Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure.
I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton
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Sujet: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton Sam 25 Fév - 18:36
Claire Hamilton
PRÉNOM(S) † Claire. NOM † Hamilton. ÂGE †30 ans. DATE DE NAISSANCE † 28 juin 1987. LIEU DE NAISSANCE † Ontario, Canada. ANCIEN LIEU D'HABITATION † Ontario, Canada. ANCIEN MÉTIER † Vétérinaire. STATUT FAMILIAL † Veuve. ORIENTATION SEXUELLE † Hétérosexuelle. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR † Felicity Jones. GROUPE QUE TU SOUHAITES REJOINDRE † Les sauveurs. CRÉDIT AVATAR † Sandy & Shiya.
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Salut ! Moi c'est Sandy et... bah j'ai déjà deux autres perso alors je me représenterai pas encore quand même... Et surtout, très très important : code validé par Aileenoutte.
Décris ton caractère d'avant l'épidémie puis de maintenant.
Avant l’épidémie j’étais toujours très positive et arrivais toujours à trouver une solution à un problème qui semblait impossible à résoudre. J’étais toujours très consciencieuse et concentré sur mon travail. Je donnais beaucoup de mon temps à ma clinique vétérinaire et j’étais considéré comme l’une des meilleures de mon domaine. Les gens m’adoraient. J’avais une personnalité très facile à suivre, une humeur peu changeante et un ton de voix chanteur. Maintenant les choses ont un peu changé. Je ne suis plus naïve comme je l’étais, même si je ne l’étais que très peu à l’époque. J’accorde moins facilement ma confiance et mes répliques sont plus cinglantes. On ne peut pas me mentir effrontément, je les sens venir à 10 milles à la ronde les menteurs. Je suis très franche malgré ma jovialité habituelle. J’ai gardé le même genre de tempérament qu’avant, mais je ne me laisse pas pour autant marcher sur les points. On peut être sympathique sans accepter d’être l’esclave de quelqu’un d’autre.
Que ressens-tu quand tu vois un zombie ? Est-ce que tu les tues ? Si oui, que ressens-tu ?
Mon premier réflexe est d’essayer de m’enfuir ou de l’éviter le plus possible. Je n’ai jamais été une tueuse de zombie. Mon talent principal est la médecine et s’est la raison pour laquelle je n’ai jamais vraiment eu affaire à un rôdeur. Au début de l’épidémie j’étais à travers la mêlée, je les ai évité et j’ai survécu. Je sais clairement que si je n’avais pas rejoins les Sauveurs, je serais probablement morte aujourd’hui. Je ne suis pas une tueuse. Les morts m’effraient, lorsque j’en entends un grogner, je cours dans la direction opposée, c’est le meilleur moyen pour moi de m’en tirer. Je suis très utile pour les Sauveurs, mais je suis loin d’être leur meilleur soldat. Je sais comment tuer un zombie, mais ils me lèvent le cœur. Ces lambeaux de chair qui pendouillent et cette odeur, j’en faisais des cauchemars au début. Je suis moins sensible qu’avant, mais je reste incapable de les tuer.
As-tu perdu beaucoup de proches et les pleures-tu encore ?
J’ai perdu mon mari, Arthur. Il a été tué alors que nous arrivions au laboratoire des Sauveurs à New-York. C’était au début de l’apocalypse. De l’eau a coulé sous les ponts depuis mais je pense à lui à chaque jour. S’il n’avait pas proposé qu’on se rende à New-York pour rejoindre le laboratoire, je serais probablement morte aujourd’hui. Il était la personne à qui je tenais le plus au monde et il m’a été enlevé. Mais je sais que ça ne me servirait à rien de le pleurer encore aujourd’hui. Il ne voudrait pas que je me laisse aller. Donc j’ai fais comme il le faisait toujours, tourner la page et continuer. C’est parfois difficile je dois l’avouer, car dans ce monde horrible, je ne sais plus vers qui me tourner. Il ne me reste que moi et mes quelques connaissances. Je dois justement regarder vers l’avant et continuer mon chemin.
Penses-tu avoir évolué depuis le début de l'invasion ?
Ça dépend. Concernant les rôdeurs je n’ai pas évolué. Je ne l’ai tue pas. Je sais comment faire, mais c’est la motivation qui manque. Je préfère de loin soigner les survivants qu’on m’amènent. J’aime leur poser des questions et en apprendre sur leur vie. Je suis très curieuse concernant l’histoire des autres. J’adore entendre les anecdotes de mes patients. Que ce soit animal auparavant à la clinique ou maintenant, j’aime quand on me bombarde d’informations sur l’extérieur ou sur votre vie personnelle. Le point sur lequel j’ai le plus évolué c’est la confiance. Avant j’accordais ma confiance à tout le monde. Je me disais que les gens méritaient qu’on leur face confiance jusqu’à preuve du contraire. Maintenant je ne fais confiance à personne jusqu’à preuve du contraire. J’ai l’air très ouverte et sympathique mais je me garde une marge de manœuvre. J’aime parler avec tout le monde mais n’essayez pas d’abuser de ma gentillesse, car elle a des limites.
Dernière édition par Claire Hamilton le Ven 3 Mar - 23:47, édité 3 fois
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Sujet: Re: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton Sam 25 Fév - 18:36
There is beauty in this world. But people like you keep spreadin' over it like a fuckin' stain.
1994 -
« Woo-hoo, but you know I'm yours ! Woo-hoo, and I know you're mine ! Woo-hoo, and that's for all time ! »
J’avais 7 ans. J’étais dans le siège arrière de la voiture ma mère et Buddy Holly de Weezer jouait à la radio. C’était la chanson préférée de ma mère et elle ne manquait pas de la faire jouer à chaque fois qu’elle venait me chercher pour le weekend. Parce que mes parents étaient divorcés depuis mes 2 ans et que j’étais à la charge de mon père. Ma mère n’ayant pas d’emploi stable depuis de nombreuses années. Je passais tout de même mes weekends chez elle. Lorsque je voyais sa voiture dans l’allée de la maison, je ne pouvais m’empêcher de courir jusque dans ma chambre pour récupérer les quelques effets personnels que je trainais toujours avec moi, même si j’avais tout le nécessaire chez ma mère. Et redescendre le grand escalier à toute allure sous le regard désapprobateur de mon père. Mon père était un homme dur. Je ne le cacherai pas, avec lui j’ai appris la discipline et la rigueur. Il m’obligeait à faire mes devoirs chaque soir, me faisant répéter la table de multiplication jusqu’à ce que je l’apprenne par cœur et m’inscris à un cours de piano à mes 5 ans. Je me serais probablement rebellé si je n’avais pas eu ma mère. Je dois tout de même avouer que j’en ai fais voir de toute les couleurs à mon père. J’ai toujours eu un bon sens de la répartie et il est le premier à y avoir goûté.
« Tu veux qu’on arrête acheter une pizza pour le dîner ? » me proposa ma mère du siège conducteur où elle était installée.
« Oui de la pizza ! » M’écriais-je.
Avec ma mère, le vendredi soir était soir de fête. Le weekend était arrivé et on pouvait relaxer. Avec elle, tout était toujours une occasion de fêter. Elle n’avait pas beaucoup d’argent, vivait dans un appartement miteux mais réussissait toujours à m’emmener au cinéma ou au restaurant. Je me suis toujours dit qu’elle gardait de l’argent de côté seulement pour moi. Malgré ses nombreux problèmes, la seule chose que je n’ai jamais retenu d’elle c’était qu’elle était prête à tout pour me faire plaisir.
2010 -
J’avais 23 ans, je sortais tout juste de l’université et j’avais eu la chance d’être engagé tout de suite après l’école vétérinaire. Ironiquement, j’ai marié mon patron. Il avait 27 ans, il était intelligent, dévoué et plutôt mignon. Je sortais de l’école, j’étais facilement impressionnable et il m’avait offert un emploi. Quoi dire de plus ? À force de travailler ensemble, d’apprendre ensemble à travers nos différences expériences, nous avons finis par tomber amoureux. La relation s’est développée lors de ma première année de travail. Parce que malheureusement, ça ne dura que deux ans. Juste avant que l’épidémie ne se répande. J’étais une bonne vétérinaire, du moins je le crois. Je me mariais avec Arthur l’année après mon embauche et nous vécûmes… une année de bonheur ? Tout juste. Je crois avoir soigné plus de survivants maintenant que d’animaux à ma sortie de l’école. J’ai pratiqué mon métier pendant 2 ans, j’ai été marié pendant 2 ans et je survis depuis… 5 ans ? J’essaie de me garder à jour mais parfois j’oublie.
À la clinique, je m’occupais des animaux domestiques comme les chats, les chiens, rongeurs, volatiles et même parfois les poissons (oui juré !). Arthur lui était spécialisé en gros animaux, il était souvent sur la route pour visiter les fermes ou les écuries près de la clinique. Nous étions deux vétos à travailler ensemble et je trouvais que notre rythme de travail était parfait. Nous avons décidé d’emménager ensemble plus ou moins 8 mois après le début de notre relation. C’était plus facile pour les déplacements, vu que nous nous rendions au travail en même temps. J’ai pratiqué de nombreuses chirurgies sur des animaux, des euthanasies (malheureusement) et des rendez vous de routine. Ce n’était pas un travail toujours facile mais je possédais le parfait mélange d’empathie et de sang froid pour le pratiquer. Je possédais moi-même 3 chats avant l’épidémie et Arthur avait son chien. Je ne peux même pas dire ce qu’il leur est arrivé avec l’apocalypse. Je me souviens qu’en quittant la maison, nous avions laissé de la nourriture en quantité extravagante et les animaux pouvaient toujours sortir par la chatière de la porte arrière. Soit ils sont mort, soit ils ont réussis à survivre en s’adaptant. Et ça ne me surprendrait pas du tout, les animaux sont surprenant.
J’aimerais dire que c’était le train train quotidien, mais chaque jour apportait son lot de nouveauté. Une urgence, un miracle, une mort, une naissance. Ça peut paraitre idiot, mais au nombre d’émotion que j’ai vécu dans ces deux ans, je me disais auparavant que rien ne pouvait être plus excitant. Et j’avais atrocement tord. Un agenda rempli certes, mais bien planifié et toujours organisé selon mes préférences. Une réceptionniste pour prendre les appels, des techniciens pour aider, les meilleurs technologies pour diagnostiquer et soigner et pourtant, je ne me rendais pas compte de la chance que j’avais. J’avais toujours eu beaucoup d’argent grâce à mon père. J’avais étudié au collège vétérinaire de l’Ontario sans emprunter à la banque et j’avais toujours été l’une des meilleures élèves. J’étais privilégié. Et je le suis encore aujourd’hui. Mais aujourd’hui je le sais. J’avais un travail que j’adorais, un mari que j’aimais et la technologie à portée de main. Tout a changé radicalement.
2012 –
L’épidémie c’est répandue partout autour du globe. Arthur et moi avons rejoins un camp militaire quelques semaines après le début de la crise. Nous aidons du mieux que nous pouvons même si parfois le moral n’y est pas. J’apprends aussi du mieux que je le peux à traiter des patients humains et non animal. Je dois avouer par contre que le fait que mes nouveaux patients peuvent me parler rend le tout plus facile. Je ne m’étais jamais rendu compte à quel point c’était compliqué de faire une prise de sang à un chien jusqu’à ce que je le fasse à un humain. Au camp, je sens la terreur que vivent les autres. Il y a aussi les ‘’vrais’’ médecins qui nous regardent d’un drôle d’air. J’en ai même entendu un l’autre jour dire que nous ne devrions même pas avoir le droit de toucher à leurs patients. Pourtant, les militaires acceptent toute l’aide qu’ils peuvent avoir. Arthur et moi sommes heureux d’avoir un refuge sécurisé, c’est tout ce qui compte. Au fil du temps, le campement à changé de localisation. Parfois les infectés se rassemblaient en trop grand nombre contre nos murs et nous devions quitter pour un autre camp. Et de plus, l’hiver nous obligeait à voyager vers le sud. Lorsque nous traversâmes la frontière Canado-Américaine, je me surpris de ne pas y rencontrer de douane. C’était vraiment aussi désert que le disait les survivants que nous rencontrions au fil de notre route. Pendant plusieurs mois, nous vécûmes dans des campements improvisés. Les militaires nous protégeaient. Nous étions des médecins, des vétérinaires, des infirmières et même des techniciens de laboratoire. Je ne comprenais pas vraiment la raison pour laquelle nous devions voyager ainsi nuit et jour. Ils nous avaient parlé d’un laboratoire où ils essayaient de rassembler le plus de professionnel possible pour élaborer un remède contre le virus qui transformait les gens en zombies. Je dis un virus, mais personne ne savait vraiment ce que c’était. J’avais entendu des théories sur des spores qui affecteraient le cerveau, une sorte de grippe aviaire et même des troubles mentaux. Les explications venaient de n’importe où et de n’importe qui. Je préférais rester neutre et participer aux activités de ce laboratoire.
Malheureusement, Arthur ne rejoignis jamais le laboratoire des Sauveurs. Il mourut à 127 kilomètres de l’endroit. Nous suivions la route principale à bord des véhicules militaires et nous venions tout juste de nous arrêter pour la nuit. La zone du campement était extrêmement bien surveillé, comme toujours. Les militaires se relayaient pour faire en sorte qu’aucune créature ne pénètre à l’intérieur. Ce qu’ils n’avaient pas prévus, c’était qu’un membre du cortège, un médecin plutôt âgé, avait été mordu quelques jours plus tôt et n’avait avertit personne de son état. Pendant la nuit, l’homme se transforma et attaqua plusieurs membres du cortège avant d’être arrêté. Et Arthur fut l’une des victimes. Mon mari avait décidé de rester autour du feu plus tard cette soirée la et cette décision lui avait couté la vie. La créature s’en prit à lui avant qu’il n’ait même le temps de réagir. Je dormais au moment des faits et la seule chose dont je me souvienne c’est d’un militaire trainant mon mari par les épaules, refusant que je ne lui parle. C’est également la dernière fois que je l’ai vu. Le lendemain matin, on m’apprit qu’Arthur avait été tué. Comme ça. Sans préambule. On venait de tuer mon mari, mon collègue et mon meilleur ami. Sans que je ne puisse le prendre dans mes bras une dernière fois ou même lui parler. On m’avait très bien expliqué le processus. Lorsque quelqu’un se faisait mordre par un rôdeur, on devait l’éliminer. On ne gardait personne n’ayant pas reçu le vaccin car il se transformerait automatiquement. Ce n’était pas le protocole que je ne comprenais pas. C’était le fait qu’on m’ait enlevé mon mari aussi brutalement. Qu’on ne me permette pas de lui faire mes adieux. Comme si je ne valais rien à leurs yeux. J’avais plus que hâte d’arriver au laboratoire de New-York. Ne plus vivre dans la brousse tous les jours et surtout, essayer d’oublier ce qu’il venait d’arriver à Arthur. Oubliez comment on m’avait traité et le manque de compassion de ces gens.
2017 –
J’avais rejoins les Sauveurs. Je faisais maintenant partit de la communauté et j’avais accepté de suivre un groupe se rendant jusqu’en Californie. J’étais plutôt réticente normalement à ce genre de voyage, mais j’avais besoin de voir à l’extérieur. Je n’étais pas partit aussi loin depuis plusieurs années maintenant et j’avais envie de voir de quoi le monde avait l’air. Comment tout avait changé. On s’y rendait pour offrir le vaccin aux survivants des environs et que nous rencontrerions dans les arrêts que nous ferions un peu partout au pays. C’est de plus en plus difficile de faire une annonce dans ce genre, mais on se fit au bouche à oreille. Je me demande encore si ça vaut la peine. On rencontre de plus en plus de survivants chaque jour sur la plage sur laquelle nous nous sommes arrêtés. Je vérifie des questionnaires toute la journée, observe des survivants devenus soit très agressifs ou bien complètement amorphe. J’ai l’impression que certains n’ont pas sourit depuis des années. Et je peux comprendre parfois. Les dentistes ne courent plus les rues. On ne rit plus de moi lorsque je dis que je suis vétérinaire. Je sais que les gens ayant pratiqués mon métier sont une denrée rare. Je suis protégé ici, je fais un travail important. J’aurais aimé qu’Arthur soit encore là avec moi pour qu’on se rassure l’un l’autre sur ce que l’ont vit, mais je dois le faire seule. J’avance dans ce monde à petits pas, essayant de comprendre ce qui s’y passe et de socialiser avec les survivants. Je reste quelqu’un de très joviale malgré les malheurs qui m’ont frappé et je me considère chanceuse. Je sais que je peux vivre comme je vis en ce moment parce que je suis utile. Si j’avais pratiqué autre chose que la médecine, on m’aurait relégué aux oubliettes. Donc je travaille 100 fois plus fort que n’importe quel autre médecin du groupe, espérant ainsi payer ma dette envers les grosses têtes de cette institution.
You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.
Dernière édition par Claire Hamilton le Ven 3 Mar - 23:07, édité 1 fois
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Sujet: Re: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton Sam 25 Fév - 19:34
(Re)bienvenue Claire ! Dépêches-toi de poster ta fiche que je puisses lire ça !
Super choix d'avatar en plus, j'approuve ! #StarWarsFan
Tyler I. Maxxens
Tyler I. Maxxens
Justice price
Tywan
Award 2018:
× Âge du perso : : 36 ans
× Caravane + colocataires : : 2B avec Roxanne, Maria & Naël
Sujet: Re: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton Sam 4 Mar - 0:01
Te voilà désormais un membre à part entière de Born !
Aileen L. Blackhood a l'immense plaisir de te valider ! Félicitations, tu rejoins le groupe des sauveurs
Roh lala mais il est coool ton personnage ! J'adore son caractère et tout J'ai vraiment hâte de la voir évoluer/à l'oeuvre Nous faudra des liens
Tu peux dès maintenant te lancer dans l'aventure Bornienne :
→ Lance-toi dans le RP en t'amusant ici ou cherche des partenaires de jeu par là ! → Recense ton avatar en postant dans ce sujet. → Prends connaissance du système de points et ce qu'il implique (en plus d'autres informations nécessaires à la compréhension du forum) par ici (cf INFO N°3). → Viens poster tes fiches de liens et de RPs. → Crée tes propres scénarios ou de simples liens qui pourraient t'être utiles. → Vote régulièrement pour gagner des points et nous faire connaître ! De même en postant sur Bazzart et PRD → Et surtout amuse-toi !
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Sujet: Re: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton Sam 4 Mar - 1:06
Merci à tous ! J'arriveeeee
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Sujet: Re: I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton
I understand now. This world doesn’t belong to them; it belongs to us. | Claire Hamilton