Past is Past |Conreb {hot}
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Past is Past |Conreb {hot}

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Rebekah Fitz-Williamson

Rebekah Fitz-Williamson
Rebekah Fitz-Williamson
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And in that moment, i swear we were infinite
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× Âge du perso : : 36 ans mais elle préfére se dire qu'elle n'a jamais passer la trentaine

× Caravane + colocataires : : Caravane 12C avec son mari Conrad

× Poste assigné : : Assistante des spécialiste au centre d'entrainement

× Messages : : 7803

× Points de vie : : 176

× Copyright : : schizophrénic (avatar) & MYERS. (signature)

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MessageSujet: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMar 20 Sep - 18:51

Past is past…

La poussière vola dans la pièce quand elle posa le pied sur le sol couvert de cette même poussière.  Signe que personne n’était rentré dans cette pièce depuis surement le début de l’épidémie. Combien de temps exactement ? Elle ne saurait dire, elle avait depuis longtemps perdu la notion du temps.  Elle savait que cela faisait au moins plus de deux ans, mais pas le temps exacte. Au moins elle savait qu’elle avait dépasser la trentaine, et bien que l’âge ne comptait plus de nos jours et que ca lui faisait mal de se dire qu’elle était trentenaire, c’était un peu sa petite victoire personnelle. Malgré une enfance et une adolescence tout sauf joyeuse, malgré tout les coup que la vie lui avait mis dans la figure,  malgré l’apocalypse, elle avait dépasser l’espérance de vie moyenne de toutes les femmes de sa famille. Elle était non seulement surement la dernière Fitzgerald de la terre, mais en plus la femme de sa famille qui avait vécut le plus longtemps.  Enfin elle le gardait pour elle, et puis a qui le dirait-elle ? Ses deux compagnons de route ? Non ils ne savaient rien de son passé et n’avait pas besoin de le savoir. Alors elle s’en félicité intérieurement et se le répéter plusieurs fois dans sa tête parfois pour se donner confiance. Elle tira son foulard rouge délavé et tacher de sang sur son visage pour le couvrir, ainsi elle ne respirerait pas de poussière. Elle s’aventura dans la pièce faisant voler toute la poussière autour d’elle. Ca aurait presque put donner quelque chose de beau a voir… Enfin dans un autre contexte bien sur. Elle alla ouvrir tout les placard aussi poussiéreux que le reste mais sans grand succès. Ils étaient aussi vide que ceux des autres pièce. Elle mit un coup de poing dans la  porte de l’un  d’eux. Bordel cette maison était  vide, alors qu’ils avaient affreusement besoin de trouver quelque chose. S’ils revenaient a Bodie sans rien, c’était sur qu’ils allaient avoir des ennuies. Elle ne pouvait pas se permettre de se faire chasser de Bodie. En soit elle n’en avait absolument rien a faire de ce camp, mais pour l’instant il  offrait un toit, un instant de répit et surtout un endroit a peut  prés sur pour Alixen. Et elle voulait absolument la protéger. Elle s’était peut-être un peu trop attacher a cette gamine en faite. Elle soupira et sortie rapidement de la pièce pour passer a la dernière qu’elle n’avait pas fait. Là encore elle ne trouva rien. Elle sortie en soupirant et rejoint Graham sur le perron de la maison. Elle sorti et regarda le brun qui l’attendait l’arme au poing.  Elle soupira et se laissa tomber  assise sur une marche avant de tiré son foulard pour découvrir son visage. C’était vraiment la merde, ils allaient devoir trouver d’autres maisons.  Elle mit un coup dans la bois de la rambarde a coté d’elle, et la cassa au passage…En même temps le bois étant pourri elle n’était pas bien solide. Et puis la brune était particulièrement énerver aujourd’hui donc ses coups étaient des plus…Violent. Elle se leva d’un bon en voyant un rodeur s’approcher. «  Tu tombe bien toi » dit elle en sortant son couteau.  Elle s’approcha de lui et lui mit un coup de pied assez violent, le faisant tomber. Elle le releva par le col alors qu’il tendait la main pour essayer de lui attraper la cheville. Après s’être un peu amuser avec elle lui mit un coup de couteau dans l’œil, signant ainsi sa mort définitive. Elle  comptait retourner vers son compagnon de route quand elle entendit un bruit pas loin dans la foret. Un autre mort vivant ? Tant mieux car elle n’était pas calmé encore. Elle regarda son ami «  J’m’en occupe » dit elle en se tournant vers les bois. Ils faisaient souvent ce genre de chose, tuer chacun son tour les rodeurs isoler qu’ils entendaient. Au moins ils se débarrasser d’eux avant qu’ils ne leurs tombe dessus par surprise.  

Elle s’aventura alors dans la foret en direction du bruit qu’elle avait entendu. Bruits qui semblaient s’éloigner, chose qui était  bizarre, ils avaient fait du bruit, donc le mort vivant devrait venir vers eux, pas les fuir. A moins qu’il est encore une petite once d’intelligence…Ou que ce ne soit pas un rodeurs. Elle paria plutôt sur la deuxième idée qu’elle avait eue. Les rodeurs ne seraient jamais intelligents. Elle se mit donc a faire le moins de bruit possible et le rattrapa vite. Elle décida même de contourner cette personne. Elle fini par le rattraper, il marchait de toute façon alors qu’elle, elle s’était mise a courir. Elle ne voulait pas le laisser partir alors qu’il les avaient vus et  pourrait potentiellement ramener son groupe et les tuer. Mais une fois face a lui elle se stoppa net. Il avait beau avoir changer a cause de l’époque dans laquelle ils vivaient, elle le reconnaitrait entre mille. «  Conrad ? » dit elle simplement un peu ahuri. La dernière fois qu’elle l’avait vue c’était il y a longtemps, une éternité même lui semblait-il,  dans ce magasin de jouet où elle l’avait plus ou moins abandonner. Il devait surement lui en vouloir d’ailleurs pour cela.


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Conrad Williamson

Conrad Williamson
Conrad Williamson
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× Âge du perso : : Trente-six ans, et toujours aussi sexey.

× Caravane + colocataires : : Caravane 7A, en compagnie d'Anissa, Ambroisie, Apolline et Matthew.

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeDim 9 Oct - 4:14


*--_ Past is Past _--*
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Je revenais tout juste de la ville la plus proche, le sac remplit de vivres et de choses que je jugeais utiles ou tout simplement amusantes. On commençait à être vachement bien installé, dans cette grande villa, et comme on sortait régulièrement nos réserves n’avaient jamais le temps de s’épuiser. On aurait dû bouger plus rapidement de Yosemite, finalement. Si, la plus part du temps, c’est Desmond qui aurait dû m’écouté, cette fois c’était bel et bien le contraire, même si c’était surprenant à dire. Celui qui faisait les boulettes entre nous deux c’était souvent lui, mais fallait lui pardonner. Ce petit était futé, c’est certain, mais parfois il n’arrivait pas à mesurer l’ampleur et les conséquences de ces actes. C’est pour ça que j’étais là, que je le rappelais à l’ordre aussi souvent qu’il le fallait. De toute façon, ça faisait longtemps que je le faisais, si j’avais eu à me fatiguer de lui ça se serait produit bien avant aujourd’hui. En plus, partir de Yosemite avait eu son effet sur Aileen et depuis ça allait un peu mieux, entre nous, même si j’avalais toujours mal le fait qu’elle avait accepté de voyager avec un parfait inconnu plutôt qu’avec moi. On ne pouvait vraiment plus faire confiance à personne, aujourd’hui il ne me restait plus que Desmy, mais même lui il aimait me menacer parfois, me crier régulièrement qu’il mettrait les voiles. Après tout ce qui était arrivé, j’avais du mal à prendre ces mots à la légère et lui qui avait visiblement remarqué que c’était une corde sensible jouait régulièrement avec ça. J’avais toujours ce poids dans l’estomac, la peur qu’un jour je me réveille et que la villa soit silencieuse et vide comme l’avait été ma vie ces dernières années. Ce que je vivais le plus mal depuis l’apocalypse, ce n’était même pas les morts ou les rôdeurs, c’était cette solitude profonde que je n’avais encore jamais connu avant tout ça et qui semblait être décidé à revenir tout le temps vers moi, même si je faisais tout pour m’en éloigner le plus possible. Je souffle un peu, serrant une des bretelles de mon sac, ma hache pendant à ma main le long de mon corps, me disant que pour l’instant il y avait Desmond, que pour l’instant je n’avais plus à m’inquiéter de tout ça. Pendant un moment, j’arrive à réellement apprécier cette petite balade au calme, jusqu’à ce qu'une voix ne brise le silence au loin.

J’ai premièrement le réflexe de vouloir faire marche arrière en espérant qu’il ne bouge pas ou alors prenne une direction différente, mais bizarrement mes jambes ne m’obéissent pas. Je reste immobile jusqu’à ce la voix sonne à nouveau et cette fois on aurait dit qu’elle m’appelait puisque mes jambes fonctionnaient à nouveau et c’était misent à marcher vers la survivante ; c’était bien une femme, ou alors un homme avec un sévère problème d’hormones. J’aurais pu reconnaître cette voix parmi des centaines, mais c’est comme si je ne voulais pas y croire, même que j’aurais peut-être préféré devenir fou. Je m’étais approché suffisamment pour l’entendre s’adresser à quelqu’un, puis j’entendis des pas s’approcher d’où j’étais. Bordel. Moi, ma maladresse et ma chance ont ne faisait pas une bonne équipe. Je tourne finalement les talons et je me dis que j’aurais dû le faire plus tôt. Ne voulant pas faire plus de bruit qu’il ne le fallait je ne me mets pas à courir même si je sentais que la personne s’approchait. Je serre ma hache, au cas où, alors que je finis par l’apercevoir en coin d’œil. Je m’arrête et laisse la jeune femme se poser devant moi. Bordel. Je lance un regard à ma gauche, m’insultant intérieurement pour ne pas avoir été plus discret, puis je finis par poser mes yeux sur elle, mais je n’avais pas opté pour une attitude très amicale. Je fais quelques pas prudent, tournant autour d’elle pour me retrouver de l’autre côté. « Rebekah » répondis-je, sur un ton plutôt neutre, lui offrant un sourire qui avait tout de faux. Inutile de lui dire que je n’étais pas plus heureux que cela de la recroiser. Ça faisait un long moment, d’ailleurs, mais qu’elle ait survécu ne me surprenait pas du tout ; elle avait la gâchette facile et devait voler les plus faibles sans aucun scrupule. « T’es pas seule, j’t’ai entendu parler à quelqu’un. Combien ? » Je lance un regard derrière-elle puis je la regarde à nouveau, attendant une réponse, méfiant. Je n’avais aucune envie de me faire piquer mes choses et si j’avais à tuer ces coéquipiers pour cela, je le ferais. C’était fini, la charité. C’était chacun pour soi. J’avais changé depuis la dernière fois qu’on c’était vu, elle le remarquerait bien assez tôt. Surement autant physiquement que mentalement, mais surtout, j'étais très en colère. Pas nécessairement contre elle, contre un peu tout le monde, contre la vie en elle-même. Elle, elle avait très certainement empiré et même si elle était plutôt propre, son visage avait changé. Ce n’était pas tant le fait qu’elle avait vieillit qui était troublant, c’était plus le fait que la fatigue tirait ces traits et qu’on voyait juste en la regardant qu’elle avait encaissé beaucoup de choses, mais comme tout le monde finalement. J’avais même, surement, la même allure qu’elle.


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Dernière édition par Conrad Williamson le Lun 30 Jan - 4:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeVen 14 Oct - 18:11

Past is past…

Jamais elle n’aurait crut qu’elle tomberait nez a nez avec lui, avec cet homme, un homme de son passé.  Pourtant elle avait passé son temps à le fuir, a l’abandonner, elle le rejeter autant qu’elle l’aimait sans se l’avouer vraiment. Elle n’avait jamais sut si elle le voulait ou si elle ne le voulait pas, si elle l’aimait ou si elle le détesté. Elle avait passé sa vie passé a combattre cela, a mener ce dilemme dans son cœur et son esprit et pourtant quand était venue l’apocalypse elle avait pensé tirer un trait définitif sur lui.  Elle l’avait laissé seul, elle était partie pendant la nuit dans ce magasin de jouet. Elle avait pensé qu’en faisant cela  elle mettait fin a ce dilemme qui était en réalité un vrai calvaire. Fin a une relation assez chaotique et malsaine.   Elle avait pensé qu’elle était tirée d’affaire et que jamais elle ne le reverrait. Et pourtant, elle se tenait là face à lui. Elle senti son cœur manquer un battement quand il prononça son nom. Elle en eu même un petit vertige, mais mit cela sur le compte de la fatigue.  Elle dormait encore moins depuis qu’elle était à Bodie, elle était tout sauf tranquille là bas. Elle se sentait tout sauf en sécurité entourer de tous ces gens mauvais.   Elle savait qu’elle n’était pas quelqu’un de bien, mais les gens là bas ce n’en était pas non plus, et être parmi les gens mauvais, même quand on est mauvais soit même ça n’a rien de rassurant.  Elle devait surement avoir sale mine d’ailleurs.  Même si contrairement a la plus part des survivant elle était assez propre, elle essayer de garder une certaine hygiène. Elle ne voulait pas perdre ca aussi, en faite elle ne voulait pas devenir une sauvage, elle ne voulait pas devenir un animal. Elle tenait a rester un minimum humaine. En le regardant elle constata que lui aussi était propre même si il avait une barbe maintenant. Il n’avait surement pas que cela a penser que de se raser constamment ou entretenir sa barbe.  Elle n’avait pas l’habitude de le voir barbue alors ca la perturba un peu, mais bon elle passa outre ce détaille. Elle remarqua aussi sur les traits de son visage que la survie avait laissé des traces. Il semblait fatigué, et surtout en colère. Mais quel être normalement constituer ne le serait pas face au monde dans lequel ils vivaient maintenant ? Bien que Rebekah elle n’était pas vraiment en colère, elle avait cessé de l’être depuis très longtemps, depuis qu’elle avait compris que les anges ou dieux s’ils existaient l’avait totalement oublié.    Mais elle comprenait que Conrad le soit lui. Elle le fixait toujours mais elle rangea son arme  doucement pour ne pas qu’il croit qu’elle avait l’attention de l’attaquer. Enfin ce serait ridicule, il savait très bien qu’elle était tout bonnement incapable de lui faire du mal. Elle pouvait en faire a tout le monde sauf a lui…Enfin pas du mal physiquement du moins… Car en y réfléchissant bien elle lui avait surement fait déjà beaucoup de mal dans le passé… Surement bien trop pour mérité qu’il ne lui accorde encore un regard.  Elle le regarda un peu surprise qu’il lui demande avec qui elle était. Il se souciait de cela maintenant ? Il avait arrêté de vouloir sauver tout le monde ? Oh il était donc devenu un survivant, bien ! Elle secoua doucement la tête   «Juste Graham et moi… On est que deux … On cherche des choses a ramener au camps »Mince peut-être qu’elle n’aurait pas du lui parler de ce camps.  Elle se reprit assez vite  «Le camps est a au moins une demi journée de marche» Elle espérait l’avoir rassuré. En faite pourquoi ? Pour ne pas qu’il prenne la fuite ? Pour qu’elle puisse encore un peu le regarder ? Elle se rendit compte qu’elle était en train de se dire qu’il lui avait surement manqué un peu. Mince qu’es ce qu’il lui arrivait ?

Elle leva les yeux vers le ciel, vue la position du soleil et la luminosité, il était presque la fin de l’après midi, bientôt elle devrait retourner voir Graham et  retourner a Bodies. Bredouille… Ils allaient avoir des problèmes c’était sur. Enfin plus ca allait plus elle envisageait de quitter ce satané camps.  Mais pour aller où ? A nouveau se retrouver a vagabondé un peu partout sans but précis. Elle s’était lassée de faire cela. Elle devait donc trouver un endroit sur avant de quitter ce camps avec Alixen et Graham. Elle regarda a nouveau le brun et se dit que non, elle n’avait pas envie de le quitter a nouveau. Pour une fois elle n’avait pas envie d’écouter la petite voix qui lui disait, non lui hurlait de le fuir encore et encore. Pour une fois elle avait envie de rester.  Mais malheureusement elle ne pouvait pas se le permettre.   «Tu… Tu traine dans le coin ? Je… Je dois y aller mais… » Elle se mit a hésité un instant avant de continuer sa phrase. Mince elle était ridicule là, enfin elle se sentait ridicule tout d’un coup. Elle prit quand même son courage a deux mains et se jeta a l’eau «Mais je… Je viens de penser qu’on pourrait se revoir… Ici ? Dans deux jours ?  » Dit elle d’un ton assez peu confiant. Après tout elle était en train de lui proposer un rendez vous.   Et il serait légitime qu’il ne vienne pas, ou même qu’il lui rit au nez, après toute les fois où elle avait était horrible avec lui.  Pourtant elle espérait, elle se disait qu’il n’était pas comme cela, et que même s’il avait changé au fond il restait toujours le même. Il serait toujours le gentil Conrad, celui qui est sympa avec tout le monde et qui croit en l’être humain.  Mais es-ce qu’il croyait encore en elle ? Es-ce qu’il croyait qu’elle avait encore une âme ? Qu’elle n’était pas totalement pourrie de l’intérieur ? Enfin après tout il n’aurait peut-être pas tord de penser qu’elle l’était.  Même en commençant maintenant jamais elle ne  réussirait à se repentir totalement.   Il lui faudrait surement plusieurs vies pour se repentir. Elle le regarda et recula un peu se disant qu’il était tant qu’elle y aille sinon bientôt Graham viendrait voir ce qu’elle faisait et elle craignait qu’il fasse du mal a Conrad.   «Faut que j’y aille….Euh… A bientôt j’espère … Ici, dans deux jour !» Dit-elle toujours en reculant. Elle fini par lui tourner le dos et retourner rapidement avec Graham. Elle lui menti en lui disant qu’il y avait eu plusieurs rôdeurs  donc ca lui avait prit plus de temps que d’habitude.  Ils  finirent par trouver une autre maison, trouver des conserves dedans et les ramener a Bodie. Ils étaient donc sauver pour cette fois.  Pourtant la  brune était en train de se demandait ou vivait le brun, ce qu’il faisait en ce moment, est ce qu’il était en sécurité. S’il avait toujours hanté ses pensées, elle avait toujours réussi à le mettre dans un petit coin de sa tête. Mais là elle n’y arrivait pas, comme si l’ombre du brun était devenue tellement grande qu’elle occuper toute la place dans sa tête et qu’un simple petit coin ne suffisait plus à l’étouffer.  Ca lui faisait a la fois peur et d’un coté un drôle de sentiment l’envahissait quand elle pensait au brun.  Elle avait tout de même fini par fuir même si elle n’en avait pas eu envie… Enfin elle lui avait quand même donné rendez vous…mais es ce qu’il viendrait ? Et es ce qu’elle elle irait ? Elle ne savait pas, encore une fois elle mener un drôle de combat entre son cœur qui lui disait d’y aller et  sa tête qui lui disait d’être raisonnable et continuer a le fuir.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMar 3 Jan - 1:01


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Vraiment, cette chienne de vie m’en voulait. Elle était bien la dernière personne que je voulais voir en ce moment. Rebekah. La dernière fois que je l’avais vu, elle n’avait pas changé du tout. Elle baignait dans le sang comme nous tous mais s’y sentait à son aise, parce que sa vie avait toujours été comme ça finalement. Je sais pas pourquoi j’avais cru que pour une fois on aurait pu, au moins, se séparer d'une façon civilisé, qu’elle ne partirait pas dans mon dos en pleine nuit comme elle l’avait toujours fait. Encore une fois, j’avais été optimiste, j’avais été stupide. Les gens avaient tous changé, devenaient tous égoïstes, et ceux qu’ils ne le devenaient pas et bien, ils finissaient tous comme moi ; laissé derrière. C’est pourquoi je me raidis dès que je la reconnais, que ma main se serre sur la manche de ma hache qui se soulève légèrement devant moi, juste au cas où. La prudence était de mise, je ne savais pas à quoi m’attendre et je préférais être prêt à toute éventualité. Ce n’est pas un accueil très chaleureux que je lui offre mais elle ne méritait pas mieux. Elle était pourtant loin de répondre à la froideur de mon ton et de mes gestes qui étaient tous prudents et pensés ; elle le remarquait surement. C’était étrange. Elle sonnait presque… nostalgique, répondant à mes questions sans aucune hésitation. Je me serais peut-être un peu détendu si seulement ces réponses m’avaient plu, mais c’était tout le contraire. « Graham ? Un groupe ? Génial » répondis-je sur un ton sarcastique, laissant pour la première fois transparaître une autre émotion que la colère et la méfiance. Elle ne comprendrait surement pas ma réaction, mais mon but n’était pas de me faire comprendre de toute façon, tout ce que je voulais c’était pouvoir retourner à la villa en toute sécurité et avec tout ce que j’avais trouvé durant cette expédition. En voilà une autre, qui avait préféré voyager avec quelqu’un d’autre que moi. Je lui en voulais pour la dernière fois qu’on c’était vu et maintenant je lui en voulais encore un peu plus. Il m’arrivait d’être tellement en colère. Je ne savais plus quoi en faire, je bouillonnais et ça ne me ressemblait pas. Je savais que je changeais et cela me faisait un peu peur. Alors que mes jointures deviennent blanches contre mon arme je n’arrive plus à penser très clairement et donc je reste immobile et silencieux.

J’essaye de séparer le pratique de ce qui dérangeait, mais Rebekah me devance. Je fronce les sourcils et penche légèrement la tête sur le côté. Elle ne se ressemblait pas du tout. Un peu plus et elle se dandinait sur place et d’un pied à l’autre. Alors mon silence s’étire, curieux de savoir ce qui la rendait aussi nerveuse et finalement, la réponse à cette questions me surprend tout autant que son état. Un rendez-vous ? Pour faire quoi ? Le temps l’avait apparemment sonné. Rebekah n’aurait jamais fait ça, ne se serait d’ailleurs jamais permis de paraître aussi vulnérable. En plus de ça, elle avait rangé son arme alors que je laissais la mienne bien en vue. Alors qu’elle me tourne le dos et s’éloigne, je me redresse et me détend légèrement, plus confu qu’autre chose. Je me demandais surtout pourquoi elle désirait qu’on se rencontre ici dans deux jours. Quel intérêt ? Je n’en voyais aucun. Elle avait dit avoir un groupe et… quoi qu’est ce Graham pour elle. De quoi elle avait besoin ? Je n’avais pas tellement envie de revenir. C’est ce que je me dis une fois que je me sens suffisamment en sécurité pour tourner les talons à mon tour et reprendre ma route vers la villa. Après toutes les fois où elle m’avait laissé tomber, elle ne méritait même pas que je pense une seule seconde à me pointer à ce rendez-vous. Je voulais qu’elle sache ce que ça faisait, de ce sentir abandonné, ou alors essayer de lui faire comprendre, si seulement elle pouvait ressentir quelque chose… Sauf que je me demandais aussi ce qu’elle pouvait bien me vouloir, après tout ce temps, peut-être même que cette scène avait tout simplement été un bon jeu d’acteur et que ce rendez-vous n'était qu’un piège. Plus rien ne me surprendrait maintenant. Elle a dû remarquer que j’étais entretenu, plus que la dernière fois qu’on s’était vu. Elle s’était toujours bien occupée d’elle, mais ce n’était pas mon cas, ça n’avait jamais été dans mes priorités mais aujourd’hui j’avais du temps et des ressources. J’avais même décidé de me laisser pousser la barbe, mais pas n’importe comment. Rares étaient les hommes qui avaient le temps de s’occuper de ce genre de chose de nos jours, c’était futile, c’était secondaire. Forcément, elle s’est rendu compte que j’avais quelque part où rester et peut-être espérait-elle que je l’apporte, elle et son groupe, aux ressources du mien. Elle était surement loin de se douter que nous n’étions que deux, mais il est vrai que nous étions bien installé, je n’avais encore jamais été aussi bien quelque part depuis le début de l’épidémie. Alors que la villa se dessine au loin, j’ai le sentiment de rentrer à la maison. Ce n’était pas la première fois que cela m’arrivait, c’était très agréable mais aussi très dangereux. Je ne devais pas m’habituer à tout ça, je ne devais pas prendre cet endroit pour ma maison. Aujourd’hui plus personne n’avait de maison, tout pouvait disparaître à tout moment…

J’essaye de ne plus penser à Rebekah durant toute la soirée mais c’était plus fort que moi, je me posais d’innombrables questions à son sujet. Je revoyais sans cesse notre altercation dans ma tête et j’essayais d’analyser chacune de ces paroles, chacun de ces gestes, mais Rebekah était et resterait -j’en étais convaincu depuis longtemps- une femme compliqué, ça rien n’y personne ne pourrait jamais rien n’y changer. Je le savais et c’est pourquoi je me disais que me pointer à ce rendez-vous était une très mauvaise idée. D’une manière ou d’une autre elle me surprendrait, que ce soit au final une mauvaise ou bonne surprise. Pour une fois, j’aurais aimé que Desmond soit bruyant et agaçant, mais non, ce soir il est parfaitement silencieux et calme. De nos deux côtés, la cueillette c’était montré plutôt bonne et comme à son habitude il avait trouvé quelque chose d’autre à ajouter au système de la villa. Je n’y comprenais rien du tout alors je le laissais faire, surtout que normalement j’appréciais le voir occupé et passionné, comme il pouvait l’être derrière son écran d’ordinateur avant. J’avais donc l’impression que la vie était de nouveau un peu plus normale. Je n’étais pas inconscient non plus, mais je profitais, tout simplement. Il est même dur de trouver le sommeil, ce soir-là, alors je finis par me lever et m’installer devant les baies vitrées du salon du deuxième étage. Depuis un moment nous n’avions plus à monter la garde, grâce à Desmond, mais cette nuit je n’avais rien de mieux à faire. Je pensais beaucoup trop et trouver le sommeil m’était donc impossible. Je ne savais pas comment j’allais survivre aux prochains jours, comment j’allais prendre une décision, puisque je changeais constamment d’avis. Je ne savais même pas si je devais en parler avec mon colocataire. En fait, je ne savais rien du tout, pour l’instant. « Bordel… » siffle-je doucement dans la pénombre. Rebekah avait toujours eu le don pour me jouer dans la tête et je n’arrivais pas à croire que c’était toujours d’actualité. Je n’avais passé que quelques minutes en sa présence, échangé qu’une dizaine de mots et pourtant j’étais déjà complètement perdu, tellement que cela me donnait mal au crâne…


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Dernière édition par Conrad Williamson le Lun 30 Jan - 4:08, édité 1 fois
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeSam 7 Jan - 11:52

Past is Past


 
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Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait proposé ce rendez vous. Elle  voulait peut-être se racheter de toutes les fois où elle lui avait fait du mal. Mais bon, surement que jamais elle n’arriverait a se racheter pour cela, ou peut-être qu’il s’en fichait totalement d’elle maintenant. Peut-être que ce drôle de lien qui les unissaient avait voler en éclat la dernière fois, endommager toujours un peu plus a chaque fois qu’elle partait. Elle avait fini de le casser en s’en allant l’autre fois. Sur le chemin du retour pour rejoindre Bodie elle se posa toutes ces questions. Elle ne savait pas vraiment pourquoi mais en faite cela lui tournait en boucle dans la tête. Pourtant elle avait toujours fait en sorte de ne pas s’attacher a qui que ce soit…Enfin de ne pas se l’avouer. Mais en réalité en s’attachant a Graham puis a Alixen elle avait compris que ca ne servait a rien de se mentir. Elle se voilait la face depuis très, trop longtemps même. Elle était attacher a Conrad, et elle pouvait le nié autant qu’elle le voulait, ca ne changerait pas. Il la hanté, chaque fois elle faisait en sorte de ne pas y penser, mais depuis tout ce temps, il était le seul vers qui elle était sans cesse revenue. Il était le seul homme qui lui avait fait ressentir plus de chose que n’importe qui. Même juste quand il la regardait elle avait l’impression qu’il se passait quelque chose. Elle se savait jolie, elle savait que tout le monde le pensait, mais dans les yeux de Conrad elle avait l’impression d’être la femme la plus belle du monde, quand il la regardait elle avait l’impression de pouvoir tout réussir. Et combien de fois elle s’était sentie en sécurité dans ses bras ou juste rien qu’en étant a coté de lui. Il fallait qu’elle arrête de le nié, elle ressentait quelque chose pour lui. Elle ne savait pas quoi, mais c’était bel et bien là.  Et lui ? Es ce qu’il ressentait quelque  chose pour elle ? Autre chose que de la haine ou de la colère ? Elle l’espérait.
En rentrant dans Bodie elle soupira doucement en remettant ce qu’il avait trouvé a la personne qui les avaient envoyer en raid. Elle en avait un peu marre d’être sous les ordres d’un pseudo chef.  Elle en avait marre de cette vie, mais en même temps elle n’avait pas envie de retourner vagabonder chaque jour sans but précis.  C’est ce qu’elle faisait un peu depuis le début de sa vie, elle en était lassée. Elle n’avait même pas l’impression d’être une survivante de l’apocalypse, le monde avait juste un peu changé autour d’elle,  elle avait au final toujours était une survivante. Elle avait toujours survécu en baignant dans le sang, les larmes, les trippes, la souffrance et la noirceur de l’être humain. Elle n’avait jamais cru en l’être humain, jamais cru en Dieu, jamais cru en la technologie. En faite Rebekah ne croyait en rien, pas même en elle.  Surtout pas en elle, elle se savait perfide, indigne de confiance, incapable d’être loyale. Elle était égoïste et le savait parfaitement. Mais  elle avait appris a vivre avec, et maintenant elle était une très bonne comédienne. Elle passait pour la jeune femme pleine d’assurance qu’elle était loin d’être.  Une fois qu’elle eu remit ce qu’elle avait trouvé, elle rentra dans sa cabane et se laissa tomber dos sur son lit. Certaine personne aurait dormie a sa place, mais elle, elle se contentait de regarder le plafond et de penser. Elle repenser a son entrevue avec Conrad. Il avait semblait tellement froid, et méfiant, il avait semblait en colère, et déçut aussi. Déçut par elle surement…Enfin qui ne le serait pas ? Elle l’avait trouvé changer, mais le changement lui allait bien, tant physiquement que mentalement.  Elle ne dormie pas cette nuit là, comme presque toute les autres. De toute façon comme elle ne se sentait pas en sécurité ici, elle ne dormait que d’un œil les rares nuits où elle dormait. Elle passa la nuit à penser, à penser à lui et se demander s’il viendrait. Et si elle, elle irait aussi. Le lendemain elle alla se baigner dans la rivière, elle n’avait pas de raid de prévue, donc elle en profitait pour trainer un peu dans le camp et surtout s’occuper un peu d’elle. Si elle ne le faisait pas, qui le ferait ?  Elle avait l’habitude de s’occuper d’elle-même car elle était depuis bien longtemps la seule à le faire.  Elle ne dormi qu’un peu la nuit suivante, sa tête était remplie de bien trop de question pour la faire dormir correctement.  
Le jour J elle prit un instant pour réfléchir, y aller ? Ou ne pas y aller ? Ce serait ridicule de ne pas y aller alors que c’était elle qui avait donné le rendez-vous. Mais lui, viendrait-il ? Elle ne saurait pas si elle n’y aller pas. Et elle avait besoin d’être fixé sur ce point. Elle prit donc de quoi manger  et boire, le mit dans son sac a dos. Et elle alla ensuite chercher le ballon de Football américain signé par Montana qu’elle avait mit sous son lit. Elle l’avait trouvé il y a longtemps et avait sentie le besoin de le prendre, comme pour se souvenir de lui. Elle avait décidé de lui donner.   Elle mit le ballon dans son sac a dos, chargea son arme et aiguisa rapidement son couteau avant de partir. Elle sortie assez discrètement du camp, sans prévenir personne, elle n’avait pas envie d’être suivie. Elle n’avait pas envie qu’on sache ou elle était, elle voulait être seule, elle aimait conserver ses petit secret. Après tout Rebekah avait toujours était un mystère ambulant. Une fois rendu au point de rendez-vous, elle ne fut même pas surprise de ne pas voir le brun. Elle s’installa contre un arme et se mit a regarder autour d’elle, guéter sa venue. C’était assez étrange d’être la première arriver, normalement elle était toujours la dernière arriver aux rendez-vous, parfois elle faisait même exprès d’arriver en retard pour se faire désiré. Elle adorait cela. Mais aujourd’hui c’était elle la première et elle n’aimait pas vraiment la sensation que cela procuré. Elle se leva d’un bond quand elle entendit du bruit dans les fourrés.   «Conrad ? »  Dit-elle en s’approchant doucement de là d’où provenait le bruit. Elle avait sortie son couteau bien sur au cas où. Elle soupira en voyant un rôdeur sortir du bois et grogné en se précipitant comme il pouvait sur elle. Elle le tua sans vraiment de problème en soupirant doucement. «Non…Evidement… »  Souffla-t-elle un peu pour elle-même. Elle sursauta en relevant les yeux, elle avait en face d’elle…Elle-même. Encore une de ses maudites hallucination,  signe qu’elle était surement cinglé «  Tu t’attends a quoi ? Il ne viendra pas, après tous ce que tu lui a fait, il serait fou de ne pas te le faire payer » La brune secoua la tête. C’était assez effrayant de savoir en face de soit.   «Tait toi. Tu dis n’importe quoi ! T’es même pas réelle, c’est dans ma tête !» Dit elle doucement. « On verra bien ! » dit son autre elle en face d’elle, avec ce petit sourire en coin qu’elle avait quand elle était amusée.  Rebekah se rendit compte qu’elle pouvait être vraiment agaçante des fois en faite.  Elle aurait bien tiré une balle dans la tête de son hallucination, dans sa propre tête, mais ce serait gâcher une  balle inutilement.   Elle attendit toute la journée, a force d’ignoré son hallucination, celle-ci avait fini par disparaitre. Quand le jour commençait a décliné, Rebekah se dit que finalement il ne viendrait pas. C’était douloureux mais elle devrait s’y faire, il la détestée, elle le méritait après tout.  Elle se décida donc à partir. Elle réuni ses affaires et remis le ballon dans son sac. Elle l’avait sortie pour jouer un peu avec. Finalement sa conscience avait totalement raison… Il ne viendrait pas…  
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMar 31 Jan - 1:01


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Ces deux derniers jours avaient été longs, trop longs, et maintenant que le temps était arrivé de partir ou de rester, je n’avais toujours pas pris une décision. Ça ne me surprenait pas vraiment au final, ça avait toujours été compliqué avec Rebekah. Même avant que cela devienne ambigu, certes il était clair qu’elle me détestait et que du coup c’était réciproque, mais je n’avais jamais vraiment compris pourquoi à la base elle avait commencé cette guerre. Je ne lui avais jamais rien fait avant ça, je vivais tranquillement ma vie. Finalement, c’était peut-être juste la brune qui était compliqué, rien qui la reliait de loin ou de près ne pouvait donc être simple. Seulement, après tout ça, j’avoue que je n’avais plus du tout envie de jouer, j’avais envie que ce soit clair, net et précis. D’un côté je me dis que ne pas y allez est donc la meilleure option qui s’offre à moi, puisque si je veux du simple et bien il était préférable que je coupe les ponts avec ce que je jugeais être la personne la plus compliqué que je n’avais jamais rencontré et ce qui avait rendu, par la même occasion, ma vie compliqué à son tour et cela pendant des années. Sauf que si je n’y allais pas, ça restait quelque chose qui n’était pas conclu, le chapitre n’était pas terminé et on pouvait fermer le livre avec nos mains mais jamais avec notre esprit. Je savais que si je n’arrangeais pas tout ça, ça allait me travailler encore longtemps. Il y avait des points positifs et des points négatifs dans chacune des routes que je pouvais prendre et rien ne me paraissait moins positif ou moins négatif au final. Rien ne me paraissait être la bonne chose à faire. J’aurais bien voulu en parler avec quelqu’un mais il n’y avait personne ici pour me conseiller, il n’y avait que Desmond et Desmond… eh bien, il avait son domaine, et ce n’était absolument pas celui des relations humaines. Non, ça c’était le mien normalement… C’était dans ces moments que ma mère me manquait le plus, que je me rendais compte à quel point j'avais toujours été dépendant d’elle. Elle avait toujours les mots pour me redonner le sourire, elle savait toujours ce qui était le mieux à faire, dans toutes les situations. Après tout ce temps passé avec elle j’aurais dû apprendre, mais non. À chaque fois que je me demandais ce qu’elle aurait fait, ce qu’elle m’aurait dit, tout ce que j’entendais c’était le vide.

Je me pince la lèvre, penche la tête et passe une main sur mon visage pour essuyer les larmes qui s’étaient mise à couler. Quel gamin je faisais, toujours à chialer sur mon pauvre sort. J’étais un homme aujourd’hui et depuis longtemps maintenant, mais j’avais toujours besoin de ma mère. Le pire dans tout ça c’est que cette situation était tellement stupide, pleurer pour de tels conneries me paraissaient être totalement futile, après tout ce que j’avais vu, après tout ce que j’avais dû faire et après tout ce que j’avais perdu. Je renifle alors et me ressaisit, redressant les épaules et la tête. Je reste un moment silencieux, j’essaye de me vider la tête et je me lève enfin. C’était la deuxième nuit que je passais devant ces bais vitrés, alors que j’avais repris un rythme de sommeil plutôt acceptable depuis Yosemite et maintenant nous avions la villa, de bons matelas et des couvertures. Je devais être cernés et avoir une sale gueule, mais tant pis, ce n’est pas comme si je pouvais cacher quoi que ce soit à Rebekah de toute manière, elle obtenait toujours tout ce qu’elle voulait. Si je restais dans cette optique, je ne devais pas sortir d’ici aujourd’hui, mais il me fallait des réponses. Je voulais savoir pourquoi elle s’était enfuie, pourquoi elle s’enfuyait toujours, pourquoi elle ne pouvait pas rester une seule nuit avec moi mais que ce groupe et ce Graham, eux, étaient assez bien. C’était d’autant plus difficile lorsque je me rendais compte que ça me rappelais Aileen. Qu’est que je faisais de mal, putain ? Au final, je prenais toujours soins des autres, beaucoup trop, je me négligeais et du coup ça devait sembler acceptable qu’elles le fassent aussi en retour, j’imagine. En tout cas, c’était fini, le temps où je me pliais en quatre pour des gens qui ne bougeaient même pas le petit doigt pour moi. Aujourd’hui le monde avait changé et je commençais à le comprendre. Finalement, il m’en aura fallu du temps pour comprendre.

J’avais donc décidé de m’y rendre. Finalement et à la dernière minute. J’essayais de ne plus trop y penser maintenant puisque je savais qu’il serait facile que je change encore d’avis. J’avais vraiment passé trop de temps avec la brune, je commençais à devenir compliqué moi aussi. Je nous prépare un petit déjeuné acceptable avec ce que nous avions et j’agis le plus normalement possible devant Desmond, je n’avais pas envie qu’il me pose des questions, il me mélangerait encore un peu plus. Je prends ensuite une rapide douche, sachant que l’eau de nous n’était pas illimitée encore et je m’assure même que ma barbe était bien ajustée. Peut-être que c’était con de faire tout ça, puisqu’elle devinerait certainement que j’avais quelque part où allez, des ressources et tout ça, vu que j’avais plutôt bonne mine si nous éliminions les cernes, et je n’étais toujours pas certains que ce n’était pas un piège… Sauf que d’un autre côté, j’avais envie de lui montrer que je m’en sortais parfaitement bien sans elle. J’enfile des vêtements propres et je vais ensuite avertir Desmond que je sortais et qu’il ne fallait pas m’attendre. Bien entendu, ça ne lui plaît pas et cela me retarde un peu. Je voulais arriver assez tôt, puisque je voulais être le premier à arriver. Je voulais m’assurer qu’elle était venu seule, qu’elle n’installait pas de piège ou quoi que ce soit. Il me fallait être prudent, j’aimais cet endroit et je ne voulais absolument pas mettre en danger Desmond qui était tout ce qui me restait et qui était le seul qui ne m’avait encore jamais abandonné. « Je vais pas voir Aileen putain, arrête ! Quand j’vais à Yosemite je te le dis. Là j’vais faire des courses et t’es occupé sur ton… je-sais-quoi… En plus il faut quelqu’un qui garde la villa, on a trop bossé… Enfin, tu as trop bossé sur cette baraque pour qu’elle nous file entre les doigts. Tu ferras attention, d’accord ? » J’étais donc partit de la villa avec un sac, de quoi manger et de quoi boire, ainsi qu’une petite liste de chose à chercher. Pour arriver le premier on repassera… Je prends donc un autre chemin, je préférais tout de suite faire les courses, alors qu’il faisait encore clair. M’aventurer en terrain inconnu la nuit était une très mauvaise idée. Une fois que j’ai amassé assez de choses pour être plus ou moins crédible, je me mets en route vers le point de rendez-vous. Alors que je m’en approchais dangereusement, je sors mon hache et je fais mon possible pour être le plus silencieux possible. Je finis par voir au loin Rebekah, assise au pied d’un arbre. Je tourne autour d’elle à une distance plus qu’acceptable, je vérifie le périmètre, tout me paraissait être sous contrôle. Elle était là depuis longtemps ? Je fronce les sourcils alors que je m’approche un peu d’elle. Elle tenait un ballon de football ? Je secoue de la tête et une fois que je me retrouve derrière elle, je grimpe dans un gros arbre à quelques mètres d’elle. Je voulais m’assurer une dernière fois qu’elle était seule, même si je ne pouvais en être totalement sûr… Il commençait à faire noir par ici et je voyais de moins en moins bien. Je redescends mais m’arrête dans mon élan lorsque je vois que Rebekah ramasse ces affaires. J’attends alors un peu, descend doucement et me laisse enfin tombé au moment propice. « C’est quoi ce ballon ? » demande-je alors, sans lui dire bonjour et sur un ton froid, un sourcil légèrement haussé. Je serre ma hache malgré-moi, sentant mon cœur s’emballer. Ça me stressais, tout ça, je ne savais pas à quoi m’attendre et il n’y avait rien qui m’énervait plus que cela.


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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeDim 12 Fév - 18:16

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Elle avait attendu presque toute la journée, et il n’était pas venue. Il lui avait posé un lapin. Et voila maintenant elle savait ce que cela faisait d’attendre en vain une personne qui ne viendrait pas.  Elle avait souvent posé des lapins quand le monde tourné encore bien, sans jamais savoir ce que cela faisait.  Voila, maintenant elle savait ce que c’était d’attendre, de guetter la personne… Une personne qui ne viendra jamais, et qu’on a pourtant envie plus que jamais de voir. Pourquoi avait-elle autant envie de voir Conrad ? C’était toujours une question qu’elle se posait, enfin un jour elle aurait peut-être la réponse a tout cela.  Bien sur c’était assez superficiel comme question, mais elle avait besoin de cette réponse. Elle voulait au moins la réponse a cette question aussi simple, car elle savait qu’elle n’aurait jamais certaine réponses a des questions peut-être un peu plus existentielle. Et elle avait horreur de ne pas savoir. Elle soupira quand elle vit que le jour commençait a décliné.  Elle avait parfaitement compris, il ne viendrait pas, alors pourquoi attendre encore ? Elle venait de comprendre qu’il la détestait vraiment maintenant, et cela lui brisé le cœur… Oui oui car mine de rien elle en avait un. Un, qui même si elle le nié, battait pour l’ancien Quater Back.  Elle remballa ses affaires et se releva. Elle allait rentrer au camp  la peine dans l’âme. D’ailleurs elle était en train de retenir ses larmes. C’est fou, elle n’avait pas pleuré depuis la mort de son père, même pas a une seule fois depuis le début de tout ce merdier. Et là, une prise de conscience a cause de Conrad et la voila qui avait envie de chialer comme une gosse. Il faut croire que Conrad la chamboulait toujours autant depuis toute ses années, même quand il n’était pas là il arrivait a lui faire du mal. Et le pire c’est que cette fois, elle ne pourrait pas lui en faire en retour, car elle ne savait même pas où il était. Elle savait en revanche qu’il était en vie. Enfin elle préférait se dire qu’il était en vie, elle ne le savait pas vraiment, mais elle ne voulait pas l’imaginer mort.  Elle avait commencé a marcher en direction de son camp, lâchant même une petite larme, quand elle entendit un bruit derrière elle. Surement un rôdeur, elle s’en fichait de toute façon, elle ne prit donc pas le temps de s’arrêter et se tourner pour regarder dans son dos.  Jusqu'à la voix qui retentie derrière elle, Sa voix. Elle se figea et souri heureuse de l’entendre. Il était finalement venue, il ne la détestait peut-être pas tant que cela.  Elle essuya rapidement la larme qui coulait le long de sa joue, et se mordit la lèvre inférieure doucement avant de se tourner. Elle avait hésité un instant a se tourné, se disant que c’était peut-être encore une fois sa tête qui lui jouait un tour. Mais en faite non, elle était sur que c’était lui, vue la question qu’il lui avait posé. Il n’y avait vraiment que lui pour s’intéresser encore a un ballon alors que le monde autour d’eux par en cacahuète.
Elle se tourna doucement, un immense sourire aux lèvres. Un sourire heureux, un sourire qu’il ne lui connaissait surement pas d’ailleurs.   « Tu es venue.»Souffla-t-elle presque pour elle-même. Puis elle ouvrit son sac qu’elle tenait encore dans la main et en sortie le ballon. Elle laissa tomber le sac au sol et lança le ballon au brun.  Peut-être que cela lui rappellerait de bon souvenir.   «Il est pour toi. Regarde ce qu’il y a dessus» Dit elle en souriant. Elle savait qu’il était fan de Montana, et bingo c’était lui qui avait signé le ballon. Elle avait toujours tout fait pour le garder en bon état, car elle savait que cela plairait au brun. C’était inutile comme objet de nos jours, mais ca avait une valeur sentimentale. Et donc c’était aussi important, car malgré tout cela, il fallait quand même que les gens se souviennent qu’ils étaient humains.  Et elle voulait voir le brun sourire, comme si cela rachèterait toute les fois où elle l’avait blessé.  Elle n’osa ensuite plus vraiment bouger, comme par peur que si ce soit vraiment une illusion. Une belle illusion bien travailler, et que si elle faisait un mouvement il disparaitrait.   «Je… Je suis contente que tu sois venue»Dit elle doucement pour briser le silence qui s’était installé entre eux.  Elle se sentait affreusement ridicule. Elle avait fixé un rendez vous a Conrad, et maintenant qu’ils y étaient, elle ne savait plus quoi dire ou faire. D’habitude elle compté sur les autres pour meublé un peu la conversation et le déroulement de la soirée. C’était rare qu’elle fixe elle les rendez-vous et qu’elle décide de leurs déroulements. Rare que ce soit elle qui engage la conversation. C’était une grande première pour elle.
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMer 8 Mar - 5:12


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Rebekah avec un ballon de football entre les mains. On aura tout vu ! J’attends patiemment que la brune se retourne et je suis encore un peu plus surpris en voyant le sourire qui étirait ces lèvres. Un grand sourire qui semblait, ma parole, sincère. Qui l’avait cogné sur la tête celle-là ? Je suis, donc, encore un peu plus perplexe, en oubliant presque le ballon. Il y a encore quelques minutes, elle paraissait plutôt triste, voire, ennuyée. J’ai de la difficulté à me dire que c’est ma présence qui la rend aussi heureuse, mais il n’y avait pas tellement d’autres possibilités. Alors maintenant que je dois me dire que c’est grâce à moi, cette mine joyeuse qui était presque une grimace sur ce visage si souvent glaciale, je commence à me dire qu’elle complote peut-être quelque chose, finalement, et qu’en venant je venais de tomber dans son piège. Mon cœur s’emballe donc d’avantage. Trop perdu dans mes pensées et dans mes réflexions, je peine à attraper le ballon qu’elle me lance de ma main libre. Cette texture me semblait si familière et si lointaine à la fois. Je baisse les yeux sur celui-ci, je le fais tourner d’une main habile et je vois l’écriture qui y est inscrit ; c’était une signature, pour être plus exacte, et pas celle de n’importe qui ; celle de mon joueur préféré, celui pour qui j’étais prêt à foncer dans la télé pour attraper le ballon qui y volait quand j’avais deux ans, alors que je portais en jolie robe son chandail de football, cadeau de mon grand-père. Je ne savais pas quoi en penser. Si je devais lui lancer par la tête ou la remercier. Elle s’en souvenait, même après tout ce temps ? Comment ça se pouvait ? Avant, on ne parlait que très peu de nos vies respectives, et quand je lui en glissais quelques mots, elle me lançait un mhh désintéressé, et alors là je savais que mes paroles étaient entré dans l’une de ces oreilles pour directement ressortir par l’autre et que je pourrais lui dire n’importe quoi, les plus grandes idioties, qu’elle répondrait toujours son inlassable mhh. Après, je me demandais pourquoi ce cadeau, elle essayait de se faire pardonner ? Elle essayait de m’acheter ? Pff. Pourtant, je n’arrive pas à le lui lancer par la tête, même si cette idée était tentante. Le football me paraissait venir d’une autre vie maintenant, pourtant cet objet était précieux à mes yeux, même si il me rappellera toujours Rebekah et même si il ne me servait plus à rien, qu’il devenait bibelot.

Alors je le garde en main, mais je ne la remercie pas pour autant. En réalité, je la regarde à nouveau seulement lorsqu’elle m’adresse une nouvelle fois la parole, et à ce moment, je sais parfaitement comment réagir ; laissant un petit silence s’installer premièrement, je finis par rigoler. C’est assez discret, au début, puis je m’emballe. Cette situation me semblait tellement stupide, elle me semblait tellement stupide. Fausse. « Tu es contente ? Alors ça, c’est nouveau » répondis-je alors, toujours souriant, mais le mien était purement et simplement sarcastique. « C’est bizarre, moi qui pensait que le but c’était de te faire la malle quand je suis dans le coin. Je dois faire putain de peur. » Cette fois, mon sourire disparaît un peu, ma colère transparaît beaucoup plus, et j’avais raison d’être en colère, sauf que je ne l’étais pas seulement contre elle, je l’étais contre Aileen, je l’étais contre le monde entier. J’en avais marre qu’on se foute de ma gueule, j’en avais marre de ce petit jeu entre nous, j’en avais marre d’elle, d’essayer de la comprendre, d’essayer de savoir ce qu’elle veut, ce qu’elle cherche, de tourner autour du pot. Bordel de merde, qu’est-ce qu’elle cherchait ou juste ? Je n’avais plus de temps pour ça, aujourd’hui. « Qu’est que tu veux, Rebekah ? » Je lui craque presque son prénom à la figure, comme si il me brûlait la langue, comme si c’était pénible de ne prononcer, qu’il avait un goût amer et désagréable en bouche. « Pourquoi ce rendez-vous ? » Ça, c’était une putain de bonne question, c'était même la question, parce qu’elle ne fixait jamais de rendez-vous. Mais non, voyons, Rebekah elle secouait les hanches, cherchait les regards de qui était-là, attendait. Attendait qu’on se jette à ses pieds et qu’on la supplie. Qu’est qu’elle aimait ça, hein, qu’on se mette à genoux, qu’on se ridiculise, pour qu’elle puisse encore mieux nous rejeter par la suite. « Et pourquoi cet air débile ? Il est où ce petit sourire mesquin, ce froid regard que tu portais comme maquillage ? » En fait, je me demandais surtout qui elle était. Ça faisait tellement longtemps et elle avait visiblement changé. Je ne la reconnaissais qu’à peine. À croire qu’elle allait fondre en larmes. Elle avait de petit yeux ronds, elle ressemblait plus à une gamine qu’à autre chose. « Qu’est qui se passe ? Hein ? T’es pas heureuse avec ton Graham ? Tu penses que c’est mon problème, peut-être ? Tu as fait ton choix, Rebekah, et le monde à changer. Tu peux plus venir cogner à ma porte à chaque fois que tu t’ennuies. D’ailleurs, j’en ai même plus, de foutue porte ! » Mes jointures deviennent blanches, à force de serrer ma hache. Je n’avais pas l’intention de lui faire du mal, ça jamais, même après tout ce qu’elle avait fait, je ne savais tout simplement plus comment contenir ma rage, rage qui découlait uniquement de blessures qui avaient trop souvent été rouvertes et salées, de blessures qui ne pouvaient maintenant plus disparaître et qui me changeait doucement mais sûrement.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeVen 10 Mar - 20:51

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Il était venue, ca  voulait dire quelque chose. Enfin du moins aux yeux de Rebekah  ça voulait dire quelque chose. Ca pouvait très bien dire qu’il voulait la tuer, mais elle, elle préférait se dire que c’était parce qu’au final il ne la détester peut-être pas tant que cela. Ou peut-être qu’il ne la détestait pas du tout même ! « Ouvre les yeux Reb, tout le monde a part Graham et Alixen te déteste. Tu es détestable. C’est comme ca depuis toujours. »  Et voila, encore une fois, sa folie s’en mêler. Elle était apparut derrière Conrad et lui avait dit tout cela en lui lançant son sourire mesquin, moqueur, méchant mais qui lui donnait un charme. Le sourire de Rebekah quoi, le sourire dont elle seule avait le secret.  Et quand le brun ouvrit la bouche, les paroles de sa folie venait d’être vérifier, il était…Blessant ? Oui voila, il venait de lui foutre un coup en plein cœur rien qu’avec sept malheureux petits mots. C’est fou ce que les mots pouvait avoir du pouvoir, ca en avait parfois même plus que la violence.  Et elle en savait quelque chose, après tout la torture psychologique c’était son domaine, elle excellée  la dedans. Chacun de ses mots et de ses gestes étaient toujours réfléchis et calculé, tout était toujours prévu. Rebekah avait toujours une longueur d’avance sur tout, absolument tout.  Sauf cette fois, cette fois ci elle avait décidé de rien planifié, rien vouloir contrôle, se laisser aller au naturel. Et voila le travail, quand elle  voulait faire tomber les masques, c’était elle qui se retrouver blesser. Elle perdit donc vite son sourire   «En général on dit merci quand on est un minimum poli» Dit elle d’un ton qu’il lui connaissait peut-être un peu mieux.  Elle l’avait laissé déballer son sac, et chacun des mots du brun avait était un coup porté a son cœur. Heureusement que celui-ci était entouré d’une solide armure de diamant, sinon elle serait peut-être morte a l’heure qu’il est. Et pourtant elle avait parfaitement conscience que ca aller s’empiré. Elle savait qu’ils allaient se disputer. Il le faisait tout le temps, même pendant leurs moments les plus intimes ils leurs arriver de se battre comme deux gamins. Voila,c’était ce qu’ils étaient deux gamin.

Elle  croisa les bras et le regarda d’un air sombre.  Il voulait qu’elle remette son « maquillage » ? Très bien elle allait le faire. «Déjà j’pense que t’as du remarquer que le maquillage maintenant c’est obsolète !» Voila, elle avait envie de lui en coller une maintenant. Et dire qu’elle avait crut que ca pourrait bien se passer, que son cadeau aller lui faire plaisir, qu’il allait remarquer qu’elle s’était un peu ouverte, qu’elle avait changé.  Mais visiblement, il était resté bloquer sur le passer, et sur Graham… A croire qu’il était jaloux ! «Quoi t’es jaloux de mon meilleur ami maintenant ?» Elle explosa de rire. «  Oh la blague, t’es jaloux ? Non mais tu te fou de moi ou quoi ? Qu’es ce que ca peu te foutre avec qui j’reste ? On n’est pas mariée que je sache ! On n’est même pas en couple ! On a jamais était rien d’autre que des amants !  Et ta jamais exprimé l’envie d’être autre chose que mon amant ! Alors viens pas me faire des crises de jalousie a la con ! » Elle commençait a s’emporter, et  en plus,  son hallucination qui était morte de rire derrière le brun lui mettait encore plus les nerfs a vif. Elle avait presque envie de lui coller une balle dans la tête, dommage ce n’était qu’une hallucination, le fruit de son esprit malade. Elle se contenta donc d’essayer de l’ignorer et de se concentrer sur Conrad. Elle recula un peu en secouant la tête «  Ta raison, j’me demande bien ce que j’voulais. J’sais pas pourquoi j’ai penser que j’pouvais essayer de changer les truc entre nous… Que j’pouvais arrêter de fuir… D’avoir peur de moi quand j’suis avec toi…Peur de ce que j’ressent… J’sais pas pourquoi j’ai était assez conne pour penser que j’pouvais essayer… » Dit elle un peu triste pour le gout. On sentait dans sa voix qu’il y avait de la tristesse, du dégout et qu’elle était déçut.  
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeLun 20 Mar - 3:51


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Je pouffe de rire, un rire sec, forcé, qui exprimait tout sauf l’amusement ou le plaisir. C’était peut-être pour m’empêcher de lui cracher dessus, tellement elle me dégoûtait. C’est vrai, son cadeau m’avait un peu touché, parce que je n’aurais jamais cru qu’elle se rappellerait d’un tel détail, qui ne lui était aucunement utile, au final. Sauf que je n’allais certainement pas lui dire merci, ou lui montrer que ça m'avait fait quelque chose, parce que c’était son but, dans le fond, m’acheter. Je ne savais pas vraiment pourquoi, tout d’un coup, il lui prenait l’envie de se faire pardonner. Depuis quand elle en avait quelque chose à foutre de ce que je pouvais ressentir ? Depuis quand elle se souciait de la traînée de blessés qu’elle laissait derrière elle ? Sur laquelle elle marchait avec ces talons aiguilles en or comme si ce fut un tapis rouge déroulé rien que pour elle et c’est beaux petits pieds ? « Elle est bonne, celle-là. Comme si j’allais te laisser m'acheter vulgairement. » Il est vrai que ce n’était pas mon genre d’être aussi rancunier, que j’étais plutôt du genre je-m’en-fou-de-tout, que j’étais simple, que je voulais pas me casser la tête et que du coup je préférais passer l’éponge, mais c’était aujourd’hui différent, j’avais changé, et si elle me connaissait un tant soit peu avant, elle ne me connaissait plus du tout maintenant. Pourtant, je ne le jette toujours pas par terre, et d’ailleurs ça m’énerve de ne pas être capable de le faire. Dans un certain sens, Rebekah avait un peu gagné, sur ce coup-là.

En tout cas, ça n’aura pas pris longtemps à Rebekah avant de retrouver son caractère de merde, et bien qu’elle m’énerve autant qu’avec son petit air niais débile, je suis, bizarrement, soulagé de la retrouver. C’était, il faut dire, assez perturbant de la voir aussi vulnérable, elle n’avait jamais été comme ça, pas avec moi et avec personne, enfin que je sache. C’était tordu, j’imagine, mais je la préférais comme ça, même que je me dis que comme ça allait, j’allais surement perdre, parce que j’avais déjà envie de la prendre par la nuque, de sentir ces mèches brunes entre mes doigts, et de l’embrasser. J’imagine qu’elle m’avait plus manqué que je ne voulais me l’avouer. Sauf que je n’allais certainement pas faire ça, non, je ne me sentais pas d’abandonner aussi vite. De toute façon, je ne savais même pas ce qu’elle voulait. Alors j’arrête de fixer ces lèvres et j’essaye d’être un minimum attentif à ces répliques cinglantes qui ne me faisait plus grand-chose depuis le temps, c’était la routine avec la brune. Elle m’avait tellement insulté dans ma vie que ça avait fini par me glisser dessus comme de l’eau sur les plumes d’un canard. Je rigole un peu à nouveau lorsqu’elle parle de Graham, mais n’ajoute pas tout de suite quelque chose, la laissant finir et détournant un peu le regard, elle m’énervait tellement que mes jointures commençaient à me faire mal à force de serrer autant le manche de ma hache. « J’m’en fou de qui il est, et de pourquoi tu es avec lui, tu ne peux pas savoir à quel point j’en ai rien à foutre, de te petites histoires à la con. Moi c’qui m’intéresse c’est la putain de raison qui t’a poussé à me proposer ce rendez-vous ! » dis-je alors. Ce n’était pas tellement vrai, je ne m’en foutais pas. Je n’étais pas jaloux, seulement ça me blessait de voir qu’elle, tout comme Aileen, n’arrivait pas à m’endurer, après tout ce que j’avais fait pour elles. Il n’y avait que Desmond, qui restait avec moi, et c’était pour l’instant… Après tout, il m’avait menacé tellement de fois, à Yosemite, à propos de son départ et peut-être qu’un jour lui aussi il en aura marre de moi.

Ensuite, l’expression et l’attitude de la brune change un peu, elle semble un peu plus dans ces pensées, moins dans son sang qui bouille de rage vu mes provocations. Je fronce légèrement les sourcils, ne comprenant pas vraiment. Pourquoi arranger les choses ? Pourquoi maintenant ? Qu’est qui avait changé ? À quoi ça lui servait ? La seule chose à laquelle je pouvais penser, c’est qu’elle n’était pas bien avec son groupe, et c’était bien tant pis pour elle, parce que je ne la reprenais pas. De toute façon, Desmond n’allait surement pas apprécier une intrusion et comme il était la seule personne qui ne m’avait jamais laissé tomber, celui qui avait recollé les morceaux après qu’elle et Aileen m’est brisé pour de bon, et bien il était devenu ma priorité, et son bienêtre était bien plus important que celui de Rebekah, qui n’avait jamais, une seule seconde, pensé au mien. « T’as raison, t’es stupide, Rebekah. Tu crois qu’en m’apportant un jolie ballon, toutes les crases que tu m’as faite vont s’effacer comme par magie ? La dernière fois était de trop. » Je prends une petite pause, peut-être pour l’effet dramatique, ou pour m’empêcher de troquer mon masque de tueur en série pour celui du gamin à qui on a brisé le cœur. Il fallait que je respire, que je me ressaisisse, que je reste concentré sur l’objectif. « T’as jamais rien ressentit. J’ai toujours été qu’un bon coup. Comme tu l’as si bien dit, je n’ai jamais été autre chose que ton amant, et je vois vraiment pas pourquoi tu cherches à changer les choses, entre nous. Après tout, tu t’es trouvé quelqu’un d’autre et maintenant t’as plus besoin de moi quand tu te sens seule, parce que tu l’es plus, seule. » Je parlais plus calmement, comme elle, peut-être parce que je ne cherchais plus à la provoquer ou à la blesser, que je cherchais juste à lui dire les choses. « Moi aussi, je ne le suis plus, et j’ai finis de perdre mon temps avec des gens qui m’utilise et qui me jette après quand ils n’ont plus besoin de moi. » Peut-être que Desmond aussi, il m’utilisait, que quand il n’aurait plus besoin de moi il me jetterait comme tout le monde. Sauf que ces derniers temps, il avait plus pris soins de moi, à sa manière, que j’avais pu prendre soins de lui. À vrai dire, depuis qu’on c’était retrouvé, on prenait soins l’un de l’autre, alors qu’avant c’était plutôt moi qui l’avait pris sous mon aile. En tout cas, pour l’instant, il était là, pour l’instant, il prenait toujours soins de moi et je prenais toujours soins de lui, alors je n’avais pas besoin de me faire des scénarios.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeSam 25 Mar - 13:30

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Elle le regarda et rit un peu quand il parla de l’acheter. Non mais vraiment, si elle avait voulut l’acheter, elle aurait trouvé quelque chose de mieux. Quelque chose d’utile. Elle secoua ensuite la tête   «T’acheter ? Parce que toi tu achèterais quelqu’un avec une babiole alors qu’on est en pleine apocalypse ?  T’es vraiment très drôle toi ! Réfléchit si je voulais t’acheter j’aurais trouvé mieux qu’un ballon signé de la main de Montana ! »  Son ton avait était très neutre, même si elle avait rit amuser juste avant. Oui elle pouvait passer du rire à la neutralité en un battement de cils, et cela bien sur Conrad le savait parfaitement. Il savait qu’elle était plus ou moins une girouette a émotion, mais il ne savait pas a quel point l’apocalypse l’avait changée. Si tout le monde devenait mauvais et renfermer a cause de tout cela, elle ca avait était tout l’inverse. Avec tout ce qui se passait maintenant, elle avait compris qu’elle devait s’ouvrir au monde, a ses sentiments, car elle pouvait mourir à tout instant. Elle avait beau se convaincre qu’elle était invincible, elle était humaine, donc elle n’était pas invincible.

Elle le regarda ensuite, la tête très légèrement incliner. Il lui avait fait une crise de jalousie, mais maintenant il le nié.  Ca avait toujours était comme cela entre eux en faite. Ils ne supportaient pas d’être ensemble, mais ne supporter pas non plus de voir l’autre avec quelqu’un.  C’était une boucle infernal, se détester en s’aimant en même temps.  Ils se faisaient du mal, se battait, se hurler des horreurs, se faisait des coups bas. Mais indéniablement ils revenaient l’un vers l’autre. Et enfermer les ensemble dans une pièce et vous pourrez être sur qu’ils se jetteraient l’un sur l’autre. Entre eux c’était passionnel, peut-être un peu trop même.  Il voulait savoir  pourquoi elle avait proposé ce rendez vous ? Elle n’en était pas sur elle-même. Pourtant son corps se mit a avancer vers Conrad. Elle le fixa un instant. Elle se mit ensuite sur la pointe des pieds et alla l’embrasser passionnément en passant ses mains dans les cheveux du brun. Avant de se décoller doucement de lui et continuer  a le fixer doucement. «Je ne sais pas moi-même pourquoi j’ai voulut ce rendez-vous… Je suppose que c’est parce que tu me manque… Que je n’arrive pas à te sortir de ma tête depuis que je suis partie la dernière fois.  Que j’en ais marre de lutter contre le fais que j’ai envie d’être dans tes bras quand je suis avec toi… J’en ais marre de lutter contre moi-même…Contre mes sentiments. Et que j’veux plus te blesser ? » Souffla t elle doucement. Elle était toujours très proche de lui, leurs souffle se mêlait, leurs nez était a un millimètre l’un de l’autre.  Et les yeux de Rebekah était plongés dans ceux de Conrad. Elle était en train de se noyer dedans, même si elle savait qu’elle allait bientôt se faire rejeter.

Elle fini par reculer de son propre chef et prit les paroles de Conrad en plein cœur.  C’était donc cela qu’il pensait d’elle ? Donc sa folie avait peut-être raison au final. En faite elle n’était peut-être pas folle, elle était juste lucide. Trop lucide… Mais bon a quoi elle pouvait s’attendre, elle aurait elle aussi put parler un peu de ses sentiments a Conrad, ou ne plus lui faire de crasse. Arrêter plus tôt de l’abandonner. Elle aurait surement du comprendre tout ce que l’apocalypse lui avait fait comprendre plus tôt. Elle baissa doucement les yeux un peu tristes, prête à lâcher une larme. Mais secoua doucement la tête et la redressa pour le regarder. «Tu te trompe ! Je ressens des choses, crois le ou non j’ai des sentiments. » Elle soupira et recula a encore d’un pas.«J’ai voulus changer les choses entre nous, parce que j’ai réaliser, que Graham ou n’importe qui d’autre c’était pas toi. Personne n’est comme toi, j’suis aussi bien avec personne d’autre que toi.  Mais tant pis… J’aurais essayé. Tu as surement trouvé quelqu’un toi aussi.» Elle avait un peu le cœur brisé là. Mais bon elle l’avait cherché, combien de fois elle lui avait fait du mal ? Elle ne devait s’en prendre qu’à elle-même.  C’était tellement légitime qu’il la rejette. Elle aurait du s’y attendre, elle n’arrêté pas d’ailleurs de s’insulté silencieusement.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeSam 1 Avr - 4:36


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Je suis un peu déstabilisé, lorsqu’elle me dit que si elle avait voulu m’acheter, elle aurait trouvé quelque chose de bien mieux que ce ballon. Tout d’un coup, je me rends compte qu’elle ne me connait pas du tout, dans le fond, parce que si elle me connaissait, elle aurait su qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux comme objet, que ça faisait déjà son effet même si je faisais mon possible pour que ça ne soit pas le cas. Je voulais tellement qu’elle perde, je voulais tellement lui faire mal, comme elle l’avait fait tant de fois elle-même et si facilement. Le problème c’est que ce n’était pas aussi simple, pour moi. Je n’avais jamais été ce genre de personne, j’avais toujours été raisonnable, gentleman, j’avais toujours poussé la poussière sous le tapis, sans y faire vraiment attention, parce que c'était plus facile comme ça. Seulement, après un moment, il y avait tellement de choses glissées sous ce tapis que je m’y enfargeais constamment, que je ne pouvais plus l’ignorer. Je me renferme un peu, ne sachant pas trop quoi lui répondre pour le coup. Lui répondre c’était m’ouvrir un peu -même si je cherchais surtout, au contraire, à me protéger- et donc lui donner l’occasion de m’atteindre à nouveau, et j’étais fatigué qu’elle y arrive avec tant de facilité, de son côté, j’étais aussi simplement fatigué de saigner.

Malgré mes prochaines piques, Rebekah ne s’emporte plus autant, son attitude change à nouveau, semblant plus triste qu’en colère. C’était peut-être une facette d’elle à laquelle j’avais besoin de m’habituer, tout compte fait, puisqu’elle ne cessait pas de revenir, peu importe les efforts que je déployais pour qu’on se dispute. La brune s’avance même, et bien que ma tête me dit de faire un pas en arrière, de lui montrer que je n’étais pas d’accord, je reste immobile, je l’invite, je la laisse faire. Je ne réponds pas pour autant, en tout cas, pas au début. Un peu surpris, un peu en colère contre moi-même aussi, en colère d’être aussi faible, de toujours la laisser revenir, de toujours la laisser m’enfoncer ses lames dans l’estomac, celles qui m’empoisonnaient toujours un peu plus, qui me rendaient toujours plus amoureux, même si je me convainquais que ça n’avait rien à voir avec ça, que tout ce que je ressentais c’était de la haine, une haine pure et profonde, trop dégueulasse pour être nettoyée par de belles paroles, par des cuisses accueillantes, par de beaux yeux verts, sans savoir que je parlais ici là d’amour. J’ouvre finalement les lèvres, répond un peu, sans pouvoir m’en empêcher, lui pile presque sur les pieds même en essayant d’être un peu plus proche d’elle.

J’en voulais plus, beaucoup plus, mais avant d’avoir pu lui demander en posant mes mains sur elle, elle s'était arrêtée. C’était mise à parler. Ça aussi, c’était nouveau. On ne parlait jamais, avec Rebekah. La voilà pourtant qui déballait son sac, qui ne s’arrêtait plus. Elle finit même par s’éloigner, me dire qu’elle ressentait des choses, que je me trompais. Je ne savais pas si je devais y croire, mais je savais que j’avais déjà perdu, que j’avais perdu depuis qu’elle avait posé ces lèvres sur les miennes, que j’étais perdu depuis longtemps, une cause perdue. Je laisse le silence s’installer, puisque je n’avais rien à lui répondre, qu’inlassablement, mes yeux tombaient, fixaient ces lèvres desquelles je ressentais encore la chaleur, la douceur, malgré la femme à qui elles appartenaient, qui n’était fait que d’épines. De laquelle tu ne pouvais t’approcher sans te couper, et plus tu t’approchais, plus la plaie était profonde, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun avantage à reculer, puisque sans elle, sans cette épine qui t'empêchais de saigner à mort, t'avais encore plus mal. Alors je m’avance, le ballon et ma hache me glisse des mains, et rapidement l’espace qui nous séparait disparaît. Je laissais tomber ma garde, la lame atterrissait au sol, je laissais tomber tout, le ballon se tachait de terre. Mes mains n’en avaient plus rien à faire. Elles étaient assoiffés de sa chaire, de sa peau, d’elle. Elles se glissent déjà sous son vêtement, contre son dos frais que le vent frappait, alors que je lui demandais un nouveau baiser, et beaucoup d’autres baisers à venir. Peut-être qu’elle partirait ensuite, peut-être que j’y laisserais encore une partie de moi-même, peut-être que je ne comprenais pas ce qu’elle voulait mais peut-être que je ne voulais pas comprendre, que je voulais seulement me sentir proche d’elle à nouveau, peu importe le prix que cela me coûterait. La vie était trop courte, de toute façon.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeJeu 27 Avr - 12:19

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Elle s’était attendu a tout sauf cela. Au lieu de la repousser comme elle pensait qu’il le ferait, au contraire il semblait l’accueillir avec joie, et même en vouloir un peu plus.  Mais elle avait fini par reculer, par se dire que c’était mal. Elle n’avait pas le droit a ça, alors qu’elle l’avait abandonné encore et encore même dans les pires situations.  Elle n’avait le droit qu’à sa colère, et à rien d’autre que sa haine et son méprit.  Elle avait donc reculé, elle s’était presque excuser pour tout. Enfin, elle ne l’avait pas dit clairement, mais  Rebekah ne savait pas vraiment formuler des excuses, elle ne les disait qu’à demi-mots. Elle ne disait jamais rien vraiment clairement. Ce jeu qu’elle affectionnait avant, le fait que les autres doivent chercher a la comprendre, avait fini par devenir une habitude.  Une mauvaise, très mauvaise habitude, personne ne la comprenait vraiment, il faut dire qu’elle était très compliquer comme femme, même elle parfois n’arrivait pas vraiment a se comprendre.    Elle fut vraiment très surprise quand le brun revint vers elle. Elle crut d’abord qu’il allait lui mettre un coup de hache. L’achevé et mettre fin a tout ca. A cette histoire pleine de non dit et de chose non terminer. Mais non, il avait lâché sa hache et son ballon et l’avait attrapé pour l’embrasser. Un long frisson la traversa quand elle senti les mains du brun se glisser dans son dos, sous son haut. Elle ferma les yeux doucement et alla remettre une nouvelle fois ses mains sur la nuque du brun. Elle savoura le baise, c’était comme si elle sentait son cœur battre a nouveau. Ce baiser voulait dire qu’il accepter ses demi-excuses. Qu’il l’accepter a ses côté. Et pour la première fois depuis qu’elle l’avait quitté la dernière fois, elle  avait l’impression de respiré correctement.  

Mais encore une fois elle rompit le baiser, doucement cette fois, et sans reculer. Elle le regarda dans les yeux en lui souriant doucement avant de lever un peu la tête et voir que le ciel prenait des couleurs orangées. Le soleil allait se coucher. Elle se détacha doucement de lui en reculant et glissa une main dans celle du brun   « Viens. »  Dit-elle doucement avant de mettre une mèche de cheveux derrière son oreille et entrainer le brun avec elle un peu plus loin. Une fois dans une clairière où le ciel était bien dégagé, elle lui lâcha la main pour s’asseoir au sol. Dans son regard elle lui fit comprendre qu’elle voulait rester un moment ici avec lui.  C’était tout a fait inhabituel pour eux deux, normalement elle ne rester pas, elle n’était pas tendre avec lui, elle le regardait a peine. Mais là il allait comprendre qu’elle avait changée…En partie, bien sur Rebekah serait toujours Rebekah…Mais une version plus douce d’elle-même.   Elle leva les yeux pour observer le  ciel. Les couleurs orangé du ciel avait quelque chose de reposant, elle était détendu, elle était heureuse. Au final cette apocalypse avait quelque chose de bien. Elle avait ouvert Rebekah a ses sentiments.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeSam 6 Mai - 1:02


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Lorsque Rebekah recule doucement la tête, quitte mes lèvres, je fronce les sourcils et j’ouvre les yeux. Je me demandais ce qu’elle voulait. Ce n’était pas du tout habituel, normalement, elle se serait laissé allez, tout bonnement, ou alors elle m’aurait repoussé. La brune me sourit puis elle lève les yeux au ciel, ce qui me perturbe encore un peu plus. Qu’est qu’elle avait en tête ? Il m’était impossible de le savoir, elle était trop compliqué pour que je n’y comprenne quoi que ce soit et même avant c’était ainsi. Pourtant, cela ne m’empêchait pas de me poser des questions, de me questionner, d’essayer de comprendre, malgré le fait que j’étais tout à fait conscient que cela ne me mènerais nulle part. Elle restait tout contre moi et ces mains chaudes serraient toujours ma nuque, mais elle me refusait curieusement plus de baisers, pour le moment. Elle semblait profiter de l’instant, réfléchir, alors qu’on avait toujours été du genre à agir, agir rapidement et efficacement, suivre nos pulsions, nos instincts, sans ne jamais penser aux conséquences. C’était juste après qu’on y pensait, qu’on regrettait, c’était toujours trop tard. Je finis par me demander si c’est réellement une bonne idée, si je fais ce qui est le mieux pour moi. Je savais que pendant un moment j’allais me sentir bien, mais après coup, je savais bien -ou je pensais savoir- ce qui se passerait. Rebekah allait fuir comme toujours et je n’allais plus la revoir avant longtemps. Après coup, ça ferrais mal, parce qu’avec Rebekah, l’un n’allait pas sans l’autre. Elle ne donnait rien de bien sans le reprendre un jour ou l’autre, sans vengeance. Jamais rien n’était tout blanc, puisqu’elle se sentait forcé d’y balancer constamment un peu de peinture sombre, juste pour dire qu’elle était passée là.

Finalement, elle se détache un peu, puis elle attrape ma main, voulant apparemment m’apporter quelque part. Je ramasse rapidement ma hache mais je n’ai pas le temps de récupérer le ballon ; tant pis, je pourrais toujours revenir plus tard, et même qu’après je n’aurais peut-être même plus envie de le récupérer, une fois qu’elle m’aura de nouveau nourrit pour mieux m’affamer ensuite. Après tout, on ne s’était pas retrouver dans le même lit depuis des années maintenant, quelque chose que je n’avais jamais connu, la dernière fois c’était bien avant l’apocalypse et les rôdeurs… Bien qu’un peu septique, je la suis sans rien dire, curieux de ce qu’elle me réservait. Je suis surpris de la voir s’arrêter une fois que nous débouchons sur une clairière. Elle s’installe au sol et elle m’invite du regard. Pourquoi ici et pourquoi pas sauvagement contre un arbre ? Ça n’avait jamais eu d’importance, alors pourquoi ça en avait maintenant ? J’avais l’impression que c’était donc différent, beaucoup plus que de connecter, que d’entrer dans la peau de l’autre et de partager sa chaleur, de lui en offrir et de lui en voler. Je regarde autour de moi puis je finis par m’installer au sol comme elle me le demandait silencieusement, mais je n’y reste pas bien longtemps. Je me retrouve rapidement au-dessus d’elle, forçant ses cuisses à s’ouvrir en glissant mon bassin entre elles, comme si ça avait toujours été sa place. Je la fais s’étendre dans l’herbe et je pose mes deux mains au sol, de chaque côté de sa tête, l’une d’entre elle serrant toujours le manche de ma hache, comme si j’hésitais entre lui faire l’amour et lui faire la guerre. Je l’observe un instant, j’attends de voir que c’est toujours ce qu’elle veut, que c’est bien pour ça qu’elle m’a apporté ici. D’une façon ou d’une autre, ça finirait mal, alors peu importe. J’avais besoin de ma dose.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeDim 14 Mai - 12:19

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C’était tellement agréable, inhabituellement agréable. La légère brise lui caresser le visage et lui faisait virevolté les cheveux dans tout les sens. Une fois le brun assis dans l’herbe a côté d’elle, elle se permit de le lâcher des yeux. Ainsi elle put les poser sur le ciel, pour observer les couleurs orangé et rosé que le ciel prenait en déclinant peu a peu. Des teintes aussi belle qu’agréable a regarder. Avant elle n’avait jamais vraiment prit le temps de regarder un coucher de soleil, elle ne faisait pas vraiment attention a la nature, aux paysage. Elle était bien trop occupé a s’autodétruire, elle n’avait pas le temps pour autre chose. Et le fait que les mort se relever, et force l’humanité entière à vivre dehors comme des animaux, que l’apocalypse fasse redescendre l’homme de son piédestal, lui avait fait prendre conscience de tout ce qui l’entourait.  Lui faisant ainsi voir combien la nature pouvait être belle et paisible.  Elle était en pleine observation quand tout d’un coup, le brun se mit au dessus d’elle, la faisant ainsi s’allonger sur le sol. Elle posa les yeux dans ceux du brun et lui souri doucement. Elle avait vite compris ce qu’il avait en tête. Visiblement il n’avait pas vraiment envie de voir le coucher de soleil. Il avait plutôt envie de voir le corps de la brune.  Elle lui souri  et leva doucement une main pour la poser sur la joue du brun. Elle était un peu râpeuse a cause de la petite barbe rousse qui poussait sur la joue de cet homme qu’elle trouvait si beau.  Elle ne l’avait encore jamais vue avec la barbe avant, et elle trouvait que finalement ca lui allait bien.  Ca lui donnait un air viril, il avait l’air d’un vrai survivant. Elle releva ensuite la tête pour aller poser ses lèvres avec tendresse sur celles du brun. C’était doux, c’était agréable et ca lui avait mine de rien beaucoup manquer. Si elle avait eu avant un autre amant, Graham était bien, mais il ne l’avait jamais fait vibrer comme Conrad la faisait vibrer. Même avec un simple baiser ou une simple caresse  il la faisait vibré, il avait le dont de lui faire oublier tout ce qu’il y avait autour d’elle.

Sa main glissa de sa joue alors qu’elle l’embrassait sans discontinue.  Rapidement elle alla ouvrir la ceinture et le pantalon du brun. Elle savait ce qu’il voulait, elle l’avait parfaitement compris et ce n’était pas déplaisant comme envie, bien au contraire.  Vue où ils étaient complètement  a découvert, en proie a tout les rodeurs, elle savait que leurs affaire n’allait pas durer longtemps. Ils n’allaient pas prendre leurs temps.  Ca allait être rapide et efficace, mais comme toujours qu’il soit rapide ou pas, il allait la faire vibré. Il lui suffirait de fermer les yeux, de se laisser faire et elle savait qu’elle allait se sentir bien. Que la chaleur du corps de Conrad sur le sien allait lui donner un sentiment de sécurité absolu. Et si normalement après cela, elle attendait que le brun ferme les yeux pour partir, cette fois ca allait  être différent. Elle avait envie de rester avec lui. Elle avait envie de rester avec lui, de profité de sa présence, de toute la tendresse qu’il lui offrait. Elle n’en était pas a se dire qu’il était amoureux d’elle, mais il était tendre et doux avec elle. Elle ne dormirait pas, mais elle veillerait sur lui quand  il allait s’endormir.  Alors elle allait être tendre, douce et affectueuse. Il n’avait surement pas l’habitude de cela venant d’elle, elle qui normalement était sauvage et un peu brusque. Mais pas cette fois, elle devait lui montré qu’elle avait un peu changer. Qu’elle s’était ouverte.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeDim 21 Mai - 1:06


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Rebekah avait changé, je le voyais parfaitement maintenant. Je le voyais aussi avant, mais ça aurait toujours pu être un masque. Je ne sais pas dans quel but elle aurait fait ça, mais ce n'était pas du tout impossible. Sauf qu’elle ne semblait pas jouer, pour une fois. Oui parce qu’avec elle, tout était un jeu, finalement. Alors que j’étais au-dessus d’elle, la brune me sourit doucement et pose sa main sur ma joue qu’elle caresse. Si je n’en avais pas autant besoin, j’aurais surement flippé. Ce n’était pas son genre d’être tendre avec moi, elle ne l’était jamais, son plaisir dans la vie ça avait toujours été d’être, au contraire, dur avec moi et pour aucune raison valable, en plus de ça. C’était mon genre d’agir ainsi avec elle, d’être doux, mais elle avait toujours détester ça, parce qu’elle voulait, malgré à quel point on était proche physiquement, qu'il y aille en permanence se mur entre nous, qui nous séparait. Une certaine distance qui rendait le tout un peu plus froid, moins personnel. Sauf qu’aujourd’hui, ça l’était, personnel. Je ne m’étais jamais dit que Rebekah venait me voir parce qu’elle avait besoin de moi, je me disais plutôt qu’elle avait simplement besoin de quelqu’un et que j’étais là. Que c’était aussi simple que ça et qu’il ne fallait pas chercher une autre explication puisqu’il n’y en avait pas. C’était quelque chose qui venait de changer, et même si ça me semblait bizarre venant d’elle, je décide de simplement me laisser allez, de simplement cesser de me poser des questions. Était-ce vraiment important de savoir pourquoi elle agissait comme ça ? Pas vraiment. L’important, c’était ce qu’on partageait, là, maintenant. Elle m’avait tellement manqué et j’avais besoin d’elle. Je m’en rendais seulement compte lorsque je la voyais à nouveau, parce qu’avant ça, je décidais de faire comme si ça n’avait pas d’importance, comme si elle n’avait pas d’importance, mais c’était faux, tellement faux.

Je m’arrête définitivement de penser alors qu’elle pose enfin de nouveau ses lèvres contre les miennes. C’est doux, long et savoureux, comme si elle prenait son temps pour le faire bien, et elle ne s’arrête plus. Je décide de me concentrer sur ça et sur ça uniquement. Sa chaleur, son goût, l’appréhension et ce sentiment agréable qui grandissait au fond de ma cage thoracique. Les femmes. Il n’y avait que ça de vrai, et je ne pouvais pas m’en passer. Rebekah était la pire d’entre toutes, la plus addictive, puisqu’elle te faisait croire que ce qu’elle te donnait était unique, exceptionnel, et souvent inaccessible, parce qu’elle adorait se pavaner comme si elle était la plus délicieuse des friandises, qu’elle te faisait goûté pour mieux te le refuser ensuite. J’étais tellement en colère et pourtant je n’arrivais pas à lui dire non, moi, et pourtant, je glissais à nouveau mes mains sous son haut, dans son dos, alors que les siennes descendaient et s’attaquait aussi à mes vêtements en retour. Je me redresse et je me dépêche, voulant libérer la voie le plus rapidement possible. Je retire une seule de ses jambes de ses vêtements, puisque je n’étais pas assez patient pour l’autre. Ma main glisse sous sa cuisse jusqu’au creux de son genoux alors que je soulève celle-ci, puis je le pousse sur le côté, m’étendant à nouveau. Je rejoins ses lèvres desquelles j’étais déjà à nouveau assoiffé, reprenant ce que je faisais sous son haut, mais maintenant qu’il n’y avait plus d’attache qui empêchait mes mains de profiter de chaque parcelles de sa peau, tout était beaucoup plus simple. Je ne me demandais plus ce qui allait se passé ensuite, je ne me demandais plus ce qu’elle cherchait non plus, je ne pensais plus qu’à cette chaleur, sur le fait d’être aussi confortable, de me sentir autant à ma place, sans même y réfléchir, me demander ce que ça voulait dire, je laissais tout couler dans mes veines comme une drogue et je la laissait faire son effet, sans craindre la chute.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeLun 5 Juin - 0:57

Past is Past


 
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C’était tout eux ça. Entre la haine et l’amour, visiblement c’est finalement l’amour qui avait gagné…Ou plutôt comme toujours, c’était faire l’amour qui avait gagné. Ils finissaient toujours par coucher ensemble. C’était inexplicable, une force  qui les attiraient. Une force tellement forte qu’ils n’arrivaient  jamais a luté contre elle. Mais cette fois, ca avait une autre saveur.  Surement parce qu’ils avaient en quelque sorte inverser les rôles. Elle était la douce et lui le plus sauvage. Elle mettait une touche de délicatesse, alors que lui était plus bestiale. Hors, normalement c’était lui qui était doux, c’était lui qui faisait des caresses, des doux baisers. Lui qui rendait cet instant un peu moins sauvage et un peu plus romantique. Sauf que maintenant c’était elle qui avait l’âme romantique à cette heure ci. Bien que s’envoyer en l’air en pleine nature alors qu’un mort pouvait surgir de n’importe où et les dévoré, ça n’avait pas vraiment grand-chose de romantique.  Quoi qu’il en soit, ils allaient quand même s’unir ce soir, sous le couché du soleil. Elle se laissa faire, et ouvrit assez rapidement le pantalon de Conrad.  Il semblait plus impatient que jamais. Elle lui avait donc autant manqué que cela ? Non ce n’était surement pas elle en particulier qui lui avait manqué, c’était surement le corps et la chaleur d’une femme qui lui avait autant manqué. Elle connaissait son goût pour les relations charnelles. Elle savait parfaitement que c’était un véritable homme à femme. Il n’y avait qu’à le regarder pour le deviner. C’était un charmeur né, et il avait le charisme qui plait à toutes les femmes.  Il y en avait surement très peu qui lui avait résisté. Il n’avait peut-être même jamais essuyé un non, de toute sa vie.

Un long frisson parcourra tout son corps quand elle sentie les mains du brun se promener sous son haut. Il avait dégrafé son soutien gorge, ainsi il n’avait plus aucun obstacle sur sa peau, il était libre de la parcourir comme bon lui semble.  Elle fit doucement glisser le pantalon du brun jusqu'à ses genoux, pour le délesté de tout obstacle entre leurs deux corps. Elle voudrait lui enlever son haut, mais elle ne voulait pas qu’il ai froid.  Elle passa doucement ses mains sous le haut du brun une fois que son bas fut enlevé. Voila, elle était prête à l’accueillir comme il se doit. Elle commença même a légèrement lui griffer le dos. Il avait l’habitude, il savait qu’elle avait tendance a griffé, c’était une de ses mauvaise manie, mais qui signifier beaucoup sur le plaisir qu’elle éprouvait. Plus elle griffait fort, plus elle prenait du plaisir, c’était proportionnel. Il l’avait surement très vite compris. Il ne savait pas, mais c’était toujours lui qu’elle griffait le plus fort. Enfin il ne le saurait jamais, elle ne voulait pas qu’il le sache et prenne la grosse tête.  Un jour, peut-être qu’elle oserait lui avouer ce qu’elle ressentait pour lui, enfin avant cela, il fallait qu’elle arrête de se voiler la face. Surement que ce soir elle allait s’en rendre compte. Elle arrêterait de se mettre des œillères et qu’elle verrait qu’il était bien plus qu’un simple amant pour elle.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeJeu 15 Juin - 20:40


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C’était une très mauvaise idée, tout ça, et pour plusieurs raisons. On n’avait pas trouvé le meilleur endroit, déjà. Enfin, ce n’était pas comme si Rebekah et moi on ne s’était jamais envoyé en l’air quelque part où il aurait mieux fallu s’abstenir, même que c’était arrivé de nombreuses fois, mais les choses avaient changé. Si quelqu’un nous surprenait, ça ne risquait pas seulement d’être embarrassant, c’était dangereux, parce qu’on ne savait pas sur quel genre de malade on pouvait tomber, sans parler des rôdeurs. Ma hache était toujours tout prêt, abandonné dans l’herbe et contre les cheveux de Rebekah qui s’y étendait, mais ça restait imprudent. Ensuite, il n’y avait que le destin pour décider si oui ou non, cette bêtise allait en engendrer une autre… Comme si nous n’avions pas assez de problème comme ça, entre nous mais en général aussi. Le pire c’est que je m’en foutais, de ce risque, et la brune aussi, apparemment, vu comment ses cuisses m’accueillaient gentiment. Finalement, il y avait aussi tout ce qui allait succéder. Je savais qu’elle allait rapidement se rhabiller, ne même pas me remercier, et filer. Retourner dans ce stupide camp avec ce stupide Graham faire ses stupides affaires. On allait peut-être se revoir dans quelques mois, ou plus jamais, elle s’en fichait de toute manière, et elle me laisserait encore perdant -comme toujours- et un peu plus briser que la dernière fois. Sauf que c’était plus fort que moi, il fallait toujours que j’agisse avant de réfléchir, et peu importe combien de fois ça m’avait mis dans la merde, je ne changeais pas ! Alors je ne pouvais m’en prendre qu’à moi.

C’était finalement les quelques côtés positifs qui prenaient le dessus sur tout le reste. Je ne savais pas si ce petit moment de bonheur en valait vraiment la peine, finalement, mais j’avais visiblement l’intention d’en profiter au maximum et malgré tout. Comme moi, Rebekah se dépêche à dégager la voie, c’était peut-être de l’impatience ou parce qu’on était au milieu de nulle part et à découvert, ou un peu des deux, de toute façon je m’en fichais. L’important, c’est qu’on est rapidement tous les deux prêts pour la partie la plus amusante. Je l’embrasse encore un peu, sachant que bientôt nous n’allions plus avoir la tête à le faire correctement et je savais que ses lèvres ne m’étaient pas données éternellement. Rapidement, cela dit, l’une de mes mains quitte sa poitrine et se plaque contre le sol, mes doigts s’enfonçant dans la terre afin de ne pas perdre l’équilibre. C’était le moment de vérité, j’unis doucement nos deux corps qui s’harmonisent instinctivement, prêt l’un pour l’autre et habitués depuis le temps. C’était loin d’être la première fois qu’ils se retrouvaient, mais ce qui était différent cette fois c’est que la prochaine fois n’était pas promise, que ça pouvait très bien être la toute dernière fois. Il fallait bien qu’il y en aille une, non ? Même s’il n’y avait pas eu tout cela, nous n’aurions pas pu continuer ainsi pour toute la vie. Ça avait d’ailleurs beaucoup trop traîné, quand on y réfléchissait, sauf que je faisais tout sauf réfléchir en ce moment. En fait, ma tête était complètement dans les vapes, ensevelit par toutes les sensations qui me glissaient sur la peau. Je n’allais jamais en avoir assez de cette femme.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMar 27 Juin - 19:54

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Elle avait fermé les yeux quand il avait uni leurs deux corps. Cela faisait bien longtemps qu’elle ne l’avait pas sentie en elle. Bien longtemps qu’elle n’avait pas était sienne l’espace d’un instant. Une douce chaleur l’envahie, une sensation de douceur aussi, doux, un mot qui qualifier bien Conrad aux yeux de Rebekah. Doux parmi tant d’autre mots qui mit bout a bout révéler bien les sentiments qu’elle avait pour lui. Ca aurait put sauter aux yeux de n’importe qui, même d’un aveugle, mais les œillères qu’elle s’était mise était si épaisses qu’elle n’avait pas put le voir avant.   Mais maintenant elle le voyait, elle le voyait clairement.  Quand elle avait posé son regard dans celui du brun allonger au dessus d’elle, avant qu’elle ne lui donne sa permission d’aller plus loin, elle avait vue, elle avait sentie, elle avait compris. Elle avait eu des papillons dans le ventre, et elle n’avait pas essayé de les tuer un par un.   Elle s’était senti en sécurité prés de lui et n’avait pas ignoré ce sentiment. En faite pour une fois dans sa vie elle avait regardé ses sentiments dans les yeux, elle y avait fait face et surtout, elle avait mit un nom dessus. Elle avait arrêté de se chercher des excuses, des portes de sorties. Elle avait arrêté de fuir une bonne fois pour toute. Et au final ce n’était pas si désagréable. C’était même détendant, elle arrêtait de fuir, elle arrêter de faire semblant. Fini la comédie,  on fait tomber les masque et on assume. Oh bien sur elle ne lui dirait jamais, Rebekah n’en restait pas moins Rebekah. Elle avait beau s’être adoucie au fils de sa survie, elle était toujours la même. Après tout, garce un jour, garce toujours.  Quand leurs corps s’étaient uni, elle avait arrêté de penser, elle avait laissé son corps faire. Il avait l’habitude de celui du brun,  elle le connaissait par cœur. Enfin, elle le connaissait avant, maintenant il avait peut-être un peu changé, il avait peut-être des petites cicatrices ou des choses qui avait changé. Celui de Rebekah n’avait pas vraiment changer, elle avait toujours les mêmes cicatrices qu’il connaissait par cœur, les même tatouages qu’il connaissait aussi, elle devait surement être juste un peu plus maigre que d’habitude, mais ce n’était pas bien choquant. De toute façon elle n’avait jamais était vraiment très grosse. Pas de là a être en sous poids, mais elle était très loin d’être en surpoids.

Ca aurait put être beau, ca aurait put être romantique, torride, intense, passionné, mais non, ce n’était rien de tout cela. Pas parce qu’entre eux ce n’était jamais comme cela, bien au contraire, mais simplement car ce n’était pas vraiment un lieu ou un moment propice a cet acte. Au contraire, c’était  dangereux, totalement inconscient.  Et pourtant, encore une fois, ils n’avaient pas put résister a l’attraction qu’il y avait entre eux.  Constamment ils jouaient avec le feu quand ils étaient seuls tout les deux. Mais à force de se bruler ils y avaient surement prit goût. Oui, de tous ces amants, c’était Conrad le seul qui pouvait se venter d’être « de longue date ». S’ils avaient était encore dans un monde dit normal, ils n’auraient surement pas put continuer comme cela… Non, en faite même maintenant dans ce monde là ils ne pouvaient pas rester comme cela. Ca avait suffisamment duré. Alors, pendant qu’il  finissait de son coté alors qu’elle avait fini par monté au septième ciel, elle prit une décision. Une décision qui  aller marquer sa vie, et celle de Conrad surement aussi. Elle allait rester avec lui. Veillé sur lui, le protéger, le chérir, mais pas trop tout de même, ou pas ouvertement. Elle avait encore peur de montré ses sentiments, c’était une peur tellement encré en elle, qu’elle n’arriverait surement jamais à s’en défaire. En tout cas, elle allait rester avec lui, c’était décidé. Elle s’interdisait de revenir en arrière maintenant qu’elle avait fait ce choix.
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMer 5 Juil - 9:26


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J’aurais aimé que cela se passe ailleurs, sous de meilleurs conditions, j’aurais aimé avoir pu y allez plus doucement, qu’il n’y aille plus aucuns stupides bout de tissus entre nous, pour empêcher ma peau d’apprécier la sienne, pour empêcher sa chaleur de devenir aussi la mienne, simplement parce qu’elle m’avait manqué et que je savais qu’elle allait me manquer à nouveau une fois qu’elle serait partie, et qu’il m’était aujourd’hui impossible de l’appeler, de la rejoindre, de savoir où elle est, de savoir si elle va bien, si elle est en vie, si on va se revoir, si elle ne m’a toujours pas oublié… Sauf que nous n’avions pas le temps et que c’était surement le dernier des soucis de Rebekah, que je devais prendre ce qu’elle me donnait, comme toujours. Alors c’est à même le sol, contre ce lit d’herbe, que je la retrouve enfin, depuis tous ses mois. Je ne me gêne pas pour en profiter au maximum, pour apprécier chaque seconde, chaque baiser, chaque friction, chaque caresse, comme si il n’y en aurait plus jamais d’autre. Certes, j’avais connu la chaleur de d’autres femmes et surement allais-je partager le lit -ou peu importe- d’encore d’autres femmes dans le futur, mais ça n’avait rien de comparable avec ce que je ressentais avec Rebekah et je ne cherchais pas à trouver ce que c’était exactement, à mettre une étiquette sur cette sensation agréable et chaude, je me suffisais à l’apprécier tant qu’elle était là, même si elle venait et repartait constamment comme le faisait la brune. Je m’étais habitué à cela, mais jamais elle ne m’avait fait attendre aussi longtemps, jamais, et maintenant que je la retrouvais je me rendais compte à quel point j’en avais besoin, à quel point, au fil du temps, elle m’avait rendue accro et qu’il m’était aujourd’hui, donc, impossible de faire marche arrière…

Alors que je me laisse allez contre elle et que tout retombe tranquillement, je me sens tout d’un coup atrocement vide. J’ouvre les yeux et je perçois à peine l’herbe vu ses longues mèches brunes et l’ombre que je créais au sol. Je n’ose plus bouger, même pas afin de déboîter nos deux corps. Ma respiration n’avait toujours pas retrouvé un rythme régulier mais déjà l’euphorie me quittait et la méfiance, les inquiétudes reprenaient leur place, me tambourinaient le crâne. Je réalisais à quel point j’étais stupide et à quel point je n’aurais jamais dû faire ça, que ça n’en valait pas la peine, non pas cette fois, plus maintenant. Alors avant qu’elle ne le fasse, je me pousse et me redresse, afin d’être capable de rouler sur le côté. Soulevant mon bassin, j’enfile de nouveau mon jeans d’une façon rapide et fluide, comme si j’avais déjà prévu cette fin depuis le début, ce qui était un peu le cas. Je faisais seulement ce qui devait être fait ; inutile de me coller contre elle, de forcer et de faire s’étendre d’avantage ce sentiment de bien-être, jusqu’à ce qu’elle me pousse elle-même, ennuyée. Autrefois, c’est surement ce que j’aurais fait, parce que je n’avais pas de problème à ce qu’elle me repousse et qu’elle se barre, mais cette fois je savais que je n’aurais pas pu le supporter. C’est pourquoi je décide de m’éloigner le premier, de ne pas lui laisser le temps de faire quoi que ce soit, de dire quoi que ce soit. Ce n’était pas la peine, je savais déjà ce qu’elle avait à me dire ; merci et au revoir. C’était la routine, c’était la vie, c’était Rebekah, c’était nous, et cela depuis toujours. Si je ne l’avais toujours pas accepté, si je m’attendais à plus, c’était bien mon problème, ce n’était certainement pas le sien, puisque avant comme aujourd’hui, elle m’avait bien fait comprendre quel était ses intentions, quel était sa position. C’était à moi d’assumer mon choix ; avoir joué à ce jeux malgré les conséquences qu’il apportait et dont j’étais pleinement conscient.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeVen 21 Juil - 14:10

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Le brun avait fini de faire ce qu’il avait à faire, il avait fini de la faire vibrer. Comme toujours il resta un instant sans bouger, il faisait toujours cela, comme pour profité toujours un peu plus de la chaleur de la brune aux yeux verts. Parfois il essayait même d’avoir un peu d’affection de sa part, mais il se faisait rapidement repousser. Elle lui accordait bien assez d’affection pendant l’acte. Cependant, maintenant ca avait changé, elle avait évolué.  Fait quelque pas en avant, elle avait prit conscience que ses sentiments ne devait pas être caché, surtout maintenant qu’elle pouvait mourir dans les minutes qui suivent.  Mais elle n’avait rien fait pour lui montrer qu’elle avait autant changé, il n’était pas médium, il n’allait certainement pas savoir qu’elle avait choisi de rester avec lui. Il était surement a des kilomètre de deviner qu’elle ne l’aurait pas repoussé, qu’elle lui aurait surement donné un peu plus d’affection que d’habitude.  Alors il s’était lever, il avait roulé sur le coté et refermer son jean prêt a partir. Elle le regarda un instant avant de fermer a son tour son pantalon et le regarder un instant.  C’était donc cela l’effet que ca faisait de voir son amant partir après l’acte, sans un mot ? Elle n’aimait vraiment pas cela, mais pourtant elle ne s’en voulait pas d’avoir fait cela a beaucoup de monde. Sauf peut-être a Conrad maintenant qu’elle y pensait. Enfin, lui au moins elle attendait qu’il s’endorme, elle partait quand il n’était pas éveiller.  Comme cela il ne pouvait pas la retenir, elle ne voyait pas son regard quand elle partait,  elle ne le sentait pas peser sur elle. Si elle aimait qu’on la regarder, elle n’aimait pas vraiment ce regard blessé.   Elle se redressa un peu et referma son soutien gorge. Elle passa ensuite une main dans ses  cheveux bruns qui lui arrivait approximativement aux épaules. «  Tu t’en va ? » dit-elle d’un ton presque triste. Elle n’avait pas vraiment envie de le supplier de rester avec elle. Les supplications n’étaient pas vraiment son genre. Jamais vous ne l’entendrait supplier qui que ce soit. Même pour sauver sa propre vie elle ne le ferait pas. Elle avait beaucoup trop de fierté pour cela.

Elle le regardait avant de regarder le ciel. Elle n’avait pas vraiment envie de le regarder partir, s’il le voulait elle le laisserait faire, même si cela lui ferais sur mal, très mal même. Son égo en prendrait surement un gros coup, mais bon ce ne  serait qu’un retour de karma.  Elle le méritait d’ailleurs. Elle avait un karma tellement mauvais, elle savait que bientôt elle aurait un retour de ce dernier et qu’il ferait surement très mal.  Heureusement, elle  était pire que la peste, le choléra ou même le cancer, c’était trop dur de se débarrasser d’elle. Elle avait traversé beaucoup trop d’épreuve, elle se remettrait d’un abandon de la part de l’homme qu’elle n’avait jamais cessé d’abandonner avant toute cette merde.  Et puis, elle savait que de toute façon ils ne pouvaient pas continuer comme cela, surtout pas maintenant que la mort guettait tout le monde sans cesse.  Elle reposa ses grands yeux verts cerné sur lui. «  Reste avec moi… S’il te plait » dit-elle presque timidement. Elle avait presque  honte d’elle-même.  Mais par-dessus tout, elle avait envie de lui montrer qu’elle avait changer, qu’un petit peu certes, mais changer quand même.   Elle ferma ensuite les yeux, prête à accuser les moqueries, ou le sarcasme du brun. Elle savait qu’il se méfierait, et il avait raison, quoi qu’elle dise ou fasse, avec elle il fallait toujours se méfier. Elle était tellement imprévisible, fourbe et garce que même elle, elle arrivait elle-même à se surprendre ou se dégouter. Enfin après tout, personne ne la détester plus qu’elle ne se détestait elle-même.  Surtout qu’il devait avoir vite appris a ses dépends que rien n’était gratuit avec elle.  Qu’il y ait ou non « s’il te plait »  dans sa demande.  Même si pour une fois, elle n’avait pas d’idée derrière la tête. Pour une fois, elle n’attendait rien du brun, mis a part qu’il reste ne serait ce que cette nuit avec elle.  Même si demain il voulait s’en aller, elle le laisserait partir. Tant qu’il restait avec elle, juste cette nuit.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeVen 4 Aoû - 22:10


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Sans lui lancer un seul autre regard, j’avais roulé, m’étais redressé et j’avais renfilé mon pantalon. Il n’y avait rien à ajouter de toute façon. Je pensais qu’elle allait même se montrer reconnaissante du fait que je ne lui rendais pas la tâche plus difficile en résistant un peu pour une fois. J’avais appris ma leçon la dernière fois ; même le plus horrible des événements n’allait jamais changer ce qu’était réellement Rebekah er ce qu’on était ensemble. Ça avait peut-être évolué de mon côté, parce que je m’étais rendu compte de l’importance qu’elle avait pris dans ma vie au fil du temps mais je me rendais également compte du temps en lui-même, il était compté, il n’y aurait peut-être pas de lendemain et encore moins de lendemain avec la brune, c’est pourquoi j’avais pris conscience du fait que j’aurais voulu qu’elle reste, cette fois, dans ce stupide magasin de jouet, au moins pour dire au revoir, ce qu’elle n’avait même pas eu le courage de faire. Sauf que pour qu’une relation évolue il fallait que des deux côtés cela change et ce n’était visiblement pas le cas, ça n’allait jamais l’être, il n’y avait rien à faire et il était inutile d’espérer quoi que ce soit venant d’elle. Ça m’avait peut-être pris du temps et une apocalypse pour le comprendre mais c’était enfin fait. Alors qu’elle me demande si je m’en vais, je lui lance un regard par-dessus mon épaule, haussant un sourcil. « Doh » répondis-je premièrement, lui montrant que c’était évident et que sa question était stupide. « J’suis peut-être pas une flèche mais quand le ciel devient orange comme ça, c’est qu’il fera bientôt noir et j’ai de la route à faire. » J’avais déjà détourner le regard et je m’étais levé. Une fois sur pieds, je lisse mon t-shirt et je replace ma veste correctement sur mes épaules, me penchant ensuite pour récupérer ma hache, toujours dans l’herbe à sa gauche. C’est ensuite au tour de mon sac de retrouver mes épaules. J’en attrape une bretelle et m’apprête à le tirer vers moi lorsque la brune me fait m’arrêter dans mon élan. Pardon ?

Surpris, je laisse retomber mon sac au sol et je l’observe un moment, comme pour m’assurer que j’avais bien entendu et que ses mots étaient bien sortis de sa bouche, qu’ils venaient bien de Rebekah Fitzgerald. J’ai même le réflexe de regarder autour de nous pour m’assurer qu’il n’y avait personne d’autre. Qu’est qui lui prenait tout d’un coup ? Elle avait reçu un coup sur la tête ou quoi ? Depuis quand elle voulait que je ne lui fiche pas la paix après l’acte, ou même sans l’acte, si je me fiais à notre dernière rencontre ? Et depuis quand elle demandait ce qu’elle voulait au lieu de tout simplement le prendre ? Ma foi, depuis quand elle disait s’il te plaît ? « Et pour quoi faire ou juste ? Tu as peur du noir maintenant ? T’es pas capable de rentrer comme une grande fille à ton camp, ou peu importe où tu traînes la nuit ? » Ceci dit, j’attrape de nouveau la bretelle de mon sac et je le jette sur mon dos, glissant mon autre bras sous sa jumelle. Celles-ci en main, je tire contre elles et plaque mon sac contre mon dos, les serrant tout en baissant le regard sur elle. Ça n’avait rien d’habituel, tout ça. Rebekah me paraissait tellement vulnérable, tout d’un coup, tellement fragile. Peut-être qu’elle avait vu ou vécu des choses qui l’avaient changé à jamais, mais ça me paraissait bien improbable. Qu’est que Rebekah n’avait pas déjà vu ou vécu avant tout ça ? Si je me rappelais bien, elle m’avait même avoué se sentir dans son élément, de plus qu’elle avait toujours été assez froide, criant constamment haut et fort que rien ne pouvait l’atteindre. C’était surement faux, du moins c’est ce que je croyais avant, plus vraiment maintenant, mais dans tous les cas elle faisait tout pour qu’on y crois. Pourquoi laissait-elle tout tomber aujourd’hui ? Alors que c’était maintenant qu’il était temps de se montrer implacable ? Ça n’avait aucun sens, mais ce n’était pas comme si Rebekah n’en avait jamais eu, du sens. Elle trouvait toujours le moyen pour nous surprendre, commettre l'improbable, c’était la reine des imprévisibles et même encore aujourd’hui, elle me le prouvait en agissant de la dernière manière attendu venant d’elle.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeLun 7 Aoû - 15:36

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Elle n’aima pas vraiment la façon dont il lui répondit. En faite, elle n’aimait pas du tout la situation.  Elle n’aimait pas le fait qu’ils aient échangé les rôles.  Elle voulait plus, il n’attendait plus rien d’elle… Normalement c’était lui qui en voulait toujours plus, et elle qui se contenter du minimum. Normalement c’était elle qui partait, elle qui parler avec sarcasme. Elle qui se moquer un peu de lui dans ses paroles. Elle se redressa un peu plus et le regarda un peu moins tristement d’un coup. «C’est que monsieur prend du grade dit donc ! » Ne put-elle s’empêcher de répondre.  Elle n’aurait peut-être pas dut, mais s’ils se mettaient a se disputer peut être qu’il resterait du coup. Mais visiblement non, ca n’allait pas marcher, pas cette fois. Quand elle lui demanda de rester avec elle, elle essuya encore des sarcasmes. C’est bien, elle avait ce qu’elle méritait…Du moins ce qu’avant elle aurait mérité.  Ils s’étaient visiblement réveillés en même temps, mais pas de la même façon. Elle, elle avait prit conscience qu’elle devait arrêter ce petit jeux et s’ouvrir et lui. Et lui avait fini par comprendre qu’il ne fallait rien attendre d’elle…. Ils s’étaient rendu compte de cela trop tard, beaucoup trop tard.  Elle le laissa ramasser sa hache mais le retint par le poignet en se relevant.  Elle était maintenant face a lui, très proche de lui. Ses prunelles vertes et profondes se plongèrent dans celle toute aussi verte du quaterback et elle resta un instant silencieuse. Normalement elle plonger ses yeux dans ceux des hommes comme pour les envouter, mais cette fois, c’était plutôt pour qu’il voit que ce qu’elle allait lui dire était sincère. «Parce que je veux que tu reste… J’ai pas peur du noir, j’ai pas peur de rentrer toute seule… Je veux juste pas rentrer dans ce fichu camps… Je veux pas que ce soit la dernière fois qu’on se voit… Parce que soyons lucide c’est peut-être la dernière nuit sur cette terre de l’un de nous deux… Ou peut-être même de nous deux… Je pense que…» Elle baissa doucement les yeux une minute, comme pour prendre un grand bol d’air avant de dire ce qu’elle s’apprêtait a dire. Ce qu’elle n’avait jamais dit a aucun homme avant, et surtout ce qu’elle ne s’était jamais imaginer dire un jour. «Il faut qu’on ouvrent les yeux… Notre histoire ne peut pas se résumé a ça. On peu pas continuer comme cela… Je pense qu’on devrait arrêter de nous mentir… Surtout maintenant…» Elle l’avait presque chuchoté. Il l’entendait c’était certain, mais son ton s’était baisser, jamais elle ne parlait aussi doucement. C’était comme si elle n’avait pas envie de le monde autour d’eux entende  cela. Bien qu’il n’y ai personne autour d’eux. «Alors reste avec moi…S’il te plait…Même si ce n’est que pour cette nuit. » Dit elle un peu plus fort cette fois. Elle avait vraiment envie de mettre les choses a plat avec lui. Elle avait vraiment besoin de savoir si ce qu’elle ressentait était réciproque. Elle n’irait pas jusqu'à lui avouer ses sentiments, mais du moins elle allait les évoquer de façon subtile, comme elle le faisait toujours. Comme d’habitue avec elle il faudrait lire entre les lignes, mais ça le brun était habitué a le faire depuis le temps.  Elle lui lâcha le poignet quand elle se rendit compte qu’elle le tenait toujours. Et baissa doucement la tête comme prête a accusé sa réponse. S’il  en faisait de même, leurs front pourrait presque se toucher, leurs souffles presque se mélanger, alors que leurs cœurs avait déjà battu  a l’unisson peut de temps auparavant.
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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeMar 15 Aoû - 5:00


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Alors que je rassemblais mes choses, prêt à mettre les voiles, pensant faire ce que voulait la brune de toute manière, elle me surprend en me disant tout le contraire, en me demandant de rester, plutôt. C’était bien la première fois, elle qui avait l’habitude de toujours prendre la fuite. Tout d’un coup, elle changeait d’avis, elle me disait tout ce que j’attendais qu’elle me dise depuis si longtemps, depuis tellement longtemps que j’avais eu le temps d’oublier complètement que je désirais entendre ses mots plus que tout, ou peut-être que j’avais tout simplement refoulé ce désir puisque plus les jours avançaient et plus Rebekah me décevait, me faisait me rendre compte que ce que j’attendais n’était pas possible, pas venant d’elle, que j’attendais pour rien. Alors au final, j’avais finis par arrêter de croire qu’il y avait peut-être quelque chose de plus qu’une histoire de partie de jambe en l’air entre nous. Ce n’était pas le genre de chose que je m’étais avoué avant, mais durant ces dernières années, j’avais eu le temps de réfléchir, j’avais parfois voyagé tout seul et je m’étais retrouver seul avec mes propres pensées, ce qui n’avait pas été agréable tous les jours, mais ça m’avait au moins permis de mettre beaucoup de chose au clair, et Rebekah faisait partie des problèmes qui m’avaient tracassé. J’avais finis par me rendre compte qu’elle comptait plus que je ne me l’étais avoué dans le temps, mais je m’étais également rendu compte que ce n’était pas du tout son cas, ou je pensais m’en être rendu compte plutôt… Vu ce qu’elle venait de me dire, j’avais eu tort, mais elle ne pouvait pas m’en vouloir, elle n’avait pas spécialement fait les choses de la bonne manière, m’avait surtout montré qu’elle n’en avait rien à foutre de moi ou de nous. Alors comment étais-je sensé croire à tout ce qu’elle me disait, même si je ne voyais pas dans quel but elle me mentirait ?

Je baisse les yeux sur la main qui retient mon poignet et lorsqu’elle le relâche, je recule d’un pas, légèrement sous le choc. C’était hallucinant de l’entendre me dire tout ça. Heureusement, comme à son habitude, elle parle d’une façon stratégique, fait son possible pour m’en avouer le moins possible, juste assez pour que je puisse lire entre les lignes, et ça c’était du Rebekah tout craché, c’est ce qui m’empêche de croire qu’elle n’est plus elle-même, qu’on lui a lavé le cerveau ou qu’elle est un extraterrestre métamorphe. Je prends tout de même quelques minutes pour digérer, puisque je ne m’étais pas préparé à tout cela. Lorsque j’avais décidé de venir à ce rendez-vous, je m’étais organisé, je m’étais dit que c’était peut-être une embuscade, un piège, je m’étais attendu à tout, à tout sauf à une déclaration d’amour. Certes, ça ne sonnait pas tellement comme celles qu’on entendait dans les films américains, mais c’était le mieux que pouvait donner Rebekah, je le savais pertinemment. Sauf que je n’arrivais pas à me laisser allez, à m’ouvrir. Je me méfiais toujours. Elle s’était trop de fois foutue de ma gueule et je m’étais trop de fois laissé faire. « Si c’est une blague… Elle est pas drôle, Rebekah » l’avertis-je. On pouvait surement sentir la rage qui émanait de mes paroles, du ton de ma voix, de cette posture figée qu’obligeaient mes muscles tendus. En fait, je pense que j’avais peur de ce que je pourrais lui faire, si elle me riait à la gueule après que je lui ai dit que moi aussi, j’avais envie qu’on arrête les conneries, qu’on arrête de fuir, qu’on arrête de se mentir… puisque j’en avais sérieusement marre, d’être le gentil, à qui on plantait toujours des couteaux dans le dos. Je n’en pouvais plus.


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MessageSujet: Re: Past is Past |Conreb {hot} Past is Past |Conreb {hot} Icon_minitimeSam 19 Aoû - 21:42

Past is Past


 
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Elle le regardait, elle attendait sa réaction, et elle en avait aussi légèrement peur. Comment es ce qu’elle pouvait savoir ce qu’il allait dire ou faire ? Jamais ils n’avaient était face a cela, jamais elle ne lui avait dit des choses pareils, donc il pouvait réagir de toute les manières imaginable.  Et il avait une hache dans la main, elle n’avait pas peur de la mort, mais préférait l’éviter. Elle ne voulait même pas savoir si Conrad serait capable ou non de la tuer ou juste la blesser. Si elle commençait a se poser la question, elle virerait surement parano et cela n’aurait rien de bon.  Elle releva les yeux vers lui quand il lui demanda si c’était une blague. Comment es ce qu’il pouvait croire à cela ? Es ce qu’elle avait l’air de rire là en cet instant ? Enfin, en y repensait c’était tout à fait  légitime qu’il se pose la question.  Après tout combien de fois elle avait rit après avoir dit quelque chose qui semblait vraiment sérieux. Elle faisait même souvent cela, surement car elle avait toujours l’air beaucoup trop sérieuse. Et puis, il la connaissait donc il savait qu’il fallait toujours se méfier d’elle. Il n’empêche que pour le coup c’était blessant. Pour une fois qu’elle lui ouvrait son cœur, il se méfier. Elle soupira très doucement et secoua la tête   «Ca n’a rien d’une blague Conrad.» Dit-elle d’un ton sérieux. Puis elle recula un peu, sentant l’animosité dans la voix de l’homme. Elle ne tenait pas vraiment a être a porter de hache. Elle le regarda un instant et lui fit un signe disant qu’il pouvait partir. «Mais part si c’est ce que tu veux…» Elle haussa ensuite les épaules «J’sais pas pourquoi j’ai penser que tu resterais ou que tu me prendrais au sérieux. Après tout c’est surement trop tard pour que je me réveille maintenant… J’t’ai surement déjà fait beaucoup trop de mal avant. » Elle soupira doucement et resta silencieuse ensuite. Elle n’avait plus rien a dire de toute façon. Le choix lui revenait maintenant, elle lui avait exposé ses envie, ses sentiments, bien que subtilement cacher entre deux paroles, maintenant la balle était dans son camps. Elle releva ensuite les yeux vers lui. «Mais si tu pars, ce sera fini. Je sais que c’est plus ou moins moi qui avais instauré cette relation entre nous. Mais tu n’as jamais rien fait pour la changer, alors que finalement c’est ce que j’aurais voulut que tu fasses. Toi comme moi, on a des tords dans cette histoire…Mais je pense qu’on devrait y mettre un terme, la balayée définitivement ou l’effacer pour repartir sur de bonne base. On est plus dans un monde où l’on peu se permettre ce genre de relation.» Dit elle toujours en le fixant mais sans avancer ou reculer. Elle ne savait pas s’il était devenue violent a cause de quelque chose, donc dans le doute elle restait hors de porter de l’arme du brun c’était mieux ainsi. Plus sur pour elle, pour eux même car s’il commençait a l’attaquer elle n’hésiterait pas a répliquer. Son magnum était charger a bloc et elle était prête a dégainer si elle le devait.  
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