Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure.
Sujet: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 1:04
Lysander Andrei
PRÉNOM(S) † Lysander, car son grand-père, tout aussi mafieux que le père, s'appelait Lisandro. NOM † Andrei. Nom que son odieux père mafieux et toxicomane lui a légué d'une lointaine ascendance Sicilienne. ÂGE † 42 balais passé à braquer, tuer, voler, menacer, etc...DATE DE NAISSANCE † 12 octobre 1974. LIEU DE NAISSANCE † San Diego, une ville qui a failli lui appartenir. ANCIEN LIEU D'HABITATION † San Diego, pourquoi changer de ville lorsque l'on a un énorme passif là-bas qui peut donner du pouvoir ? ANCIEN MÉTIER † Mafieux. Le seul métier qui ait jamais pu lui convenir. STATUT FAMILIAL † Veuf ? Il n'en a pas encore vraiment conscience. ORIENTATION SEXUELLE † Hétérosexuel. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR † Matthew McConaughey. GROUPE QUE TU SOUHAITES REJOINDRE † J'ai toujours été et serais toujours un marginal au final, pourquoi changer ? CRÉDIT AVATAR † pathos.
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C'est le petit coin pour que tu nous parles de toi, oui toi derrière l'écran ! Qui es-tu (prénom, âge, pseudo sur internet) ? D'où viens-tu (pays pour le décalage horaire) ? Comment as-tu connu le forum (top-site, pub, bazzart, ...) ? A quelle fréquence penses-tu passer / te connecter sur le forum (ex : 3 jours sur 7) ? Libre à toi de te présenter comme tu le souhaites, de l'écrire selon ton bon vouloir. Donne-nous quand même les infos principales (l'âge, le prénom pourquoi pas, ton décalage horaire). Et surtout, très très important : le code caché dans le règlement. Si tu oublies, on ne pourra pas te valider et ça te fera perdre un temps précieux.
Décris ton caractère d'avant l'épidémie puis de maintenant.
On ne peut pas dire qu'avant l'épi... tout ça, j'ai été très différent. Peut-être des principes. Oui c'est ce que je dirais, j'avais des principes. Aujourd'hui à quoi bon en avoir ? Dans le monde d'avant, avoir des principes servait peut-être à bien se faire voir de ses amis, comme de ses ennemis. À quoi bon aujourd'hui alors que quasiment aucune trace de société n'a subsisté ? Aujourd'hui c'est bouffe ou laisse toi bouffer, pas de place pour les remords, les sentiments et les idées. Soit on reste dans le passé et on en crève, soit on vie dans le présent et on survie, et on ne fait que survivre...
Que ressens-tu quand tu vois un zombie ? Est-ce que tu les tues ? Si oui, que ressens-tu ?
À vrai dire... J'ai peur. Pas du rôdeur en lui-même, ça non. C'est pas plus compliqué que de tuer un Homme. Une balle dans la tête, un coup de machette bien placé en plein milieu du crâne et l'affaire est réglée. Non, ce qui me fait peur c'est de tomber sur elles. Tomber sur elles et avoir à faire ça... Ce serait comme de les faire souffrir de leur vivant et ça je ne pourrais pas. Oui, je sais très bien qu'elles sont mo... enfin... Non il doit plus y avoir aucune chance qu'elles soient vivantes. Mais si je les voyais rôder devant moi... À vrai dire je ne préfère même pas y penser, j'ai trop peur que ce jour arrive.
As-tu perdu beaucoup de proches et les pleures-tu encore ?
Et bien n'étant proche que de très peu de personnes de mon vivant, car oui nous ne sommes plus complètement en vie après ce qu'il s'est passé... À vrai dire pas beaucoup... Deux, trois peut-être. Ma femme, ma fille et peut-être Dwight à la limite. Et aucun à cause de ces fichus zombies, c'est ça le plus gros problème...
Penses-tu avoir évolué depuis le début de l'invasion ?
Evolué oui. J'ai changé d'endroit, j'ai changé de condition physique, d'objectifs, etc. Mais en soit si on parle d'un quelconque changement psychologique... Personnellement, je ne le vois pas. Peut-être un peu plus craintif, sur mes gardes, mais rien de plus.
Dernière édition par Lysander Andrei le Lun 10 Oct - 12:10, édité 4 fois
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 1:05
"La malavita trasforma un uomo"
"Un uomo non s'abraccia per defendersi, ma bene per uccidere"
3 Février 1974 :
John est encore sur le terrain. Un sale type lui a volé une cargaison de cent kilogrammes de coke. Il sait qu'il sera là ce soir. Ton salopard de père a alors prévu le coup et posté une vingtaine d'hommes autour et dans le bâtiment. Le sale type arrive en bagnole et ne se doute pas de ce qui va lui tomber dessus. La bagnole est une belle 67 Chevy Impala noire, gentes chromées, dégageant un beau bruit de sportive. L'homme coupe alors le contact et dans un doute laisse tout de même les phares allumés. Le bruit du moteur a explosion s'arrête, mais la voiture garde sa présence grâce à ses phares. L'homme sors de sa voiture au même moment où John sors d'un coin sombre. Le type voyant ton père se diriger vers lui aurait failli faire une crise cardiaque en voyant ce dernier selon lui. Il essaie alors de rentrer dans sa voiture mais John dégaine son arme et la pointe sur lui en le menaçant de le tuer s'il essayait de lui échapper. L'homme s'est alors retournée et ses hommes sont aussi sortis de l'ombre et l'ont encerclé. L'homme voyant son sort arriver s'affaissa devant son véhicule avant de pleurer "Comme la sale race qu'il était" aux dires de ton père. John l'a alors pris dans ses bras et l'a "rassuré" quant au fait qu'il allait mourir de toute façons et que s'il ne lui disait pas où il avait mis la cargaison il allait cependant mettre très longtemps à mourir. L'homme beuglant et baragouinant des choses incompréhensibles dans sa barbe, ton père s'énerva et donna un coup de poing dans la voiture qui fit un plis dans la carrosserie. Le sale type pris alors de panique, mon père sentit une odeur très particulière. Une odeur agressante et familière. Il regarda en-dessous de lui. Il s'était effectivement pissé dessus. John le pris par le col et selon ses dires le souleva d'un coup. Il le mit sur le coffre et lui expliqua que les chourineurs ça lui plaisait pas et qu'il avait vite intérêt à lui dire où était la cargaison. L'homme ne répondit toujours pas tandis qu'il pleurait et pissait sous le nez de ton père. Le parrain attendit alors quelques secondes, puis, pris de rage, propulsa l'homme à terre et le tua d'une simple balle dans la tête. Il dit à un de ses hommes de vérifier la voiture de fond-en-combles et de garder la voiture s'il n'y avait rien, il dit à huit autres dans la pièce de fouiller l'entrepôt et de lui rapporter ces "putains de sacs de coke". Le dernier dans la pièce était son bras droit. Ils retournèrent alors à la voiture de John, une Ford Mustang modèle 1966. Ton père déposa son bras droit à sa voiture quelques centaines de mètres plus loin et rentra auprès de sa femme. Lorsqu'il rentra, il était assez tard. Maria, ta mère, s'était endormie sur le canapé. Rustre comme est ton père il la réveilla en gueulant disant qu'il avait faim et qu'il voulait qu'elle lui cuisine quelque chose. Maria, en bonne mexicaine lui rétorqua que s'il avait faim il n'avait qu'à cuisiner seul en haussant la voix. Ton père se rua alors dessus et commença à l'étrangler. C'est la première fois qu'il était aussi violent avec elle. Il voulu l'obliger à faire la cuisine à cette heure tardive, et ta mère refusa encore une fois en lui crachant au visage. John, alors pris de rage, resserra l'étreinte sur son coup et tout en essayant de lui ôter la vie, toucha ses formes généreuses et commença à la déshabiller en la traitant de pute immigrée, que sans lui elle ne serait pas là où elle est. Maria essaya de se débattre tant qu'elle pu, mais n'arrivait pas à se défaire de l'étreinte bestiale de son mari. Lui qui la touchait encore et encore, avant de la déshabiller presque totalement. Il défit alors sa ceinture, puis sa braguette, et la pénétra presque immédiatement. Se fut si bestial que ta mère s'évanouie pendant l'acte. À son réveil le lendemain, ton père était parti faire ses affaires laissant ta mère seule, choquée, apeurée et pleurante au domicile familial. "Voilà comment tu as été conçu Lysander" te dit ta mère alors que tu n'as encore que neuf ans.
24 Décembre 1983 :
C'est le noël de tes neuf ans. Depuis quelques jours tu est obsédé par cette date, à tel point que ton père t'a déjà réprimandé sévèrement plusieurs fois pour ta conduite. Bien que tu considère déjà ton père comme un odieux personnage, il a eu l'air de se calmer ces derniers temps. Tu suppose l'approche des fêtes. tu a passé la journée dehors avec des copains de ton quartier à faire du vélo et autres activités de ton âge. Bien que les parents de ces enfants sont particulièrement réticents au fait que tu traines avec eux. Mais t'étant bien tenus chez eux plus d'une fois, ils t'ont donné une chance en se disant que tu serait peut-être différent de ton père. Grave erreur. En bref la journée avait très bien commencée et tu espérait encore beaucoup de celle-ci. Vers dix-sept heures ce fut l'heure de rentrer. Ta mère te dit alors de filler dans ta chambre avant que tout ne soit prêt pour ce soir. Tu est surexciter à l'idée de voir tes cadeaux. Tu essaie de rester dans ta chambre malgré le fait que tu ne puisse pas tenir en place. Tu sors plusieurs fois de la pièce et ta mère fini par t'obliger à y rester en te punissant. Le réveillon commence mal. Tu essaie de te consoler de toute les manières possibles mais tu en veux terriblement à ta mère de t'avoir puni le soir du réveillon. Tu passe alors quelques heures seul dans ta chambre à bouder quoique ce soit qui pourrait vouloir interagir avec toi. dix-neuf heures, vingt heures, vingt-et-une heure, vingt-deux heures passent sans aucun signe de vie de ton père que tu déteste. Tu t'était dit plus tôt que vous pourriez fêter le réveillon seuls toi et ta mère, vu qu'il n'est jamais là. Mais l'ayant proposé à ta mère elle t'a crié dessus en disant que ton père était tout aussi important, si ce n'est plus, qu'elle ou toi dans cette famille. Tu étais parti bouder encore plus déterminé dans ta chambre. Minuit. Ton père arrive enfin. Ivre mort, drogué et tu en passe. Tu l'entends crier dès les premiers instants sur ta mère. Tu reste là-haut, apeuré de devoir l'affronter. Il traite encore une fois ta mère de pute de t'avoir enfermé dans ta chambre pour l'attendre et d'avoir laissé refroidir le repas. Là tu entend ta mère hausser le ton, mais seulement le temps d'un instant. Il l'a giflé. Il la gifle encore une fois. Tu l'entend prendre un couteau, mais ton père le fait tomber et commence à la frapper. Tu es à bout. Tu n'en peut plus de ce macaque puant, imbibé en permanence d'alcool et d'autres produits illicites. Tu n'en peut plus d'entendre ta mère se faire humilier, frapper, battre, tandis que toi tu es impuissant et qu'il t'emporte parfois dans ces ébats brutaux et animaux. Tu te souviens que quelques mois plus tôt il t'avait avoué, alors qu'il était dans un état second, les cachettes de ses revolvers dans son bureau. Tu décide alors au bout de quelques minutes, de pénétrer dans le lieu interdit qu'est son bureau et de prendre un flingue. Tu te rappelles comment on arme. Tu descend dans la cuisine et vois ta mère se faire humilier une fois de plus. Tu déglutis péniblement avant d'armer le flingue et de le pointer, tout tremblant sur ton père. Tu lui dis alors de la lâcher en criant. John se retourne, voyant le canon pointé sur lui et a un mouvement de recul. Il essaie de te dissuader de faire quoique ce soit, mais tu n'en a que faire, tu es déterminé à tuer ce pitre, cette énergumène, cette pauvre merde qui entache ton noël et celui de ta mère. Tu as décidé d'en finir. Il s'approche alors doucement et tout en te parlant calmement tend la main vers le canon pour essayer de récupérer l'arme. Tu lui dit de ne plus bouger, mais il avance encore. Tu cris pour te faire comprendre, mais il avance encore. Tu diriges alors l'arme vers la porte et tire. Il s'arrête net. Ta mère vient de crier de terreur. Tu pointe à nouveau l'arme sur lui et charge. Ton père est à ta Mercie. Il s'agenouille devant toi et s'attend à tout. C'est la première fois que ton père a peur de toi. Tu peux lui faire tout ce que tu veux, c'est toi qui est en position de force. Mais tu n'ose pas le tuer. Peut être un respect profondément enfoui que tu as envers lui vient de refaire surface. Tu ne sait pas ce que tu dois faire et pourquoi tu n'appuie pas sur la détente alors que tu l'as en ligne de mire. Tu attends plusieurs secondes, dans le silence le plus total. Puis tu lui dis simplement de partir. Ton père commence à se mettre dans une rage noire, mais tu lui rappelle qui a le flingue. Il s'arrête immédiatement et te demande si c'est ce que tu veux. "Pour sauver ma mère ? Oui c'est ce que je veux" lui réponds-tu sans ciller. L'homme se redresse alors, marche à reculons vers la sortie et te menace en disant que tu allais le payer. Tu lui rappelle une nouvelle fois qui a le flingue et il sort de la maison. Tu lâche alors l'arme au bout de quelques secondes et te précipite vers ta mère encore sous le choc. Il s'est à partir de là installé un climat de crainte dans cette maison. Une crainte qui va autant du père vers le fils, que du fils vers le père à présent.
7 Novembre 1986 :
C'est une belle journée d'automne qui s'est installée. Le climat de crainte règne toujours à la maison, à qui baissera les armes en premier. Tu as obligé ton père à t'apprendre à tirer et à te battre. Pour cela il a fait appel à un de ses hommes de confiance, Lucian Massiani. Il est d'une famille qui a toujours suivi la tienne dans tout ce que vous entrepreniez. Tu aime bien Lucian. Il est pour toi plus un père que John ne pourrait jamais l'être. Il t'apprend non seulement à te battre et tirer, mais aussi la vie de tout les jours, t'aide lorsque tu es tracassé par quelque chose, etc. Il t'apprend même un brin de musique, en aiguisant ton sens musical et en t'apprenant quelques accords de guitare. Tu développe une vrai passion pour la musique et ne t'arrête jamais.
You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.
Dernière édition par Lysander Andrei le Mar 11 Oct - 2:07, édité 5 fois
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 1:36
Bienvenuuuuuue ! Merci de tenter ce pré-lien. Hâte d'en lire plus sur ton personnage & courage pour la rédaction de ta fichette. Si tu as des questions n'hésite surtout pas.
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 1:39
MICI !!! L'idée de personnage m'a vraiment plus, j'espère que je vais en faire quelque chose de potable
Rebekah Fitz-Williamson
Rebekah Fitz-Williamson
And in that moment, i swear we were infinite
Conreb
les récompenses !:
Award 2018:
× Âge du perso : : 36 ans mais elle préfére se dire qu'elle n'a jamais passer la trentaine
× Caravane + colocataires : : Caravane 12C avec son mari Conrad
× Poste assigné : : Assistante des spécialiste au centre d'entrainement
Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 4:20
Bienvenue ! Super choix que ce soit de pré-lien comme d'avatar ! On trouvera un chouette lien vue que nos deux perso vienne/était dans le milieux de la mafia ! J'ai hâte de lire tout ca !!
Invité
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 10:15
Bienvenue sur Born !
Livia Volk
Livia Volk
"I said, "Fuck 'em" If they thought I'd never be breathing again. I shoot dice, yeah, gamble with my life, yeah!"
"I'm just out of my mind. Or something else... haha!":
× Âge du perso : : 26 ans
× Caravane + colocataires : : Isolement
× Poste assigné : : Cinglée préocupante
× Messages : : 662
× Points de vie : : 0
× Copyright : : The1Royal Jester
× Avatar : : Margot Robbie
× Et ton p'tit pseudo ? : : The1Royal Jester
Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 18:24
Ben moi, j'aime les hommes instable et colérique. /Sbaff/
Bienvenue et bonne chance pour la suite.
Invité
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Lun 10 Oct - 22:21
Ouaiiiiiiiis un Lysander Je suis trop contente ! Et puis le début de ta fiche déchiiiiire J'ai hâte d'en lire encore plus
En tout cas, bienvenue encore une fois & merci mille fois de choisir ce pré-lien Tu verras, tu ne le regretteras pas Bon courage avec la suite de ta fifiche et si jamais tu sais où me trouver
Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Dim 23 Oct - 20:18
Des nouvelles du coup ? N'hésite pas si tu as besoin d'encore un peu de temps ! Mais sans nouvelles de toi d'ici quelques jours, ta fiche sera archivée
Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Sam 19 Nov - 22:39
Et du coup le dernier délai en date est dépassé Est-ce que tu as besoin d'encore un peu de temps ? N'hésite pas surtout ! Tant qu'on est au courant, ça nous va
Mais sans nouvelles de ta part, le sujet sera archivé et, peu après, ton compte supprimé
Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo" Mar 22 Nov - 21:19
Pas de nouvelles, j'archive ! Si tu reviens avant que ton compte ne soit supprimé et souhaites récupérer cette fiche pour la poursuivre/terminer, n'hésite pas à contacter un membre du staff par MP qu'il remette ça en place
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Sujet: Re: Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo"
Lysander Andrei - "La malavita trasforma un uomo"
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