous inquiétez pas pour moi, j'ai une sacré droite, vous l'avez dit vous même." Dit elle en sortant le 8 coup qui était coincé dans sa ceinture. Elle se tourna et le tendi a l'homme"Vous savez tiré?" Le quarantenaire pris l'arme un peu surpris et hocha la tête" Et.. Et vous vous n'en avez pas ?"Rebekah sortie son magnum de son holster et tourna les talon sans prendre le temps de répondre a cette question stupide. Elle s'arrêta devant la porte avec l'homme sur ses talon, elle tourna la tête pour regarder son ami par dessus son épaule. Elle lui fit un grand sourire avant de lâcher"J'en aurais pas pour longtemps. Fouille pas dans mes affaires. Et mange pas toutes les chips !" Un fois dit, elle regarda l'homme qui d'un signe de la tête lui dit qu'il était prêt. "Ce ne sera pas long, on est a la maison juste a côté de l'église au bout de la rue." Rebekah hocha la tête et doucement elle ouvrit la porte pour essaye de faire le moins de bruit possible. Même s'ils n'avaient pas croiser de morts en arrivant ici, ce n'était pas impossible que depuis quelque uns soit venue se perdent par ici.  En sortant du magasin son arme a bout de bras, prés a tiré elle regarda si la voix était libre avant de faire signe a l'homme qu'il pouvait la suivre. Elle regarda a nouveau le brun par la vitrine, lui fit a nouveau un sourire, lui promettant silencieusement de revenir. Elle comptait bien revenir et passer la soirée dans ce magasin de jouet avec lui. Elle marchait dans la rue, un peu devant l'homme qui semblait détendue. Rebekah elle ne l'était pas du tout. Elle avait un très mauvais présentiment. "On est pas loin" La brune le regarda et soupira "Moins fort s'il vous plait... On est jamais trop sûre" L'homme rit"Allons, ici c'est sûre, nous vivons ici depuis le début moi et ma famille" La brune leva les yeux aux ciel, super, elle était tomber sur le type qui n'avait aucune  idée du monde dans lequel il vivait maintenant. Enfin elle aurait dû s'en douter quand il avait dit ne pas être armé, ou quand il avait dit naïvement qu'un jeune couple ne pouvait être qu’inoffensif. Elle commençait a regretter d'avoir décider de le  raccompagner. Bizarrement, ils ne croisèrent pas un seule cadavre ambulants. Ce qui inquiétaient fortement la brune.  "C'est pas normal..." L'homme souri amuser "Je vous l'avez dit, l'endroit est sûre !" La brune soupira "C'est beau de rêver. " Leurs routes se termina en silence jusqu'a la maison a côté de l'église.  Ils n'étaient même pas encore entraient dans la maison que Rebekah arma son magnum. Plus ils avançaient, plus l'odeur nauséabonde de la mort était forte. L'homme avait a peine pousser la porte qu'il poussa un cri d'horreur. Rebekah elle même dut se mordre la langue pour ne pas faire comme lui. Là, juste dans la pièce a vivre de la maison, un groupe d'une dizaine de rôdeurs étaient en train de se faire un festin d’entrailles avec ce qui était surement la famille de l'homme. Homme qui se mit a avancer alors que le premier rôdeur venait de se lever car ils les avaient entendu. "No.." Dit la brune en essayant de retenir l'homme par le bras alors que le rôdeur était a quelque centimètre d'eux. Un filet de sang gicla sur le visage de la brune aux yeux vert quand les mâchoire du mort se referma sur la joue de l'homme. Elle n'eu même pas le temps de se remettre de ce choc, ni même d'essuyer le sang qu'elle avait dans les yeux et même sur tout le visage, que la dizaine de rôdeurs était déjà face a elle. Certain était occuper par l'homme qui hurlait encore, mais les autres voyait en Rebekah un dessert après le bon festin qu'ils s'était payer avec la famille de l'homme. Ni une ni deux, la brune se mit a tiré... Le seul coup qu'elle avait dans son chargeur. Quand en appuyant sur la gâchette elle entendit "clic" elle déglutie et poussa le rôdeur face a elle, sur les autres avant de prendre ses jambes a son cou. Jamais elle n'avait couru aussi vite. Surtout quand elle vit que le coup de feu qu'elle avait tiré avait attiré tout les zombies qui rôdaient derrière la maison ou dans la rue adjacente.  Elle s'arrêta a quelque mettre du magasin de jouet. Non, elle ne pouvait pas les amener directement vers lui. Pas le temps de réfléchir, elle se tourna en tirant son couteau de chasse décider a les affronter. Et quand elle vit qu'ils étaient beaucoup trop nombreux, elle repris ses jambes a son cou, mais en dépassant le magasin où Conrad l'attendait surement. Elle ne pourrait pas les semer, mais il fallait qu'ils ne la voit plus. S'ils ne la voyaient plus, ils l'oublierait très vite. Elle rentra dans un bâtiment dont la porte était entre ouverte, et la ferma tout de suite la porte derrière elle. Elle coinça la porte avec une table et se laissa tomber assise  contre le mur a coter de la porte, juste sous la fenêtre pour reprendre son souffle. Très vite les coups sur la porte cessèrent. Pourquoi ils s'en éloignaient si vite ? Ils avaient entendu un bruit ? Elle sauta d'un coup sur ses pieds pour regarder par la fenêtre en se disant que c'était peut-être Conrad. Elle fut rassuré quand elle vit les rôdeurs partir en direction de la foret d'où elle et le quaterback venait.  Elle laissa quand même passer quelque minutes histoire d'être sur qu'elle ne croiserait pas a nouveau un groupe. Elle profita de ces laps de temps pour fouiller le bâtiment. C'était un bar, une mine d'or a ses yeux.  Elle souri quand elle passa derrière le bar et trouva des  bouteilles. Elle pris une bouteille de whisky et une de vodka et sortie. Par chance elle ne croisa que deux rôdeurs qu'elle abattis a coup de couteau. Elle rentra dans le magasin et se planta en souriant devant le grand brun en levant les bouteilles pour qu'il les voit bien. "Jackpot ! "Elle rit avant de s'arrêter car le brun la fixait. Elle se rappela alors qu'elle avait du sang sur le visage. Elle mit les bouteilles dans les mains du brun "C'est pas le miens t'en fait pas...C'est celui... Du type...  " Elle alla dans le rayon des poupée, et essuya son visage avec les vêtements d'une des poupées. "On devrait pas sortir pour le moment... La nuit va bientôt tomber et y'a des rôdeurs dans les alentours..." Dit elle en allant vers son sac une fois son visage a peut prêt propre. Elle sortie une boite de balle et remplis son chargeur. "J'pense que tu l'aura compris, on en a croiser...C'pour ça que j'ai était un peu longue..." Elle rangea son arme dans son holster une fois celle ci charger et regarde le brun en souriant "Du coup, on bois laquelle en premier ?" Oui oui, c'était tout a fait normal pour elle.
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Conrad Williamson

Conrad Williamson
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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 6 Avr - 9:00




ARE YOU FREAKING KIDDIN' ME ?! YOU HAVE TO !

REBEKAH AND CONRAD | Just tonight I will stay, when the light hits your eyes It's telling me I'm right. Can you really see through me now? I am about to go... but just tonight I won't leave. I'll lie and you'll believe.




Je roule des yeux face à sa réplique. Bien entendu, ça ne me surprenait pas qu’elle se vante ainsi, c’est toujours ce qu’elle avait fait, mais même si j’étais habituer à ce genre de phrase de sa part ça ne m’empêchait pas de lever les yeux au ciel à chaque fois. Je ne réponds rien, baissant même les yeux sur mes mains qui s’attaquaient à un pli que formait mon jeans au niveau de mon genoux, ça pouvait facilement passer pour un tic mais ce n'en était pas un ; j’avais toujours débordé d’énergie et cela faisait quelques minutes qu’on ne faisait rien de très productif, j’étais donc forcé de me trouver quelque chose à faire pour m’occuper, ça se faisait naturellement, même, je ne m’en rendais donc pas souvent compte. Cette fois, je le fais, mais ne m’arrête pas puisque la situation me rendit légèrement mal à l’aise et j’en était d’ailleurs le fautif, j’en avais un peu trop dit et je m’étais rattrapé d’une façon bien médiocre. Je l’écoute d’une oreille distraite et m’empêche de lever la tête vers elle lorsqu’elle ajoute à sa longue liste d’animaux un homme. Je savais qu’elle faisait cela que pour m’embêter, pour voir ma réaction, alors je ne lui offre malheureusement pas cette satisfaction ; je marmonne plutôt dans ma barbe comme un gamin. « Un chat c’est mieux. » Je ne mentais pas complètement, en réalité je n’avais jamais vraiment aimé les animaux, surtout ceux dont tu devrais t’occuper plus particulièrement. Les petits chiens étaient tous jappeurs et fatigants tandis que les gros chiens foutaient la trouille et pouvait bien te manger une main si l’envie leur en disant ; non merci. Les bestioles à cage, les rongeurs, ils sentaient tous la pisse et en plus ça mordait ces petites créatures du diable ! Bon, pas très fort, certes, mais suffisamment pour que ça m’emmerde et me donne envie de les laisser crever de faim. Les oiseaux ça avaient des griffes et en plus c’était trop fragile, j’aurais bien trop peur de les étouffer sans même faire exprès ! Y’a les perroquets qui peuvent être sympas, mais j’ai pas le temps n’y l’envie de lui apprendre à parler ou à être obéissant. Les chats il y a que ça de vrai. C’est stupide et paresseux, sa dors ou mange toute la journée, c’est parfait et ça te fais une petite boule de poil à coller quand tu te sens seul ; je n’en avais jamais eu un pourtant, mais peut-être que j’en aurais eu un, dans le futur, si ce dit futur ne ressemblerais pas à ça

~

Tout se passe trop rapidement pour moi, je n’ai même pas le temps d’analyser la situation que Rebekah refilait déjà son arme à l’homme qu’on venait à peine de rencontrer, se dirigeant vers la porte. Hein? Il y a à peine deux minutes de cela elle voulait encore le couper en morceau et le faire griller sur le feu… Je les suis pourtant sans dire un mot, je n’avais pas particulièrement envie d'une bonne gifle et c’est tout ce qui m’attendais si je disais à Rebekah que je préférais prendre sa place. De toute façon j’étais persuadé qu’elle était pleinement capable de se défendre, de plus qu’elle n’est pas stupide, elle saura faire, c’est simple et ce n’est pas loin. C’est ce que je me répète en boucle dans ma tête, même si les pensées négatives crient plus fort.. et si elle ne revenait pas? Et si elle mourrait? « J'en aurais pas pour longtemps. Fouille pas dans mes affaires. Et mange pas toutes les chips ! » Je lève les yeux vers la brune, ne m’ayant même pas rendu compte que je fixais le plancher depuis quelques secondes. Je m’arrête de les suivre rendu au bout de la dernière rangée du magasin. Je la laisse sortir sans un mot, la suivant du regard par la vitrine jusqu’à ce qu’elle disparaisse. J’ai cru apercevoir un mince sourire sur ses lèvres, mais je ne m’emballe pas pour autant. Dès que je silence tombe dans le petit magasin je me sens déjà à nouveau vide et seul.

Je souffle légèrement puis tourne les talons, attrapant la poubelle dans laquelle de faibles braises mourraient tranquillement, je me penche et souffle contre celle-ci pour que le feu ne meurt pas. Inutile de gaspiller une nouvelle allumette ou un peu du jus d’un briquet à nouveau; ils se faisaient de plus en plus rare et ça empêcherait la petite crise de Rebekah d'avoir servis à quelque chose. Il fallait que je trouve autre chose que du papier à faire brûler, ça s’évaporait trop rapidement et ça ne nourrissait pas du tout les flammes. Je lève la tête et regarde autours puis récupère de la mousse à ourson qui traînait par terre -encore un résultat de la crise de mon amie. Ça brûlait un peu moins vite mais c’était pas assez, on se retrouverait à toujours remettre du rembourrage et.. Mes pensées s’arrêtent lorsque je me retrouve au fond de la boutique et que mes yeux tombent sur une grosse maison de poupée fait presque entièrement de bois ; parfait. Je souris et m’approche, apportant la corbeille avec moi. Je la dépose une fois devant l’objet puis sort ma hache. La prenant à deux mains je la lève au-dessus de ma tête et la plante dans le toit ; un long craquement sonore rugis dans le magasin silencieux, elle y reste même coincée. J’hausse un sourcil, attrapant à nouveau le manche et posant mon pied contre le petit habitacle de bois, retirant mon arme. Bon, j’allais devoir jouer au vrai bûcheron…

Une fois la maison en morceau de grandeur différentes, je jette les plus petits et souris en voyant que le feu s’allume un peu plus. « Miaaaaam ! C’est bon, hein? » Je rassemble tous les morceaux en une petite pile tout en continuant de parler à une poubelle. « Y’en à au moins un qui a un bon repas… » Je laisse tomber deux ou trois petits morceaux et quitte la rangée en essuyant mes mains ensemble pour me débarrasser des miettes de bois, me dirigeant vers l’avant de la boutique. Je jette un petit regard par la fenêtre, je n’ai même pas le temps de balayer les alentours du regard que la brune entre, deux bouteilles en main et pleine de sang. Je sursaute et pose une main sur mon cœur. « Jackpot ! » Elle m’explique tout sans même que je puisse poser une seule question, comme si elle les lisait d’avance en regardant tout simplement dans mes yeux. Je fronce légèrement les sourcils alors qu’elle me fourre les bouteilles dans les mains. « Du type? Il est mort..? » Elle disait cela comme si elle s’en foutait royalement… Oh, mais attend, elle s’en foutait royalement. Je la suis comme un petit chien vers les poupées et ne la quitte mes des yeux. Encore une fois, elle répond à toute mes questions alors que je n’ai même pas eu le temps de les formulés. « Du coup, on bois laquelle en premier ? » Voilà, elle était déjà passé à autre chose ; ce n’étais pas mon cas, je me sentais mal même si je n’avais même pas été là, peut-être que j’aurais dû les suivre… Après tout, alors qu’ils combattaient j’étais tranquillement entrain de massacrer une pauvre maison de poupée qui n’avait rien demander.. En me disant cela, j'ai même un peu honte d'être rester comme l'avait voulu Reb. « Whisky, » dis-je comme si c’était une évidence, ne me connaissait-elle pas mieux que cela? Je pose la bouteille de vodka entre deux oursons en peluche alors qu’elle remplit son chargeur. « ..et sa famille alors? Elles vont bien? C’est bizarre, il n’y en avait pas un seul tout à l’heure… » J’ouvre la bouteille et prend une gorgée, le liquide chaud brûle ma gorge. Je goûte quelques secondes avant de me dire qu’il n’était pas mauvais, puis je prend deux nouvelles gorgées tout en m’approchant de la porte à nouveau. Je pose la bouteille et lance le bouchon contre le comptoir de la caisse, m’approchant d’une étagère plutôt imposante de l’autre côté de la porte. Je la tire en grimaçant jusqu’à ce que j’ai assez de place pour me glisser entre le mur et le meuble ; cette fois je le pousse, plutôt, jusqu’à ce qu’il se trouve devant la porte, après quoi je l’écrase le plus possible contre celle-ci, m’assurant qu’il bloquait bien le passage, mais je ne trouvais pas que c’était suffisant.

Tout en réfléchissant je me rappelle du feu que j’avais fait et me tourne vers Rebekah. « Oh et j’ai trouvé du bois pour le feu, j’attends toujours les guimauves. » Je souris un peu avant que mon regard ne se perd contre les étagères, cherchant quelque chose de bruyant qui réveillerait la brune si quelqu’un essayait d’entrer, oui parce que moi il fallait m’assommer si on voulait me réveiller -quelque chose de pas très utile, voire d’extrêmement nuisible, en ces temps, je vous l’accorde… Sauf que je n’y pouvais rien, j’avais toujours été comme ça, au moins pour ce soir j’aurais Rebekah… Je disais ce soir puisque rien ne me disais qu’elle resterait, qu’on voyagerait ensembles, rien n’était jamais sûr avec elle. Tout compte fait il était donc peut-être plus prudent que je ne me fie pas sur elle du tout…


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Dernière édition par Conrad Williamson le Ven 4 Aoû - 21:33, édité 3 fois
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 20 Avr - 19:54

Are you kidding to me ?!

Dans le fond, elle était un peu soulagée de rentrer en un seul morceau dans ce magasin de jouet, où elle le savait, l'attendait Conrad. Elle avait fait la promesse en l'air de rentré rapidement, au final elle avait surement était très longue, la faute a cette maudite horde qui avait eu envie de la manger. Mais de nos jours, impossible de savoir si  on rentrerais toujours auprès des siens. Une sortie, même de quelques minutes pouvait vous êtres fatal. Et même si elle se disait qu'elle mourirait uniquement quand elle le déciderait, elle savait qu'elle se mentait a elle même, après tout, elle vivait dans l'apocalypse  et la mort était devenue le quotidien de tout le monde.  Mais ce n'était pas aujourd'hui que la mort la prendrait, et en plus de rentrer saine et sauf, bien que couverte de sang, elle revenait avec de quoi oublier cela le temps d'une soirée.  En effet, elle avait ramener de l'alcool, une chance d'ailleurs d'être tomber sur ces deux bouteil. Enfin pour elle du moins. Depuis ses 15 ans, depuis la mort de son père en faite, elle avait toujours eu tendance a noyer un peu tout dans l'alcool. Et oui, elle savait parfaitement que l'alcool ne résout pas les problèmes, qu'avec ca on oublie que quelque pendant la soirée et après tout vous revenait. Mais elle s'en fichait, c'était justement cela, elle voulait juste oublier le temps d'une soirée. Juste  ne plus pensé pendant ne serait-ce qu'une soirée, que dehors c'était  la fin du monde,que les morts se relever, qu'il fallait ce battre tout les jours pour trouver de l'eau, de la nourriture, un endroit ou passer la nuit. Oublier que chaque minutes pouvait être la dernière, que  respiré était devenue maintenant un luxe, et que ce luxe pouvait s'envoyer d'un instant a l'autre.   Et puis, elle savait que le lendemain tout cela lui sauterais a nouveau a la figure, que bientot elle prendrait peur et encore une fois écouterait son instinc qui lui disait de fuir, de partir loin de Conrad et tout ce qu'il lui faisait ressentir ou oublier.  Loin de cette sensation de sécurité qu'elle avait quand elle était a ses côté.  Tout cela elle devait le mettre de coté, et rien de mieux que l'alcool pour l'aider a cela. Elle regarda le brun et souri quand il lui annonca qu'il voulait commencer par boire le whisky. En même temps pourquoi elle avait poser la question, elle savait parfaitement qu'il allait lui répondre cela.Après avoir remplis son chargeur, elle le regarda quelque minute, se perdant dans sa contemplation du beau quaterback. Jusqu'a ce qu'il la fasse revenir sur terre en lui posant une question.  Elle se releva et attrapa la bouteille de vodka que le brun avait poser entre deux ourson.    "Sa famille ? J'pense que sa femme doit surement être en train de chercher a manger là. Elle était encore en bon état. Mais j'pense que les enfants n'on même plus assez de morceau pour se relever..." Elle ouvrit la bouteille de vodka et but une gorgée. Espérant que le brun avait compris par ses paroles, oui il avait forcement compris que la famille du type était morte. Elle ne voulait pas avoir a le dire a haute vois, elle ne voulait plus du tout y penser en faite.  Elle but une nouvelle gorgée  d'alcool, et ferma les yeux quand elle sentie la chaleur de l'alcool envahir son corps.Douce chaleurs, elle savait que bientot elle serait ivre, elle avait non seulement le ventre vide, mais aussi pas but d'alcool depuis un moment. Surtout de l'alcool pur comme de la  vodka pur.  "Y'avais pas de rôdeurs tout a l'heure, surement parce qu'ils étaient occuper a trainer autour de l'église et la maison du type...En sortant il a pas du fermer la porte et voila..." Elle le regarda pousser une armoir, trouvant que c'était une bonne idée pour apsser la nuit ici, même si elle se sentit d'un coup un peu pieger. Avec ca devant la porte, personne ne pouvait entrer, ni sortir. Elle ferma les yeux deux seconde et prit une grande inspiration pour prendre sur elle et ne pas paniquer. Elle but une nouvelle gorgée de vodka et posa la bouteil avant d'aller le rejoindre. Elle se mit derrière le comptoire et chercha de quoi faire du bruit, pour au cas où quelqu'un essayait d'entrer. Même si elle savait qu'elle allait surement dormir très peu. Elle avait but, donc elle allait forcement dormir.  Elle se releva quand il lui dit avoir trouver quelque chose pour le feu et lui souri. Elle leva les yeux au ciel et s'approcha de lui. "J'en est pas trouver désoler. Alors tout ce que t'aura comme récompense c'est un bisous" dit elle en posant ses lèvres sur le coin de celles du brun. Elle retourna ensuite prendre sa bouteille de vodka, et abbandonnant son idée de bricoler quelque chose pour faire du bruit, elle se laissa tomber assise au sol, dos contre une étagère qui porter des peluche et attrapa le chien en peluche qu'elle avait carresser quelque heure avant. Décidement elle avait vraiment craquer pour cette peluche. Elle but une nouvelle gorgée d'alcool et se mit a caresser la peluche en la regardant. Elle leva les yeux au bout de quelque minute et regarda le brun "Je.. T'ai pas demander.. Comment tu va au faite ? Comment tu vis... Tout ca ? Tu as du perdre des gens que tu aimais.... Oui t'es le gars qui a des gens qu'il aime, donc forcement tu as du en perdre.... Tu... Tu veux en parler ?" Dit elle avant de boire une nouvelle gorgée. Et voila, l'alcool commencait a faire effet, elle devenais sentimental et nostalgique. L'alcool n'avait pas toujours un très bon effet sur la brune.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeJeu 28 Avr - 0:22




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REBEKAH AND CONRAD | Just tonight I will stay, when the light hits your eyes It's telling me I'm right. Can you really see through me now? I am about to go... but just tonight I won't leave. I'll lie and you'll believe.




Comment tout cela pouvait être aussi banale pour elle? Aussi normal ? Peut-être que ce l’était, en même temps, peut-être que c’est moi qui n’avait pas la bonne réaction… Après tout, ce n’était pas la première fois que j’entendais parler d’un massacre, j’en avais vu plusieurs, malheureusement. N’empêche que même après tout ce temps et ce sang, je ne devenais pas plus insensible pour autant. En plus, pourquoi ça me surprenais autant venant d’elle? Rebekah c’était toujours amuser du mal des autres, même qu’elle en était souvent la cause. Sauf que c’était différent aujourd’hui, on ne parlait pas d’une peine de cœur ou des trous dans mes t-shirt… On parlait de familles massacrés, séparés, d’une tonne de morts, beaucoup trop… On parlait de l’apocalypse, de la fin des temps. Je cille, sentant mon cœur se serrer face à ces mots froids. N’émettant aucun commentaire, je m’avance au comptoir de la caisse et laisse couler à nouveau un peu de whisky le long de ma gorge pour étouffer le flot de sentiments qui risquait très fortement de me submerger et ce n’était pas une bonne idée, parce que si je me mettais à penser un peu trop, rien de bon n’en découlerais.

Ayant décidé de ne pas compter sur la présence de Rebekah toute la nuit -et elle ne pourrait pas m’en blâmer- je laisse l’idée du bruit de côté, me disant que j’aurais besoin de quelque chose de beaucoup plus gros pour me réveiller. Je pose ma hache sur une de mes épaules alors que ma main libre trouve repos contre ma hanche. Je fixe l’étagère, pensif. « J'en est pas trouver désolé. Alors tout ce que t'aura comme récompense c'est un bisou. » Bonne réponse, ou pas trop déplaisante, plutôt. De toute façon, ce n’était que plaisanterie. À cette heure, je doutais fortement qu’un sac de guimauve encore comestible ne se cache quelque part sur ce continent. Je tourne la tête vers elle, souriant légèrement, et je me laisse embrasser, retournant ensuite à la contemplation de l’étagère. Mh. C’était dangereux de me titiller ainsi, elle me savait gourmant et m’en donnait que très peu, pour le coup, et c’était surement voulu. Elle sentait déjà l’alcool et avait laissé le goût de la vodka au coin de mes lèvres, là où je passe brièvement ma langue pour humidifier mes lèvres.

C’était peu, mais assez pour botter mon cerveau qui se remit en marche. Je n’avais jamais été l’intelligent de la famille, le petit génie. Non, ça avait toujours été Zackary. Je le savais et en plus on me le rappelait sans cesse, surtout lorsque j’étais jeune et de la bouche de mon père qui adorait tant rabaisser qui j’étais et qui je voulais devenir. Non, je ne savais pas faire tout ce que mon frère savait faire, mais il m’avait bien montré quelques trucs. Dans le temps, je m’étais toujours dit que cela ne me servirait jamais à rien. Tout ce qui n’était pas stratégie judicieuse de jeu pour le football ou ingrédients secret pour rendre la bonne nourriture encore meilleure ne m’était pas utile dans ma tête, de toute façon. C’était intéressant lorsqu’il me les montrait ou racontait, mais lorsqu’on retournait à nos vies ça ne m’était en aucun cas utile. Aujourd’hui, la situation avait changé et j’étais bien content d’avoir écouté attentivement certains de ces petits discours de scientifique savant. Je m’avance légèrement, posant deux doigts sur le bois de l’étagère et marmonnant quelques chiffres rapidement. Je reprends le manche de ma hache à deux mains, craquant le bois à trois endroits que je pense stratégique. Je m’arrête, un peu inquiet que l’étagère ne s’effondre, mais il avait l’air de bien tenir en place. Je souffle, comme soulagé, faisant la même chose de l’autre côté, mais craquant le bois à deux endroits seulement. Je m’arrête, rangeant mon arme, mes bras et mes mains tendu devant moi, au cas où j’aurais mal fait ça. Pourtant, l’ensemble tenais bien. Je me pose à côté et pousse légèrement contre l’étagère et un long craquement lugubre suivit d’un dangereux balancement me fait reculer et sourire. Je me tourne vers Rebekah, les bras grands ouvert et fier. « Boyahhhh! Commotion cérébrale ou pas, Zack n’a pas hérité de toute l’intelligence de la fratrie ! » J’admire une dernière fois mon œuvre avant d’attraper ma bouteille et de m’approcher de Rebekah, m’installant de l’autre côté du feu. Je jette quelques morceaux de bois à nouveau tout en lui parlant. « Bon, du coup, normalement, ce truc s’effondre si quelqu’un pousse un peu trop sur la porte, toi y comprise,  alors ça fera un vacarme de fou. Si tu veux partir tu le ferras demain matin, j’vais pas t’enchaîner. » J’avoue que je n’avais jamais compris de quoi elle avait aussi peur, je ne l’avais jamais retenu, je ne m’étais jamais plains de ses allez et venus imprévus non plus… Pourtant, je lui donnais encore et toujours l’impression qu’elle devait s’enfuir comme une voleuse...

Je souffle légèrement, m’installant plus confortablement, le dos contre l’étagère derrière-moi. Je prends finalement le temps de lire ce que je buvais exactement. « Je.. t'ai pas demander.. Comment tu vas au fait ? » Je lève les yeux vers Rebekah, un peu surpris de la tournure que prenait la conversation, et ce qui suivit ne fut pas très agréable à attendre puisque cela me ramena brusquement sur terre. Je grimace, ces mots avaient vraiment eu l’effet d’une bonne claque en pleine figure. Je baisse de nouveau les yeux vers ma bouteille, pensif quelques secondes avant d'hocher doucement la tête pour lui répondre que oui, ça va, portant ensuite le goulot de ma bouteille à mes lèvres, évitant son regard. Parler du fait que je ne sais pas où est ma mère, mon frère, Aileen, ou Desmond …? Non merci. Je ne savais même pas s’ils étaient encore en vie, et s’ils le sont, ils ont très certainement vécu et vu des trucs horribles, tout comme moi… Alors il serait égoïste de ma part de leur souhaiter la vie dans ce monde, non? Je baisse de nouveau mon regard, glissant mon pouce contre l’étiquette de ma bouteille. Je ne pouvais pas me dire qu’ils étaient tous morts… Je ne pouvais pas.

Je décide de rapidement retourner l'attention vers Rebekah et pose de nouveau mes yeux sur elle. « Et toi? Ça va? » C’est peut-être normal comme situation, mais Rebekah et moi ça n’avait rien de normal, alors cette conversation me semblait plus étrange qu’autre chose. On ne se parlait jamais aussi honnêtement, aussi ouvertement, mais j’imagine que nos bouteilles aidaient un peu. D’ailleurs… « Doucement avec ça, hein. » En même temps, être saoul mort c’était pas non plus sécuritaire, même s’il y avait ce meuble et une seule sortie, les rôdeurs pouvaient nous tomber dessus d’une minute à l’autre, sa petite escapade de tout à l’heure nous l’avait bien prouvé, d’ailleurs.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 18 Mai - 19:57

Are you kidding to me ?!

Elle savait qu'elle avait surement du choquer le brun par ses paroles qui avait surement parut froide et complètement détacher. En réalité c'était  un moyen de défense pour la brune. Elle était née avec quelque armes naturel, et en avait aussi acquis d'autre au fils du temps, et toutes ces armes, comme son charisme, son physique et même sa capacité a  enfermé ses émotions au plus profond d'elle, elle les utilises toujours et inlassablement. Si bien qu'elle passait pour quelqu'un de froid et détacher mais aussi une grande séductrice. Elle l'était au final, mais pour se défendre, elle ne savait pas faire autrement, et si la nature l'avait doté d'armes, c'était bien pour qu'elle s'en servent non ?  Elle avait ensuite embrasser le coin des lèvres du brun, bien sur c'était fait exprès, pour le titillé un peu. Et aussi pour lui montrer qu'elle était toujours la même malgré tout ce qu'il y avait dehors. Elle aimait toujours autant se faire désiré, et surtout par lui en faite. Il était spéciale pour elle, et l'avait toujours était. Depuis qu'ils se connaissaient ils n'avaient eu de cesse de jouait ce petit jeu du chat de de la souri, parfois l'un était la souri l'autre le chat et d'autre fois ils inversaient les rôles. Alors elle ne manquait jamais une occasion de se faire un peu désiré, et l'alcool l'aider encore plus a vouloir cela.  Après ce court petit baiser, elle s'était assise  au sol dos contre une étagère et avait pris sa peluche pour la caresser en buvant et en regardant le brun faire...Elle ne savait pas trop quoi.  Elle rit un peu quand il se vanta de son oeuvre. Là il avait l'air d'un ado qui roule un peu des mécanique pour impressionner sa nana. Mais cela  avait pour mérite de la faire rire. Oulala avait-elle déjà confondu le pichet et la baignoire ? Non impossible elle n'avait pas encore assez but pour cela.  "Tu as toujours était  intelligent ! Juste que t'es idiot comme mec !"Venant de la brune ce genre de paroles  était une compliment. Au bien sur vue de l'extérieur ce n'en était pas un, les personne ne connaissant par Rebekah aurait put se vexé, mais le brun la connaissait, il savait que les paroles de la brune aux yeux vert avait toujours un sens caché.  Mais son rire s'arrêta brusquement quand il lui parla de ce qu'il venait de faire. Il venait de les enfermés dans cette boutique sans espoirs de sortir sans faire un bruit pas possible.Son rire et son sourire s'était dilapidé, elle se senti d'un coup enfermer. Et le pire c'est qu'il lui avait dit, il l'avait remarquer. Elle serra un peu le chien en peluche dans sa main, mais essaya de contenir la monté d'angoisse qui arrivait en elle. Elle avait beau se battre contre son instinct qui la poussait en ce moment a fuir le brun, elle s'était dit qu'elle avait la sécurité de pouvoir partir des qu'elle le voulait. Mais visiblement non, il l'avait prit au piège. Elle essaya de faire la fille qui n'en avait rien a faire. De ce fait elle haussa les épaules  "Je ne vois pas pourquoi je voudrais m'en aller. "Dieux merci, sa vie dans le monde des bourgeois lui avait appris la comédie, mais aussi les horrible chose qu'était le mensonge et l'hypocrisie. Elle savait toutes ses parties de sa personnalité...La brune était peut-être parfois  trop lucide sur sa personne, elle svaait parfaitement qu'elle n'était pas une bonne personne.  Et que si les croyance de feu son père était vrai, elle n'aurait jamais le droit d'accédé au paradis, elle n'en verrait pas même les portes. Non, elle irait tout droit en enfer. Elle avait de toute façon vendu son âme au diable il y a bien longtemps.

Ils étaient maintenant assis l'un en face de l'autre, tout les deux dos contre une étagères. Et Rebekah qui commençait a sentir les effets de l'alcool sur sa personne, lui demanda s'il allait bien. La réaction du brun lui montra que finalement non il n'allait pas bien. Il s'était contenter d'hocher la tête et lui retourner la question. Elle était pompette mais pas idiote , elle avait compris que tout cela lui faisait surement beaucoup de mal et surtout qu'il ne voulait pas en parler. Elle se tut donc et haussa les épaules en buvant une gorgée de vodka. Elle répondit en souriant amuser une fois que le goulot avait quitter ses lèvre  "Moi comment je vais ? Ma fois fort bien !  Pourquoi sa n'irait pas ? On vit dans un cauchemars, je suis donc comme un poisson dans l'eau."Elle rit un peu. Evidemment elle était un peu sarcastique, bien qu'elle disait aussi vrai. Elle avait depuis toute petite l'impression de vivre dans un cauchemars qui s'empiré un peu chaque jour. Là elle avait atteint le sommet de sa vie de cauchemars. Et au final elle n'était même pas étonnait et n'avait même pas peur. Pour elle c'était très vite devenue normal tout ça. "J'ai l'habitude de l'horreur donc j'vois pas pourquoi ça n'irais pas. Et regarde, on a un endroit pour dormir ce soir, un feu, de l'alcool comme repas. Que rêvez de mieux en ce moment ! " Elle rit a sa phrase et but une nouvelle gorgée. Elle était en train de boire quand il lui dit d'y aller doucement avec l'alcool. Elle décolla ses lèvres de la bouteille et rit a nouveau "T'en fait pas pour moi chéri, c'est pas la première fois que j'bois de la vodka"Elle lui fit un grand sourire et  s’avança un peu en tendant sa bouteille vers le brun "Aller on trinque !" Dit elle en souriant. Les bouteilles n'eurent même pas le temps de se toucher, qu'elle posa ses lèvres sur celles du brun. Elle lui offrit un baiser effréné, puis se remis a sa place et but une nouvelle gorgée. Pourquoi l'avait-elle embrasser ? Parce qu'elle en avait envie. Ce n'était pas un scoop que le brun l'attirait plus que de raison, après tout il ne faisait pas naitre une tonne de sentiments que la brune avait refouler en elle pour rien.  Elle posa la bouteille a côté après l'avoir fermé bien sûr. Puis elle regarda le brun en pencha un peu la tête sur le côté "Tu étais où quand ça à commencer ? Et avec qui ? "Dit elle pleine de curiosité.  


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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 8 Juin - 21:19




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Je roule des yeux face à la réplique de Rebekah, c’était prévisible qu’elle me lance une pique dans le genre après ce que j’avais dit, j’aurais dû m’y attendre. Je ne réponds donc rien, venant simplement m’asseoir avec elle près du feu, l’alimentant doucement et en silence, soufflant même un peu en me rappelant ce qu’elle venait de dire. J’étais tout fier de mon exploit et elle m’avait rabaissé comme le faisait si bien mon père dans le temps. Je lui explique alors ce que je venais de faire et l’avertie que si elle tente de s’enfuir durant la nuit -et Dieu sait que c’était dans ces projets- elle ferait tout tomber et me réveillerait, donc impossible de partir sans que je ne m’en rende compte. Ce n’était peut-être pas vraiment correcte d’avoir fait tout ça, connaissant la brune elle n’appréciait pas du tout, mais c’était malheureusement nécessaire, je ne pouvais pas me permettre de mettre ma vie en danger juste pour ne pas trop froisser la princesse, c’était l’apocalypse, donc les règles avaient changé, forcément. Elle devrait s’y faire, pour cette nuit du moins, je ne comptais pas sur sa présence plus que ça, je ne pouvais tout bonnement pas compter sur elle tout court, voilà pourquoi je l’avais enfermé ici avec moi, je ne pouvais pas me permettre de la laisser filer et de dormir ici seul et vulnérable. Je faisais plus confiance aux survivants que Rebekah mais je les savais parfois malintentionnés, la prudence était donc de mise. « Je ne vois pas pourquoi je voudrais m'en aller. » Je lève les yeux vers elle, la fixant quelques secondes avant de sourire, puis d’éclater de rire. Je secoue la tête, m’installant plus confortablement, étant premièrement penché au-dessus du feu. « Tu mentais beaucoup mieux avant, Fitzgerald. » Elle me prenait pour un con ou quoi? Je la connaissais depuis assez longtemps maintenant pour savoir pertinemment que depuis qu’elle savait être enfermée ici avec moi elle se sentait beaucoup moins à l’aise, même peut-être un peu paniquée, comme si je venais de l’enchaînée à mes pieds et qu’elle ne pourrait plus jamais s’en aller. Si tu veux partir tu le ferras demain matin, elle ne l’avait même pas entendu, je pourrais y mettre ma main au feu, elle était devenu sourde à la seconde où elle avait compris qu’elle ne pourrait pas partir cette nuit comme elle ne faisait si bien habituellement.

Je n’avais pas voulu parler de comment j’allais, alors j’avais tout simplement retourner la question vers la brune qui répondit qu’elle allait très bien, habité de vivre dans un cauchemar. C’était triste dit comme ça, mais je n’y croyais pas tellement, elle n’allait pas bien, elle aimerait allez bien et s’en foutre, elle le voulait tellement qu’elle finissait par y croire, mais c’était qu’un ramassis de conneries au final. Alors je l’écoute parler sans rien dire, buvant une gorgée de whisky alors que mon regard se perd dans les flammes qui dansent doucement entre nous deux. Je lève ensuite les yeux vers elle lorsqu’elle dit qu’on était plutôt chanceux, whisky et vodka en main, un toit sur la tête, mais je n’étais pas tellement du même avis, sauf qu’elle ne pouvait pas le comprendre. « Du gâteau » répondis-je finalement, n’ayant pas envie d’être sérieux, de me plonger dans une discussion profonde que la bouteille encouragerait sensiblement. D’ailleurs Rebekah y allait un peu fort avec sa vodka, et je n’avais pas envie qu’elle finisse complètement saoule, donc je lui dit de se calmer un peu. Normalement ça ne m’aurait pas dérangé, mais de nos jours être saoul mort ce n’était pas tellement l’idée du siècle, et je n’avais pas envie d'être forcé de m’en occuper pendant quelques heures, stressant sur l’arriver potentiel d’une horde de zombie qui nous coincerait ici. Rebekah ne pouvant pas se défendre je serais seul et au final on finirait nos jours parmi ces peluches et ces poupées. « T'en fait pas pour moi chéri, c'est pas la première fois que j'bois de la vodka. » Je roule de nouveau les yeux, plutôt de mauvaise humeur tout d’un coup, moins patient, alors je décide de pousser ma bouteille plus loin après l’avoir fermé, sachant pertinemment que ce n'était rien de plus qu'un dépresseur et que cela ne m’aiderait donc en rien aujourd’hui, c’était dangereux de toute façon, mais Rebekah semblait n’en avoir pas grand-chose à foutre. J’ouvre la bouche pour lui répondre mais elle demande qu’on trinque, je fronce les sourcils, pointant ma bouteille déjà close, ouvrant à nouveau la bouche, mais celle-ci s’approche, m’empêchant à nouveau de lui répondre en posant ces lèvres contre les miennes, plus concrètement cette fois. Je sursaute légèrement, mais me laisse faire, restant ensuite silencieux. Mes pensées se bousculaient dans mon crâne et j’avais besoin de quelques secondes pour y remettre l’ordre, Rebekah allait trop vite pour moi et me mélangeait. « Tu étais où quand ça à commencer ? Et avec qui ? » Je fronce les sourcils puis secoue la tête, n’avait-elle pas déjà comprit que je n’avais pas envie d’en parler? Il était hors de question de lui parler de comment j'avais dut tirer une balle dans la tête de mon grand-père qui avait toujours été le père que je n'avais jamais eu pour moi. Je remarque cependant que celle-ci avait enfin déposé sa bouteille et ce n’était pas plus mal. Je m’approche, poussant doucement la poubelle dans lequel le feu s’épuisait déjà légèrement. Je pose à mon tour mes lèvres contre celle de la brune, chastement. « Shhhh » lâche-je ensuite, juste avant de l’embrasser à nouveau doucement, la laissant tout de même sentir sans aucune gêne que je désirais beaucoup plus que cela.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 15 Juin - 22:47

Are you kidding to me ?!

Piégée, c’est comme cela qu’elle se sentait en ce moment. Rebekah était un esprit libre, sauvage, elle avait toujours pris le soin de ne jamais s’attacher, de ne jamais s’enchaîner à quelqu’un. Même si elle était très attachée à Conrad, elle faisait tout pour toujours   laisser les menottes ouverte. Elle avait besoin de pouvoir s’enfuir quand elle en avait envie.  A la mort de son père, ses chaines avaient explosées et elle avait prit gout a la liberté. Surement un peu trop même. Elle était un esprit sauvage, indomptable. Bien des personnes s’y étaient essayé pourtant. Certain avait même caressé l’espoir de lui glisser la bague au doigt, une bande d’idiot qui avait crut qu’un anneau leurs permettrait de posséder Rebekah corps et âme. Une bande d’idiots qui étaient surement tous mort depuis longtemps, mais elle s’en fichait pas mal. Et pourtant    le brun qui venait de l’enfermer dans ce magasin de jouet, qui sentait le renfermé et qui était presque digne d’un décor de film d’horreur, avait peut-être sa chance de la dompter un jour peut-être…Enfin s’il le désirait, là il ne s’y était pas vraiment bien pris. Elle avait essayé de paraitre naturel, alors qu’en réalité elle s’était crispée et paniquer un petit peu. Elle n’était pas vraiment claustrophobe, elle n’aimait juste pas être enfermé et sans possibilité de s’enfuir quand elle le voulait. Déjà le fait qu’elle n’était même pas en sécurité dehors la crispé un peu. Enfin elle n’avait jamais était en sécurité, même avant tout cela. Disons qu’elle avait bien plus d’ennemies que d’amis.  Sa tête avait surement était mise a prix des tas de fois. Mais maintenant c’était encore pire. Elle ne pouvait pas faire un pas dehors sans risquer de se faire agresser, par des monstre ou pire encore, par des être encore un peu humain.   Elle posa les yeux sur lui quand il l’appela Fitzgerald. Son nom de famille… Cela faisait tellement longtemps que personne ne l’avait appelé comme cela, qu’elle l’aurait presque oublié. Enfin dans ce nouveau monde, un nom de famille était inutile. Plus personne n’avait de famille ou rare était ceux qui en avait encore. Enfin Rebekah n’avait plus de famille depuis longtemps maintenant. Elle n’avait pas eu besoin de l’apocalypse pour qu’on lui arrache sa famille.  Elle souffla doucement avant de lancer au brun "Dit donc Williamson, tu serais presque devenue malin grâce a tout ca !"  Non, elle n’avait rien d’autre en magasin pour le coup. Après tout, il l’avait un peu troublée en l’appelant Fitzgerald, avant ce n’était pas rare pourtant qu’il le fasse…Mais c’était avant quand les morts ne se relevait pas, quand la société marchait « normalement » quand il y avait des règles, des devoirs, et des besoin autres en plus des besoin primitifs qu’était se nourrir, s’abreuver et dormir. Un monde où on n’avait pas besoin de survivre.  Un monde révolu maintenant…
Elle avait parfaitement compris qu’il ne voulait pas parler de ce qu’il avait du faire au début de l’apocalypse. Il ne voulait pas en parler, surement car il avait du se salir les mains. Surement qu’il avait pour la première fois de sa vie, pris une autre vie. Pas vraiment par choix, mais par contrainte, ce qui avait du énormément peser sur sa conscience. Et comme elle le connaissait, il ne devait surement pas s’en être encore remis. Pour certaine personne, tout cela devait être horriblement dur a vivre. Rebekah, elle était habituer a peu dormir les nuits, a tuer, a survivre. Bien sur elle avait toujours fait cela, mais dans un tout autre contexte, dans un monde où elle avait le droit a l’erreur, enfin plus ou moins.   Enfin, ce n’était pas pour autant que ce qu’elle venait de dire était vrais. Elle aussi souffrait de la situation, elle était elle aussi humaine, quoi que les gens en disent. Certes elle enfermé ses émotions, elle paraissait froide et détacher, certes elle était le genre de personne qu’on peu considéré comme un monstre de par son caractère et ses actions. Mais elle avait un cœur et des émotions quand même. Elle avait même un coté fragile quelque part, caché dans les ténèbres de son cœur et de son âme. Derrière toute cette couche de méchanceté et d’égoïsme, elle était briser, et avait peur de laisser quelqu’un voir cela. Elle ne voulait pas être accessible, elle ne voulait pas laisser à nouveau le loisir à quelqu’un de lui faire du mal. Même si personne ne lui ferait surement jamais autant de mal que son père lui en avait fait. Elle souri légèrement aux paroles de Conrad, il avait visiblement compris sur quel longueur d’onde elle était. Et puis elle essayait –je dis bien essayait – de positiver en se disant que ce soir ils avaient au moins un endroit pour passer la nuit. En plus ils avaient un feu, donc ils n’avaient pas besoin de tout faire pour avoir le moins froid possible. Ils n’étaient pas dehors et au chaud,  du grand luxe par les temps qui courent.   Elle voulut trinquer, oui elle était pompette, cela faisait longtemps que ca ne lui était pas arrivé. Elle n’avait pas but depuis longtemps et comme elle n’avait rien mangé de la journée, l’alcool lui était vite monter à la tête. Enfin, en vérité trinquer n’était qu’un prétexte pour s’approcher du brun et l’embrasser.  Quand elle avait but, elle ne retenait plus ses désirs, ni ses paroles ou ses pensées, elle laisser tout ressortir. Parfois il lui était arrivé de pleuré une nuit entière a cause d’un vieux souvenir. En fait elle avait l’alcool émotif et surtout libérateur. Elle avait donc embrassé le brun, bien sur les lèvres cette fois, puis avait repris sa place et poser la bouteille de vodka pas loin d’elle. Oui, elle avait eu un sursaut de raison, sa conscience lui avait dit qu’avoir la gueule de bois par les temps qui court n’était pas vraiment une bonne idée. Elle fut surprise quand il s’approcha d’elle, répondant à sa question par un baiser et en lui intimant de se taire. Il avait poussé un peu plus loin le faible feu qui les séparés et avait uni leurs lèvres. Ce n’était pas rare que ce genre de baiser soit échanger entre eux. En faite, ils ne pouvaient pas se voir sans se disputer, s’embrasser et faire l’amour. C’était comme s’ils étaient incapable de résisté a l’attraction si puissante qu’il y avait entre eux.   Elle se décolla légèrement de lui et posa son index sur les lèvres du brun. Elle plongea ses grand yeux vert, brillant a cause de l’alcool dans ceux du brun " Dit donc, tu ne serais pas en train de profité du fait que je sois pompette pour me mettre dans ton lit…Enfin sur ton sol plutôt" Dit elle en riant doucement. Elle ne savait pas trop si elle en avait envie. Enfin, oui c’était sur elle en avait envie, elle n’arrivait jamais a résister au joueur de football de toute façon, mais était-ce vraiment le lieu et le moment pour cela ? Enfin, elle choisi d’éteindre son cerveau qui marchait toujours beaucoup trop et se remit à embrasser le brun. Elle enleva même elle-même son haut, lui montrant ainsi qu’elle était prête à répondre à son désir.  Elle avait elle ensuite retiré le haut du brun, ne décollant ses lèvres de celles du brun que pour respiré rapidement de temps en temps et aussi pour laisser passer le haut du brun.  Elle était prise dans le feu de l’action, quand quelque chose cogna contre la vitrine du magasin. D’un bond de sursaut elle se retrouva sur ses deux pieds, couteau à la main, prête à attaquer.  Elle avait beau avoir essayé d’éteindre son cerveau,  elle n’avait pas réussi à ne pas être sur ses gardes. Elle n’accorda même pas un regard au brun, elle alla doucement voir d’où venait le bruit et soupira en retournant vers le brun, coinçant à nouveau son couteau dans sa ceinture. Elle se laissa a nouveau tomber assise vers lui en soupirant. Elle attrapa sa bouteille de vodka en but une gorgée avant de reposer la bouteille après l’avoir refermé. Elle ouvrit les yeux et regarda le brun d’un air un peu désoler. "Désoler…C’était une fausse alerte… Une branche a cogné contre la vitrine, surement a cause du vent" En regardant dehors elle s’était rendu compte que le vent s’était lever et le soleil lui s’était coucher. L’extérieur était donc enveloppé dans le noir. Elle avait encore une fois tout gâcher, ou plutôt son instinct de survie qui la faisait être sans cesse sur ses gardes avait encore une fois tout gâcher entre eux. Comme si la nature faisait toujours en sorte que Rebekah foire avec le brun a un moment ou un autre.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeMer 29 Juin - 5:01




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Certains diraient que c’est inapproprié, qu’il y a beaucoup de choses auxquelles pensées, plus importantes que ça, que se sont aujourd’hui des comportements dangereux qui pourrait causer la mort. C’est vrai, il fallait être toujours sur nos gardes, toujours prêt à combattre, le danger était partout et chez tout le monde, on ne pouvait plus faire confiance à personne parce que les humains ne s’entraidaient plus, ils se volaient les uns les autres, étaient pour la plupart redevenu bestiales. Oui il y avait beaucoup de choses auxquelles pensées, je ne disais pas le contraire, mais pour moi toutes ces choses horribles qui se produisaient à l’extérieur était des raisons de plus de me laisser allez, de me permettre une dernière nuit de tendresse. Peut-être que c’était la dernière fois que j’aurais la chance d’être au calme avec Rebekah ou avec une femme tout simplement, peut-être que j’allais mourir demain, dévoré par les rôdeurs, attaquer par un autre survivant à qui j’aurais accordé ma confiance et qui m’aura trahi sans aucun scrupule. On ne savait pas ce que nous réservait l’avenir et celui-ci était plus incertain et dangereux qu’il ne l’avait jamais été. Alors pourquoi m’empêcher de profiter de ce petit moment de répit, sachant qu’il ne serait très certainement pas éternel, sachant que la brune s’enfuirait dès qu’elle en aurait l’occasion. Elle n’était pas capable de me dire franchement qu’elle partait, de me tourner le dos et de s’éloigner. Non, elle avait bien trop peur que je la retienne ou que je la suive, alors que je ne l’avais jamais fait, que je ne m’étais jamais plains de ces allez et venus qui n'était jamais prévu. Malgré ça elle se sentait obligé de partir lorsque j’avais le dos tourné et sans un mot. Ce soir il lui était impossible de partir et l’alcool la rendait un peu trop bavarde à mon goût. Alors je m’approche et je lui offre quelques baisers, me montrant de plus en plus insistant. Rebekah me connaissait maintenant, elle savait ce que ça voulait dire, ce que je voulais. Elle ne me repousse pas, mais rare étaient les fois où elle le faisait de toute façon, j’entamais souvent les ébats mais je ne faisais qu’exécuté ces plus sombres désirs, ceux qu’elle ne s’avoue pas, mais même si aucun de nous deux ne le disait à voix haute on en était tous les deux pleinement conscient.

Elle pose ensuite un doigt contre mes lèvres et j’ouvre les yeux, levant le regard vers elle. « Dit donc, tu ne serais pas en train de profité du fait que je sois pompette pour me mettre dans ton lit… Enfin sur ton sol plutôt. » Je souris à ces paroles, m’installant au-dessus d’elle, déposant un baiser sur le doigt qu’elle avait posé contre mes lèvres. « Comme si j’avais besoin que tu bois pour ça.. » plaisante-je, toujours souriant. C’était comme si rien n’avait changer, si on oubliait l’endroit où on se trouvait, ce petit feu à notre gauche et le meuble devant la porte. Ça faisait du bien, de se vider la tête, d’oublier un instant ce qui rôdait dehors et qui ne s’arrêterait jamais de nous pourchasser, pas tant qu’on respirerait et que notre chair serait toujours chaude, prête à être croquer. J’écarte doucement les cuisses de la brune, emboîtant nos bassins et posant mes avant-bras de chaque côté de sa tête. Délicatement, je viens ensuite dégager son visage de quelques mèches brunes qui ombraient son regard vert pastel, aussi doux que celui d’un enfant alors qu’elle n’avait rien de quelqu’un d’innocent. C’était des yeux qui ne l’avaient jamais vraiment représenté, c’était peut-être pour ça qu’elle ajoutait toujours de grosses lignes noir autour de ces yeux, rendant son regard plus adulte et mesquin, sauf que de nos jours il n’y avait plus de temps pour se faire belle et tant mieux, elle était d’autant plus jolie comme ça, je trouvais, au naturel, puisqu’elle pouvait presque paraître comme une gentille fille, là, comme ça, sous moi, sans ce sourire obscur qu’elle se forçait à toujours aborder pour faire fuir les gens. Je caresse doucement sa joue, je me le permets que quelques secondes, puis je m’engouffre près de son cou pour y déposer des baisers, sachant que lorsque je devenais trop tendre elle me repoussait. Je n’avais pas pu m’empêcher de la regarder un instant, juste quelques secondes, je ne l’avais pas vu depuis trop longtemps et je ne savais pas dans combien de temps nos chemins se recroiseront. Avant je savais toujours qu’elle reviendrait mais aujourd’hui la situation avait changé, je ne restais jamais à la même place et elle non plus. Dès demain je le savais elle partirait le plus loin possible de moi et peut-être que nos chemins ne se recroiseront jamais finalement. Trouvant que mes pensées s’égaraient sur un chemin sinueux, je me redresse et lui souris. « Mais tu verras mon plancher est très confortable. » Je me sens obligé de faire une blague, de lui montrer que je ne ressens rien, qu’elle est seulement jolie et qu’elle est là. Elle savait que c’était faux mais si je le disais à voix haute elle ne ferait que fuir, même si il y a ce meuble qui menace de s’effondrer elle partirait, je la connaissait bien maintenant, et de toute manière je n’étais pas prêt à me l’avouer, pas encore.

Heureusement ce que j’avais fait plus tôt ne la décourage pas, celle-ci reprend de plus bel les baisers, retirant même son haut et le mien. Mes mains se sont mises à se balader sur elle, sauf qu’un bruit la fit me pousser sur le côté et se redresser aussi vite que l’éclair. Elle ne m’adressa même pas un regard et s’approcha de la porte, couteau en main, revenant que quelques secondes plus tard en affirmant que c’était une fausse alerte. Je m’étais mis sur le dos, les coudes repliés pour me servir d’appui, et je l’observais en silence. Je ne me sentais plus vraiment de lui faire des avances, j’étais tomber de mon petit nuage et j’étais bel et bien sur terre maintenant. C’était peut-être une bonne nouvelle, parce que ne pas l’être était dangereux aujourd’hui, mais c’était beaucoup moins agréable. Alors après quelques minutes j’étire la main et j’attrape ma bouteille de whisky, me redressant en position assise, buvant quelques gorgées avant de m’étendre à nouveau. « Et toi? Tu étais où quand ça a commencer? » Je n’avais pas envie de lui parler de mon grand-père, je ne l’avais encore raconter à personne et je n’avais pas l’intention de le faire de sitôt, je sentais que la seule à qui j’allais me confier c’était ma mère et je ne savais pas où elle était, je ne savais même pas si elle était en vie, et ça me brisait le cœur, mais Rebekah elle semblait avoir envie d'en parler. Je prends encore quelques gorgées de whisky, mais je referme rapidement la bouteille, sachant que je pourrais trop facilement l’engloutir si on est pour parler du début de l’apocalypse et d’à quel point ça a été dur, d'à quel point c'est dur encore aujourd’hui. Je fixe la brune en attendant sa réponse, tout de même curieux sur le coup. Après tout, elle aurait pu être n’importe où, elle se promenait sans cesse, et je ne la savais pas très proche de beaucoup de gens alors finalement peut-être qu’elle ne me comprendrait même pas si je me décidais à lui parler -sauf que ça n’arriverait pas, je ne m’étais jamais réellement ouvert à elle, j’en était incapable. Je ne le faisais pas avec beaucoup de gens, m’ouvrir, pleurer, parler de ce que je ressentais, et Rebekah avait toujours été la dernière sur la liste des gens chez qui j’avais envie d’aller larmoyer. Je ne pouvais pas être moi-même devant elle, pas totalement, parce qu’elle utilisait tout ce qu’elle pouvait pour me blesser lorsqu’elle en avait envie, parfois ça marchait, d’autres fois ce n’était que des gamineries, mais c’était tout de même plus sur si je lui donnais le moins d’armes possibles pour attaquer.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeDim 31 Juil - 19:25

Are you kidding to me ?!

Elle avait une nouvelle fois tout gâcher. Pour pas changer en faite. Visiblement les mauvaises habitudes étaient tenaces, même en pleine apocalypse. Elle avait encore une foi tout gâché, et ce ne serait surement pas la dernière fois qu’elle le ferait. Enfin, du moins s’ils survivaient tout les deux. Rien n’était sur de ce côté-là, de nos jours un rien pouvait vous tuer. C’était un peu comme un retour au moyen âge quand même un petit rhume pouvait vous tuer. Elle s’en voulait, mais en même temps si elle n’avait pas réagit et que ça n’avait pas était une fausse alerte, ils se seraient peut-être fait dévoré ou tuer par un survivant. Elle avait donc plutôt bien fait de réagir, de toute façon c’était dans ces moment que son instinct prenait le contrôle sur tout le reste.  Elle retourna vers lui et soupira. Elle but une nouvelle gorgée d’alcool après s’être excusé. Visiblement il ne lui en voulait pas, même si ca avait surement refroidit ses ardeurs. Elle le regarda à sa question et attrapa son haut pour l’enfiler a nouveau. Lui exposer son corps alors qu’ils discutaient juste était gênant pour elle. Il avait le temps de la regarder, de remarquer le moindre de ses détails, de voir ses fines cicatrices, de voir ses grain de beauté, bref de voir tout ce qu’elle détestait.  Si dans le feu de l’action ca ne la dérangeait pas, comme ça sans rien faire, elle n’aimait pas. Elle se souvenait que son pire ennemie était elle-même. Ce corps sale et impure qu’elle détestait tant et pourtant qu’elle faisait semblant de chérir. Personne n’avait jamais sut cela, et surement personne ne le comprendrait, même elle parfois elle ne se comprenait pas elle-même. Elle le regarda a sa question et  resta muette un instant. Es ce qu’elle avait vraiment envie de lui dire qu’elle était partie avec Tony et qu’elle l’avait sacrifié car il avait eu le malheur de la contrarier ? Qu’elle avait sacrifié plus d’une personne pour sa survie. Enfin, il savait a quel point elle était égoïste, et il savait surement que l’instinct de survie pousse souvent à faire des choses horrible… Même si pour elle ces choses semblaient moins horribles que d’autre. Tuer n’avait jamais était un problème pour elle. Elle appuyait sur la gâchette sans se poser de question. Si son premier meurtre de sang froid l’avait beaucoup bouleversait quand elle était jeune, ce n’était plus cela qui la bouleversait maintenant. Et elle n’avait pas cela sur la conscience. De toute façon elle avait était baigner dedans depuis toujours, pour elle c’était une chose comme une autre. Elle haussa les épaules en le regardant.  "Tu te souviens de Tony Mendoza ?"Dit-elle d’un ton neutre. Oh il devait surement s’en souvenir, Tony avait souvent essayé de faire chier Conrad pour impressionner la brune. Il s’était aussi inscrit dans l’équipe de football pour l’impressionner. Il y avait très peu de chose qu’il n’avait pas fait pour attirer l’attention de la brune. Et parfois elle se dit qu’elle aurait peut-être du être plus sympa avec lui… Car un homme aussi déterminé à la séduire elle n’en trouverait surement jamais un autre.  "J’était a  Seattle avec lui… Enfin au début j’étais seule, je voulais partir seule, mais il a débarquer dans ma chambre quand j’étais sur le point de partir et il m’a pas laissé le choix… Il est venue."Elle but une autre gorgée de vodka. Ce n’était pas bien, elle ne avait parfaitement conscience mais elle s’en fichait, elle continuait. Boire était un luxe qu’elle ne pourrait surement pas se payer pendant un moment.  " Voila. Au début j’étais a Seattle avec Tony…" Termina t elle dans un murmure avant de baisser les yeux dans sa bouteille et de ce demander ce qui se serait passé si elle n’avait pas sacrifier Tony.


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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeLun 5 Sep - 6:21




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Je la fixe en silence enfiler de nouveau son haut, mais ne l’imite pas pour autant. À quoi bon ? Je n’avais jamais été très pudique et il faisait chaud, ces derniers temps, je dormirais beaucoup mieux comme ça. Je n’ajoute donc rien, attendant toujours sa réponse concernant le début de l’apocalypse, plus curieux qu’autre chose ; à croire que Rebekah ne ressentait rien… Mais en même temps, il fallait bien la connaître pour être convaincu qu’elle ressentait bien des choses, qu’elle n’était pas de pierre. Pourtant je restais persuadé que l’épidémie l’avait beaucoup moins bouleversé. Avec les années et l’âge j’ai finis par en connaître de moins en moins sur la vie et l’entourage de la brune, mais je savais qu’elle n’avait pas beaucoup d’attaches, tout le contraire de moi, qui avait mon équipe, ma famille et mes amis… J’avais toujours été très amical et il était plus que facile de se lié d’amitié avec moi, c’est pourquoi j’avais forgé beaucoup de relation avec le temps et ça avait été très dur, tout d’un coup, de se retrouver complètement seul, puisque la solitude avait toujours été le pire de mes cauchemars, de plus que c’était le pire des moments pour être seul… Tous mes proches étaient en danger, étaient introuvables et probablement morts... Quand j’y repensais, je me demandais comment j’avais pu survivre à tout ça, j’étais apparemment beaucoup plus fort que je ne l’aurais cru, puisque je n’aurais jamais pensé être capable de mettre un pied devant l’autre chaque jour et de résister à la tentation de la gâchette, mais peut-être que c’était en partie grâce à l’espoir de retrouver un jour Aileen, de qui j’avais été séparé trop tôt, la seule que je savais avoir survécu au réveil des morts, même si je n’avais aucune preuve qu’elle avait réussit à traverser les derniers mois… Maintenant je savais également que Rebekah était aussi en vie sauf qu'elle ne resterait jamais avec moi, les bonnes vieilles habitudes... Ça ne me surprenait pas tellement en plus, après tout elle avait toujours sut se battre et se servir d’une arme, en plus d’être têtue et de ne jamais accepter de perdre, ou presque, en tout cas je ne l’avais jamais encore vu jeter l’éponge une seule fois…

Elle s’installe à nouveau, visiblement remise de ce qui aurait pu être un nouveau prédateur, vivant ou mort, et bien vite sa main retrouve sa bouteille de vodka, sauf que ça ne devrais pas me surprendre ; ne m’avait-elle écouté qu’une seule fois dans sa vie ? J’en doutais, alors pourquoi le ferait-elle aujourd’hui ? Je ne dis donc, toujours pas un mot, lui laissant le temps de commencer son récit, mais le début me rendit presque malade. Tony… Voilà quelqu’un qu’il m’aurait fait plaisir d’oublier l’existence. « M’en parle pas.. Comment j’aurais pu ? » Bien qu’il m’avait tapé sur les nerfs du début à la fin, il était difficile de ne pas se rappeler de ce petit con qui avait, depuis toujours, couru derrière Rebekah en espérant qu’elle digne lui adresser ne serait-ce qu’un seul regard, ce qu’elle ne fit jamais bien entendu. Je n’avais jamais vu quelqu’un posséder autant de volonté, n’importe qui aurait abandonné depuis longtemps. C’est ensuite à mon tour d’avoir la bouteille facile lorsqu’elle m’apprend qu’elle était avec lui au début de l’épidémie, et bizarrement, tout d’un coup, je n’ai plus tellement envie d’apprendre ce qui c’était passé entre eux, puisque leur relation, même si la brune l’avait toujours repoussé, m’énervait depuis au maximum mes douze ans et même encore aujourd’hui. Je pose ensuite ma bouteille et me redresse. « Bon, j’pense que ça serait bien qu’on dorme un peu » dis-je ensuite, changeant de sujet. « Je vais chercher des couvertures ou des trucs pour rendre le tout un peu plus confortable, occupe-toi du feu. » Je m’éloigne ensuite dans les rangées, tombant seulement sur des petites couvertures pour bébé. J'en prend quatre puis j’apporte également un énorme ourson en peluche sur lequel l’un d’entre nous pourrait très bien s’étendre ; c’était toujours mieux qu’à même le sol, mais je ne trouve pas grand-chose d’autre d’utile, alors je reviens quelques minutes plus tard, posant l’ourson et lui donnant deux couverture bleu poudre. « Tiens, ça devrais être un peu mieux. » Je les pose de son côté du feu puis fouille dans les jouets en licornes qui se trouvait dans la ranger de notre allée, essayant de trouver la plus grosse, voulant au moins un oreiller… J’en sors finalement une jaune et rose, revenant près du feu, peu satisfait mais bon, ça allait faire pour cette nuit, au moins nous avions un toit et nous étions au chaud, en plus d’être assez bien protéger par mon système d’étagère qui me rendait si fier.


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeSam 17 Sep - 8:20

Are you kidding to me ?!

Elle lui avait dit où et avec qui elle était au début, mais elle ne lui avait pas raconter toute l’histoire. Et a voir sa réaction elle se dit qu’il ne voulait pas la connaitre. Comme si évoquer Tony avait suffit à le refroidir. Pas étonnant, Tony avait était insupportable avec le brun. En faite Tony avait était insupportable avec Rebekah aussi. Mais avec du recule, maintenant qu’il était mort, elle se rendait compte qu’il avait aussi eu des qualités. C’était un homme loyal  et plein d’attention avec elle… Pas avoir Conrad évidement pour Tony le brun avait toujours était l’ennemie numéro un, l’homme a abattre, celui qu’il faut pourrir pour impressionner Rebekah.  Elle but une gorgée de vodka alors que lui aussi s’était remis a boire aussi.  Visiblement comme il changer de sujet, il ne voulait pas entendre la suite. Elle hocha la tête quand il parla de dormir et le laissa aller chercher de quoi rendre le tout plus  confortable.  Le fait qu’il voulait dormir marquer le signe qu’ils allaient se séparer, car comme d’habitude elle allait profiter qu’il dorme pour s’enfuir.  Elle lui souri quand il lui donna un gros ourson en peluche et des couvertures pour se faire un lit de fortune. Elle s’installa, elle avait but alors décida de dormir un peu pour  évacuer l’alcool et donc être lucide avant de partir.  Elle s’endormis tranquillement grâce a la vodka qu’elle avait ingurgiter avant de se poser tranquillement sur l’ourson en peluche. Ce n’était pas le grand luxe, rien a voir avec les lits qu’elle adorait normalement, mais bon c’était déjà ça.

Elle ne dormit pas longtemps, juste le temps d’évacuer l’alcool de son organisme, avant qu’un bruit a l’extérieur  la réveilla en sursaut. Si elle n’avait jamais vraiment beaucoup dormie avant, aujourd’hui dans le monde actuel c’était encore pire.   Elle passa une main sur sa figure, soupira doucement, et se leva. Elle regarda le brun et souri  doucement, attendit de le voir dormir. Comment pouvait-il dormir comme ca alors que dehors c’était le chaos. Enfin elle ne se poser pas trop la question, c’était Conrad il avait toujours eu le sommeil très lourd. Elle se mit a chercher une issus pour sortir sans détruire son système de sécurité. Elle força une porte fermée a clé, celle des toilettes. Elle grimaça en ouvrant, avant même de voir le corps, une horrible odeur de mort la prit a la gorge. Elle entra et vit dans un coin assis contre le mur, le corps d’un homme avec un troue dans la tête. A la vue du vieux pistolet a coté du corps elle comprit que c’était sans doute le gérant du magasin qui s’était comme beaucoup suicidé au début de toute cette merde. Elle ramassa l’arme, regarda si elle était charger et la reposa en voyant qu’elle était vide. Il avait surement utilisé sa dernière balle pour lui.  Elle regarda la petite fenêtre installer au dessus du toilette et souri. Elle monta sur la cuvette pour voir si elle pouvait s’ouvrir et fut contente de voir que c’était le cas. Une fois celle-ci ouverte, elle alla chercher son sac. Elle jeta un dernier regard sur le beau brun, et fut prise d’une légère hésitation. Et si elle rester avec lui ? Et si elle faisait un effort pour vaincre sa peur ?    Elle secoua la tête pour chasser cette idée stupide de la tête. Ils n’étaient pas faits pour rester ensemble. Elle retourna dans les toilettes et jeta son sac par la fenêtre. Il passa tout juste, elle se mit a se demander si elle passerait bien elle aussi. Enfin vue qu’elle n’était pas bien épaisse et agile oui surement. Elle du un peu se tortiller quand même pour passer, mais fini par y arriver. Heureusement la fenêtre n’était pas bien haute et sa petite chute fut amortie par son sac. De ce fait elle ne se fit en aucun cas mal.  En se relevant elle soupira en voyant qu’un rodeur isoler se diriger vers elle. Elle lui planta facilement son couteau de chasse dans la tempe, puis mis son sac a dos sur ses épaules et  se mis en marche. Elle passa devant la vitrine du magasin et soupira doucement "Au revoir Conrad" Chuchota t elle pour elle-même avant de se remettre en marche. Destination : nul part


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MessageSujet: Re: {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah {Flashback}Are you kidding to me ?! | Conrad et Rebekah  Icon_minitimeJeu 6 Oct - 21:50




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Je m’endormis plutôt facilement malgré le fait que j’étais installé à même le plancher froid ; n’ayant pas perdu mon côté gentleman j’avais offert l’énorme ourson à Rebekah et me contentais d’un oreiller improvisé. J’avais donc posé ma tête contre la licorne en peluche, avait tenté de me couvrir le plus convenablement possible des deux couvertures de bébé qu’il me restait et m’était approché du feu. Lorsque les cauchemars me laissaient tranquille, le sommeil était de loin les moments les plus agréables, après l’amour, que je pouvais toujours plus ou moins me permettre. Ça restait dangereux, mais nous étions bien obliger de nous reposer un peu. Rebekah profite d’ailleurs de mon lourd sommeil pour trouver un moyen de s’enfuir comme une voleuse, avec toutes ces années de pratiques j’imagine qu’il était impossible de la retenir ne serait-ce qu’une nuit. Le feu avait fini par s’éteindre et ayant laissé la porte de la salle de bain ouverte l’odeur putride de chair en décomposition finit, en plus du froid, par me réveiller avant l’heure. Si je suis surpris de voir que la brune à disparue ? Pas tellement, j’étais surtout surpris de son acharnement. Elle croyait sincèrement que j’allais lui foutre des chaînes aux pieds ou quoi ? Enfin, il y a longtemps que j’avais arrêté d’essayer de comprendre cette femme ; c’était la pire d’entre tous. Je vais fermer la fenêtre et la porte de la salle de bain, faisait à nouveau naître un petit feu dans la corbeille et je récupère l’ourson de Rebekah sur lequel je m’installe beaucoup plus confortablement, mais je ne trouve pas le sommeil aussi facilement que tout à l’heure. Ce n’était pas tellement le fait qu’elle était partie, qui me déprimait, parce qu’elle l’avait déjà fait des centaines de fois, c’était plus le fait que je retrouvais la solitude à nouveau. Malgré le son du feu qui crépitait, me réchauffait et m’éclairait un peu, un silence régnait et bizarrement c’est ce qui m’empêche de fermer l’œil à nouveau. Je décide pourtant de rester quelques heures étendu, essayant de me reposer un peu et de profité de cet instant de répit ; il y en avait que très peu depuis quelques mois.

C’est tout de même avant le lever du soleil que je finis par me lever et manger un peu, puis j’éteins mon feu, empoche le reste du whisky et m’apprête à me diriger vers l’entrée et foutre par terre l’étagère pour sortir. D’ailleurs, je ferais mieux de courir vite, après ça ; j’y avais pas pensé hier mais tout ce bruit, ça allait surement attirer plusieurs rôdeurs dans le coin. Sauf qu’il était impossible que je passe par la petite fenêtre qu’avait empruntée Rebekah, alors je n’avais pas d’autre choix. Sauf que je m’arrête, tourne les talons et sers le chien en peluche que la brune semblait bien aimé dans mon sac, l’ajoutant à ma collection de souvenir ; c’était tout ce qu’il me restait maintenant. Rien ne me disait que je la reverrais un jour. Je quitte ensuite la rangée qui m’avait servi de campement cette nuit et je vais pousser contre l’étagère qui comme prévu s’effondre lourdement au sol et je ne peux m’empêcher de sourire devant ce spectacle, toujours fier de mon coup. Je me glisse à l'extérieur puis je me met à courir, sans le savoir, dans la direction opposé qu’avait choisit Rebekah. Nos chemins n’allaient très certainement plus jamais se recroiser mais comme je l’avais toujours fait, je mets tous ces sentiments négatifs de côté, les enfermant dans une petite boîte bien au fond de moi-même et je les oublis. Il me fallait toujours retrouver Aileen, alors je prends la direction que j’avais prévu de prendre un peu avant être tombé sur la brune, espérant aveuglément que celle-ci me mène à mon amie, espérant qu’un jour je n’aurais plus à sillonner les routes seul.


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