Voilà une bonne semaine que la zone a littéralement implosé, causant de nombreuses pertes et disparitions. Thomas, tu n'étais pas là-bas à ce moment-là et il est possible que tu ne saches rien de tout cela. Connaissais-tu seulement l'existence de cette "zone sécurisée" ? Aileen, tu as réussi à prendre la fuite avant que les rôdeurs ne s'en prennent à toi, et te voilà de nouveau seule, à errer. L'heure précédente, tu as décidé de t'installer dans une église, au beau milieu d'un village quelque part dans le Nevada. Tu n'as pas encore pris le temps de faire le tour des maisons voisines, persuadée que tu pourras t'occuper de tout cela demain. C'est que tu n'as pas dormi depuis trop longtemps. Un peu de sommeil ne pourra pas te faire de mal. Pour ce faire, tu te retranches dans une pièce au fond de l'église, là où tu te penses en sécurité. Mais ... Et si Thomas avait la même idée ? Vous devriez peut-être cohabiter ... Ou lier vos forces pour vous préparer à toute éventuelle attaque et / ou fouilles nécessaires dans le coin.

Ordre de jeu : dans l'ordre indiqué dans le titre, en n'oubliant pas le maître du jeu, après chaque post d'Aileen.

Ps : merci de ne pas laisser plus d'une semaine passer avant d'y répondre. ça évitera de bloquer le sujet. Pour faire plus simple, vous pouvez faire entre 500 et 600 mots maximum sans problème, et ne faites surtout pas trop long.

Ps² : le rp est réel, il peut avoir eu un réel impact sur Thomas & Aileen. Et, de même, pourra être réutilisé pour des rps / liens futurs. RP situé récemment dans le contexte du forum, dans un lieu inconnu pas très très loin de la zone.

La zone a implosé. Aileen n'était pas tout à fait sur place, à ce moment-là. Quand elle y est arrivée ... Tout était réduit en cendres. Enfin, façon de parler. Le grillage à moitié défoncé, les rôdeurs éparpillés de ça et là. Et surtout : le bâtiment en feu. L'infirmerie, si elle ne se trompe pas. Elle a passé de nombreuses minutes à observer les lieux, comme si cela pouvait lui donner une quelconque indication sur ce qui avait bien pu se passer. Mais, bien sûr, inutile de dire qu'il n'y avait rien de plus à apprendre. Pas en se contentant d'observer les bâtiments intacts, en tout cas. Peut-être aurait-elle dû tenter une approche plus directe ... Avec une voiture, par exemple. Mais à quoi bon ? Ce serait risquer sa vie, et elle ne sait même pas si cela aurait été utile. De toute façon, elle n'a pas assez de forces pour tenter une mission suicide comme celle-là. Plutôt que de prendre des risques inconsidérés, elle a pris la décision de faire demi-tour. Elle pourra revenir d'ici un ou deux jours, une fois que les choses se seront calmées - avec un peu de chance - ... Ezeckiel ne peut pas être mort, elle ne veut pas y croire. Elle en aura le cœur net une fois reposée, et prête à entrer là-dedans coûte que coûte. Mais pour l'instant, un peu de repos ne sera pas de refus. C'est sans grande hésitation qu'Aileen, une fois garée dans un village pas très très loin de la zone, décide d'investir l'église. Elle sait que ces bâtiments ont été fouillés maintes et maintes fois par les survivants de la zone ... Sans doute ne serait-ce pas très concluant de recommencer. De toute façon, ce n'est pas ce dont elle a besoin maintenant. Juste d'un endroit où se poser quelques heures. Après, elle envisagera peut-être un plan d'action pour pénétrer dans cette foutue zone. L'espoir d'y arriver est mince, au vu du grand nombre de rôdeurs qui s'y promènent désormais. Discrètement, Aileen s'installe dans un coin isolé de l'église. C'est l'endroit qui lui paraît le plus sûr pour dormir un peu, mais il semblerait qu'elle se soit trompée. Quelques minutes seulement après qu'elle ait disposé ses affaires à même le sol, la porte de l'église grince. Et, bien vite, celle de la pièce où elle est réfugiée également. Elle n'a pas le temps de récupérer son arme à feu au fond de son sac. Et, de toute façon, le type qui se tient face à elle pointe une flèche dans sa direction. Par automatisme, Aileen lève les bras, pour lui signifier qu'elle n'a pas de quoi le blesser. Pas de manière plus rapide que lui, en tout cas. « Je ne suis pas armée. » Se sent-elle obligée de dire, paniquée à l'idée d'être ainsi vulnérable. Oh, qu'elle déteste ça.