Hapiness is as simple as a kiss.
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Hapiness is as simple as a kiss.

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MessageSujet: Hapiness is as simple as a kiss. Hapiness is as simple as a kiss.  Icon_minitimeMar 17 Mar - 17:59

Hapiness is as simple as a kiss.
 

Camron & Lily.
La nuit est tombée, sur le Nevada. Les étoiles brillent dans le ciel, alors que la lune pleine éclair le ciel assombri. Le temps se rafraîchi doucement, en cette douce nuit. Camron a délaissé son Audi dans les bois, cachée à l’abri des regards indiscrets. Depuis quelques temps, ils ont passé leur temps dans les bois, à la recherche d’une maison provisoire. Parce qu’au fond, ils ont toujours l’espoir que la zone finisse par se reconstruire et il a des amis, là-bas. Il ne sait même pas ce qui leurs est arrivé. Très loyal, il veut les retrouver, prendre de leurs nouvelles et s’assurer qu’ils vont parfaitement bien. Mais il préfère ne pas trop s’inquiéter ; c’est inutile de s’assombrir l’esprit.  De plus, la chance leur sourit presque, cette nuit. Après plusieurs de recherches, Lily et lui ont finalement trouvé ce qui ressemble à un vieux chalet. C’est assez reculé dans la forêt, caché par des sapins. Autour, il y a un lac et même une barque. L’endroit a tout l’air d’être tranquille. Du moins, aux premiers abords. Il reste toujours vigilent, parce qu’on ne sait jamais sur quoi on va tomber, de nos jours. A l’intérieur, il pourrait très bien y avoir déjà des survivants. C’est pourquoi ils doivent d’abord vérifier que c’est sécurisé. Il se tient alors debout, face à ce chalet, tandis qu’il lance un regard à sa fiancée, un peu perplexe. De son sac, il sort sa lampe de poche, allumant cette dernière. Il cherche une quelconque présence, agitant la lumière à travers les fenêtres de l’habitacle. Mais aucun mouvement ne se fait voir. Il s’avance alors vers le chalet, une main sur son arme et l’autre qui encercle l’objet.

- Je vais passer par derrière, tu t’occupes de l’avant ?, demanda le brun dans un murmure.

Valait mieux rester sur ses gardes. Il attendit qu’elle acquiesça, avant de se diriger vers l’arrière, laissant ses sens à l’affût. Vieux reflexe de flic, tout ça. Le contour du chalet fut vite terminé et arrivé, il glissa sa main sur la poignée de porte, poussant cette dernière. Le bois grinça légèrement : si quelqu’un était ici, il avait certainement dû recevoir l’avertissement d’une présence. Cependant, ça semblait réellement vide. Il n’y avait qu’un seul étage et peu de pièce. La cheminée qu’il apercevait n’avait pas été allumée et rien ne laissait croire que quelqu’un était venu ici, récemment. Alors il se détendit un peu, refermant la porte derrière lui.

- J’crois que c’est bon, y a personne, dit-il d’une voix plus sonore, quand il fut certain que les alentours étaient sûrs. J’vais allumer cette cheminée, ou on va crever de froid.

Dans le noir, ce n’était pas chose aisée, de trouver les objets. Néanmoins, il réussit à trouer des allumettes et des bougies, dans l’un des tiroirs de la salle à manger. Eh bien ! Ce serait un bon endroit pour squatter un moment. Ca semblait tranquille. On oublierait presque dans quel monde on vit, juste en restant ici un moment. Il en venait même à penser qu’ils partaient tous les deux en vacances, tant l’endroit avait des airs de tranquillité. Il esquissa un sourire, tandis qu’il alluma une dizaine de bougies qu’il vint disperser dans les pièces du chalet. L’endroit devint plus joli, vu sous cette lumière. L’ambiance était devenue relaxante : tout le nécessaire pour se reposer. Parce que mine de rien, dormir à deux dans l’Audi n’était en rien l’activité qu’il préférait le plus. Il avait toujours le corps engourdi et ankylosé, à force de dormir de la sorte. Ce qu’il avait envie, ce soir, c’était de dormir dans un vrai lit, dans une vraie maison. Il soupira de bien-être, alors qu’il avança vers la cheminée, sortant une grosse allumette d’une boîte, embrasant le bois présent. Suite à cela, il laissa ses yeux se perdre un moment dans les flammes et le grésillement de ces dernières, profitant de cette légère mélodie qui semblait le tranquilliser. Ca faisait étonnement beaucoup de bien, de se retrouver dans une situation pareille. On passait tellement de temps à survivre, qu’on ne pensait même plus à apprécier de vivre. C’était dans ce genre de moments, qu’on était heureux de vivre. D’être aux côtés de la personne que l’on aimait le plus. D’ailleurs, il se tourna vers Lily et lui offrit une brève esquisse, avant d’aller s’asseoir dans le canapé près de la cheminée, tapotant ce dernier, afin d’inciter la brune à venir s’asseoir à ses côtés.

- Il ne manquerait plus qu’un bon plat de spaghettis, et je crois que je serais aux anges.

Ca lui donnait faim, de parler de nourriture. Son ventre réclamait son dû. Il déposa son arme et sa lampe de poche éteinte sur la table basse, ouvrant son sac à dos pour y chercher de quoi manger. Il avait des conserves encore, mais rien qui lui ouvrait réellement l’appétit. Il soupira un moment, glissant ses doigts entre ceux de Lily, déposant un baiser contre le dos de sa main.



crackle bones
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MessageSujet: Re: Hapiness is as simple as a kiss. Hapiness is as simple as a kiss.  Icon_minitimeMer 18 Mar - 4:30



i just want to be happy and it seems hapiness is as simple as a kiss
CAMRON & LILY

La voiture s'arrêta dans un crissement de pneus qui réveilla Lily qui dormait paisiblement sur le banc passager. Elle ouvrit les yeux et constata qu'ils se trouvaient devant un chalet isolé. Elle jeta un coup d'oeil à Camron qui sortit et elle le suivit, passa sa main dans sa poche arrière où se cachait son pistolet. Elle garda le silence, ne voulant pas attirer d'attention sur eux. Elle suivit des yeux son fiancé qui s'avançait déjà vers la demeure. Elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter. Elle avait déjà failli le perdre une fois, elle ne voulait pas que cette fin du monde le lui arrache pour de bon. Mais bon, elle en avait assez de leur petite Audi et trouver un refuge ne pourrait pas faire de mal à son dos endoloris. Camron étant plus grand qu'elle, elle ne pouvait s'imaginer comment lui devait être coincé dans la voiture. Assurant les arrières du jeune homme, elle ne le quitta pas une seconde et s'arrêta sur le balcon du chalet quand ce dernier s'arrêta pour observer à l'intérieur de sa lampe de poche. Il lui demanda ensuite si elle voulait s'assurer que le devant était sécuritaire alors qu'il s'occupait de l'arrière. Elle garda le silence, pas exactement certaine de vouloir se séparer du brun mais finit par acquiescer après un court instant d'hésitation. Oh, elle n'avait pas peur pour elle-même, mais pour lui. Elle avait peur de le perdre. Le quitter des yeux était la pire torture qu'elle pouvait ressentir. Elle l'observa disparaître sur le côté de la demeure et s'avança vers la porte d'entrée. De ses yeux, elle cherchait un mouvement suspect, un quelconque danger, ou son. Mais rien. La porte était deverouillée, comme si on était parti en toute hâte. Perplexe, elle s'aventura à l'intérieur et put entendre clairement la porte arrière qui s'ouvrait. Probablement Camron.

Elle s'assura que l'entrée était déserte, prit un vase de verre et le déposa contre la porte qu'elle avait refermée. Si quelqu'un entrait, le bruit du verre cassé leur servirait d'alarme. Le duo était extrêmement prudent. Anciens flics, ils savaient comment analyser chaque situation. C'était probablement ce qui leur avait permis de survivre ses deux dernières années. Elle sursauta légèrement lorsque la voix de son bien aimé lui parvint depuis ce qu'elle devinait le salon pas trop loin de là. « J’crois que c’est bon, y a personne. J’vais allumer cette cheminée, ou on va crever de froid. » Elle sourit légèrement. Se réchauffer devant un foyer. Elle en avait oublié à quel point cela pouvait être apaisant. Méfiante, elle s'assura tout de même que le reste de la maisonnée était vide, jetant un coup d'oeil à l'unique chambre et à la salle de bain. Elle vérifia les fenêtres. Ils seraient parfaitement en sécurité dans cet endroit. C'était presque trop beau pour être vrai. Lorsqu'elle s'aventura enfin au salon pour rejoindre Camron, elle fut surprise par l'ambiance qu'il avait installé. Des bougies et un foyer diffusaient leur lumière vaccilante contre les murs, donnant une atmosphère presque irréelle à la pièce. Elle resta plantée là un instant, bouche bée. Cette fin du monde lui avait fait oublier des moments comme celui-là. Camron, accroupi devant le feu. Elle posa son regard sur lui et même s'il lui tournait le dos, elle ne pouvait s'empêcher de le trouver beau. Un léger sourire, sans même qu'elle en ai conscience, apparut sur le coin de sa lèvre. Lorsqu'il se retourna, elle pouvait apercevoir ses traits dans la lumière chaude des flammes et ne put s'empêcher de sentir son coeur s'arrêter un instant dans sa poitrine. Elle ne voulait pas oublier cette image, elle voulait la graver dans sa mémoire.

Son sourire s'étira un peu plus quand le jeune homme lui envoya un sourire en se retournant. Lorsqu'il s'installa sur le canapé à côté de la cheminée et l'invita à venir s'asseoir elle aussi, elle ne se fit pas prier. « Il ne manquerait plus qu’un bon plat de spaghettis, et je crois que je serais aux anges. » Elle s'approcha et vint se recroqueviller contre l'épaule du jeune homme en laissant échapper un léger gloussement de rire qui lui était si particulier. Lui laissant juste assez d'espace pour fouiller dans son sac. La brune, elle, avait le regard perdu dans les flammes et reporta son attention sur son fiancé quand elle l'entendit soupirer bruyamment, peu enjoué par les réserves qui leur restait. Pas de spaghetti, ça c'était certain. Que des conserves banales... « J'aurais jamais cru que du simple spaghetti deviendrait un jour une denrée rare. C'est d'la vraie merde. » Le contact de sa large main lorsqu'il vint enlacer ses doigts la fit sourire bêtement, encore plus quand il vint déposer un baiser sur le dos de sa main. L'amnésie... elle était certaine qu'un moment comme ça n'arriverait plus jamais. Mais avec cette fin du monde, ils s'étaient redécouverts et Lily en était simplement tombée de plus en plus amoureuse. Un amour mort avec les souvenirs du jeune homme pour renaître de ses cendres dans le feu de l'action de cette apocalypse des Morts. D'un air rêveuse, adorable, elle regarda le feu en venant poser sa tête sur son épaule. « Moi je voudrais des guimauves sur le feu... t'imagines à quel point ce serait bon. » Elle le sentit tressailler quand elle posa sa tête contre lui, se rappelant alors que lors de leur dernière rencontre avec des survivants, Camron avait subi une vilaine blessure sur le bras, là même où elle avait décidé d'en faire son oreiller. Elle se redressa aussitôt pour ne pas lui faire mal. Certes, la blessure avait probablement guéri depuis le temps, mais si c'était encore sensible, elle ne voulait pas l'importuner de sa grosse tête. « Oh, j'avais oublié. Ça te fais encore mal ? » Si Camron avait été seulement blessé, le groupe qui leur avait fait cela avait été moins chanceux... Ouais, elle s'inquiétait pour lui, elle n'y pouvait rien.
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MessageSujet: Re: Hapiness is as simple as a kiss. Hapiness is as simple as a kiss.  Icon_minitimeJeu 19 Mar - 12:35

Hapiness is as simple as a kiss.

Camron & Lily.
Un sourire trônait sur les lèvres du brun, tandis qu’elle vint s’asseoir à ses côtés, posant sa tête contre son épaule. Dans des moments comme ceux-là, il en oubliait presque le monde horrible qu’était devenu l’extérieur. Ici, personne ne voulait le dévorer et le vider de ses entrailles. Personne ne voulait sa peau, c’était juste le calme et la sécurité. Plus rien à craindre ; juste profiter du moment qui s’offrait enfin. C’était dans des moments comme ceux-là, qu’il était content d’être toujours en vie. Parce que parfois, il n’avait pu cacher qu’il se serait abandonné à leurs canines. Abandonné au destin qui les rattraperait tous, un jour ou un autre. Heureusement, sa fiancée était présente pour lui, son fidèle pilier qui ne cédait que trop rarement. Si elle n’avait pas été là pour l’épauler, il aurait certainement céder à la tentation d’un futur bien plus aisé. C’est en tournant son regard vers l’être aimé qui réalisa ô combien il était chanceux. Dans ce monde merdique, la famille était la plus importante. On cherchait tous des gens en qui on avait confiance, peu importe le coût. Lui, il l’avait elle. Et dieu seul savait qu’il lui confierait sa vie, si c’était nécessaire. En quelque sorte, ça avait toujours été le cas ; même sorti de l’hôpital, il était paumé et désemparé, et elle lui avait appris à nouveau à découvrir le monde. Il était moins perdu, depuis qu’elle était là. Un putain de pilier. Et ça faisait du bien, d’être juste assit, sans rien faire d’autre. Sans craindre pour sa vie. Il laissa échapper un soupir que lui seul entendit : un soupir de bien-être.

- A qui l’dis-tu. C’est pathétique, quand t’y penses. J’suis sûr qu’on mangerait même n’importe quoi, ou n’importe qui, pour rester en vie, dit-il d’une voix songeuse.

Oserait-il ? Il l’ignorait. C’était quand même sacrément dégueulasse, d’imaginer un instant manger un Homme ou même un animal, tel un chien. Il ne pensait pas qu’il en était capable. Même si l’instinct de survie était prononcé, il y avait des limites qu’on ne pouvait pas se permettre de franchir, tout de même. Bouffer du chien, c’était une trop grande limite pour lui. L’idée lui donnait déjà envie de vomir.

- Ouais. Non, c’est dégueulasse, en fait. L’idée de manger de la guimauve me donne subitement la dalle.

Il esquissa un sourire, avant de tressaillir lorsque qu’elle posa sa main contre son bras. Cela ne lui faisait plus mal, mais c’était un de ses vieux reflexes. Une des raisons pour laquelle il ne faisait pas trop confiance aux survivants, c’était parc qu’ils pouvaient être plus dangereux encore que les êtres Humains. Il suffisait qu’ils ne soient pas en accord avec eux, pour leur bondir dessus et fendre l’air de balles ou de lames.  Il avait été chanceux, cette fois-là. Il aurait pu en crever, si l’infection n’avait pas été traitée à temps. Son instinct de survie avait cependant pris le dessus, quand il s’était décidé à leur foncer dessus, enfonçant la lame de son couteau dans leur jugulaire. Ca avait été quelque peu sanguinaire, comme situation : il fallait s’adapter. Un vieux dicton disait « marche ou crève », et c’était l’atroce vérité. On laissait les faibles à la ramasse, les éliminant. Encore heureux que lui n’était pas devenu si cruel. Il avait encore la notion du bien et du mal, même si elle devenait plus difficile à distinguer.

- J’ai connu pire, dit-il simplement, avant de glisser à nouveau son bras par-dessus son épaule, la ramenant contre lui. On va manger avec des fourchettes et des assiettes, aujourd’hui. T’y crois, toi ?

Il n’en revenait toujours pas de la chance qu’il avait eu, de tomber sur ce vieux chalet. De nos jours, on mangeait à même la conserve, comme des affamés et des vagabonds. Un bon anachronique dans le temps. Il avait ce sourire idiot planté sur son visage, comme s’il venait d’apprendre qu’il avait gagné le gros lot. Il déposa un baiser sur le front de Lily, avant de se redresser et de déposer ses affaires sur la table basse. Il sorti une conserve –une sorte de chili con carne- et se dirigea vers la cuisine, là où il en tira une casserole, des couverts et des assiettes. Il prit soin aussi de regarder les tiroirs et les armoires, si jamais quelqu’un n’avait rien laissé d’important derrière. Il semblerait que personne ne soit venu ici depuis un bon bout de temps : il y avait encore de la nourriture dans les placards. C’était trop beau pour être vrai, mais il s’en contenterait quand même. Il n’allait quand même pas cracher dessus, après tout.

- Babe, j’crois qu’on a une putain de chance.

Son expression était réellement ravie. Comment ne pas l’être ? Il avait de nouvelles ressources. Peut-être qu’il restait même des ressources médicales, planquées dans la salle de bain. Ca valait toujours le coup d’aller jeter un œil. Il irait voir, après qu’ils aient mangé. Il vint déposer son attirail sur la table basse, avant d’ouvrir la conserve à l’aide de son couteau, déversant le contenu dans la casserole : Il allait faire chauffer le tout au-dessus du feu de la cheminée, histoire d’éviter de manger froid. Il s’assoit tranquillement face à cette dernière, alors qu’il laissa son bras pendre au-dessus des flammes, laissant l’aluminium de la casserole se réchauffer.



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