[Flashback] Et si la civilisation existait encore ? ft Tyler

Tout était calme dans l’appartement, pas un bruit, pas un mouvement, rien, un silence absolu. Tu étais posé sur l’un des fauteuils du salon à bouquiner calmement, sans te soucier de quoi que ce soit. Soudainement, tu entendais Liam pleuré dans la chambre d’à côté brisant ainsi ce silence tant rassurant. Ni une, ni deux tu bondissais de ton fauteuil pour presque accourir dans la chambre. Tu avais beau être installé au quatrième étage d’un immeuble, tu ne voulais pas que les pleurs de ton enfant les attire. Certes ils ne pourraient pas monter jusqu’à ton appartement mais tu ne voulais pas que l’immeuble soit encerclé et qu’ils bloquent l’accès à tes parents, ta sœur et Leah qui était partie en ravitaillement. Aujourd’hui c’est toi qui avait été désigné pour rester à la maison surveiller Liam que vous ne sortiez jamais dehors. Plus depuis le début de cette épidémie et la transformation de tant de personne en ces choses répugnantes assoifées de chair fraiche. Tu rejoignais le lit de ton petit qui s’arrêta de pleurer presque immédiatement en te voyant arrivé. C’était ton fils, tu l’avais eu à seize ans. Une erreur de parcours comme on te l’avait si souvent reproché. Si à l’époque où tout était normal, tu t’en foutais qu’on te dise qu’il mettrait un frein à tes études ou qu’il allait t’empêcher de vivre mais au jour d’aujourd’hui, depuis quelques mois ou cette apocalypse avait débuté, tu comprenais ton erreur. Tu allais faire vivre ce monde à un enfant qui n’avait rien demandé, qui n’aura rien connu d’autre que la peur et les zombies et tu t’en voulais presque pour cela. Tu prenais ton petit bout d’un an à peine dans tes bras et tu le réconfortais un peu avant de te lever, ton fils toujours dans les bras. Il ne savait pas encore marcher, il allait bientôt apprendre, quand tu le posais au sol, il s’accrochait un peu à tous les meubles pour se déplacer. C’était peut-être futile dans un monde comme celui-ci mais tu attendais avec impatience ses premiers pas. Peut-être que tu voulais trop t’attacher au peu de choses banales que la vie avait encore à t’offrir et que tu refusais encore de perdre tout ceux à quoi tu tenais. Tu installais Liam dans une chaise haute que vous aviez récupéré en explorant les appartements voisins puis tu lui sortais une assiette et une petite cuillère. Tu versais un peu de ravioli en boite dans l’assiette avant de la lui apporter. La nourriture pour bébé se faisait rare et ça te tuait de ne pas pouvoir lui apporter une nourriture adapté mais tu n’avais pas le choix. Au moins tu avais de quoi le nourrir. Alors que tu posais l’assiette sur la table, tu entendais des pas dans l’entrée. Les murs n’étaient pas très épais mais ça t’inquiétait. Il était trop tôt pour que ta famille soit déjà de retour et tu craignais qu’un rôdeur ait réussi à grimper jusqu’ici. Tu t’approchais silencieusement de la porte pour poser ton regard sur le juda.et tu apercevais une femme. Tu espérais qu’elle ne t’ait pas entendu te déplacer ou qu’elle n’ait pas entendu les pleurs de Liam… Ou plus simplement qu’elle ne vous veuille pas de mal.

Et si la civilisation existait encor ?

Le rodeurs s’étala par terre après un coup de piolet dans la figure. Il était mort pour de bon cette fois. Elle l’avait libéré pour de bon de cette pitoyable enveloppe charnelle dont il était prisonnier. Elle continua sa route après avoir essuyé son arme blanche sur la veste du cadavre. Elle garder le piolet a la main c’était plus prudent, elle était méfiante, n’importe quoi pouvait lui tomber dessus. Elle serait les dents a chaque pas, le dernier tatouage a la cuisse qu’on lui avait fait, sans son consentement encore une fois, avant que le camp où elle était retenue n’explose lui faisait encore un mal de chien. Mais bon, elle s’était endurcie depuis la mort de son fiancé et celle de son bébé à naitre. Elle était a la recherche des dernière ordures qui lui avait fait cela, ceux qui avait survécut. Mais pour l’instant elle voulait se mettre à l’abri et se reposer un peu. Et elle avait un grand bâtiment en visuel, il lui semblait parfait pour s’abrité. Elle ferait quand même un peu le ménage dedans avant. Elle le rejoint assez rapidement. Elle réussi à forcer les portes déjà bloquer. Quelqu’un était déjà dedans ? Ce n’était pas spécialement bon signe. Elle rangea son piolet et prit son fusil d’assaut. C’était mieux pour au cas où elle faisait une mauvaise rencontre. Elle était en train d’abattre des rodeurs qui était au rez de chausser quand elle entendit des cries. Des cries d’enfant. Vraiment un enfant était ici ? Elle se sentie irrémédiablement attiré par cela. Elle avait besoin d’aller voir. Peut-être que l’enfant avait en plus besoin d’aide.
Elle montait les escaliers en semant sur son passage des cadavres. Elle n’avait aucune pitié pour eux, et si avant elle en avait peur et préféré les éviter, maintenant si elle pouvait elle en tuait le plus possible. Les cries d’enfant s’était arrêter mais elle avait parfaitement repéré d’où il provenait. Elle ne prit que très peu de temps pour arriver devant la porte de l’appartement où était l’enfant. Elle poussa la porte d’une main légère pointant son arme en avant prête a faire feu en cas de danger. Elle tomba nez à nez avec un jeune homme. « Qu’avez-vous fait a l’enfant que j’ai entendu !» Dit elle d’un ton très sec. Elle était parfois super froide, quand elle se sentait en danger ou qu’elle était méfiante surtout. Et même si ce jeune homme avait l’air d’être quelqu’un de profondément gentil, elle avait prit l’habitude de ne pas se fier aux apparences. En entendant l’enfant se remettre a pleuré, surement a cause de tout le bruit qu’elle venait de faire, elle baissa son arme, comprenant que le jeune homme ne lui avait pas fait de mal. Elle remit son arme dans son dos grâce a la bandoulière et se redressa. Elle regarda le jeune homme rapidement, il semblait très jeune « C’est votre petit frère ou petite sœur ? Où sont vaux parents ? » Dit elle en regardant autour d’elle. Ils étaient peut-être morts ? Ou en train d’aller chercher des vivres, elle n’en avait aucune idée mais le brun face à elle allait lui répondre surement.

Cet immeuble était vraiment pratique dans le sens où même si vous n’aviez pas de serrures aux portes, être au quatrième étage vous offrait une certaine sécurité. Les rôdeurs ne savaient pas forcément ouvrir une porte d’escalier et même si parfois certains arrivaient à monter, c’était sans but et finissait par repartir. Dans le cas contraire ton père se chargeait de s’en débarrasser. Cette idée te faisait froid dans le dos, cela faisait presque un an que l’apocalypse avait débuté peut-être plus et tu ne te faisais toujours pas à ce revirement international. Tu n’arrivais pas à tuer, ni même tenir un couteau sans tremblé. C’est pour cela que tu restais bien souvent ici à t’occuper de ton fils, et souvent ta sœur et Leah étaient forcées de rester ici avec toi. Mais depuis peu, ton père les avait autorisé à venir en voyant qu’elle parvenait à se défendre. Tu te sentais faible, comme une grosse merde, mais tu restais fort pour eux, pour ton fils. C’était bien la seule chose que tu savais faire et sans doute la seule personne pour qui tu pourrais vraiment faire du mal à quelqu’un. Tu voulais plus que tout le garder en vie, même si plus d’une fois tu t’étais dit qu’il souffrirait plus dans un monde comme celui-ci qu’autre chose. Mais tu n’imaginais pas ta vie sans lui, il était ta raison de vivre, la chair de ta chair, ton sang, ton petit garçon. Tu voulais le voir grandir, sourire, s’en sortir. Car plus que tout tu espérais que cela se termine un jour. Tu te disais que ça serait le cas, peut-être qu’un jour chaque rôdeur sera éliminé et les survivants pourront reconstruire une civilisation ensemble. Tu devais être trop naïf mais tu voulais y croire. Mais pour l’heure actuelle tu craignais que les pleurs de Liam ait attiré trop de rôdeur dans l’immeuble et pire encore à l’étage. Tu te préparais déjà à mettre des meubles devant la porte pour ne pas qu’ils puissent entrer mais tu n’entendais pas vraiment de bruit. Tu te disais que tu ne risquais plus trop rien, tu ne t’étais pas dis que quelqu’un de vivant pourrait aussi être attiré par les cris d’un enfant, jusqu’à ce que tu entendes des bruits dans l’entrée et des chocs typique d’un corps qui s’écroule, comme si quelqu’un tuait des rôdeurs. Cela ne te rassurait pas plus que cela, c’est pour cela que tu t’étais approché de la porte, un couteau de cuisine à la main toute tremblante. La personne poussa la porte, se retrouvant devant toi. Tu n’étais pas rassuré et ton cœur battait la chamade. Tu n’étais pas sur de toi, encore moins quand tu te retrouvais avec une arme à feu pointé devant toi. « Que qu-.. Quoi ? » Pourquoi elle te parlait d’enfant. Que voulais t’elle à Liam, que voulait-elle à ton fils. On pouvait apercevoir Liam assis sur sa chaise haute, s’étant remis à pleurer à cause du bruit causé par l’ouverture brutale de la porte et les différents chocs causés par les cadavres de rôdeurs abattus. Tu prenais le risque et d’aller le prendre dans tes bras pour éviter d’ameuter tous le quartier une fois que son arme fut baissé. Tu fus étonné mais pas surpris lorsqu’elle te demandait s’il s’agissait de ton petit frère ou de ta petite sœur avant de demander où étaient tes parents. Tu souriais avant de lui répondre. « Mes parents sont partie en ravitaillement… » Tu jetais un coup d’œil à ton enfant que tu berçais délicatement dans tes bras. C’est vrai que du haut de tes dix-sept ans, on ne pourrait pas se dire que tu as un enfant d’un an à peu près. « Et ce petit garçon, c’est Liam, mon fils » Tu voyais une expression étonnée s’afficher sur son visage et tu préférais répondre à la question habituelle. « Copine enceinte à quinze ans, papa à seize ans. » Voyant que la jeune femme ne semblait pas être un danger pour vous, tu te détendais un peu en reposant Liam calmé dans sa chaise haute. « Vous pouvez fermer la porte, j’aimerais mieux ne pas laisser tous les rôdeurs entré. » Je finissais de préparer le repas de mon fils, heureusement qu’il n’était pas très difficile et qu’il mangeait de tout. « Je vous en propose pas, il nous reste seulement assez pour lui si ma famille ne ramène pas de nourriture en plus… »

Wyatt & Tyler

IL Y A DES PERSONNES QUI MARQUENT NOS VIES, MÊME SI CELA NE DURE QU'UN MOMENT.
ET NOUS NE SOMMES PLUS LES MÊMES.
LE TEMPS N'A PAS D'IMPORTANCE MAIS CERTAINS MOMENTS EN ONT POUR TOUJOURS.
(FERN BORK)

La brune était monter a l’étage de ce bâtiment qu’elle aurait aimer habiter l’espace d’une nuit. Elle ne restait jamais au même endroit très longtemps, de toute façon elle n’avait personne avec qui rester et elle avait surtout une mission à accomplir. Elle s’était elle-même donner la mission de débarrasser cette terre des pourris qui lui avait mené la vie dur des les débuts de l’apocalypse et qui lui avait prit son enfant et son fiancé. Et elle têtu comme elle était, elle ne renoncerait pas, jusqu'à les avoir tous vue mort. Elle bougeait donc constamment a leurs recherches. En entrant dans le bâtiment, elle s’était dit qu’elle s’y installerait pour la nuit, et que demain a l’aube elle s’en irait. Mais quelque chose avait attiré son attention… Enfin pas quelque chose, des cris. Des cris d’enfant. En tant que maman ayant perdu un enfant, elle avait l’instinct maternel qui la travaillait et donc qui la poussa à gravir les marches des escaliers pour aller au quatrième étage s’assuré que l’enfant était en sécurité et en bonne santé. Et dans le cas contraire, elle aurait surement fait tout son possible pour le sauver. En entrant dans l’appartement d’où provenait les cris d’enfant, elle fut surprise de tomber nez a nez avec un jeune homme armé d’un couteau de cuisine, mais tremblant. Elle lui posa quelques questions et très vite elle se rendit compte qu’il n’était pas méchant. Elle baissa donc son arme et arrêta de se méfier.

Elle le regarda quand il lui dit qu’il avait était papa a seize ans et se dit que ce n’était pas non plus si extraordinaire que cela. Beaucoup de jeune vivait cette expérience a l’époque ou le monde tourner encore rond. Elle regarda ensuite l’enfant avec attention. C’était plus fort qu’elle, son regard était attirer par cet enfant. Il lui rappelait un peu l’enfant qu’elle n’aurait jamais, celui qu’elle n’avait jamais eu la chance de voir, de tenir dans ses bras… Cet enfant qui n’avait jamais eu la chance d’exister…Quoi que c’était peut-être préférable maintenant vue le monde dans lequel les survivant vivait maintenant. Elle ne savait pas vraiment si elle aurait supporté de voir son enfant apprendre d’abord a tenir une arme avant d’apprendre a tenir un crayon, de le voir vivre au jour le jour dans la nature, de le nourrir de boite de conserve et de temps en temps de viande de gibier. Non elle n’aurait pas voulut d’une vie comme cela pour son enfant. Certes elle le pleuré mais d’un coté elle était aussi soulager qu’il n’ait jamais à voir l’horreur de ce monde. Elle sortie de ses pensées quand il lui demanda de fermer la porte. Oui il avait raison, c’était préférable, car même si elle avait nettoyé le bâtiment de tout les rôdeurs, d’autre pouvait arriver, ou peut être qu’elle avait put en louper certain. Elle posa son sac a terre et alla fermer la porte avant de tiré une commode devant pour la bloquer vraiment. «Par mesure de sécurité je l’ais bloquer. » Elle regarda ensuite le jeune papa commençait a préparer de quoi manger pour son petit et souri en entendant ses paroles. Elle se dit rapidement que c’était un garçon bien. Elle s’accroupi vers son sac et fouilla dedans. Elle en sortie trois petit pot de compote de pomme qu’elle avait pris dans une maison isoler pas loin. Elle les posa sur une table et souri au jeune homme «Liam en a surement plus besoin que moi. Et comme cela, même si tes parents revienne sans nourriture il a encore de quoi manger quelque jours. »Elle s’éloigna un peu après cela. En faite elle ne voulait pas faire peur au garçon, elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était une menace car elle était armé et qu’elle avait débarqué comme ca sans prévenir. Au contraire elle voulait gagner un peu de sa confiance, peut-être qu’elle pourrait même rester la nuit ici. Un peu de compagnie ne lui ferait vraiment pas de mal.

COSMIC SHEEP.

Tu avais tout de même été très rassuré quand tu avais compris que la femme qui avait surgit de nulle part n’était pas une menace, qu’elle n’était pas venue pour vous piller ou pire vous tuer, et que la vie de ton enfant n’était pas compromise. Tu n’avais beau pas forcément être le plus courageux, tu savais que pour le sauver, tu aurais tout donné, y compris te battre contre n’importe qui ou n’importe quoi mais cela serait-il suffisant contre une personne armée qui pourrait mettre fin à ta vie rien qu’en un mouvement de doigt en appuyant sur sa gâchette. Heureusement, elle semblait plus avoir été guidée ici par des instincts bienveillants que malveillants. Elle semblait simplement vouloir s’assurer que le jeune enfant qu’elle avait entendu pleurer allait bien. Heureusement il y avait encore des gens bien. Tu fus tout de même plus soulagé quand elle se décida à baisser son arme. Tu te sentais plus libre de parler. Tu lui avais alors révéler que Liam était ton fils, tu comprenais qu’elle ne l’avait pas deviné mais tu n’avais pas de complexe à en parler. Comme bien des ados tu avais vécu tes expériences et malheureusement comme on dit, une seule fois suffit et tu t’étais retrouvé père à tout juste seize ans. On va dire que ce statut était quand même plus compliqué en temps d’apocalypse et que même si auparavant, tu n’avais jamais regretté sa naissance, il t’arrivait parfois de le penser rien qu’en imaginant ce que pouvait réserver l’avenir à ton fils. Tu te permettais d’à nouveau pouvoir bouger, pour aller reposer Liam dans sa chaise haute après l’avoir porté lorsque tu avais remarqué qu’il avait peur. Tu savais maintenant que tu ne risquais rien, tu l’avais bien compris en observant la façon dont cette femme regardait ton enfant, un regard plein de maternité qu’on ne voit qu’à la vue d’un enfant. Tu te demandais si elle aussi était maman, si elle avait un enfant… Mais tu n’osais pas poser la question car si la réponse était négatif tout serait parfait mais si elle était positif, cela entrainerait une seconde question à savoir pourquoi son enfant n’était pas avec elle et tu craignais la réponse, mais surtout de la blesser. Alors tu t’abstenais, lui demandant simplement si elle pouvait fermer la porte par mesure de sécurité tout en continuant de préparer le repas en boite de ton enfant. C’était peu mais tu le rationnais, tu n’avais pas le choix. C’était votre dernière boite, et si tu savais que toi ou ta familles pourriez vous passer d’un repas, tu refusais que cela arrive à ton enfant, hors cela risquait d’arriver si tes parents ne trouvaient rien à manger. Et ça, ça te bouffais. « Faudra juste penser à la débloquer quand mes parents reviendront, mais ont a le temps… » Tu soupirais, en général, il ne revenait qu’à la nuit tombé pour avoir le temps d’explorer un maximum d’endroit mais tu passais tes journées dans l’inquiétude. Ce n’était ni la première, ni la dernière fois mais à chaque fois les mêmes questions subsistaient. Et s’il ne revenait pas, et si l’un d’eux se faisaient mordre ou pire, dévoré, et s’ils se passaient quelques choses. Mais il fallait bien que quelqu’un le fasse. Tu précisais que tu ne lui proposais rien à manger car vous arriviez doucement en rade de nourriture, c’est alors qu’elle se mit à fouiller dans son sac pour en sortir trois petits pots de compote avant de te dire que ton enfant en aurait surement plus besoin qu’elle. « C’est vrai ? Oh merci, c’est vraiment sympa... » La reconnaissance pouvait se voir dans tes yeux, rien que de savoir que ton fils n’allait pas manquer de nourriture quelques jours encore t’emplissais de bonheur. Tu posais l’assiette devant Liam qui savait à peu près manger tout seul même s’il avait parfois besoin d’aide. « Installez vous je vous en prie » lui proposais-tu en montrant l’une des chaises autour de la table carrée. « C’est vraiment un immense service que vous lui rendez, j’aimerais pouvoir vous remercier mais je n’ai rien malheureusement… » Tu réfléchissais observant d’un air songeur Liam porter maladroitement sa cuillère en plastique jusqu’à sa bouche. Soudain tu eux alors une idée qui te paraissait équitable. « Je ne sais pas si vous avez un refuge à proximité mais vous pouvez peut-être passé au moins la soirée et la nuit ici ? Selon nos trouvailles ont pourra même peut-être vous offrir un repas ! »

Wyatt & Tyler

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La brune avait fait la bonne action de la journée visiblement. Non seulement elle avait nettoyer un bâtiment de tout ces rôdeur, mais en plus elle avait contribuer a garder un enfant en sécurité et en bonne santé, en lui apportant de la compote de pomme et en bloquant la porte même si le bâtiment était clean maintenant. Elle regarda le jeune homme nourrir son enfant et se mis à imaginer sa vie si Jason et son enfant avaient survécut. Comment et où aurait elle put mettre au monde son enfant ? Comment l’aurait-il appelé ? Comment l’aurait-il gardé en vie ? Mais elle chassa très vite toutes ces questions de sa tête, simplement car elle n’aurait jamais la réponse à celles-ci. Et elle n’avait pas le temps de s’encombrer la tête de questions qui resterait indéfiniment sans réponse. Elle s’installa sur la chaise qu’il lui montra quand il lui dit qu’elle pouvait s’asseoir. Un petit instant de repos ne lui ferait pas de mal. Elle posa les yeux sur l’enfant qui mangeait et souri légèrement, attendrit par cette belle vision. Comme quoi il restait une part de beauté dans ce monde. Pauvre jeune homme, elle n’osait s’imaginait la torture que cela devait être de se dire que son enfant n’aurait jamais une enfance « normal » qu’il grandirait dans un monde comme celui là. Il apprendrait surement à tenir une arme a feu avant de savoir écrire, il verrait des horreur qu’un enfant ne devrait jamais voir. Il endurerait la faim, le froid, la fatigue, mais surtout la peur et la douleur. Et il en allait de même pour ce jeune homme. Il devait avoir tout juste dix sept ans, il allait bientôt oublier tout les souvenir qu’il avait de la vie avant… Avant tout cela, avant que les mort marche et mange les vivants…

Elle sorti de ses pensées quand le jeune homme lui proposa de rester la nuit ici. Surement en échange des pots de compotes qu’elle lui avait généreusement cédé pour le bien être du bébé dans sa chaise haute. Elle réfléchi une seconde, la proposition était vraiment tentante. Et puis elle avait prévue de passer la nuit dans ce bâtiment de toute façon. Elle lui fit un grand sourire en hochant la tête «J’accepte ton offre. Enfin en espérant que tes parents soit d’accord évidement.» Elle se leva et alla chercher une bouteille d’eau dans son sac. Elle but une gorgée avant de la ranger et de poser son sac dans un coin, sac qu’elle accompagna de son arme. Ne gardant sur elle que son piolet et son poing américain, au cas où. Bien sur si des rodeurs se pointé elle les tuerait avec son piolet, elle n’aimait pas tuer des mort avec son poing américain, elle trouver cela trop…Sale, le poing américain était donc reserver uniquement aux vivants. Du coup pour l’instant elle espérait ne pas avoir a utiliser une de ses deux armes blanche. Elle se tourna vers le petit brun et se décida enfin a se présenter, après tout si elle passait la soirée et la nuit ici, il fallait que la famille la connaisse un peu. «Mon prénom c’est Tyler, et le tien ?» Oui car dans tout cela, le seul prénom qui avait était annoncer c’était celui du bébé, a savoir Liam.

COSMIC SHEEP.

Décidemment, cette brune sortie de nulle part ne cessait de t’étonner. Toi qui avait l’espace d’un instant craint à une personne mal intentionnée mettant en danger ta vie mais surtout celle de ton fils t’étais heureusement bien trompé. Finalement, la jeune femme venait même t’offrir une garanti de repas pour ton fils ce que tu craignais de ne plus pouvoir lui offrir si tes parents rentraient une nouvelle fois bredouille de leur exploration. Tu observais Liam manger, un peu plus rassuré et les yeux plein d’amour. Ce petit, ton fils, c’était ton rayon de soleil et pour qu’il vive, tu étais prêt à tout. Tu regrettais simplement qu’il n’ait connu que ce monde comme terre dans laquelle grandir, parce que tu sais que vous auriez été heureux. Tu pensais vraiment que tu aurais été un bon père mais voilà tu n’avais pas le choix et désormais ta seule ambition était que ton fils sois le plus heureux et en sécurité possible. Tu avais ensuite proposé à la brune de s’asseoir, vu l’aide qu’elle vous apportait, elle méritait au moins toute ton hospitalité. Elle te montrait que malgré toute cette merde qui s’était abattu sur vous depuis quelques mois, tout le monde n’était pas totalement taré. Et ça te réconfortait de penser à cela, de te dire que tous le monde n’était pas devenu pourri jusqu’à la moelle. De te dire que dans sa vie, ton fils ne verrait pas forcément que des personnes horribles et qu’il saurait que la gentillesse même si elle se fait rare existe encore. Finalement l’idée de remercier cette femme qui t’offrait son aide si subitement et si spontanément te taraudait à tel point que tu venais de trouver quelque chose. Tu lui avais proposé de rester là pour la nuit et de pouvoir peut-être lui offrir un repas si tes parents ramenaient de quoi se nourrir. Dans le cas contraire, tu allais surement ne pas manger non plus et encore sauté un repas. Même si cette situation stressante te coupait de toute façon l’appétit. Tu souriais lorsqu’elle acceptait ton offre si tes parents allaient être d’accord. « Ils le seront. » Tu ne promettais rien dans le vide, vous étiez des gens bons, surtout avec les personnes qui vous tendent la main alors évidemment qu’ils accepteraient de recueillir la personne qui a permis à leur petit fils de se nourrir. Finalement après qu’elle se soit un minimum installé se débarassant de son sac, la brune revint vers toi et se présenta un minimum. Elle s’appelait Tyler. « Wyatt. » avais-tu répondu pour ta part le sourire aux lèvres. « On a vraiment croisé personne ces dernières personnes dans le quartier récemment. Je suis surpris de voir quelqu’un… Qu’est ce qui vous a amené ici ? » Tu tentais de faire un peu la conversation, histoire de la connaitre un peu sans te montrer trop invasif enfin tu l’espérais. « Vous n’avez pas croisé trop de revenants … ? »

Wyatt & Tyler

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(FERN BORK)

Elle allait passer la nuit ici, c’était réconfortant. Au moins elle n’aurait pas besoin de dormir d’un œil, de faire un feu et de se méfier de tout et de rien cette nuit. Elle avait l’habitude de cela, depuis qu’elle voyager seule en quête des monstres qui lui avait tout prit. Mais c’était bon de se dire qu’au moins une nuit elle aurait un vrai repos, elle pourrait vraiment dormir. Evidement elle ne dormirait jamais aussi bien qu’elle aurait put dormir avant, dans son grand lit, dans les bras de Jason, mais elle dormirait bien mieux que si elle était seule dehors a sursauté au moindres bruit. Elle s’installa sur la chaise qu’il lui avait montré et l’observa un instant, en essayant bien sur de ne pas être dérangeante pour lui. Dévisager les gens c’est jamais conseillé il parait que c’est impolie et gênant pour la personne fixé. Elle lui souri doucement quand il lui répondit son prénom. Wyatt, un très joli prénom, elle aimait beaucoup. Elle se posa des tas de question d’un coup. Comment aurait-elle appelé son enfant ? Es-ce que ca aurait était une fille ou un garçon ? Comment aurait-il était physiquement ? En faite…Aurait-il survécut ? Et elle ? Aurait-elle survécu à sa naissance ? Enfin, elle chassa très vite toutes ces questions de son esprit et lui souri «C’est un très joli prénom. Et c’est aussi très gentil de ta part et celle de tes parents de m’inviter. Je vois qu’il y a encore des gens bien qui ont survécut.» A vrai dire, ca ne faisait que la conforté dans ce qu’elle pensait déjà. Tyler était une jeune femme qui voyait le bien en les gens….Enfin sauf en certain. Elle voulait croire en l’être humain même si elle avait parfaitement conscience.

Elle reprit ses esprits quand il lui posa des questions. Qu’es ce qui l’amener ici ? Es ce qu’elle devait lui dire qu’elle traqués des personnes horribles pour les tuer ? Es ce qu’elle devait lui dire qu’elle était devenue une machine a tué a cause d’eux ? Qu’elle ne vivait plus que pour cela, tuer ces types ? Non elle préféra ne dire qu’une demi-vérité a ce jeune homme qui avait surement encore besoin d’être un peu préserver dans ce monde de brute. «Je suis a la recherche de … Personnes… Rien de plus» Dit elle simplement. Ce n’était pas faux, au contraire, elle les cherchait vraiment. Bien sur elle n’allait pas rentrer dans les détailles. Il savait ce qu’il avait besoin de savoir. Elle haussa les épaules a sa seconde question. Une question un peu bête quand on sait que le monde est peuplé de plus de mort que de vivant de nos jours. «Si, j’en est croisé plein. Mais t’en fait pas, je sais me débrouillé face a eux. J’ai des armes. » Dit elle en lui souriant. Et lui, es ce qu’il saurait ce défendre le jour où il aurait à le faire ? Vue comme il avait tremblé en tenant son couteau tout a l’heure, elle en doutait un peu. «Mais je t’en pris, tu peux me tutoyer.» Dit-elle d’un ton très doux. Elle se leva ensuite continuant a le regarder. «Pourquoi c’est toi qui reste avec ton fils ? J’ai pas put m’empêcher de remarquer que tu tremblais quand tu me menacer avec ton couteau… Tu ne sais pas te défendre en réalité c’est ca ?» Elle n’avait rien d’agressif dans la voix, ni de brusque, elle parlait d’un ton très poser et doux. Elle ne voulait pas que le brun face a elle pense qu’elle le lui reprocher. C’était juste une question.

COSMIC SHEEP.

Il était normal pour toi d’accueillir cette femme pour la nuit et même pour plusieurs si elle le désirait. Toi et ta famille aviez pour objectif d’aider tous les survivants dans le besoin dans la mesure du possible. D’autant plus que cette femme t’avait aidé, en t’apportant de quoi nourrir ton fils et ça à tes yeux, ça n’avait pas de prix. Pour toi, c’était alors la moindre des choses de lui offrir un toit sur la tête, dans cette appartement ou dans un autre de la résidence, comme elle le voudrait, surtout en sachant à quel point l’extérieur était dangereux. Tu n’aurais tout simplement pas eux bonne conscience en la laissant repartir, tu n’étais pas un ingrat et encore moins un meurtrier, et c’est ce que tu aurais été en prenant le risque de laisser une femme pleine de bonté à l’extérieur. Vous aviez alors fait connaissance, tu avais appris qu’elle s’appelait Tyler et tu lui avais aussi donné ton prénom. Ce n’était pas un secret d’état après tout et tu ne voyais pas le mal à faire connaissance. Tu avais souri lorsqu’elle te complimenta sur ton prénom ainsi que sur ta gentillesse à l’inviter. Cela lui prouvait qu’il y avait encore des gens biens. Toi tu trouvais cela normal mais tu savais que certaines personnes n’étaient déjà plus dans les gentils. Pourtant l’apocalypse avait débuté il y a tellement peu de temps en comparaison à la vitesse à laquelle tout changeait. « C’est normal pour moi. On essaie de ne pas sombrer dans la noirceur malgré l’enfer qui nous entoure. » C’était un peu ta philosophie de vie. Pour faire la conversation mais aussi pour en apprendre plus sur elle, tu avais commencé à lui posé quelques questions. Rien de trop intrusif, tu ne voulais pas la mettre mal à l’aise mais des questions plutôt bateau. Lorsqu’elle te répondit qu’elle était à la recherche de personne, tu te disais que tu avais peut-être été trop curieux. « Désolé si j’ai été indiscret… J’espère que vous retrouvez ceux que vous recherchez. » Tu lui souriais chaleureusement, tu ne voulais pas froisser ton interlocutrice en parlant des choses qui fâche. Tu finissais alors par lui demandait si elle avait croisé beaucoup de rôdeur. Une question idiote mais c’était pour parler. Sa réponse te fit comprendre que ta question était un peu idiote, pas dans sa façon de te le dire mais parce que tu le réalisais. Elle en avait croisé plein mais elle avait su se défendre, elle était armé. « J’ai vu ça oui… » Tu faisais référence à l’arme qu’elle avait quelques minutes plus tôt braqué sur toi en voulant s’assurer que tu ne représentais pas une menace pour ton fils. Tu ne lui en voulais pas, c’était une réaction toute à fait normale après tout. Elle avait ajouté que tu pouvais la tutoyer avant d’elle-même de poser une question. Pourquoi c’est toi qui restait avec ton fils, elle voulait savoir si tu savais te défendre ou non car elle avait remarqué que tu avais tremblé lorsqu’elle t’avait braqué. « Non… Enfin si… Je suis totalement nul lorsqu’il s’agit d’affronter des rôdeurs mais c’est pas pour ça que je reste avec Liam. Leah… Sa mère et moi, on a fait un accord l’un de nous doit toujours rester avec notre fils. Et comme elle préfère sortir, je suis chargé de rester ici. J’pense que c’est en partie que c’est parce que j’arrive pas à tuer ces choses. C’est plus fort que moi, c’est ma faiblesse. Mais pour lui, je sais que je le ferais si c’était à faire ou au moins que j’essaierais. » Tu t’étais lancé dans une sacrée tirade mais tu avais tendance à beaucoup parlé. « Même si contre votre… Ton arme à feu, j’aurais eu aucune chance ! »

Et si la civilisation existait encore ?

Wyatt & Tyler

Elle souri un peu quand il lui dit que sa famille et lui essayer de ne pas sombré dans la noirceur. C’était une bonne chose, le monde d’aujourd’hui était truffé de noirceur, de trop de noirceur, parfois c’était bon de trouver un peu de lumière a travers tout ce noir. Et bon, même si Tyler savait que tout n’était ni blanc ni noir, elle voulait croire ne serait-ce qu’un instant que c’était une famille « toute blanche » qui aller l’abrité ce soir. Elle remercia ensuite silencieusement, juste d’un hochement de tête quand le jeune homme lui souhaita de trouver les personnes qu’elle cherchait. S’il savait qu’elle allait leur faire la peau, il aurait peut-être eu un autre regard sur elle. C’est en partie pour cela qu’elle ne lui avait pas dit. Et aussi car elle ne voulait pas en parler. Heureusement il n’avait pas posé de question sur ses tatouages, pourtant il pouvait les voir, enfin voir les plus visibles. Ceux dans son cou, sur ses bras, ses mains, ses épaules et son décolleté. Elle avait un débardeur pour des raisons pratique, pour ne pas avoir trop chaud, le problème était que cela dévoilé trop son corps. Surtout que certain, les plus récent n’était pas encore tous bien cicatrisés. Elle fut soulagée qu’il ne prenne pas mal la question qu’elle lui avait posée. Elle ne le connaissait pas vraiment, elle n’avait donc pas sut à quoi s’attendre comme réaction quand elle lui demanda s’il savait se défendre. Elle fut un peu attristée d’apprendre qu’il ne savait pas vraiment se défendre. Evidement, elle se doutait que s’il devait défendre Liam, il ne tremblerait pas. Mais c’était bien triste quand même de savoir qu’il serait vraiment en grand danger s’il venait à être seul. Elle se leva doucement et sortie son couteau en lui faisant signe de la tête «Vien, je vais t’apprendre un peu a manier un couteau. Comme ca la prochaine fois tu trembleras moins et donc tu auras plus de chance. » Elle espérait au moins réussir a lui apprendre quelques petite choses. Pour qu’il puisse un jour affronté le monde extérieur, car il était clair qu’il ne pourrait pas rester indéfiniment cloitré ici avec son fils. Et puis il n’y avait pas que des rôdeurs dont il devait se méfier, d’autres survivants pouvaient arriver jusqu’ici comme elle l’avait fait. Et tout les survivants n’était pas comme elle, certain pourrait tuer pour avoir un abri comme celui-ci. Elle estimé donc que le jeune homme devait savoir un minimum se défendre. «Même si ca te fais peur, il faut que tu sache un peu te défendre. Il faut que tu es des réflexes, car tu n’aura pas toujours tes parents pour te protégé. Et tout les survivants ne sont pas gentils comme moi.» Elle ne voulait pas lui faire la moral, juste lui faire prendre conscience qu’il fallait qu’il sache un minimum se défendre. Elle voulait lui apprendre, quelques base. Elle n’était pas prof de combat, avant l’épidémie elle n’avait même jamais tenue une arme de sa vie. Mais comme tout le monde, elle avait appris, et maintenant elle allait essayer d’apprendre a quelqu’un.

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Tu étais tout de même rassuré, de voir que cette jeune femme n’était pas un grande malade dont le seul but était de faire souffrir les autres en s’appropriant leur bien qu’il soit mort ou vivant. Tu ne pouvais pas dire avoir une confiance absolue en elle non plus, tu ne la connaissais que depuis dix minutes seulement bien que tu admette que ses bonnes actions avaient bien joué en sa faveur. Tu n’étais pas un profiteur, mais permettre à ton enfant de se nourrir était une chose qui faisait en général que tu appréciais la personne, surtout en ces temps durs où tes parents ramenaient assez peu de ressource. Tu te permettais au moins de parler avec elle, de toute façon vous n’aviez pas de grands secrets… Vous aviez prit le premier immeuble que vous aviez trouvé et aviez élu domicile dans un appartement isolé de la sortie pour limiter le risque de voir ces mordeurs venir s’en prendre à vous tout en ayant accès à l’issue de secours. Tout était calculé mais au fond de toi, tu savais que tu te sentais mieux à l’intérieur qu’à l’extérieur. Quel père pitoyable tu fais. Tu lui avais d’ailleurs révélé, enfin elle avait surtout remarqué, que tu ne savais pas vraiment de servir d’arme. Bien-sûr, il n’y avait pas vraiment de mode d’emploi pour enfoncer un couteau dans le corps de quelqu’un, mais tu lui avais révélé être nul dans tout ce qui concerne la survie, contrairement à ton ex-petite amie et ta petite sœur qui se languissait toujours de pouvoir vivre de nouvelles aventures. Dans tous les cas le bébé ne pouvait rester seul et tu t’étais résigné à reconnaitre que tu étais un boulet, et avait fait taire ton égo d’homme en reconnaissant que Leah était une meilleure survivante que toi. Tu l’avais suivi du regard lorsqu’elle s’était levé en te faisant signe de la suivre avant de te donner plus d’explication. Elle voulait t’apprendre à manier le couteau pour que tu tremble moins la prochaine fois. Si elle savait que c’était la peur qui te faisait trembler, pas d’avoir une arme dans les mains. Tu avais peur de mourir tout simplement et la seule cause qui te pousserait à te battre serait de savoir ton fils même potentiellement en danger. Toutefois, tu ne te risquais pas à apprendre quelque truc supplémentaire, c’est pourquoi tu t’étais levé à ton tour après avoir été placé ton fils dans son vieux parc à jouet que tes parents avaient trouvés lors d’une expédition il y a peu, faute d’avoir ramené de la nourriture. Une fois à ses côtés, tu écoutais son discours, il fallait avoir des réflexes car tes parents ne seraient pas toujours là et que tout les survivants n’étaient pas gentil. C’est vrai que tu pouvais t’estimer heureux, tu avais encore toute ta famille, Tyler n’était pas une tueuse sanguinaire. Mais jusque quand cette chance allait-elle vous suivre ? « C’est vrai… Je devrais apprendre. » Au moins tu essayais d’être déterminé. Tu n’avais même pas de couteau à toi, ta seule arme était un couteau de cuisine, certes tranchant mais assez mal équilibré avec un manche fait pour la cuisine et non la survie. Mais c’était tout ce que tu avais alors tu l’avais prit, attendant maintenant quelques explications. Tu apprenais vite et tu essayais de refaire les mouvements qu’elle te montrait, de reproduire les gestes, d’écouter attentivement ses conseils. Tu n’avais vraiment pas confiance en toi avec une arme dans les mains mais tu essayais de prendre sur toi, de progresser. Après tout, cette fois-ci il n’y avait ni ennemi, ni rôdeur devant toi, simplement un grand vide que tu poignardais incessamment. Mais tu tenais encore mal ton manche, ta main ne le serrait pas fermement et comme elle était positionner, tu te ferais juste casser le poignet si on venait à te bloquer et te contrer, mais tu ne le savais pas encore. Tu ne t’étais même encore jamais battu.

Et si la civilisation existait encore ?

Wyatt & Tyler

Elle ne dit rien sur l’arme que le jeune homme avait prit. Surement qu’il n’avait que cela, mais son premier conseil fut de se trouver un couteau mieux adapté a la survie. Elle lui montra son couteau à elle, un couteau de survie justement. Enfin suite a cela, elle lui montra quelque gestes, ceux qu’elle estimé les plus important, après le reste normalement devait venir avec l’instinct. Bien que la brune préféré ne pas lui souhaiter d’avoir a se battre un jour. Elle savait que ça devrait arriver, après tout dans ce monde tout le monde était un jour ou l’autre confronté a un ennemi. Forcement un jour ou l’autre ce jeune homme devrait se battre, alors autant qu’il sache un minimum faire et qu’il soit bien équipé. Elle le regarda reproduire les mouvements qu’elle lui avait montrés et fit une petite grimace. «Attend… Tu va te faire mal si tu te tien comme cela. Regarde… » Dit elle en allant derrière lui pour amélioré sa position. «Voila, là c’est mieux. Tu ne te fera pas mal avec cette position.» Elle lui montra ensuite encore quelque mouvement. Puis elle arrêta et rangea son couteau. «C’est bon arrête toi là. Tu t’es bien débrouiller. Si tu veux on remet ça demain avant que je parte.»Dit elle avant de prendre sa bouteille d’eau et boire trois grandes gorgées. «Faudra pas que tu perde la mains. Essaye de souvent refaire les mouvements. »Dit elle simplement avant de reposer sa bouteille. Elle avait l’impression d’être coach sportif. C’était un métier qui lui aurait bien plut en y réfléchissant bien. Elle avait toujours était assez sportif et elle aimait conseiller les autres. Bon dans son métier elle avait aussi aimé un peu leur marcher dessus, mais c’était un milieu tellement différent.

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Spoiler:

L’idée de Tyler de t’apprendre à manier le couteau n’était pas si mauvais. Tu n’avais pas la moindre confiance en toi et tu n’étais décidemment pas le plus grand courageux, mais son arrivée t’avait bien prouvé quelque chose : tu allais bien devoir te défendre un jour car tous ne serait pas aussi bons qu’elle. Tu avais alors prit ton couteau de cuisine, conscient qu’il te faudrait bientôt t’en équiper d’un vrai pour la survie et tu avais tenté de reproduire ces quelques gestes bien que ce soit maladroit. Et au fond tu savais qu’être entrainé était une chose mais qu’une fois sur le terrain, ça en serait sans doute une autre et que tu ne reproduirais sans doute pas les enchainements. A moins que ça devienne naturel, voir instinctif. De toute façon tu ne disais rien de tes doutes ne voulant pas paraitre pessimiste. C’est alors qu’elle t’avait un peu repris sur ta posture, tu te serais sans doute fait mal ainsi alors tu suivais ses conseils. Et déjà immédiatement tu te rendais compte que c’était déjà plus agréable et tes mouvements devenaient plus souples. Elle confirmait alors ce que tu pensais lorsqu’elle te félicita, ce qui te fit sourire. Elle s’arrêta et rangea son couteau alors tu avais fais de même. Elle te félicitait et te proposait de remettre ça au lendemain. « Avec plaisir ! » Elle te conseillait de continuer à t’exercer encore chaque jour pour ne pas perdre la main. « C’est noté ! » Tu ne savais à ce moment-là pas si ça te serais utile un jour mais tu continuerais de le faire. C’est alors que quelques minutes après, tes parents revenaient de leur expédition et furent surpris de voir un inconnu dans l’appartement de refuge. Toutefois tes parents n’avaient jamais été des personnes très négatifs et furent très reconnaissants de ce qu’elle avait fait pour Liam et lui avait proposé de rester aussi longtemps qu’elle le désirerait. Vous étiez chaleureux, surtout envers ceux qui vous aidait, vous aviez le sens du remerciement. Et elle serait à jamais la bienvenue.
Fin.

Spoiler:

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