Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER]
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Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER]

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MessageSujet: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeSam 16 Jan - 21:21


Assis sur le sol poussiéreux du mausolée, Jayden contemplait le jour se lever à travers la petite grille, seule aération de ce pièce qui n’en avait dans le fond pas vraiment besoin. Parker dormait à point fermée dans ses bras. Il passait doucement sa main dans ses cheveux et profitait simplement de l’instant présent. Dans quelques heures, il allait devoir la laisser pour la journée, peut-être un peu plus. Leur réserve de nourritures commençait à fortement diminué et d’ici quelques jours il serait à court. L’eau se faisait également de plus en plus rare. Un ravitaillement allait être nécessaire. Il n’avait pas le choix. L’endroit était calme et c’était le moment idéal pour partir et laisser sa fille en sécurité. Ils étaient à peine à deux jours de marche d’un campement qu’ils avaient croisé. Dans le cas où il ne reviendrait pas : elle avait une chance. Jayden serrait un peu plus fort sa fille contre lui. Si seulement il avait un autre choix. Il passait ses mains sur son visage et deux petits yeux s’ouvrirent. « Bonjour Princesse. ». Il la laissait se réveiller et préparait son déplacement. Il chargeait le 9mm. Il n’allait pas l’emporter. C’était de la folie mais Parker en avait plus besoin que lui. Il ne s’armait que du pied de biche et enfilais une pauvre veste : comme si ca pouvait lui servir en cas d’attaque. Il prenait les bouteilles vides dans son sac à dos. S’il trouvait de l’eau, et il n’avait pas vraiment le choix, le retour allait être compliqué. Le poids le ralentirait. Parker venait se serrer contre lui. Il l’embrassait et lui demandait d’être courageuse. Elle savait quoi faire. Le jeune père tentait de se convaincre qu’elle serait en sécurité. Il lui mettait l’arme dans la main. Il n’aurait jamais cru avoir à faire ce geste… Ne pas reproduire les erreurs de son père. Pourtant il était au même point maintenant… Dans un autre contexte. S’il n’était pas de retour avant la tombée de la nuit le lendemain : elle devait fuir. Partir. Dieu merci, Parker avait un très bon sens de l’orientation. Elle saurait retrouver le groupe qui veillerait sur elle. En partant Jayden bouclait les cadenas et donnait l’une des clés à sa fille. Aucun rôdeur. La journée pouvait commencer.

Il donnait un coup de pied dans une boîte de conserve vide. Il n’y avait rien dans cette foutue maison. Quelqu’un était déjà passé par là. Il devait trouver quelque chose. Jayden montait rapidement à l’étage. Les bijoux étaient toujours en place. Personne ne s’y intéressait à l’heure actuelle, pourtant il attrapait un collier et une jolie paire de boucle d’oreille et le mettais dans sa poche. Elle allait adorer. Il prenait quelques chemises qu’il découperait pour faire des bandages. Il y avait une chambre d’enfant. Il ne trouvait pas la force d’y entrer. Il avait déjà trouvé les photos de la famille en pénétrant dans la maison. Il en avait ramassé une qui avait été piétiné et l’avait posé sur le buffet poussiéreux. Qu’étaient-ils devenus ? Il ne pouvait pas s’encombrer d’état d’âme. Dans un meuble de la salle de bain il trouvait une bouteille d’eau oxygénée. Enfin quelque chose d’utile. Dans un geste désespéré, il tentait l’eau courante. Sans surprise : rien. Il soupirait en se disant qu’il aurait bien prit une douche. Simplement sentir de l’eau couler sur son corps. Le liquide était devenu trop précieux pour se permettre une telle folie. Il quittait la maison sans plus de cérémonie, prenant simplement le temps de fermer la porte : éviter les rodeurs si quelqu’un pouvait trouver quelque chose d’utile à l’intérieur. Il fouilla les trois maisons aux alentours et ne trouvait qu’une conserve et deux morceaux de viandes séchées et un de réglisse. Il en avait toujours détesté le goût. Il réussit à remplir deux bouteilles d’eau douteuse provenant d’un puits quasiment sec. Ce n’était pas si mal après tout.

Il courrait à en perdre haleine. Dans moins de deux heures la nuit allait tomber mais il avait un problème plus gros. Il avait entendu les grognements reconnaissables alors qu’il marchait sur le sentier. Des têtes en décomposition ne tardèrent pas à apparaître. Il se saisissait du pied de biche qu’il avait attaché dans le dos. Il allait s’en débarrasser lorsqu’il s’aperçut qu’ils étaient bien plus nombreux.  Une bonne vingtaine. Il se retenait de jurer. L’un des rodeurs venait de le repérer, créant un mouvement de foule. Il n’avait pas attendu plus longtemps. Il était parti à toute vitesse. Son salue ne reposait plus que sur une chose : la possibilité pour lui de trouver un abri. Plus facile à dire qu’à faire. Il s’enfonçait dans la campagne sans réfléchir : droit devant lui. Ils n’étaient pas rapide mais avaient réussi à le suivre. Jayden ne pouvait pas courir infiniment. Eux par contre… Il repérait une grange à quelques mètres sur sa gauche. Il sautait au-dessus de la clôture, qui ne tiendrait pas longtemps et fonçait vers le bâtiment, priant pour qu’il n’y en ai pas à l’intérieur. Il était proche de la porte lorsqu’il vit quelqu’un en sortir. Il ne pouvait s’empêcher de lui hurler.  « Demi-tour. » A sa hauteur, il remarquait qu’il s’agissait d’une femme. Il saisissait son bras et l’entrainait dedans sans demander son reste. La pauvre ne devait pas s’y attendre. Jayden avait débarqué de sa gauche sans crier gare. Une fois à  l’intérieur il bloquait la porte comme il le pouvait.


Dernière édition par Jayden Wayne le Mar 17 Mai - 11:48, édité 1 fois
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeVen 29 Jan - 19:25

Quand le passé se heurte au present × ft.  Jayden& Rebekah
Son sac commencait a lui faire mal aux épaules. Elle avait l'impression qu'il essayait de se greffer a ses épaules, ce qui n'était franchement pas très agréable. Elle s'arrêta donc pour le poser au sol et souffler un peu. C'était surement le seul avantage qu'elle voyait a l'apocalypse. Elle était libre. Libre de s'arrêter ou de continuer, libre de tuer tel ou tel personnes sans avoir de problème avec la loi.  Bien qu'elle soit toujours passer entre les mailles du filets en réalité. Bon evidement elle aurait préférée avoir toute cette liberté avec un toit au dessus de la tête, de l'eau, de l'electricité, de la nouriture, et surtout pas des mort-vivant essayant de vous manger a tout bout de champs. Mais bon on lui avait pas vraiment demandé son avis. Elle soupira, se laissa tomber assise dos a un arbres et ferma les yeux.

Il y avait une musique de fond couverte par le bruit des verres qui se cogne pour trinquer, des rires, des paroles, des hommes tous plus imbibés les uns que les autres qui essaye de parler plus fort que les autres. Et il y avait Rebakah, une flute de champagne dans la main, le buffet dans son dos, et face a elle, un groupe de gens qu'elle connait et dont elle est la soit disant amie. En réalité ici, personne n'était l'ami de personne, tout le monde se tirait dans les pattes. Et beaucoup utilisé Rebekah pour tiré dans les pattes des autres incognito. Elle rit a une blague, qui en réalité ne la fit même pas rire, mais dans cette société de focus tout le monde riait aux blagues des autres évidement. Elle porta sa coupe de champagne a ses lévres tout en jettant un coup d'oeil a un homme plus loin. Un homme qui jouait au parfait petit couple avec sa femme, alors qu'il y a a peine trois heure avant le gala, il se prélacer entre des draps blanc avec a côté de lui Reb'. Il releva le regard et le posa sur elle, elle lui souri et  détourna le regard. Elle aimait cette société autant qu'elle la méprisait. Elle avait en réalité juste l'habitude. Elle évoluait dans celle ci depuis toujours. Elle savait que c'était une société dorée de l'extérieur mais totalement pourrie de l'interieur. Et puis c'était aussi la société dans laquel elle était le plus suceptible de se faire un max d'argent.  C'était peut-être incensser pour certain cette envie d'avoir toujours plus d'argent. Mais elle avait était élever comme cela. Et si vous lui disiez "l'argent ne fait pas le bonheur" elle vous répondait " Dans toute ma vie, il n'y a alors encore rien qui me la apporté" En réalité, Rebekah n'avait jamais vraiment nagée dans le bonheur. Elle avait connue un pére aimant certes mais pas vraiment très simple avec qui elle avait eu une relation pére/fille des plus compliquée. Elle semblait abbonner au relation avec des hommes mariés, évitait les femmes beaucoup trop collante.  Son métier n'était pas vraiment quelque chose de légale, elle n'avait pas vraiment d'ami -pour ne pas dire aucun- et elle ne comptait pour personne. En faite Rebekah avait une vie vraiment attypique. Elle avait a la fois réussi et tout râté. Mais bon, elle ne s'en plaigniait pas, elle affichait a un sourire sur son visage et vous manipulez pour que vous pensiez qu'elle était plus heureuse que quiconque et qu'elle réussissait tout ce qu'elle entreprennait. En soit ce n'était pas faut, en général ce qu'elle voulait elle l'optenait.  Elle prit congé du petit groupe de personne avec qui elle était en train de discuter, pour aller prendre l'air.   En chemin, elle senti quelqu'un l'attraper par le poignet. C'était John, l'homme avec qui elle avait passé la nuit d'avant et avec qui elle était aussi trois heure avant de venir ici. Un homme marié, beau, riche, concidéré comme intelligent. Un bon passe temps quoi. Elle ne se tourna pas pour le regarder, elle savait très bien que c'était lui, et elle savait déjà ce qu'il allait lui dire. Il se penchea un peu au dessus d'elle pour lui chuchotter "Tu es magnifique dans cette robe" Elle dégagea doucement son poignet  "On peu pas en dire autant de ta femme." Puis elle reprit son chemin, sans attendre qu'il  la retienne ou quoi que ce soit. Elle faisait toujours en sorte d'être toujours innaccessible. Elle ne voulait pas s'attacher, c'était être faible. Alors elle les faisait marcher sur la tête, leurs mennait la vie dur.

Un grognement la fit ouvrir les yeux en sursaut. Elle se rendit compte qu'elle s'était perdu dans ses souvenir de sa vie passé, et s'en était presque endormie. Elle  tira son couteau de chasse de sa ceinture, se releva et  planta l'arme blanche dans la tempe du cadavre ambulant qui avait pour objectif de la dévorer vivante. Puis elle repris son sac et se remis en marche. S'il y en avait un, en général les autres n'était pas bien loin. Ces zombies étaient de vrai moutons, toujours a suivre le mouvement de foule.  Elle marchait tout en restant sur ses gardes, elle marchait vers où ? Si vous le savez vous lui direz hein. En réalité elle n'avait pas de but précis. A part peut-être retrouver son "groupe" quelle avait perdu a cause d'une horde.  Enfin elle ne se faisait pas trop de soucis pour eux, elle savait qu'elle les retrouverait là où ils avaient prévue d'aller. Soit une petite ville  pas loins d'où elle était. Elle devrait juste traverser des champs au lieu d'une foret. Elle ne savait pas trop si c'était mieux ou pire, mais bon elle le ferait, car elle savait qu'être seule était  beaucoup plus risquer que d'être avec deux autres personnes.  Au moins avec deux autres personnes elle n'avait pas d'"angle mort" a sa visions, a trois ils arrivaient a ne pas se laisser surprendre.  Alors que là seule, elle devait redoubler de vigilance. Tous ces sens étaient en éveille, un moindre mouvement et elle était prête a dégainait son magnum a la vitesse de la lumière.  Enfin pour le moment elle marchait et rien ne semblait vouloir lui causer de dommage.  Elle avait fait un bon bout de chemin depuis qu'elle s'était remise en route. Elle était en train de traverser un champs quand elle remarqua que la nuit allait bientôt tomber.  Elle avait quand même le temps de rejoindre le chemin qui n'était pas loin, et par se chemin elle savait qu'elle pourrait rejoindre ses accolyte dans la petite ville qu'ils avaient prévue de piller et squatter pour la nuit. Elle s'activa donc.  Elle était en bonne voix, mais elle eu malheureusement un petit contretemps.

Elle marchait d'un pas assez actif, de plus en plus sur ses gardes comme il commencait a faire sombre, quand elle entendit des pas se rapprocher, elle porta sa mains a la crosse de son armes prete a affronter les rodeurs ou humains qui s'approchait. Quand elle entendit  une voix masculine lui crier de faire demi tour. Elle n'eu rien le temps de comprendre qu'elle se retrouver entrainer dans une grange non loins d'eux.  Grange qu'elle n'avait même pas remarquer avant. Quand elle se retrouva enfermer dans cette grange avec ce type qui l'y avait entrainer, elle sortie son arme et la pointa tout de suite sur la tempe du brun. "Qui ete-vous et pourquoi m'avez vous entrainée dans cette grange ? Oh et posez tout de suite TOUTES vos armes par terre !" Elle le regardait froidement, et le détaillait au passage. Il était certes bien plus grand et plus costaud qu'elle, elle n'avait vraiment pas peur de lui. De toute façon il était rare que quelqu'un fasse peur a Rebekah. Plus elle le détaillait, plus son visage lui semblait famillié, pourtant c'était un strict inconnue. Alors pourquoi elle avait la sensation de l'avoir déjà vue?  Elle qui était pourtant assez physionomiste, elle n'arrivait pas a mettre le doigt sur le pourquoi du comment cette étrange sensation.  Enfin elle passerait outre cela, elle n'avait pas vraiment le temps de se poser cette question. Le fait d'être enfermer dans une grange avec surement une belle horde de zombie dehor et un inconnue dans la grange ne la rassurait pas des masses. Alors elle avait décider d'être la première a s'imposer. Une stratégie qui était gagnante a tout les coups.  
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeSam 30 Jan - 16:19


Jayden courrait à en perdre haleine. S’il tombait ou si quelque chose se passait mal : il était simplement foutu. L’adrénaline commençait à faire effet, lui permettant de tenir un peu plus longtemps alors que pourtant l’ensemble de son corps criait au supplice. Il avait de la chance d’être sportif, toujours en bonne condition physique malgré son corps amaigri depuis ces foutus évènements. Il n’allait pas tenir et il n’avait pas le choix : il lui fallait un plan B. Rapidement serait le mieux. Ses poumons brûlaient. Jayden s’enfonçait dans la campagne et perdais plusieurs fois l’équilibre. La dernière lui faisait manger la poussière. Il pestait mais son regard se posait sur une grande. Il jetait un coup d’œil derrière lui et reprenais son sprint. Il n’y avait que deux issus possibles : arriver à la grange et bloquer l’accès à temps ou finir en pâté pour rodeurs édentés. Il ne pouvait pas abandonner Parker. Cette idée le poussait à se dépasser. Il arrivait sur le seuil de la grange sans encombre. Il y avait quelqu’un dans les parages. Sans prendre le temps de détailler cette personne, il savait qu’elle était en vie et ca pour le moment c’était suffisant, il lui hurlait de faire demi-tour et l’attrapais par le bras pour l’entraîner à l’intérieur de la grange. Jayden se laissait tomber sur la porte pour la bloquer et parce que ses jambes ne le portaient plus. La première partie du travail était faite.

Se retrouver avec une arme sur la tempe n’est jamais une partie de plaisir, lever les yeux et découvrir de qui il s’agit l’était encore moins. La personne à qui il venait de « sauver » d’un sort funeste était une femme. Par n’importe laquelle Rebekah. La première fois qu’il avait croisé son regard il ne devait pas avoir plus de dix ans. Cette gamine assise sur les genoux de son père attirait sa curiosité. Elle était la seule autre enfant présente dans la pièce. Ils n’étaient pourtant pas là pour jouer.  Pleinement inaccessible, elle avait fini par faire partie du décor. Par trouver pleinement sa place dans le groupe. Ils ne s’étaient peut-être adressé la parole qu’une fois ou deux dans leurs vies. Pourtant il avait l’impression de la connaître. C’était un véritable sujet à controverse. Déjà parce qu’une femme n’avait pas grand-chose à faire dans ce milieu pour la plupart des machos du coin armé jusqu’au dent… Ca semblait évident. Et puis Jayden avait de nombreuses fois entendu sa mère comme son père plaindre cette pauvre petite qui n’avait rien demandé à personne. La brune était beaucoup de chose mais pas une pauvre petite. Plutôt une garce sans scrupule. Mais elle ne méritait pas ce que Jayden lui avait fait. Personne ne le  méritait.

Prendre une grande inspiration puis une longue expiration qui finit par ressembler à un soupir de soulagement. Ce n’était pas le cas. Jayden ne se laissait pas démonter et se cachait sous le visage qu’il avait apprit à façonner pour éviter les questions sur son passé. Une attitude pleinement neutre. Il savait ce qu’elle était capable de faire, il savait aussi que la horde n’était pas le pire danger si elle apprenait qui il était réellement. Franchement retourner à l’extérieur méritait réflexion. Le jeune homme plissait les yeux. « On remet les bavardages à plus tard tu veux bien ? Le thé n’est pas encore prêt »[/b] Question purement rhétorique sur le ton de la plaisanterie. Personne n’oserait s’adresser ainsi à la brune en connaissance de cause. Il attrapait son pied de biche et l’enfonçais dans la porte, à la place de l’habituel rondin de bois qui permettait de bloquer l’accès. « Ca me paraît plus utile. A moins que tu veuilles sortir ?»Il jouait un jeu dangereux il en était bien conscient. Mais il avait observé tellement de réunion… Il connaissait la démarche à suivre. Mieux valait-il passer pour un type un peu idiot qui aime faire le malin  que pour une potentielle menace. Il n’avait pas le temps de rajouter quoi que ce soit que les premiers grognements se firent entendre. « Ca répond au moins à l’une de tes questions. Si tu veux me tirer dessus je te suggère d’agir rapidement vu ce qui nous arrive dessus, ce serait dommage d’être repéré. » Il levait les mains et s’éloignait de la porte. « Ethan. » Il rencontrait son regard. « C’est comme ça que je m’appelle. » Le prénom de son fils. Son meilleur alibi.
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeSam 6 Fév - 10:40

Quand le passé se heurte au present × ft.  Jayden& Rebekah
Le canon du magnum ne tremblait pas. Rebekah avait appris a tenir une arme a l'age de 5 ans, et ce magnum était devenue comme le prolongement de son corps depuis le début de l'épidémie. De plus ce n'était pas n'importe quel arme a feu. C'était celle de son père. Mr Fitzgegald avait une colection d'arme des plus impressionnante dans un coffre, dans son bureau qui depuis sa mort était rester fermer a clé. Rebekah n'avait jamais eu la force d'y rester plus de dix seconde. Elle avait donc caché la clé quelque part dans ce vieux et immence manoir qu'elle connaissait par coeur. Elle pouvait trouver n'importe quoi, n'importe où, les yeux fermer dans ce manoir. Manoir dont elle avait hérité, mais qu'elle avait très peu occupé des sa majorité. Mais de toute ces armes en tout genre, Edward Gabriel Fitzgerald avait toujours préféré son fidéle Magnum. Et Rebekah avait toujours garder cette arme sur elle, comme pour avoir un autre souvenir de son père.  Et depuis le début de l'épidémie, cet arme lui était fidéle, elle en avait tuer des rôdeurs et des survivant avec. Et là, il était encore une fois en train de menacer quelqu'un. Elle ne tremblait pas, meme si elle savait qu'un raport de force lui était défavorable face a ce grand brun. Son regard était froid et d'acier, elle avait appris a perdre toute émotion quand elle menacait quelqu'un. En faite elle avait appris a perdre toute émotion tout court. Chaque émotions était une faiblesse, alors elle ne se les autorissait jamais.  Elle l'observait froidement, et le laissait bouger. Enfin chaque mouvement du grand brun était suivit par le canon de son arme qui était chargée a bloque et prête a tiré a la moindre occasion. Rebekah ne le lâchait pas du regard, comme ca elle avait tendance a faire un peu peur. Elle semblait froide, elle passait presque pour un robot en faite.  Elle le regardait faire le malin, donc c'était ce genre de type ? Le genre d'idiot qui joue les gros bras, parfait, comme ca elle n'était pas en danger. Enfin sauf s'il jouait la commédie, ce qui était fort probable. Mais avec tout cela, elle avait encore et toujours la sale impression de l'avoir déjà vue, et cela ne lui disait vraiment rien de bon. "Comme c'est dommage" répondit la grande brune quand il lui posa une question rhétorique suite a quoi il fit de l'humour. Elle le laissa bloquer la porte avec son pied de biche, ce qui faisait une arme en moins a sa porter, donc une menace en moins pour Reb.  Elle sursauta légérement quand des coups se firent entendre contre la porte. Donc il venait de la sauver d'une horde de rôdeurs ? Elle le remercia interieurement, mais il pouvait toujours aller se brosser pour qu'elle le remercie de vive voix.  Reb ne devait rien a personne, pas même un petit "merci de m'avoir sauvée d'une mort certaine.".  Elle baissa son arme, mais ne le lâchait pas des yeux. Elle fronca un peu les sourcil en voyant son pistolet et son couteau toujours sur lui. Puis il se présentat. Elle ne comptait pas le faire elle, sauf s'il lui demandait. Elle passa a côté de lui et regarda par un tout petit trou de la porte de la grange. Elle vit ques des rôdeurs étaient déjà en train de tapé contre la porte et donc en attirait d'autre. "Tout le plaisir n'est pas pour moi Ethan. Et j'crois qu'on a déjà était repéré. Surement grace a ta brillante idée de hurler au millieu du champs. " Elle le regarda a nouveau d'un air hautain et posa son sac a terre après avoir rangée son arme dans son holster accrocher a sa cuisse.  Puis elle ouvrit son sac et y plongea la main. Elle toucha une boite de conserve, ce qui lui arracha un micro-sourire, au moins elle était assurée de manger ce soir. Puis elle chercha sa lampe de poche. Lampe qu'elle sortie une fois qu'elle l'eu trouvée.  Elle l'alluma et regarda le brun  "Bon, puisqu'on est surement comdamné a rester la nuit ici, autant aller explorer."Et sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle se mit a avancer dan la grange plongée dans l'obscurité. Elle avait bien sur tiré son couteau de chasse, au cas où elle croisait un rodeurs. Elle l'abaterais sans faire de bruit pour ne pas en attiré encore plus dehors. Elle avait laisser son sac a terre, de toute façon il n'allait pas la volé puisqu'il ne pouvait pas sortir. Le bâtiment était pas très grand, mais pas minuscule non plus. Ca ne sentait pas très bon, et même si elle était normalement très sensible aux odeurs, elle avait fini par s'habituer aux odeurs désagréable.  La grange semblait vide, mis a part les quelques petites bottes de foin et pailles qui était entreposer sur la mezannine de  la grande, a laquelle on accedé grace a une échelle. Echelle qui n'inspirait pas grand chose a la brune tant elle semblait vieille et instable. Elle fit un tour sur elle même pour regarder autour d'elle et souri en tombant sur une lampe a huile qui était accrocher a un des pilliers principaux de la grange. Elle s'approcha, la décrocha de son crochet -en se mettant sur la pointe des pieds- et se mit a prier pour qu'elle s'allume. Après trois tentative, celle ci s'alluma et éclairra une bonne partie de la grange. Pour combien de temps ? Elle n'en avait aucune idée, mais au moins elle avait quelque seconde de lumière. "Parfait, comme ca on est plus dans le noir." Elle retourna vers son sac, qu'elle attrapa sans se soucier du brun et retourna vers le pillier où était accroché la lampe. Elle se laissa tomber assise au sol, dos contre le poteau en bois et ouvri a nouveau son sac pour sortir une bouteille d'eau et boire.  Puis elle releva les yeux vers le brun."Au fait, qu'es ce que tu foutait dans ce champs ? Enfin j'veux dire, tu va où comme ca ? " Quoi on avait plus le droit d'être curieuse maintenant ?
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeMar 9 Fév - 22:38

Je n’étais pas ravi de me retrouver nez à nez avec Rebekah. J’avais l’avantage qu’elle ne connaisse pas ma réelle identité. Je n’étais déjà pas dans la meilleure des postures avec son arme pointée sur moi, je n’aurai pas eu une once de chance. Je décidais de tenter le tout pour le tout et de jouer l’idiot un peu trop machiste pour ne pas cacher un profond mal-être. Son regard était froid et pouvait vous glacer le sang. Je devais me concentrer pour le soutenir, pour ne pas sourciller. Je devais me comporter comme si elle n’était qu’une petite menace, une gosse effrayée avec un flingue. Je bloquais la porte avec le pied de biche. Je préférais tout de même éviter de me retrouver piégé entre Rebekah et une horde. Je ne savais qui était le plus dangereux. Des coups ne tardèrent pas à se faire entendre contre la porte. Apparemment j’avais eu tord de croire qu’ils seraient passé sans s’intéresser à la grange. Je ne pouvais m’empêcher de grogner dans mon coin. Je posais à nouveau mon regard sur Rebekah. Au moins elle avait baissé son arme. Je me présentais en tant qu’Ethan, prénom qui m’était cher, puisqu’il s’agissait de celui de mon fils. Je levais les yeux au ciel. « Si je n’avais pas hurler, tu serais certainement au milieu d’eux. Alors de rien. » Je jouais gros. Cette remarque n’allait pas lui faire et j’allais peut-être perdre mon nez ou quelques côtes si j’avais été trop loin. La jeune Fitzgerald n’était pas assez bête pour utiliser son arme à l’heure actuelle. Pendant qu’elle fouillait dans son sac, je faisais quelques pas dans la grange. L’endroit semblait assez résistant pour tenir le temps que les rodeurs se lassent. Encore fallait-il être discret. « Je doute que l’on trouve quelque chose d’intéressant. » Je mettais mes mains dans mes poches et commençais nonchalamment à regarder autour de nous. Je faisais le tour, longeant les murs en bois. Je gardais toujours un œil sur la jeune femme. Elle avait bien grandit. Je doutais avoir un jour eu l’occasion de m’approcher si près d’elle. Son père m’aurait certainement tué pour le triple de la distance actuelle. Ironie du sort, c’est moi qui l’avais tué. Je secouais la tête, ce n’était pas le moment d’avoir des remords. Je m’approchais de l’échelle et jugeais sa solidité. Il ne fallait pas trop compter sur elle. Je posais ma main sur l’un des barreaux pour évaluer le risque. J’allais monter lorsque j’entendais Rebekah et voyais les recoins s’éclairer. « Pas mal. » commentais-je d’un air totalement désintéressé. J’entreprenais mon ascension. Le premier barreau craquait sous mon poids, j’évitais soigneusement le deuxième pour poser mon pied sur le troisième avec une aisance naturelle. C’était le moment rêvé pour qu’elle se montre curieuse. Je me stoppais net. Je sentais son regard sur moi. « Qu’est ce que ca peut te faire ? » l’envoyais-je balader sans la ménager. Si on commençait avec les questions indiscrètes j’étais foutu. Je levais les bras et prenais appuie sur le plancher de la mezzanine pour me soulever avant d’y être assis. Je reprenais la parole. « Loin d’eux. Ca te va comme réponse ? » En haut il n’y avait rien. Je prenais donc le temps de reprendre des forces. J’aimais assez pouvoir la regarder de haut, de façon littérale bien sûr. « Qu’est ce que toi tu fichais en plein milieu de mon chemin ? » Je haussais les sourcils avant de changer de sujet. « Il y a du foin là-haut. De quoi dormir bien au chaud pendant que ces choses tentent de nous avaler… Quel confort. »
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeSam 13 Fév - 20:02

Quand le passé se heurte au present × ft.  Jayden& Rebekah
La grange était maintenant a moitier éclairé par une faible lumière provenant de la lampe a huile que la brune aux yeux vert venait d'allumer. Suite a cela elle s'installa contre un pilier en bois et but de l'eau. Elle tourna les yeux vers le brun qui l'envoya ballader quand elle lui demanda où il allait comme cela. Elle ne répondit rien, se contentant de le regarder froidement monter a cette échelle, priant interieurement pour qu'un des barreau craque, qu'il tombe et se fasse très mal. Oui c'était tout a fait le genre de la brune de souhaiter du mal aux gens.  Mais son souhait ne se réalisa pas, ce qui la déçut un peu. Elle le vit donc se hissé en haut sur la mezzanine et se senti tout d'un coup assez mal qu'il la regarde depuis son perchoir. Elle n'aimait pas être regarder de haut, au sens propre comme au figuré.  Elle leva les yeux pour le regarder quand il lui dit qu'il essayait d'aller le plus loin possible des rôdeurs. Puis elle secoua la tête  "Ta pas plus vaste comme réponse ? Non parce que j'sais pas si tu as remarquer mais... Y'en a de partout de ses merdes là. "Elle se leva d'un bond et s'approcha de l'échelle après avoir mis son sac sur son épaule gauche. Elle regarda l'échelle avec méfiance, si le grand brun, surement plus lourd qu'elle était arrivé a monter sans que le bois ne craque, elle pourrait surement aussi. Pourtant elle était méfiante, elle ne voulait pas se casser la gueule, surtout pas devant ce Ethan qui avait l'air très moqueur en plus. Elle prit une grande inspiration et commenca a monter a l'échelle. Comme lui elle évita certains barreaux qui ne lui inspirait vraiment pas confiance. Elle arrivait a peine en haut quand il lui posa la question de ce qu'elle faisait sur "son" chemin. Elle le regarda de manière hautaine. La lumière n'éclairait pas trop en haut, mais bien assez pour voir. "Ton chemin ? Excuse moi j'ai du louper le panneau qui indiquer que le chemin était a toi." Elle s'approcha de lui, le défiant du regard. Elle était très proche de lui pour l'heure, pour lui montrer qu'elle n'avait pas du tout peur de lui. En réalité elle n'était pas très a l'aise avec cette sensation de l'avoir déjà vue.  Puis après l'avoir bien défier du regard elle se détourna et alla s'assoir au bord de la mezannine son sac a côté d'elle et ses pieds dans le vide. Elle tourna la tête pour le regarder quand il évoqua le foin et le conford que cela leurs procurerait pendant que dehors des rôdeurs chercheraient a les manger. Elle rit doucement  "Quel luxe ! On aurait pas pu rêver mieux..." Elle soupira a nouveau "C'est toujours quand on en a le plus besoin qu'on a pas d'alcool" Dit elle en marmonnant un peu. C'est vrai qu'elle avait un petit penchant pour l'alcool, mais bon, ca c'était depuis que son père était mort.  Combien de fois dans son adolescence elle s'était prise des cuites a en avoir le trou noir. Mais chaque fois elle se reveillait dans son lit. Elle savait que c'était Tony qui s'occupait d'elle a chaque fois. Il ne manquait pas de lui dire, comme pour se faire bien voir. Au final, elle avait toujours put compté sur Tony, alors qu'elle était vraiment horrible avec lui a chaque fois. Elle l'avait rejetter, humilé, insulté un nombre incalculable de fois. Et elle avait même fini par le sacrifié, bizarrement quand elle y repensait, elle sentait son coeur se serrait. Comme si elle ressentait de la culpabilité.  Enfin elle refusait d'y penser, et encore plus de culpabiliser. Tony n'avait eu que ce qu'il meritait, et puis il fallait qu'il s'y attende après ce qu'il avait dit sur le père de Reb.  Elle secoua la tête pour chasser tout cela de ses pensées et secoua ses pieds dans le vide. Elle soupira fortement, et tourna la tête pour regarder le tatouer qui n'était pas loin. "Ca va être l'ennuie totale toute la nuit  a ce rythme là... Ta pas un truc a faire, un jeu de carte ou j'sais pas moi...Quelque chose pour occupé cette nuit qui promet d'être longue !" Dit elle en penchant un peu la tête sur le côté.
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeDim 21 Fév - 18:10

Je commençais à partir à la découverte de la grange. Nous allions peut-être pouvoir trouver de quoi tenir le temps que les rodeurs se lassent de nous attendre, ou se mettent en route pour une nouvelle cible, et en plus cela me permettait de ne pas rester trop proche de la jeune femme. J’étais mal à l’aise et je ressentais un certain mal aise, que je devais absolument dissimuler. Je montais à l’échelle pour atteindre le premier étage de la construction. Je la regardais depuis là-haut alors qu’elle continuait notre conversation. Je lui répondais que j’allais le plus loin possible des rodeurs et levais les yeux au ciel alors qu’elle répliquait que je pouvais toujours courir. « Vraiment ? Je pensais qu’il y avait une convention geek dans le coin. » C’était typiquement mon genre d’humour, et je ne pouvais m’empêcher de rigoler à ma propre stupidité. « Est-ce que l’on peut encore vraiment savoir où l’on va ? » Je faisais en sorte de ne pas avoir à répondre à la question. Je savais qu’elle était dangereuse. Hors de question de faire courir un risque au groupe que j’avais rejoins pour quelques jours. J’espérais qu’ils n’avaient pas croisés le chemin de la horde. Mon cœur se serrait : Parker était avec eux. Je ne pourrai me pardonner si quelque chose… Non je refusais d’y penser.

Rebekah me rejoignait là-haut. Je ne bougeais pas. Si j’avais bougé, j’aurai pu avoir l’air suspect. Elle ne semblait pas méfiante. Elle devait être à des kilomètres de se douter de qui j’étais. Une bonne chose. Je lui retournais sa question et lui demandais, ce qu’elle fichait là elle. Sur mon chemin. Sa réponse fusait immédiatement. Je levais les yeux au ciel et grommelais dans mon coin sans rajouter quoi que ce soit. Je lui parlais ensuite du foin. Ca allait pouvoir nous faire une bonne couchette et surtout nous permettre de ne pas dormir à même le sol froid. La jeune femme riait à ma plaisanterie. J’en sursautais, ne m’attendant pas à une réaction de ce genre de sa part. « C’est tellement mieux qu’un lit moelleux king-size » L’alcool. Je n’en avais pas bu depuis très longtemps même s’il m’en restait au fond d’un sac. Je préférais le garder en cas de blessure. C’était un très bon désinfectant. Mais je devais avouer que j’aurai aimé avoir un verre, même de bière de temps en temps. Lors de mon adolescence, j’en avais consommé assez pour une vie. « Mes stocks sont vides depuis bien longtemps. »[/b] Je m’asseyais à ces côtés. Les grognements se faisaient toujours entendre, et les coups sur le bois me glaçaient le sang. Dans quelques heures ce seraient encore pire. La nuit c’est toujours pire. Je sentais le regard de la jeune femme sur moi. Elle me demandait si j’avais amené quelconque distraction. Je haussais les épaules. « J’ai abandonné ma console il y a un moment aussi. On peut toujours balancer des cailloux sur ces trucs mais je doute que ca aide à les calmer. » Je faisais craquer ma nuque ainsi que mes épaules. « C’est l’occasion de dormir comme jamais. » Je n’y croyais pas une seconde. Impossible de dormir avec ces choses en bas.
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeSam 19 Mar - 11:11

Quand le passé se heurte au present × ft.  Jayden& Rebekah
Contre toute attente, la blague sur la convention geek fit rire doucement la brune. Oui elle aimait ce genre d'humour un peu pourri. Bien sur elle ne se donna pas la peine de répondre a cela, et enchaîna vite sur la seconde question. Mais bien sur, l'homme lui répondit par une autre question, faisant donc en sorte d'éviter la question de la brune. Pourquoi? Il avait quelque chose a cacher, voila la conclusion de Rebekah. Et croyez moi, elle était forte pour reperer ce genre de chose. Elle se dit donc qu'il fallait la jouer fine, lui faire dire son but, sans vraiment le lui faire dire. Elle allait donc essayer de rusé, en éspérant que cela marche, que l'homme soit aussi idiot qu'il voulait en avoir l'air. Elle haussa les épaules  "Je ne sais pas. Les pessimiste, comme toi visiblement, te dirons que non, vue l'état du monde actuel personne ne peut savoir vraiment où il va, tant qu'il survie. Les plus optimiste te dirons qu'on a toujours un but dans la vie, peut importe l'état du monde actuel. Moi je serais plus pour dire que oui, on peu avoir un but. Déjà tu en a un, survivre si je me trompe pas, sinon tu te serais surement laisser dévoré et moi avec du coup. Après je ne sais pas, tu as peut-être quelqu'un a protéger ou je ne sais quoi. Je ne peux pas répondre a cette question pour toi Ethan, vue que je ne te connais pas." C'était surement la première fois depuis qu'ils se connaissaient, donc depuis qu'ils étaient enfant, qu'elle lui parlait autant. Enfin, elle ne le savait pas, elle ne l'avait pas reconnue. Elle avait l'impression de la connaitre, mais sans arriver a mettre un nom sur son visage. Après tout, Jayden avait était comme tout les autres, celui qu'elle observait pendant les réunions, mais a qui elle ne parlait pas, et qu'elle ne calculer même pas en dehors de tout cela.  Elle était donc tellement loin de se douter qu'elle parler a celui qui avait fait basculer sa vie. Celui qui l'avait fait devenir une épave pendant une période de sa vie. Mais n'en était elle pas encore un peu une ? Elle aimait a se dire que non, mais certain vous direz surement que si...Elle en était une.
Elle le rejoignit en haut,après avoir monter prudament l'échelle. Elle avait prier a chaque barreau qu'il ne craque pas. Et visiblement elle avait était parano, car l'échelle avait tenue, elle était arriver a bon port et donc l'homme ne la regardait plus littéralement de haut maintenant. Même s'il restait le fait qu'il était beaucoup plus grand qu'elle. Elle rit quand il lui dit qu'ils avaient la chance d'être entourer de paille et de foin, donc qu'ils seraient confortablement instaler pour dormir ce soir. Decidement cet homme savait la faire rire. Ce n'était pas arriver depuis longtemps qu'elle rit autant en si peu de temps.   "Ouais...Enfin un king-size ca gratte pas je pense"  Dit elle en lui faisant un grand sourire. Puis elle marmonnat son envie d'alcool. Oui depuis la mort de son père, la brune avait tendance a être assez porter sur la bouteille, le fait d'être dans un état second lui faisait voir la vie un peu plus rose...Ou parfois carrément plus sombre, cela avait toujours dépendu de son état d'esprit avant de commencer a picoler. Elle soupira quand il lui dit qu'il avait épuisé ses stocks. Ce sera donc une soirée sans alcool. Mais elle ne répondit rien. Puis elle lui demanda s'il avait une idée de quelque chose a faire. Après tout la nuit promettait d'être longue, ils étaient coincés et encerclé par au moins une trentaine de mort qui n'attendaient qu'une chose: les croquer. Et elle était insomniaque, elle dormait donc deux ou trois heures tout au plus. Elle allait donc trouver la nuit très longue si elle n'avait rien a faire. De plus peut-être qu'ils seraient coincés plus qu'une nuit. Tout dépendait au final de quand les rodeurs se déciderait a les oublier. Enfin ce qui la rassuré c'était que ces choses avait la mémoire courtes, bientôt ils oublieraient pourquoi ils tapaient sur cette grange dans l'espoire d'y entrer, et passeraient a autre chose. Où peut-être qu'un bruit attireraient leurs attention. L'homme et elle n'avaient plus qu'a patienté que cela arrive. Elle le regarda en soupirant doucement  "L'ennuie c'est que... Perso je pourrais pas dormir avec ce bouquant dehors...Et en plus je suis insomniaque... Il me faut une occupation sinon je vais avoir envie de me pendre." Dit elle en riant. Bon c'était un peu de l'humour noir, mais bon c'était son humour bien a elle. Elle regarda a nouveau droit devant elle en réfléchissant a haute voix. "Alors qu'es ce qu'on peu faire quand on est enfermer dans une grange avec des rodeurs dehors... Leurs jeter des pierre comme tu dis... Non j'ai pas de lance pierre. Sortir et tous les tuer ? Non ils sont trop nombreux... Dormir ? Je suis insomniaque... Picoler ? Pas d'alcool... Faire une bataille de foin et paille ? Non on est plus des gamins... S'envoyer en l'air ? Tien j'ai jamais fait ca dans une grange. " un grand sourire malicieux se desina sur ses lèvres. Elle tourna la tête pour a nouveau regarder le jeune homme   "Ca te tente ? " Ele explosa de rire en voyant la tête du brun "Je rigole t'en fait pas !" Puis elle posa les yeux sur la lampe a huile dont la lumière commencait a faiblir "Par contre... On va bientot être dans le noir...Et là je rigole pas... " Elle le regarda a nouveau, dans l'espoire qu'il avait une solution a cela, et aussi une idée d'occupation.
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeLun 28 Mar - 19:26

Je pensais vraiment que ma blague allait faire un flop complet mais j’avais tord. Je n’imaginais pas que Rebekah soit si bon public. Je ne me souvenais pas l’avoir vu un jour sourire, si ce n’est un beau sourire carnassier. Je faisais signe de saluer mon public avant de reprendre mon sérieux. Je ne répondais pas directement à sa question. Je savais ce dont elle était capable, même sous ses airs angéliques du moment et je ne voulais pas faire courir de risque à qui que ce soit. Je l’écoutais toutefois attentivement. Son discours était assez censé et certainement le plus long prononcé depuis que nous nous connaissions. « Moi je pense qu’on a un instinct de survie, quelque chose de très animal qui nous pousse à nous battre encore et encore. Ne pas renoncer simplement parce que c’est dans notre nature. Le reste c’est du bonus. Et si tu as la chance d’avoir une chose ou quelqu’un qui compte sur toi, l’espoir le plus infime, tu es clairement béni des dieux. » Je m’accrochais à l’idée de revoir un jour mon fils et ma femme, de protéger Parker quoi qu’il m’en coûte. C’était mon moteur. Mon unique raison de vivre. Je tournais la tête vers elle. « Et toi ? Pour qui tu te bats ? » Avait-elle quelqu’un à ses côtés ? Quelqu’un pour prendre soin d’elle ou plutôt pour protéger le reste du monde d’elle ? Je réfléchissais à cette idée jusqu’à ce qu’elle me rejoigne. Nous aurions pu trouver pire qu’une grange comme celle-ci… Nous enfoncer dans un tuyau sombre et humide derrière une grille, tentant d’éviter les bras qui passeraient… Même si à l’heure actuelle la situation n’était pas géniale, avec une horde autour de nous, mais nous avions un semblant de sécurité et même de quoi dormir. Un bon tas de paille, c’était parfait non ? Je haussais les épaules à sa remarque, un sourire sur les lèvres. « Je ne sais pas trop… J’ai oublié ce que ca faisait de dormir dans un king size. » Nous n’en avions pas à la maison, seulement chez ses parents. Leanne en voulait un mais je n’en avais jamais vu l’intérêt ! Je préférais la sentir contre moi à la nuit tombée. Je déglutissais silencieusement, à nouveau plein de nostalgie. Rebekah me sortait de mes pensées en parlant d’alcool. Effectivement, un verre ne pourrait pas nous faire de mal… Sauf que ce n’était pas facile à trouver à l’heure actuelle. La jeune femme commençait déjà à s’ennuyer. J’étais bavard mais cette fois je ne voulais pas trop parler. J’avais peur de faire une bourde. Pourtant je commençais à la voir différemment… Elle était agréable, même sympathique. Est-ce que je la diabolisais ? Je ne la connaissais pas dans le fond. Je lui proposais de balancer des cailloux ou surtout de dormir. Je riais à mon tour à sa remarque sans pour autant répondre. Je hochais la tête à chacune de ses propositions et blanchissais légèrement avant de rougir lorsqu’elle proposait de s’envoyer en l’air. J’espérais qu’elle n’était pas sérieuse. Je me renfermais sur moi-même, ne sachant que dire. La jeune femme explosait de rire et je me décontractais, comprenant qu’elle rigolait. « Déjà fait. Mauvaise expérience. » commentais-je. Certainement la seule fois où mes parents m’ont envoyé en camps de vacances. Le foin ca pique les fesses. Elle me faisait remarquer que la lumière commençait à faiblir. Je réfléchissais. « On peut essayer de charger la lampe avec de la paille… Ca brûle techniquement non ? Ou alors dégager un peu le sol en bas et faire un petit barbecue. On peut certainement trouver un truc en métal pour le contenir. » Les feux et incendies c’était tout de même un peu sa spécialité. « Mais ils adorent la lumière… L’humidité va retomber en plus. On va avoir besoin de se réchauffer un peu. Et vu qu’il n’est pas question de faire des galipettes… » je plaisantais plus détendu qu’auparavant. Mon estomac faisait son apparition. « Et bien sûr pas un seul animal… J’aurai bien avalé un steak ! »
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeDim 10 Avr - 9:32

Quand le passé ce heurte au présent

Leurs conversation était devenue philosophique, mais ce n'était pas un problème, bien au contraire. Avec un peu de chance, il se perdrait dans ses paroles et révélerait tous ce qu'elle voulait savoir sans même s'en rendre compte. Pourquoi elle voulait savoir déjà ? Comme ça, par pur curiosité. Et les efforts qu'il faisait pour ne pas répondre a sa question prouvait qu'il avait quelque chose a cacher, et lui donnait encore plus envie de savoir ce que c'était. Rebekah était curieuse, parfois un peu trop, comme une véritable fouine, elle mettait son nez partout. Même si parfois elle savait aussi vaincre son envie de toujours tout savoir et laisser filé des choses qui ne la regardait pas.  Elle l'écouta et hôcha la tête. Son discourt était des plus censé et assez juste aussi.   Puis elle rit a sa dernière phrase.  "Ou maudit. Avoir quelqu'un a qui tu tien, surtout dans le monde actuel, c'est prendre le risque de souffrire. L'amour, l'amitié, même la famille... C'est donner le droit a quelqu'un de te détruire. De te faire mal, te faire souffrir, te faire devenir une épave, te donner envie de mourire. Non... Si tu tien a quelqu'un tu n'ai pas béni des dieux, tu es plutôt maudit par celui ci.  Mais bon, l'être humain est maso et dieux fait preuve de sadisme, donc on voit le bonheure là où on risque le plus de souffrir. " Elle venait de lui exposer sa façon de penser sur l'amour, les sentiments et tout ce qui va avec. Elle avait juste donner son avis, et elle savait qu'il allait être contre. Mais elle n'en avait que faire, pour elle, elle avait raison, et têtut comme elle était, jamais elle n'en démordrait. Elle le regarda droit dans les yeux et rit amuser a sa question "Tu essaye de me retourner une question que je t'ai poser en première. Je te répondrais après que tu m'ais répondut. " Il était malin, il fallait l'avouer. Mais Rebekah l'était aussi, et  pas question qu'elle se fasse prendre a son propre piège.   Et puis la conversation vira sur la sensation que cela faisait de dormir dans un lit, un vrai. Mieux même un King size. Rebekah aurait tout donner pour pouvoir là, maintenant tout de suite, dormir dans une de ces chambre d'hôtel de luxe qu'elle avait l'habitude de fréquenter avant.  Ce qu'elle pouvait rêver de dormir dans un king size, pouvoir s'enrouler dans les draps et prendre toute la place dans un lit imense, comme elle avait l'habitude de le faire normalement, avant tout cela. Maintenant elle en était réduite a dormie dehors, comme tout le monde, a la belle étoiles et parfois dans une tente quand ils en trouvait. Mais jamais ils n'en transportait car c'était trop encombrant et visible de nuit. Enfin, si avant elle n'avait jamais beaucoup dormie, aujourd'hui elle dormait très peu, trop peu même parfois. De ce fait elle devait avoir de jolies cernes sous les yeux, enfin ce n'est pas comme si aujourd'hui le physique comptait encore beaucoup. Suite a leurs conversation sur les lits, ils se mirent a chercher quelque chose pour occuper leurs soirée. Maintenant avec l'appocalypse l'occupation principal était de survivre, et donc quand on se retrouvait enfermer quelque part pour la nuit, très vite on tournait en rond. Surtout quand comme Rebekah, vous etiez insomniaque et donc vous ne dormiez pas beaucoup. De plus, la dizaine, voir vingtaine de rodeurs qui taper contre les murs et la porte de la grange en bois, ne serais surement pas une super berceuse pour s'endormir.  Elle haussa les épaules et regarda le brun "J'ai oubliée aussi... J'ai trop souvnt dormie dehors depuis le début de tout ca...Enfin dormir est un bien grand mot." Elle soupira. Puis elle rit a sa propre blague, mais surtout a la tête de l'homme. Le voir devenir tout rouge était vraiment a mourire de rire. Enfin il se détendit en l'entendant rire.  Elle le regarda surprise quand il lui dit qu'il l'avait déjà fait et que c'était une mauvaise expérience. Elle rit a nouveau "Ah ouais t'es un gars comme ca toi ?"Dans le fond elle l'enviait un peu. S'il avait put avoir cette expérience, c'est qu'il avait déjà était a la campagne, ou en camps de vaccance, enfin dans tout les cas, qu'il sortait de chez lui quand il était jeune. Elle, elle n'avait jamais eu le droit a cela. Et la seule fois où elle avait essayer de faire le mur, son père lui avait tiré une balle dans la cuisse, la clouant au lit pendant un mois dans l'incapacité de marcher. Belle comme vacances pas vrai ? Enfin bon, son passé avait forgé son caractère, et si elle avait eu une plus belle vie, elle n'en serait peut-être pas là en ce moment. Si elle n'avait pas vécut toutes ces expérience elle n'aurait peut-être pas eu cet incroyable instinc de survie.  Puis elle signala au brun que leurs faible lumière allait bientot s'éteindre. Il proposa plusieur solutions qui la firent réfléchir un court instant. Puis elle se  releva prit du foin et descendit, en faisant a l'échelle, en faisant très attention bien sur. Elle fourra le foin dans la lampe a huile, qui vit la flamme s'aggrandir pour dévoré le fourrage sec qu'on venait de lui donner a manger. La brune regarda le brun en souriant "Bonne idée, faudra par contre le faire souvent, c'est super sec ca va vite bruler." Elle regarda son sac et hésita un instant quand il parla de manger un steak. Elle n'avait pas ça en magasin, mais elle avait des boites de conserves dans son sac. Elle se mit a hésité, elle n'avait pas vraiment envie de lui en cédé une, c'était se privé d'un futur repas. Mais d'un côté, d'ici demain elle devrai avoir rejoint son groupe et donc ils pourraient trouver d'autre denrées sans problèmes. Elle soupira doucement  alla vers son sac. "Je te laisse faire le barbecue, je fournie les conserve. Désoler j'ai pas de steak par contre. " Elle regarda le feux dans la lampe et se mit a réfléchir "Et si... On les attiraient ailleurs ? On peut lancer des pierre très fort  et loin, ca fera du bruit et ils iront chercher ce que c'est... Ou on les fait rentré dans la grange et on brûle la grange... " Dit elle tout en continuant a réfléchir.


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Aileen L. Blackhood

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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitimeMar 28 Juin - 13:39

RP archivé suite à la suppression de Jayden. coeurrose
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MessageSujet: Re: Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Rebekah - Quand le passé se heurte au présent. [A ARCHIVER] Icon_minitime

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