Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron]
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Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron]

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Zombies (PNJ)

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ZOMBIE
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× Âge du perso : : Je n'ai point d'âge.

× Caravane + colocataires : : Je n'ai pas été accepté à Ellia.

× Poste assigné : : Idem.

× Messages : : 1051

× Points de vie : : 1

× Copyright : : SAPPHIRE.

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× Et ton p'tit pseudo ? : : Selon ton bon vouloir ... ça va de "zombaque" à "zonzon" en passant par ... "rôdeur"..




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MessageSujet: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 1 Juin - 14:14


Evacuate the Dancefloor



Il existe tellement de choses étranges en ce monde. Nouveau mouvement, qui n'a d'effet que d'accentuer ce besoin de survie. Tous les trois vous avez été capturés par un groupe de survivants coriaces. Chacun de votre coté, vous avez été balancé à l'arrière d'une camionnette, et emmenés vers un lieu que vous ne pouvez pas voir, puisque vos yeux sont bandés. L'odeur vous révèle de la fumée, du tabac peut être, avec un petit quelque chose de concentration de sueur humaine. Vos oreilles vous révèlent une musique très forte, comme en boite de nuit. Cascada, cette blonde qui a du périr dans les prémisses de la pandémie, vous surine un air entraînant, mais tout ceci n'a rien de très rassurant. On vous pousse à avancer, et malgré le bandeau sur vos yeux, vous pouvez sentir un jeu de lumière élaboré. Adonis vous sentez des gens vous frôler sur la droite, sans vraiment vous toucher. Frances, quelqu'un vous prend la main et vous emmène sur la piste de danse. Iron une femme se colle à vous de manière lascive, en effleurant votre corps de ses doigts fins. D'un coup un fort klaxon coupe la musique, un genre d'alarme, tous les frôlements s'arrêtent sur vos personnes et d'un coup vos yeux retrouvent la vue. Ce que vous voyez? Un sol en carré lumineux qui clignotent sous vos pieds, et tout autour des cellules à barreaux retenant des zombies tendant leurs bras vers vous. La survie est enclenchée.

Ordre de passage : Comme vous le souhaitez.

Le Maitre du jeu, viendra ponctuer vos passages. Tuer ou être tué? A vous de jouer!




Dernière édition par Zombies le Sam 29 Juin - 19:10, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 1 Juin - 19:14

Le noir. Combien de secondes, de minutes, d’heures, de jours ? Il n’en savait rien. Il y avait juste le noir, immonde et froid. Le cliquetis régulier d’un véhicule à pleine allure. Autrement, le silence. Eternel, absolu. Il est là, régulier et froid, ce vent qui s’infiltre par les mauvais joints. Il se débat encore et encore, mais il est solidement attaché. Il ne peut plus rien. Captif de vandales aux cœurs aussi noirs que l’acier d’un Glock. Il s’est éprit déjà de ses tortionnaires. Ils n’ont pas tué la merveilleuse créature qu’il est. Non. Il est lui toujours. Il n’est pas l’une de ses créatures. Pour le moment, aucune superbe n’est plus brillant que sa propre vie.

Il sent dans sa poche un paquet de chewing-gums. Et bizarrement, à cet instant, il crève d’envie de déguster un de ces merveilleux carré à la saveur douce de la mangue et de la fraise. Mélangées avec magie lorsque les usines Hollywood tournaient encore à plein régime. Il est peut-être à deux doigts de mourir et la seule envie qu’il veut satisfaire, c’est de manger un bout de goudron rendu consommable. Bien entendu, dans l’absolu, il aurait préféré être Bruce Wayne pour faire de cette camionnette un simple bout de taule froissée. De ses occupants en revanche, il avait l’esprit créatif, au point peut-être d’en faire eux aussi des bouts de taules dégoulinantes d’un liquide pourpre. Il aurait voulu être Spiderman pour voir un sixième sens. Ce sixième sens qui lui aurait dit de se méfier. Un danger approchant, il aurait su immédiatement qu’il fallait se défendre. Sans quoi, lui et Fran s’étaient laissé avoir comme des bleus. FRAN. Où était-elle donc ? Pas avec lui en tous les cas. C’était une fille et elle aurait jacassée comme une poule si elle s’était trouvée dans la même prison roulante que lui.

Il avait l’impression d’être le gamin assez stupide des fictions pour se laisser tenter par une glace d’un camion défraichi. Le gamin qui fonçait vers un pédophile la bite levée vers les cieux, prêt à se faire déguster par le grand magicien à la grosse baguette. Ouais, c’était ça. Il avait l’impression d’être assez débile pour se faire avoir comme un débile. Bordel. Il avait un god à la ceinture qui avait tué plus de zombies que ses autres armes et il était incapable de faire face aux dangers humains ? En forçant sur ses bras, il s’était rendu compte que les liens n’étaient pas si serrés. Cependant, il devait avoir dans les bras d’Adonis autant de force que dans la bite de ce connard de George Bush. Autant dire que la force n’était pas au rendez-vous et qu’il ne réussirait jamais à défaire ses liens si peu fiables soient-ils. Le jeune homme s’était résolu à attendre durant le trajet. Il verrait bien la suite et il improviserait. Comme toujours, dans ce putain de monde, c’étaient les faibles qu’on prenait. Ceux qui n’avaient pas la force de casser des têtes d’un coup de main.

Lui qui pensait l’égalité enfin rétablie, il se trompait. Ces connards de barbares venaient de mettre à mal plus d’un an de réflexions sociologiques. La Nature vivante ou morte était une sale garce qui n’avait aucun autre jouet qu’Adonis. Elle devait bien s’éclater à le voir survivre avec Fran. Un geek et une femme. Pour la première personne, son cerveau de surdoué le sauvait largement. Dans le second des cas, en revanche, elle n’avait rien pour elle. C’était une femme. Une femme particulièrement stupide. Se dire qu’elle n’avait pas réussi à franchir le rang de stagiaire avant le début de la pandémie devait sacrément la frustré. Elle resterait une stagiaire aux yeux de la société. Et quand on reconstruirait le monde, on la pointerait du doigt. Bouh, bouh. La stagiaire veut l’ouvrir. Bouh Bouh et retourne à tes tasses de café. Adonis avait trouvé pire cas que lui encore et même si cela ne fusse possible qu’après l’implosion de la race humaine, il était plutôt fier d’avoir plus attardé que lui.

Après tout, ses soucis d’intégration à part, il était l’un des plus gros cerveaux de l’ancien monde et encore plus aujourd’hui. Il n’avait pas été capable d’enrayer une épidémie mais c’était lui le type qu’on voyait aux infos pour parler d’un fâcheux virus qui donnait une fièvre à peine croyable tellement les thermomètres s’affolaient une fois dans le derrière des malades. Sanders était un génie et aujourd’hui, un génie captif. On le prendrait peut-être pour son cerveau ? On voudrait peut-être de lui pour conduire des recherches sur les zombies ? Ouais, ça devait être ça. Mais qu’avait-il fait de Fran ? Avaient-ils tué la jeune femme en se rendant compte que ce n’était qu’une stagiaire ? Ou avaient-ils été bernés par les deux pêches qu’elle trainait partout ?

Si c’était des russes, sans doute avaient-ils sauté sur les pêches avant de la tuer. Des américains se seraient montrés plus méfiants et voudraient la faire jouer un peu avant de décider si oui ou non, elle méritait le game-over.
Ses doutes étaient froids, curieux. On le fit mettre pied à terre. Il marcha durant cinq minutes sur une surface parfaitement lisse mais brûlante. Il le sentait sous ses semelles. Du goudron californien. . L’odeur était atroce. Ca puait la mort, ça puait la Californie. Ca puait tout. Ca puait tout sauf le bonheur. Après la chaleur et la transpiration, une fraicheur ambiante. Il venait de rentrer dans un bâtiment. Un bâtiment où une petite lumière colorée émettait derrière son bandeau hermétique. Il ne voyait rien sauf des flashs violets par-dessous.
Abandonné là, il sent des ombres se mouvoir, se frotter à lui sans jamais oser mettre la main dessus. De la musique électro, de la musique affreuse. Il n’a plus les mains liés et se bouche les esgourdes. Pire encore que ce rap à deux francs, l’électro lui mange littéralement le cerveau. Lui fan de douces mélodies aux accents de hard-rock, il ne peut plus. Il ne survit pas à la musique. Heureux d’apprendre qu’un bruit strident vient perturber la fête, il retrouve la vue. Et ce qu’il voit ne lui plait pas. Il remarque un autre homme dans la pièce. Blouson de cuir sur les épaules. Ca doit être un putain de zonard, un connard responsable de son enlèvement. Mais il remarque aussi Fran à quelques pas, apeurée peut-être.

Et il remarque ça. Ca, ces cages retenant d’affreuses masses de zombies. Les couloirs sont invisibles, les lumières de boite de nuits diffusent simplement assez de vivacité pour voir toutes les cages dressées. Des zombies par dizaines se tiennent là. Ils n’ont qu’une envie, dévorer chaque membre de cette morbide excursion.

« Toi là, avec ton blouson. Oh, le fan de Supernatural, j’te parle ! » . Avec son blouson de cuire, il ressemble à Dean Winchester. Il regarde le type. « Tu sais où on est ?»
En se rapprochant de Fran.
« Et toi ? Bon, t’es que stagiaire mais t’as une idée pour me sortir de là ? Après tout, si je suis Frodon, tu es mon Gandalf ! »
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeDim 2 Juin - 10:58


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Iron observe longuement le corps en face de lui. Le cadavre l'est depuis plusieurs jours déjà et, la flèche qu'il a reçu en pleine tête semble récente. Ca ne peut signifier qu'une chose, des survivants sont dans le coin. Le brun tourne un moment sur lui-même, sentant ses muscles se contracter. Il n'aime pas ça, pas du tout. Au sol, aucun indice ne peut lui apporter la preuve d'une quelconque activité. Pas d’empreinte dans le sable, pas d'objets fauchés par une quelconque bataille. Rien. Iron fait volte-face, sentant la brise salée investir ses narines. L'odeur est si forte qu'elle masque celui du corps en putréfaction. C'est presque un soulagement, il ne supporte plus cette odeur. S'y habituer ? Sûrement pas. La plage est silencieuse, trop silencieuse. Il lui semble que même la mer est plus déchaînée que jamais. Comme si le temps et la dévastation n'avait aucun impacte sur elle. Il fixe les bâtiments, tous abandonnés. La nature commence petit à petit à reprendre ses droits sur la métropole. La flèche a bien du parcourir plusieurs mètres avant de se figée dans le crâne du mort. Et en parlant de mort … Il n'en voit aucun. Il ne sait pas s'il doit s'en rassurer, ou s'en inquiéter. Iron grimace, lançant un regard haineux au mort-vivant avant de s'extirper de la plage. Les températures encore fraîches l'obligent à revêtir la veste en cuir de son père et, le brun laisse ressortir la capuche de sweat alors qu'il rejoint sa planque, vérifiant que son couteau de chasse est bien fiché dans sa Rangers gauche.

Il se demande même si Alice est déjà de retour dans leur planque. Il est toujours tendu, comme à chaque fois qu'il se met à découvert. Avec tout ça, il en a presque oublié d'aller chercher de quoi manger. Dire qu'un an plus tôt, il n'était qu'un geek fils à papa pas foutu de faire autre chose que du piratage informatique, pour gagner lui-même sa croûte. Oh, il avait pour projet de devenir prof dans un lycée publique bien côté, manque de bol, il n'a pas eu le temps. Certes, il détestait les gens, et surtout les jeunes. Lui, le geek farouche planqué derrière une paire de lunettes obsolètes et gras comme un cochon. L'ironie voudrait qu'il soit à présent l'image que son père aurait aimé voir de lui. Rien d'étonnant, il était un ex-militaire. Iron n'a jamais rien voulu savoir, se rebellant contre son paternel. Non, lui, il voulait étudier, pas devenir quarterback. Ni subir un entraînement militaire avant de reprendre les affaires familiales. Non, il s'était contenté d'être un cerveau, un étudiant. Quand il songe à la réaction du patriarche alors qu'il annonçait partir pour Oxford … Il repousse la pensée futile, ignorant d'où celle-ci peut bien provenir. Le vagabond descend le long d'une ruelle vide, se concentrant sur un râle, ou un mouvement habituel. Le cheminement de ses pensées et déjà partie bien loin. Mais ce moment d’égarement semble lui coûter cher. Très cher. Car il n'entend pas les deux hommes derrière lui qui filent silencieusement, sans faire le moindre bruit sur le bitume. Quand Iron se retourne, il est déjà trop tard. Le brun fait volte-face, sans voir un grand black lui asséner un coup de crosse en pleine tempe.




****

Il a mal. La douleur bat dans son crâne telle un coup de marteau piqueur. La douleur lancinante lui tire une grimace, alors qu'il cligne des yeux. Pourtant, l’obscurité persiste. Et le jeune homme sent le bout de tissus frottant contre son nez et son oreille alors qu'il tente un mouvement. Il sent le sol vibrer sous son torse, entend le bruit d'un moteur. Et s'imagine alors les pires scénarios. Visiblement, il s'est fait enlever par une bande de tarés. Pour quoi ? Pour servir d’appât ? Iron gigote sur place, mains liées dans le dos. Les cordes sont si serrées qu'elles lui lacèrent les poignets, irritant sa peau. Mais il s'en fout, il doit se tirer là. Son instinct de survie lui dicte de s'écorcher la chair tant qu'il le faudra, alors il s’exécute. Lâchant un grognement de douleur tandis qu'il tente de défaire les liens à la seule force de ses bras. Pour la peine, il a presque envie de remercier Alice pour les heures de torture et d’exercice physique éprouvant. Sans quoi, il n'arriverait même pas à bouger le petit orteil. Les vrombissements cessent et le cri du moteur meurt dans un silence inquiétant, uniquement brisé par des voix d'hommes beuglant des ordres entre eux. Le brun entend un bruit de portière, rapidement suivit par le claquement des chaussures contre le sol de la camionnette. Deux mains ferment l'agrippent sans ménagement, l'obligeant à se relever et le jetant à l'extérieur. Il sent le vent léger lui fouetter la nuque, réalisant qu'il est en sueur.

Pourtant, Iron ne proteste pas, ne parle pas. Ne supplie pas. Il espère juste rapidement trouver une solution pour se tirer de là et, tant qu'il sera aveugle, c'est impossible. Il n'a aucun repaire. Son ouïe renforcée par l'absence d'images lui permet d'entendre un tapage étrange, étouffée. Mais rapidement, il entend le cliquetis métallique d'une porte et, le son odieux au rythme techno agresse ses sens. Il déteste ce genre de soupe populaire. Derrière son bandage, ses rétines sont rapidement agressées par des jets de lumières . Un jeu d'artifices aux couleurs violettes, jaunes … Tantôt bleues, tantôt vertes. Il sent la main ferme le relâcher d'un coup, le poussant sans ménagement sur un sol étrangement lisse. Ca lui rappel celui des supermarché. Ou … Des clubs. Même s'il n'en a vu un qu'une seule fois. Peu intéressé par le style de vie des fêtards. La 'musique' fait battre ses nerfs, et, un effleurement à peine distinct le fait reculer en arrière. Il sent les doigts fins, la poitrine d'une femme qui se colle à lui. Merde, c'est quoi ce bordel ! Puis plus rien, la musique cesse, le voile se lève … Iron bat des paupières, les sentant et entendant avec horreur, avant même de les apercevoir. Des morts, partout. Leurs dents claquent, leurs bras s'agitent à travers la barreaux. Des cages qui … Les, entourent. Iron distingue vaguement une petite blonde, et un grand gringalet qui lui rappel une petite fouine à l’affût. Dit gringalet qui se tourne vers lui alors qu'il fixe les cages avec horreur.

« - Toi là, avec ton blouson. Oh, le fan de Supernatural, j’te parle !

Iron se tourne à nouveau vers lui, haussant un sourcil. Il n'aime pas cette série ! Encore un débile qui le prend pour Rocky ? Il en lèverait les yeux au ciel, si la situation n'était pas aussi alarmante.

- Tu sais où on est ? Demande le gringalet avec arrogance.

La question lui arrache une grimace.

- J'ai l'air d'avoir envie de me retrouver là ? Crache-t-il en reculant devant l'une des cages. L'un des morts se jette brutalement sur les barreaux, ses doigts aux ongles noircis le frôlant de justesse.

- Et toi ? Bon, t’es que stagiaire mais t’as une idée pour me sortir de là ? Après tout, si je suis Frodon, tu es mon Gandalf !

Il a beau noter la référence, Iron n'est pas d'humeur.

- Oh, Frodon, ferme-là un peu, c'est pas le moment ! Gueule Iron en se tenant à l'écart des cages, fixant la petite blonde au passage. Vous allez bien ? Ces types vous ont rien fait ? »
Evidemment, il pose la question aux deux inconnus. Il semblerait que sur ce coup, ils soient dans le même bateau.
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeDim 2 Juin - 21:01

Les battements de son cœur ne cessaient de s'accélérer, Fran avait beau respirer de plus en plus lentement, rien n'y faisait, son cœur battait à une allure folle. Ses genoux recoquillés contre sa faible poitrine, son front posé délicatement contre eux, elle tentait par tous les moyens de se rassurer en se balançant légèrement. Mais en vérité, la seule personne qui avait le don de la calmer dans un moment comme celui-ci n'était autre qu'Adonis, or elle n'avait aucune idée d'où il pouvait bien se trouver en cet instant. Elle espérait simplement qu'il soit encore en vie. De toutes manières, s'il n'était plus de ce monde, elle pouvait dès à présent dire au revoir à sa propre existence, car c'était entièrement grâce à lui si elle n'avait pas encore rendue son dernier souffle. Essayant d'effacer les pensées peu encourageantes que lui lançait son esprit, elle se rendit compte qu'elle connaissait l'endroit où elle était retenue, une camionnette, ça ne pouvait être que cela. Elle se souvenait parfaitement des bruits de moteur et du plancher froid lui glaçant les pieds, alors qu'elle accompagnait son grand-père chez ses fournisseurs. La jeune blondinette adorait se mettre à l'arrière de la camionnette à cette époque, mais aujourd'hui tout était différent. Il n'y avait aucune excitation, aucune joie, seulement de la peur.

Remuant vaguement ses mains afin de tenter de desserrer ses liens, elle se rendit vite compte que défaire les cordes lui serait impossible, elle avait trop peu de force et souffrait déjà bien trop. Une larme roula le long de sa joue par dépit, elle avait survécue aux zombies et allait probablement mourir à cause d'humains. Elle souffla de désespoir avant d'être saisit par le freinage du véhicule. Ses yeux bandés, l'empêchait de voir quoi que ce soit, mais elle ne tarda pas à apercevoir une lumière flamboyante qui lui brula les yeux. Quelqu'un grimpait à l'arrière, son cœur s'affola, elle pouvait flairer son odeur nauséabonde, mélange d'alcool et de sueur. Elle sentit ensuite des mains grasses se poser sur ses épaules et fût rapidement entraîner vers la sortie avec une force brutale.

D'autres mains l'agrippèrent, dès qu'elle posa un pied sur le sol, ce qui la fît frissonner. On la fît avancer à l'aveugle, elle trébucha de nombreuses fois, avant de marquer un arrêt. Des portes grinçantes s'ouvrirent et toujours en la tenant fermement, elle fût guidée à l'intérieur. Frances tremblait de tout son être, l'odeur était encore plus écœurante ici qu'à l'extérieur. Un bruit insupportable vint également assaillir ses pauvres oreilles.

Elle resta sans bouger le moindre muscle, pendant plusieurs secondes, soudainement une main caressa la sienne, avant de la saisir délicatement, d'entremêler leurs doigts et d'emmener la jeune femme un peu plus loin. Cette main douce avait quelque peu rassurée Frances, elle tremblait moins à présent, même si ses battements n'avaient toujours pas ralentis. D'autres mains passèrent près de ses cheveux, elle avait beau tourner la tête à toute allure, celles-ci continuèrent leurs mouvements sans laisser le temps à Fran de comprendre qu'elles désiraient simplement retirer le bout de tissu qui lui cachait la vue. Sa vision enfin retrouvée, elle fût complètement anéantie lorsqu'elle découvrit le lieu dans lequel elle se trouvait. Une boîte de nuit à première vue, même si la scientifique n'avait encore jamais mis les pieds dans un tel endroit, mais le pire ne se situait pas là, non. La captive se trouvait entourée d'une horde de zombie, avec comme seule protection, des barreaux en acier.

Tournant sa tête, elle remarqua avec une joie peu détournée qu'elle n'était pas seule. Adonis était là, mais également un homme qu'elle ne reconnaissait absolument pas. Toi là, avec ton blouson. Oh, le fan de Supernatural, j’te parle ! Tu sais où on est ? La voix grinçante du scientifique avait réussie à dépasser le bruit que faisait cette affreuse musique. Bien que Fran admirait les talents d'observations de son compagnon, elle était bien trop apeurée pour le féliciter. J'ai l'air d'avoir envie de me retrouver là ? La remarque fît légèrement sourire la blondinette, au vu de la situation il était en effet très probable qu'il soit au courant de quelque chose. Se rapprochant un peu plus d'Adonis, qu'elle considérait comme son dévoué protecteur, elle se tourna vers lui le regard affolé. Il la fixa de son air supérieur durant un court instant. Et toi ? Bon, t’es que stagiaire mais t’as une idée pour me sortir de là ? Après tout, si je suis Frodon, tu es mon Gandalf !

La comparaison était de qualité, bien que Fran espérait qu'elle n'avait rien avoir avec le physique peu avantageux de Gandalf. Levant ses yeux au ciel, elle n'eut pas le temps de répondre puisque leur nouveau compagnon reprit la parole. "Oh, Frodon, ferme-là un peu, c'est pas le moment !" Elle ne put retenir un petit rire moqueur, après tout, c'était d'habitude elle qui se voyait refermer le clapet par Adonis, il était bon que les rôles soient différents pour une fois. " Vous allez bien ? Ces types vous ont rien fait ?" Lui souriant, elle en oublia presque la situation alarmante. Secouant la tête en signe de négation, elle se tourna vers son professeur afin de se rassurer.

"Et vous, ça va ?", dit-elle tout en fixant le jeune homme un instant, elle redirigea ensuite son regard vers les morts-vivants, qui allongeaient leurs membres afin de tenter de saisir leurs proies. Fran redoutait que les grilles allaient s'ouvrir d'un moment à l'autre. Le spectacle pourrait enfin commencer, bien qu'elle l'aurait nettement plus appréciée en étant spectatrice cette fois-ci.
"J'ai bien peur que ces bestioles ne vont pas tarder à nous déguster !"
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× Caravane + colocataires : : Je n'ai pas été accepté à Ellia.

× Poste assigné : : Idem.

× Messages : : 1051

× Points de vie : : 1

× Copyright : : SAPPHIRE.

× Avatar : : Zombie.

× Et ton p'tit pseudo ? : : Selon ton bon vouloir ... ça va de "zombaque" à "zonzon" en passant par ... "rôdeur"..




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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeDim 2 Juin - 22:56


Evacuate the Dancefloor



D'un coup, Keisha et son Die Young résonne très fort dans la boite, les carreaux lumineux s'affolent sous vos pieds, et les râles Zombies s'intensifient. Outre ce fait, vous entendez des cris d'humains, en effet, si vous levez le nez vers le haut, tout autour de vous, une foule de jeunes gens assoiffés de spectacle acclame le sang! Ils applaudissent au rythme de la musique, il chante sur les paroles. Tout s'accélère alors, personne n'entendra vos supplications, bienvenue dans l'antre d'Anton, ce survivant balafré qui a monté un vrai cirque en ces lieux. Un laps de temps de répit sur cette chanson que la foule scande alors, avant que les grillent s'ouvrent de part en part, pour laisser entrer 5 Zombies.

Vous n'avez pas le choix, la seule musique possible, c'est celle crasse et douloureuse de la survie. Qui restera debout? 3....2....1 Jeu!

Ordre de passage : Comme vous le souhaitez.

Le Maitre du jeu, viendra ponctuer vos passages.


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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeMer 5 Juin - 9:02

Adonis jeta le regard le plus noir qu'il puisse au jeune beau-gosse qui avait la fâcheuse tendance de lui rappeler Dean Winchester avec son blouson de cuir. Il manquerait plus qu'il se ballade en Impala et qu'il est un canon scié comme arme régulière, et on était parfaitement dans l'esprit de Supernatural... Ce type avait une fâcheuse tendance à déjà être détestable. Alors qu'Adonis se contenait pour ne pas carrément paraître fou, voilà que l'autre lui parlait comme à un chien.
On ne parlait pas comme ça à mestre Adonis. On revenait à traiter un génie de petit enfoiré et ce n'était pas commode dans une société où seuls les talents scientifiques du jeune homme pouvaient donner des résultats afin de mettre fin à cette épidémie. S'ils sortaient de là vivants, Fran et lui se mettraient en quête de résultats, ça pouvait se soigner, ou du moins, on pouvait inventer une manière de les contenir, Sanders en était convaincu.


Pour le moment, les expériences produites ne donnaient absolument rien. C'était plutôt le contraire, l'assaut des zombies contre ses premiers traitements étaient tous concluants, les bestioles n'en avaient rien à faire et elles continuaient à avoir une envie folle de déguster de l'homme. Le problème principal, c'était que le mort, de n'importe quelle matière qu'il meurt était en réalité un futur zombie. Bravo, mec, tu rentres dans la communauté hyper sélect des zombies, y'a plus qu'à avoir un peu de SWAG avant tout.

Adonis lui était SWAG au sens premier du mot. Enfin, c'est les gens qui avaient pensé qu'il avait un amour pour les bites. A vraiment dire, il n'avait jamais goûté de sexe, qu'il soit masculin ou féminin. Il se contentait d'observer ses collègues et leurs burnes moulantes autrefois. Aujourd'hui, il n'avait pas soif de sexe mais l'attrait qu'il ressentait pour l'espèce masculine était de plus en plus pressante. Comme un assaut du temps sur une bâtisse en pierre, le cerveau d'Adonis produisait des hormones trop violentes. Il avait beau vouloir les réduire, il n'avait pas les moyens médicaux d'enrayer ne serait-ce que l'épidémie du rhume. Soigner ses attirances sexuelles et une pandémie zombifiante étaient deux choses encore plus impossible à réaliser. Il le savait mais il voulait y croire. Il était un soldat, un dévoué à son gourou. Et le plus con dans l'histoire, c'était que son gourou, bah, c'était lui même.

S'il sortait d'ici, Sanders se jura de tout faire pour tenter de soigner les deux. Au pire, l'épidémie de zombies pouvait attendre. Après tout, depuis sa naissance, le plus important c'était le confort de monsieur. Et monsieur n'avait aucune envie de jouer les pères la prostate avec d'autres jeunes hommes. Il ne voulait pas non plus s'amuser à trouver point G et autres plaisirs tordus dans le vagin de sa camarade. Non. Il avait simplement envie de retrouver une vie comme avant. Les zombies n'étaient pas franchement dérangeants, non. Le pire, c'était la fatigue. Lutter pour sa survie, c'était extrêmement fatiguant et on avait le droit qu'à quelques secondes de repos par jour. Il ne le supportait plus. « M'appelle pas Frodon. Je suis Adonis pour toi. » Adonis montra de son regard le plus noir qu'il était sérieux et qu'il n'hésiterait pas à en venir au godemiché avec lui. Car oui, Sanders était le chevalier qui se battait non pas avec une épée mais avec un godemiché. Ca lui était venu deux semaines auparavant quand ils avaient fait une escale dans un sexe-shop. Il avait littéralement craqué pour la longue bite en plastique rose et vibrante comme pas possible. Y'avait même une télécommande pour le piloter à distance. Suffisait de le planter dans un mort-vivant et d'lui faire danser la polka avec un gode dans le bide.


Sanders prévoyait maintenant d'acheter un gode-ceinture pour rire un peu. Taper les jambes pendant que le haut est secoué de soubresauts. Il avait l'impression d'être quelques fois, un génie de la cruauté. Malheureusement, il fallait déjà se libérer de la situation. Ce n'était pas les zombies qui rendait Adonis fou. Ce n'était pas non plus ce public devenu fou en clamant à la mort des jeunes. Au pire, ça ressemblait à une mauvaise sessions de jeux romains.... Ce qui le dérangeait, c'était la musique. Mais quelle horrible chanson ! Affreuse chanson, mais quelle horreur. Un suicide auditif. Lui qui n'écoutait qu'un hard rock parfaitement mélodieux. Lui qui aimait l'allemand grâce à Rammstein, lui qui découvrait avec joie les lives d'AC/DC, on osait le tuer sur une chanson aussi merdique ?

Il sortit de ses gonds à ce moment là. Quelque part en lui, quelque chose se brisa. A la manière des endeuillés qui brûlent des maisons pour se consoler, Adonis devint hystérique. «La seule chose que ces bestioles boufferont, c'est le cul de George Bush en enfer. » . Anti patriotique monsieur Sanders ? Attention, même après la fin du monde, les comités de censure, la CIA et leurs tortures règnent encore. Méfiez-vous où les hommes en noir viendront vous chercher.
Alors qu'Adonis allait dire au type qu'il allait bien finalement, le public scanda quelque chose de pas très agréable mais d'inaudible. Ce qui fut audible en revanche, c'est le bruit des cages quand elles s'ouvrirent.


Sanders souleva son pantalon. A sa cheville, scotchée par le beau Dieu se trouvait un ami bien pratique. «A Poudlard, une aide est toujours apportée à celui qui en fait la demande. » Et c'est un gode que père Adonis venait de brandir face à une horde approchante.
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeMar 25 Juin - 9:08


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Le brun pivote sur lui-même, encore sous le choc. La bouche pâteuse, le cœur battant et les oreilles bouchées. Comment les choses peuvent-elles toujours aussi mal tourner ? On s'est fait passer le mot pour le faire chier, ou c'est lui ? Le survivant grince des dents. La petite blonde, aussi paumée mais étrangement calme lui retourne alors la politesse.

«  - Et vous, ça va ?

Non.

- Ouais ! Ment-il, rarement enclin à se plaindre de quoi que ce soit. Et ce, même si la situation semble franchement en sa défaveur.


-J'ai bien peur que ces bestioles ne vont pas tarder à nous déguster ! Qu'elle ajoute, prunelles rivées vers les cadavres.

Peut-être pas si calme que cela, finalement. Sandstorm fixe les cages aux jointures douteuses, peu rassuré de la tournure que prennent les événements. Oui, à n'en pas douter, ils risquent clairement de se faire bouffer vivant.

- M'appelle pas Frodon. Je suis Adonis pour toi. Enchaîne le gringalet aux longues guibolles à côté de lui. Le tout, d'un air présomptueux.

Mais le brun l’ignore superbement, affichant une moue qui, dans d'autres conditions, pourrait sembler comique.  S'en suivit une suite d’événements titanesques.  L'ouverture des cages, la reprise d'un vomi auditif sans nom, l'éclat du prétendu Adonis, qui, sortant de nul part un petit jouet intime, brandit le bras tout en clamant des inepties. Bon, d'accord, il adore Harry Potter , mais cette fois, il est mort pour de bon, le binoclard ! Le pseudo combattant écarquille les yeux, n'en revenant pas de ce qu'il voit. Un god ? Sérieusement ?! Le brun hésite un long moment, sans savoir où donner de la tête. L'odeur putride revenant à ses narines et lui arrachent une nouvelle grimace rageuse. Les voilà qui approchent.

- Ok, le flamant rose antipatriotique ! Range-moi ça et propose-nous une solution digne de ton … Génie ! Rétorque Iron, sourire mauvais figé aux bouts des lèvres. Peut-être qu'il l'appâtera, peut-être pas.

Oui, il est légèrement de mauvais poil. Et il a cerné le petit malin, du moins, il en a compris l'essentiel. Du reste, il s'en branle. Mais, ce n'est pas la question du jour. Non, pour le moment, la question est : QU-EST CE QU-IL FOUT LA ?! Iron gronde un moment, reculant vers les deux autres alors que les cadavres ambulants ondulent vers eux. Claudiquant et claquant leurs mâchoires d'où des restes de viandes humaines dégoulinent.

-Ok … En cercle, dos à dos ! Faut … Qu'on les élimine un par un. Chacun. » S'exclame-t-il,  jetant des coups d’œil furtifs à chaque coin de la pièce.

Peut-il au moins compter sur les deux autres ? C'est mauvais, très mauvais. L'espace étroit et obscure laisse place à l'imagination, hors des projecteurs, c'est l’obscurité totale. S'ils tentent de fuir pour trouver la sortie, c'est à un cadavre ambulant qu'ils pourraient bien se heurter. Pire encore, un humain armé jusqu'aux dents. Tandis que l'un des premiers zombies se précipite vers lui, Iron l'éjecte d'un coup, plaquant la semelle de sa Rangers droite sur son thorax et, cherchant vivement le couteau de chasse planqué sous la gauche. Heureusement pour eux, il semblerait que leurs armes soient toujours en position, rangées là où elle doivent l'être. C'est d'un bond qu'il se précipite vers le macchabée, enfournant la larme aux dents acérées dans le crâne d'une blonde à la mâchoire arrachées. Puis, de reculer une nouvelle fois d'un autre bond, se rapprochant des deux autres, couteau levé en l'air et genoux fléchis. La nuit va être longue ... S'ils survivent.


Hj : En m'excusant pour le temps, j'ai tenté de donner de la matière, si ça ne va pas, n'hésitez pas.
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 29 Juin - 17:08

Le temps s'était arrêté, sa respiration également. Frances tournait la tête, de gauche à droite, espérant entrevoir un moyen de sortir de cet enfer. Ses mèches blondes virevoltaient, suivant le bruit incessant des acclamations du public. Tous ces gens étaient là pour se délecter de leurs morts cruelles, ce qui dégoutait profondément la jeune femme. «La seule chose que ces bestioles boufferont, c'est le cul de George Bush en enfer. » Fran n'était plus d'humeur à sourire aux remarques de son compagnon, bien que celle-ci fût particulièrement notable. Il y avait de très grandes chances que ce cher Bush soit effectivement décédé et encore de plus énormes qu'il soit actuellement en train de brûler dans les flammes de l'enfer.

Le regard de la blondinette devint rapidement pâle, elle qui avait pour habitude de rester positive en toutes circonstances, avait maintenant l'impression qu'elle était arrivée au bout de sa vie. Elle ne voyait absolument pas comment l'un d'entre eux pourrait s'en sortir. Il n'était que de faibles humains après tout. Avec une intelligence supérieur à la moyenne en ce qui concernait Adonis et elle-même, certes. «A Poudlard, une aide est toujours apportée à celui qui en fait la demande. » Elle leva les yeux au ciel, tout en se mordillant la lèvre inférieur, il n'arrêtait donc jamais. Frances était habituée des petites remarques d'Adonis, il ne cessait jamais d'ouvrir la bouche, même dans des circonstances aussi graves que maintenant, apparemment. "Manque de bol, on est très loin d'être à Poudlard." Son ami sortit son fameux gode de sa poche, au moins il avait une "arme" c'était déjà ça. Aussi surprenant que cela puisse paraître, Fran savait que le scientifique savait parfaitement se servir de cet objet intime. Elle avait eu l'occasion de le voir à l'œuvre de nombreuses fois. La stagiaire avait mis pas mal de temps avant de comprendre ce qu'était réellement l'objet rose. N'ayant jamais vu de sex-toys avant l'invasion, son esprit d'innocente avait mis un certain temps avant de découvrir sa véritable utilité.

"Ok, le flamant rose antipatriotique ! Range-moi ça et propose-nous une solution digne de ton … Génie !" La tête de Fran se tourna d'un geste brusque, elle espérait, elle aussi, que son mentor trouverait une solution capable de sauver tout le monde. Malheureusement, elle ne vit aucune lueur briller dans ses yeux.

Pas le temps d'attendre, les applaudissements se firent encore plus bruyant et la musique encore plus déplaisante. Les grilles s'ouvrirent dans un fracas assourdissant et cinq zombies s'échappèrent de leur prison. Sa mine se fendit en un mélange d'inquiétude et de tristesse. La blondinette se pencha en avant afin de saisir le poignard cacher dans sa bottine droite. "Ok … En cercle, dos à dos ! Faut … Qu'on les élimine un par un. Chacun." L'idée du jeune inconnu n'était pas mauvaise, Frances s'empressa de s'en rapprocher pour exécuter ses ordres. Brandissant son couteau, elle vit les monstres se rapprocher un peu plus d'elle et ses mains se mirent soudainement à trembler. Une des bestioles, un homme d'âge mur à la mâchoire éclatée et au bras manquant, s'avança vers elle. Parée à l'attaque, elle le laissa marcher encore un peu jusqu'à elle avant de lui transpercer l'œil. Le sang gicla, lui éclaboussant le visage, mais surtout, la bête s'effondra à ses pieds. Elle n'avait pas souvent eu la chance d'abattre un zombie, elle préférait d'ordinaire se planquer derrière Adonis en attendant que la bataille se termine. "On peut y arriver sans souci avec cette fournée, mais ce sont les autres qui me font peur. Les acclamations ne firent qu'augmenter, le public se régalait et il n'attendait qu'une chose; que tout dégénère. Et cela risquait fort d'arriver, parce que cinq zombies étaient largement facile à battre, mais toute une horde, ça allait être nettement plus compliqué.
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 29 Juin - 19:21


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Les mauvaises musiques de boite se succèdent et la foule scande les paroles, voilà que Brit Brit, dont le cerveau a du être bouffé dès le début de la pandémie, se met à chanter un tube planétaire "scream & Shout". Les lumières s'affolent sous vos pieds, les gens aux tribunes de cette arène pour le moins particulière dansent comme si de rien n'était. D'un coup, et au milieu de votre lutte honorable, un liquide visqueux vous dégouline dessus, à la vitesse d'une cascade. C'est collant, et l'odeur métallique ne vous échappe pas, oui c'est du sang. Un peu de piment, et attention à ne pas glisser sur le sol. Il reste en tout et pour tout 2 zombies à descendre. Fran, vous remarquez, tandis que les hommes se battent, un carré dans le mur en face de vous, le seul pan de mur qui ne donne pas accès à des cages par lesquelles, sortent les zombies, vous avez juste le temps d'aller voir s'il s'agit bien d'un conduit d’aération, si tel est le cas, pourquoi ne pas tenter la fuite? Adonis, quelle dextérité godienne, j'en suis pantoise, cela dit manque de bol, en voulant tuer votre adversaire vous glissez maladroitement sur le sang et percutez Iron, qui va s'écraser contre la grille d'une cage. Faites attention où vous posez vos pieds messieurs, entre cervelles en décomposition et sang frais sur le sol, c'est mieux qu'une patinoire pour un show d'holiday on ice!

Ordre de passage : Comme vous le souhaitez.

Le Maitre du jeu, viendra ponctuer vos passages. Tuer ou être tué? A vous de jouer!




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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeLun 1 Juil - 15:20

«Poudlard n'est pas loin, Fran. Quand on y connait rien, on la ferme ! » Adonis regarda sa congénère. Enfin non, pas vraiment. Adonis fixa ce qu'il considérait comme une sous-race. Le test de Dieu avant qu'il eut la main assez lourde et légère à la fois pour produire une véritable perfection. Cette perfection générale se tenait là, physique somptueux, de longues jambes élancées, quelques muscles qui se dessinaient au fur et à mesure de la somptueuse construction qu'imposaient les allers et les retours. Depuis que le monde avait retrouvé sa primitive raison, celle de voir s'affronter les anges et les démons, Adonis, petit bout de viande sur pattes pour les mauvais prédateurs, s'était vu offrir un corps somptueux.

Adonis aimait cela. Alors qu'autrefois, le physique venait à manquer à ce cerveau si bien taillé. Le physique ne suivait pas. Inhalateurs en pagaille, drogues médicamenteuses en tous genres, il avait besoin de tout les produits hypoallergéniques pour pouvoir survivre aux moteurs, aux fumées de cigarettes et aux usines pétrochimiques qui déversaient déchets dans l'eau et dans l'air. Lui, scientifique reconnu dans son domaine avait eu les glandes de voir que les hommes rendaient sa pauvre santé encore plus mauvaise. Aujourd'hui, c'était différent. Son corps s'était joint au cerveau. Il avait pris de la matière, il s'était affiné. Il était devenu taillé, il avait les muscles bien fait, il était même de ceux qui pouvaient se vanter d'avoir les quelques tablettes de chocolat dont il avait pris horreur autrefois.  
«Tu sais Frances, j'ai toujours eu le don pour réfléchir. Et je sais comment nous en sortir.  » Il regarda ensuite le loubard au manteau de cuir qu'il avait du chopper dans une poubelle à la sortie d'un bar de bikers. C'était la seule raison pour laquelle quelqu'un aurait le culot de garder pareille défroque, parce que c'était gratuit, abandonné. Et que quelque chose de gratuit pour ces gens, pour ceux qui n'avaient aucune idée de comment garder le pognon qu'ils avaient autrefois gagné, ça sonnait comme un Anneau pour les gouverner tous. Ca sonnait comme un trophée qui ferait périr les adversaires. Les seuls adversaires qu'auraient pu faire fuir l'homme, c'était sans aucun doute ceux qui comme Adonis avaient de bons goûts, ceux qui préféraient les costumes colorées aux tenues de gansters. Ceux qui portaient fièrement des godes à la ceinture tant qu'ils étaient en concordance avec la tenue. «Si on veut s'en sortir, on ferait mieux d'écouter Johnny Hallyday !  »

Sanders se mit alors en rond avec les deux autres. Dos contre le dos crasseux de ce blouson de cuir et contre les épaules dénudées de Frances. Il ne sut ce qu'il condamnait le plus, le contact avec le blouson de cuir qui pourrait le transformer en tueur directement ou la peau de la jeune femme, surement pleine de bactéries ayant soif de contaminer un nouvel hôte. Quand on avait été microbiologiste, on devenait parano avec les contacts et quand une épidémie zombifiante venait à exploser, on se montrait complètement hermétique aux autres. Sanders tenait toujours son god dans la main lorsque vint la première salve.

Il enfonça l'arme de plaisir dans le crâne d'un cadavre marchant, puis il se courba pour en atteindre un second. Il souffla fort. Il était crevé de se battre. Et dire que dans sa bagnole, il y avait l'arsenal d'une base militaire. On y trouvait tout du couteau de cuisine au lance-roquettes. Et le voilà seul armé, les autres à mains nues. Adonis s'élança vers un autre cadavre ruminant. Un type qui puait l'alcool mélangé aux tripes humaines. Il se lança à sa poursuite comme un flic poursuivrait sa proie. Comme George Bush avait traqué la moindre trace de pétrole en Irak. Il ne fit aucune attention au sol et dérapa sur ce qui lui semblerait plus tard être un morceau de cervelle. Il dérapa sans pouvoir s'arrêter, essayant de stopper sa frénésie, il s'encastra contre quelque chose de moue, de très moue. Et de puant. Du cuir. Ca puait le cuir. Quand il se redressa, sur les fesses, il se rendit compte de son crime, il venait de percuter de pleine face du cuir et son proprio. Le grincheux qui ressemblait étrangement à un héros de série télévisée...
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeJeu 4 Juil - 22:44


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Iron ne supporte déjà plus le grand gringalet. Il est comme ça, les gens l'agacent rapidement et facilement, celui-là est insupportable. Un véritable Alien guindé dans son petit univers. Et oui, il faut que le brun tombe sur le cas à part. L'atypique bestiole qui s'agite à côté de lui tend fièrement son arme de fortune, objet de plaisir, joujou pour femmes … Ou pas. Persuadé d'être le vengeur de l'humanité. Il n'est qu'un tas de chair parmi tant d'autres pourtant. Il n'y a pas de remède. Inutile de croire qu'il est possible de faire machine arrière. Oui, après une année entière à courir, Iron a finalement décidé de ne plus se faire d'illusions. L'humanité est faible et en minorité. La planète entière est une immense jungle, plus animale et sauvage que jamais. Les survivants restants luttent contre un virus mortel, et surtout contre eux-même. Terminé l'espoir, ils ne se relèveront pas pour fuir sur un fond de couché de soleil. Quant à la blonde, il n'en pense rien. Faute de parler beaucoup, elle reste discrète et offre un visage amical. Petite brindille inquiète et apparemment complètement dépendante du flamand rose. Il trouve même le temps de se demander d'où ils sortent, ces deux-là. Iron fait tourner la lame entre des doigts devenus experts, fléchissant les genoux avant d'abattre l'arme blanche dans la tempe d'un vieillard aux bras arrachés et aux boyaux pendants. La vie dégouline de ce morceau de chair sous forme noirâtre est nauséabonde. Le couteau suinte et s'expatrie de la chair noir alors que l'homme recule encore, sans prêter attention aux bavardages incessants des deux autres. Il n'entend plus rien d'autre que les battements douloureux de son cœur, coups frénétiques dans ses tympans.

Ponctué par le vomi auditif, les voix sont lointaines, même les cris des sauvages à l'abri de l'arène, qui sous le regard médusé d'Iron, ondulent et tressautent dans une danse de chair et de sueur. Cette seconde d'inattention irrationnelle est une très mauvaise action de sa part. Le brun se détourne encore et encore, sentant le liquide chaud et odorant sur son visage, c'est en levant les yeux qu'il réalise les giclés écœurantes de sang qui leur tombe dessus. Iron pince des lèvres, ferme les yeux et baisse la tête, retenant un haut les cœur. Derrière lui, quelque chose de pointu le percute, il sent la masse s'abattre et le grand bonhomme glisse, sur la flaque sanglante à terre. Ce dernier balai l'air des bras en fauchant le vide, s'écrasant avec une moue ridicule. La masse inconnue qui s’abat sur lui est un danger, il ignore sa nature et, se détourne brusquement avant d'agripper la corps par les épaules, réalisant alors qu'il s'agit de la brindille au regard légèrement fou qui le fixe. Iron reste planté un moment, fronçant les narines avant de se relever, redressant le grand gars sans sourciller.

«  - Fais gaffe ! J'ai failli te tuer ! Proteste Iron d'une voix presque inquiète.

Agaçant oui, mais humain. Le brun se détache aussitôt de lui, constatant que sa veste est complètement souillée. Il n'a plus qu'à prier pour trouver de l'eau potable, s'ils sortent de là vivant. Dire qu'il l'aime serait un mensonge, elle lui rappelle juste son passé, le Sweat dans lequel il est emmitouflé en dessous est plus confortable, et moins odorant. Mais l'odeur du cuir n'est plus un problème, il l'a oublié.

- Rien de cassé ? » Demande-t-il au brun. Ne se donnant pas la peine de poser la question stupide formée par les mots ' Ca' et 'Va' dans la même phrase. Question complètement puérile, étant donné la situation. De plus, il l'a déjà posé, mais là, c'était justifié.

Il observe d'un œil méfiant le grand bonhomme qui, de son côté, garde une gueule dépitée. De quoi lui donner envie de l’assommer d'un sarcastique ' Cache ta joie !'. Pas 'si' grand que ça finalement. A cette distance, Iron a le temps de remarquer qu'ils font la même taille. L'autre est juste plus effilé, rendu longiligne par un corps aux épaules moins larges.

Peut-être que son père a finalement bien choisi son prénom … Si sa vie d'avant ne l'a pas forgé, celle-ci l'a complètement modelé. Autour d'eux, les morts sont tous à terre. La musique continue toujours, le brun s'attend à voir une autre rafale de cadavres leur foncer dessus. Il plisse le nez, cherchant alors la blonde du regard, soudain inquiet. Oui, il a de l'empathie, ne pas aimer les gens ne veut pas dire qu'il n'est pas capable de foncer tête baissée pour leur venir en aide. Le sol toujours glissant empêche toute progression, leur imposant des gestes lents et moins disciplinés. Si d'autres macchabées se pointent en nombre supérieur, ils sont loin d'être sorti de l'auberge.

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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 6 Juil - 21:29

« Poudlard n'est pas loin, Fran. Quand on y connait rien, on la ferme ! » Choquée par les paroles du jeune homme, elle préféra se taire afin de ne pas accroître la colère d'Adonis. Elle se tourna pour ne pas croiser son regard et se prépara à la bataille. Il continua à jacasser, mais la blondinette avait déjà cessé de l'écouter et avait plutôt porter son attention sur la horde de zombies qui les attendait derrière la grille.

Lorsque celles-ci s'ouvrit, la tension monta d'un grand et c'est tremblante que la jeune femme allait devoir combattre. Après sa première victime, la fatigue commençait déjà à se faire ressentir. Essoufflée, Frances jeta un regard furtif tout autour d'elle, les garçons s'en sortaient plutôt bien et les cinq zombies qui avaient été lâchés étaient quasiment éliminés. Ses mèches blondes étaient collées à son front par la sueur, elle y passa son avant-bras afin de se soulager. Tenant encore fermement son poignard ensanglanté, elle fixa les grilles, espérant qu'elles ne se lèveraient pas immédiatement. Le son de la musique semblait augmenter au fur et à mesure et la tête de la stagiaire n'allait pas tardée à exploser. Respirant profondément, elle cala ses mains sur ses tempes, comme si cela aiderait le mal à se dissiper.

Proche de l'évanouissement, Fran sentit un liquide gluant dégouliner sur ses frêles épaules. Elle leva précipitamment les yeux et c'est alors que cette étrange texture lui arriva sur le visage, s'accrochant à ses cheveux blonds. Prise de dégout, elle tenta de chasser la nausée qui commençait à prendre place due à l'odeur. Les yeux écarquillés, elle se rappela ce que cette puanteur lui rappelait, du sang. Regardant ses mains et son corps à présent trempés, elle ne pu réprimer un cri écœuré. Quasiment en larme, la blondinette fût cependant heureuse de voir que ce déluge de sang n'avait pas arrêté les hommes dans leurs combats. Emerveillée par autant de dextérité, elle reporta son attention sur la pièce. Son regard virevolta entre le sol, le plafond et les zombies, soudainement il s'arrêta sur ce qu'elle prit pour un carré noir sur le seul mur visible. Elle s'en approcha doucement, comme si celui-ci pouvait disparaître au moindre clin d'œil. Manquant de trébucher de nombreuses fois à cause du sol trempé, elle arriva quand même à rester debout. De plus en plus près , elle ne put cacher son émerveillement lorsqu'elle se rendit compte que le carré noir était en fait un conduit d'évacuation. Elle se mit à courir, faisant face aux grilles qui empêchaient le passage instantané, elle les agrippa fermement et tira. Malheureusement, son corps maigrichon allait splendidement bien avec sa force médiocre et les grilles ne bougèrent pas d'un pouce. Se tournant vers ses partenaires, elle remarqua qu'ils avaient terminés leurs luttes et que les zombies éparpillés sur le sol étaient en bien mauvais état. Elle cria de toutes ses forces; Hey ! Venez ici, vite !. Après de nombreuses répétitions, elle réussit enfin à dépasser le volume de la musique et donc à se faire entendre. Pointant le bout de son index sur le conduit d'évacuation, elle espérait qu'ils remarqueraient eux aussi un étrange carré noir de là où ils étaient. Il y a une sortie par ici, mais je ne sais pas l'ouvrir seule ! Pour prouver ses dires, elle s'agrippa à la grille et la secoua vivement.

L'éventualité qu'ils réussissent à battre l'entièreté de la horde des morts-vivants était bien mince. Frances avait surement découvert leur seule chance de sortir vivant de cet endroit diabolique et elle ne comptait pas la lâcher si facilement.

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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeLun 8 Juil - 15:29


Evacuate the Dancefloor



Mes ailleux, mes ailleux, quelle volonté, quelle fougue! Partis comme vous l'êtes, je vous laisse ce round libre. En effet, c'est à vous de me décrire ce qu'il va se passer, si le conduit d'aération va vous offrir la liberté, si les cages vont libérer d'autres maccahbés, ou que sais encore! C'est votre round FREEDOM à vous! Go ahead, i'm watching you...Twisted Evil 

Ordre de passage : Allez on va faire fun, comme vous le souhaitez! youhou 

Le Maitre du jeu, viendra ponctuer vos passages.




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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeJeu 18 Juil - 9:05

Adonis mime un non de la tête. Bien sûr que non, il n'a rien de cassé. Ce n'est pas dans les desseins de l'homme de là haut de le tuer. Il faut au contraire déguster ses souffrances avec entrain. Se montrer d'une magnifique violence, s'exalter de son petit corps transpirant. Souffler, souffler. Il lui fallait souffler. Reprendre ses esprits en de telles situations n'étaient pas à la portée de tous mais c'était à celle d'Adonis. Et cela à cause de World Of Warcraft. Le premier boss qu'il avait tombé avait été salutaire et il était debout bien que blessé. Dans ces ténèbres, il avait su trouvé la divine lumière qui l'avait guidé.

Faire tomber le Roi Lich lui avait coûté également mais il s'était souvenu autrefois des templiers qui contre vent et tempête avaient résisté. Ils avaient défendu une quête qu'ils pensaient juste et même s'ils n'avaient pas fait de choses agréables pour le bon peuple et que ça avait fini d'une façon assez sanglante, pour ne pas dire dans un bain de sang. Mais pour Sanders, le bain de sang, ça faisait très has been, c'était siècle antérieure à souhait. Le nouvel homme s'en passait. On se faisait la guerre par informatique et il en savait quelque chose. Approché par la NSA pour ses talents de pirate informatique, il avait toujours refusé d'être la pute armée d'un ordinateur qui déclencherait une guerre contre le terrorisme. Si Adonis haïssait quelqu'un plus encore que le Bouffon Vert, c'était George Bush. Il avait une haine profonde de ce type. Rien que sa tête donnait envie de lancer des babouches et Adonis avait tellement adoré l'irakien qui avait osé qu'il avait bâti une page facebook à son effigie. Elle portait le nom tant inspiré qu'était " A Bas Bush". C'était une blague qu'on évitait de sortir en société, surtout devant les grandes pontes du CdC. Ils appréciaient moyennement ce genre de blagues à deux dollars dix.

Adonis avait lu de nombreux livres sur les zombies. Il avait lu notamment le Fléau en deux tomes du grand Stephen King. Et après s'être provoqué des longs sommeils, il n'avait jamais eu la chance de voir Mère Abigaël lui rendre visite en rêve ni d'ailleurs l'Homme Sombre, celui qui dans le Nevada avait crée une vraie société de la peur, cleui qui interdisait le sexe et qui rendaient les hommes plus sanglants encore qu'ils puissent l'être à l'origine. Le dernier combat entre le Bien et le Mal n'aurait pas lieu sous les drapeaux d'une grand mère noire de cent huit ans et de Randall Flagg, homme sans âge aux badges communistes et aux lectures hitlériennes. Non, ces deux types n'existaient pas et le Fléau en revanche était bien réel. Oui, c'était le sang, la sueur. C'était la vie qu'Adonis avait autrefois imaginé, lutteur fou, enragé. Aujourd'hui, c'était une vie qu'il aimait assez bien quand même mais il aurait préféré les plaines et les montagnes du Colorado avec la rassurante Mère Abigaël.

Il pouvait guérir ce fléau, contrairement aux personnages de fictions souvent dépassés par les événements, Sanders était parfaitement entraîné à ce genre de maladies. Le CdC était un endroit assez lugubre où traînaient les plus beaux et mauvais virus jamais mis au point. Il avait eu le loisir de s'entrainer, il pouvait le guérir. Il le savait. Et s'il sortait de ce géant merdier en vie, il promit d'y consacrer tout son temps libre. Il mettrait à bout le virus, il le forcerait à muter et lorsqu'il aurait muté, il le détruirait. Cela impliquerait de conserver assez de rôdeurs en bonne santé pour les étudier. Cela impliquait forcément de se livrer aux genres de jeux du type qui tenait le lieu. Il devrait les nourrir et généralement, ils affectionnaient le sang, les tripes humaines.
Le plus dur serait de chopper des types assez faibles pour être assaisonnés et offerts en pâtures. Oh, il trouverait bien et même s'il devait traverser le pays à l'aide son Impala et de sa collègue et tête de turc Frances Goldsmith, il y arriverait. Frances... Adonis savait parfaitement d'où venait ce nom. Ses parents s'appelaient Goldsmith et ils devaient voilà de ça quelque année avoir lu le Fléau. Elle portait exactement le nom d'une fille enceinte du bouquin magistral.

A contrario de la fille du livre, elle n'avait pas le sale et gras Harold qui la poursuivait partout. Non, elle était seule avec Adonis. Il l'aimait bien au fond. Au fond, c'était même profond cette relation qu'ils entretenaient. Lui, le génie et elle la jeune femme fougueuse à la soif d'apprendre. C'était assez drôle à voir. Un duo improbable, deux types qui auraient du y passer au début de l'invasion. Deux types qui n'auraient pas pu survivre sans une intelligence hors du commun qui définissaient chacun d'entre eux.
Le geek suivit les cris de Frances et lorsqu'elle eut dit le mot magique "sortie", Adonis se précipita en sa direction. Au passage, il enfonça son gode magique dans la tête d'un rôdeur et lui explosa le semblant de burnes qui pendaient. Il se retourna, manqua de se faire griffer par un autre et lui fit une espèce de balais brosse. Il tomba et Adonis avec le cri d'une petite fille appeurée lui donna un coup de pied dans la tête. Il bénit ensuite le Dieu des chaussures lourdes et métalliques. Merci Helgast, merci Sony d'avoir sorti les bottes dérivées de Killzone. Merci Helgasts.
Adonis fixa le conduit d'aération. Une grille en était la gardienne silencieuse. Il fallait faire vite, cette musique horrible était entrain de le décomposer, de le tuer à petits feux. Il en mourrait certainement. Les zombies n'auraient qu'à le dévorer.

Sanders tira un bon coup sur la bouche, elle ne s'ouvrirait pas à moins d'être plusieurs à tirer dessus. Lui et sa force de gonzesse n'aiderait pas beaucoup mais encore une fois, il en était certain, son cerveau les guérirait tous. Son cerveau produirait quelque chose. Il allait être le nouveau Colomb de ce monde. Il serait le firefox d'explorer.

« Oh. Bobby Singer, on va avoir besoin de ta force herculéenne. ! »
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeJeu 1 Aoû - 12:55


Il est un personnage des plus hautains, cet Adonis. Il ennuie déjà Iron, qui de son côté, finit par le lâcher brutalement pour manger faire la cross de ses chaussures à l'un des macchabées qui, sans lui laisser le temps souffler, se relève mollement, doigts crochus et pourris tendus vers sa guibolle. Un problème récurent avec ce genre de bestiole, c'est qu'ils sont souvent plutôt tenaces et, se remettent à bouger quand un assaillant ne frappe pas assez fort. Iron écrase la lourde semelle, faisant s'éjecter quelques morceaux de bouillisses putrides. Quelques petites brindilles osseuses, quelques jets de cervelle. De quoi se mettre en appétit. Le survivant se sent sale, souillé jusqu'à la plante de pieds, jusqu'à la racine de ses cheveux et, il n'y peut rien, absolument rien. La constatation lui arrache un juron, alors que l'autre à côté de lui s'agite toujours. Le vomi auditif dans les oreilles, les êtres qui se dandinent en hauteur, bien à l’abri, semblent absents. Plus rien. Il continue de fixer les alentour, embrassant la pièce macabre d'un regard septique. C'est un carnage, une soupe sanglante, faite d'os et de chair putride, de sueur et de tissus crasseux.

« - Oh. Bobby Singer, on va avoir besoin de ta force herculéenne. !

Iron hausse un sourcil, jetant enfin un coup d’œil à l'accusé. L'autre belette lui trouve un nouveau surnom indigne. Mais il se focalise vite sur ce qu'il tente de lui montrer. Une ouverture, barrée par une vulgaire grille épaisse. Soupirant sans oublier d'être prudent, il avance avec prudence sur le sol gélatineux et, une fois en terrain moins glissant, s'abaisse pour fixer d'un œil plus critique ce qui semble être une sortie. Un conduit ? Qui mène où ? Tout de même, et surtout pour la forme, Iron serre les dents, se tournant vers Adonis, déclarant d'un ton impérieux malgré lui :

- Pour toi, ce sera Iron.

Rares sont les moments où il s'exprime avec autant de dédain, pourtant, il n'est vraiment pas d'humeur. Cette journée ne pouvait pas être pire. Le brun en a marre de se demander si chaque jour sera le dernier. Résolu, il s'agenouille un peu plus, empoignant les grilles du conduit d'aération, non sans sentir ses tripes faire un looping dans son estomac. Et si l'un des zombacs était derrière, attendant sagement d'accrocher ses doigts aux siens ? Il rejette l'idée morbide, prenant son courage à deux mains avant de se tourner vers les deux protagonistes :

- Aidez-moi, j'suis pas Hulk ! Grince-t-il en tirant de toutes ses forces, plissant les yeux sous l'effort.

C'était sans compter sur le bruit familier des grilles grinçantes dans leurs dos, et de murmures croissants et lointain. A peine un coup d’œil, et Iron remarque avec horreur que quelques cages s'ouvrent, laissant toute la liberté à d'autres macchabées de s’échapper. Droit vers eux.

- Merde, merde, merde ! » Répète-t-il,impulsif. Incapable de se défaire de la tension qui dresse ses muscles sous le cuir souillé de sa veste. Les grilles grincent, couines et se tordent tandis que derrière eux, les morts reniflent l'air et sortent avec une lenteur presque rassurante. Dès qu'ils remarqueront leur présence, ils seront fichus. Pour le moment, le sang souillant leur vêtement est un bouclier, une barrière aux sens des morts. Même s'ils l'ignorent sûrement.
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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeMar 6 Aoû - 16:50


Frances était agrippée aux barreaux, attendant désespérément de l'aide. Il avait été difficile de se faire entendre, mais elle sentit bientôt une personne se déplacer dans son dos. Inquiète, elle tourna la tête brusquement et aperçu son cher compagnon, Adonis. Gringalet comme il était, le scientifique n'allait surement pas être d'une grande d'aide, mais peut-être que son génie pourrait servir. Il tenta à son tour d'ouvrir la bouche d'aération sans grande conviction. Bien évidemment, les grilles ne  bougèrent pas d'un pouce et ne cédèrent donc pas.

-  Oh. Bobby Singer, on va avoir besoin de ta force herculéenne ! Sa voix aigue passa au dessus du bruit infâme qui régnait dans la pièce et ne manqua pas de saisir le jeune homme en pleine action.

Les pupilles de Fran étaient dilatées, à la fois par la peur, mais aussi par l'espoir, elle jeta un regard vers leur nouvelle connaissance puis se détourna pour observer le conduit d'aération. Cette bouche était leur seul moyen de sortie, il ne fallait pas se voiler la face, jamais ils ne vaincraient l'intégralité des zombies se trouvant derrière les grilles. Les larmes montèrent à ses yeux tandis qu'elle se rendait compte que tous ces mois de survies pourraient très bien ce terminer dans cette salle. Elle fût sortie de ses horribles pensées alors que le troisième captif les rejoignait, ce qui redonna un brin d'espoir à la blondinette. Elle essuya ses yeux du bout des doigts et parvint ainsi à éliminer toutes traces de liquide lacrymale. Le jeune homme se pencha à son tour sur la grille, tenant les barreaux fermement entre ses doigts, il tira mais la grille vacilla à peine.

-  Aidez-moi, j'suis pas Hulk ! Ses yeux renvoyaient un regard de plus en plus haineux et à bout de nerfs, ce qui était tout à fait compréhensible.

Frances sursauta et se précipita pour l'aider, malheureusement elle fut rapidement arrêtée par un bruit. Ce bruit était devenu le son le plus horrible qu'elle n'ait jamais entendue ; les grilles, gardant les zombies, se soulevaient... Son teint, qui avait reprit des couleurs durant la bataille, redevenait blafard. Ses chevilles tremblaient à nouveaux, alors qu'une nouvelle horde de morts-vivants était libérée. Fran fût surprise par leur lenteur, mais elle comprit rapidement que cela était dû au sang qui avait aspergé la pièce quelques minutes plus tôt et qui compromettait donc l'odorat de ces sales bestioles. Pour une fois, la chance était avec eux.

-  Il faut qu'on se dépêche, on a plus beaucoup de temps ! Elle avait criée de toutes ses forces pour se faire entendre, les mains déjà accrochées à la bouche, tout comme ses compagnons. A trois, on tire. 1,2...3 !

Les grilles bougèrent de plus en plus, alors que les doigts s'irritaient contre le métal. Les forces ses déployaient et les dents grinçaient comme si cela pouvait enlever la douleur causée par les muscles tendus. Soudain, un bruit énorme parcourut la pièce, les barreaux avaient cédés et ils avaient, par la même occasion, propulsés les trois compagnons au sol. La joie pouvait déjà se lire sur le visage de la blondinette, les fesses au sol, le pantalon maintenant complètement imprégné de sang, elle arrivait presque à sourire. Le conduit d'aération était enfin ouvert et elle était certaine de pouvoir s'y faufiler sans aucune difficulté. Elle tenta de se lever, le sol glissant la fît trébucher de nombreuses, mais  elle parvint finalement à se mettre en position debout. Elle observa ses deux comparses, son air joyeux avait déjà laissé place à un regard craintif. La bouche était ouverte, certes, mais qui sait ce qui se cachait derrière ou bien même, à l'intérieur. D'un autre côté, c'était leur seule issue.

- On y va ? s'enquit-elle.
Frances jeta un regard apeuré à son mentor, Adonis, espérant recevoir une peu de soutien de sa part. Elle n'attendit pas plus longtemps et posa déjà son genou dans l'entrée du conduit, remarquant ainsi que la chaleur était nettement plus élevée par là.
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× Âge du perso : : Je n'ai point d'âge.

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MessageSujet: Re: Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Evacuate the Dancefloor [Adonis / Frances / Iron] Icon_minitimeSam 10 Aoû - 12:55


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Le conduit débouche sur un carrefour, une possibilité droit devant, une sur la droite et une sur la gauche. A noter des odeurs, outre le sang, vous pouvez sentir une odeur de bouffe sur la droite, de l'air frais sur la gauche et une odeur de rance tout droit. Bien sur tout est mélangé, et vous n'êtes pas trop sur de quoi vient d'ou? A vous de prendre la décision...

A bientôt mes petits steaks rampants!


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