If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn
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Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure. coeurrose
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If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn

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MessageSujet: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeJeu 22 Déc - 23:23

Tu approchais d’une maison qui semblait totalement abandonné. Le jardin ne devait pas avoir entretenu depuis des années et la nature reprenait ses droits sur les lieux. Les herbes avaient poussés à une cinquantaine de centimètres, des orties étaient réparties ici et là et le lierre poussait le long de la façade. Mais il en fallait plus pour t’arrêter, au contraire tu te disais qu’ici peut-être tu aurais tes chances de trouver quelques choses de convenables, d’autant plus que la maison semblait grande et que tu distinguais même un abri comme on voyait dans les maisons victimes de l’époque des bombardements. En général plusieurs ressources s’y trouvait. Tu n’étais pas venue seule, tu avais demandé à Carolyn de t’accompagner. Tu aimais bien sortir en sa compagnie, elle était une amie pour toi et tu savais qu’elle était aussi un atout en cas de pépin, même si généralement tu te débrouillais très bien toute seul. Tu inspirais, passant la mèche de cheveux rebelle ne tenant pas dans ta tresse derrière ton oreille tout en ayant montré l’endroit abandonné à Carolyn. Tu restais méfiante car tu te disais que des rôdeurs si trouvaient sans doute. Tu ne savais jamais à quoi t’attendre mais même avec l’expérience, tu ne devenais pas trop sure de toi et tu restais prudente. « Tu me couvres ? » tu demandais cela à ta camarade avant de frapper plusieurs coups sur la porte avec ton pieds pour la défoncer. Seulement malgré ta force, il te fallait retenter la chose plus d’une fois. Un coup, puis un second, un troisième et enfin dans le quatrième tu sentais la serrure craquée. Ce n’est qu’avec le cinquième que la porte céda, s’ouvrant brusquement faisant tomber un rôdeur au sol tandis que je me décalais contre le mur pour ne pas qu’il me voit et qu’ils se dirigent vers ma camarade plus en arrière afin qu’elle s’en charge. Trois sortaient y compris celui qui était tombé. Je voyais qu’elle s’en sortait plutôt bien, c’est pourquoi je te tuais que le dernier, le refaisant tomber au sol avant de lui enfoncer ma barre en métal dans le crâne, faisant ainsi cesser ces gémissements insupportable. « C’est bon ça va ? » Tu savais qu’elle allait sans doute bien mais naturellement tu te souciais d’elle. Tu ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose ou qu’elle se sente mal. Une fois que tu t’étais assuré que tout était ok pour vous deux, tu pénétrais dans la maison contenant plusieurs pièces au rez-de-chaussée ainsi qu’un étage. « On se sépare ? » Tu te doutais qu’elle ne s’y opposerait pas rien ne servait d’être à deux à fouiller les placards de la même pièce. Par contre, tu restais vigilante dans le cas où elle saurait besoin de toi. Finalement tu montais à l’étage, vérifiant d’abord chaque pièce en ouvrant les portes les une après les autres. Finalement, alors que tu ouvrais la seconde chambre, tu fus surprise par un rôdeur qui en sortit subitement en se jetant contre toi. Tu ne l’avais pas vu arriver, il devait tout juste faire un mètre vingt. Ce petit blondinet qui essayait de te dévorer ne devait même pas avoir plus de sept ans. La femme en toi fut étonnamment choqué de voir ça, et un pincement au cœur te submergeait mais tu reprenais finalement tes esprits alors que le cadavre de ce gamin tentait toujours de te mordre, n’arrivant pas à avancer car tu le tenais par les épaules. Dans un cri de rage, tu le jetais sur le côté pour te dégager, ne contrôlant pas ta force, le corps du petit près avoir ricoché sur le sol tomba dans les escaliers. Tu te mettais alors à les dévaler à ton tour pour ne pas laisser cet angelot monstrueux dans sa souffrance éternelle.
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeSam 24 Déc - 19:04

If I told you what I was, would you turn your back on me?
Malia & Carolyn
Malia avait proposé à Carolyn de l'accompagner en expédition. C'était plus une sortie entre filles, un moment entre amies qu'un réel besoin de trouver de quoi manger. L'un empêchait pas l'autre évidemment, mais Carolyn n'était pas à court de nourriture pour le moment. Elle n'avait pas non plus un stock inépuisable et tout ce qu'elle pourrait rapporter aujourd'hui ne serait qu'un plus et l'assurance de ne pas mourir de faim dans les jours à venir. Lorsqu'elle partait en quête de ressources, Carolyn avait tendance à partager avec ceux qu'elle appréciait le plus à Yosemite, à savoir Clint et Samuel, ses deux principaux alliés sur le camp. Elle aimait beaucoup Malia également, ainsi qu'Aileen, mais ces deux dernières n'avaient pas besoin d'elle pour survivre. Les deux hommes non plus, mais la relation que Caro entretenait avec eux était particulière. Samuel était son plus proche ami, c'est avec lui qu'elle était arrivée quelques temps plus tôt. Il avait été son compagnon de route avant d'arriver là, et c'est donc tout naturellement qu'elle faisait preuve de générosité envers lui. Pour ce qui était de Clint, elle l'avait connu par le passé, bien avant que l'épidémie ne se déclare, et elle avait été agréablement surprise de le retrouver ici par le plus grand des hasards. Elle s'était rapidement rapprochée de lui, ainsi que de sa meute de chien dont elle commençait seulement à se faire accepter. Il l'avait aidée à se trouver un abri, une petite maison bien à elle.

Aujourd'hui, les deux jeunes femmes avaient décidé de s'éloigner un peu plus du camp que d'habitude. Elles se trouvaient à présent devant une vieille maison abandonnée. Équipées telles de vraies guerrières, les deux amies ne craignaient pas trop pour leurs vies. Bien évidemment, malgré qu'elles avaient appris à magner plus que correctement leurs armes, elles faisaient preuve de vigilance afin de ne pas se mettre trop en danger. Elles se couvraient mutuellement, et l'une veillait sur l'autre, et vice-versa. Un vrai duo de choc. Elles se complétaient. Elles se ressemblaient d'ailleurs sur de nombreux points, et c'est certainement ce qui avait fait que le feeling était tout de suite bien passé entre elles. Malia s'apprêtait à entrer dans la demeure. Elle avait demandé à Caro de la couvrir, et après avoir eu confirmation de la blonde, elle asséna plusieurs coups dans la porte avant que celle-ci finisse enfin par céder, leur laissant le champ libre. Son couteau à la main, prête à le planter dans le crâne du premier rôdeur qui s'approcherait d'elles, Caro était sur le qui-vive. Malia évita un rôdeur, qui s'approcha de la blonde, prêt à lui manger la chair. Elle l'élimina sur le champ. Elle acquiesça lorsque Malia lui demandait si c'était bon pour elle, tout en débarrassant son arme du sang qui s'y était déposé.

« Ca roule, tu sais bien qu'il nous en faut plus pour nous faire frissonner.  »

Elle adressa un sourire complice à son amie. Malia entra, suivie de près par Carolyn. Elles décidèrent de se séparer, pour gagner du temps, comme elles faisaient à chaque fois. Suffisamment autonomes et débrouillardes l'une et l'autre, cette technique ne leur posait jamais de soucis.

« Comme d'hab, si ça se passe mal tu cries, on n'est jamais à l'abri d'une mauvaise surprise.  »

Malia monta à l'étage, et après quelques secondes, Caro entendis Malia crier de rage. Elle lacha les placards du salon qu'elle était entrain de piller et courra en direction de l'escalier où elle vit le rôdeur tomber et rouler dans les marches. Il s'agissait d'un enfant. Au début, Carolyn avait tendance à avoir de la peine, mais plus maintenant, elle avait enfoui toute émotion au fond d'elle lorsqu'il s'agissait de ces créatures. Malia s'occupa de lui, et aucun autre ne semblait être à ses trousses. C'était rassurant pour la suite.

« Ca va ? »

Elle avait auparavant entendu un corps tomber, elle se doutait qu'il s'agissait de ce petit, repoussé par la jeune femme, mais elle préférait s'en assurer avant de retourner au placard qu'elle avait commencé à vider. Quelques gâteaux apéritifs, rien de bien extraordinaire. Il y avait une pièce au fond, surement une chambre ou une salle de bains, Carolyn s'y dirigea, toujours son arme en avant, se tenant prête au cas où. En ouvrant la porte, elle fut attaquée par deux rôdeurs. Il était évident que l'enfant n'était pas seul dans la maison, mais elle ne s'était pas attendue à trouver les deux parents au même endroit. Elle se décala pour que le premier se trouve derrière elle. Elle lui trancha la gorge, tout en se retournant immédiatement pour transpercer l'oeil du second. Voilà qui était mieux, la voie était libre. En ouvrant les tiroirs de la commode, Carolyn trouva des médicaments.

« Malia ! Il y a des médicaments par-là ! Une vraie pharmacie ici ! Soit ils étaient souvent malades, soit ils étaient très prévoyants. On devrait trouver des trucs super intéressants dans cette baraque ! »


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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeSam 31 Déc - 11:49

Tu avais réellement senti du potentiel dans la maison que tu t’apprêtais à piller et tu étais heureuse que Carolyn ait accepté de t’accompagner, de pouvoir partager cela avec elle. Tu te sentais incroyablement seule, l’homme avec qui tu avais accepté de t’ouvrir et que tu avais protégé durant un mois entier avait finalement décidé de repartir sans toi et de te laisser derrière lui. Heureusement que tu avais certain camarade à Yosemite pouvant te changer les idées, tu ne voulais plus rester continuellement seule même si tu étais parfaitement apte à survivre sans l’aide de personne, tout comme tu savais que Carolyn n’avait en réalité que peut d’intérêt à t’accompagner. Mais tu savais que tu pouvais compter sur elle, tu n’hésitais d’ailleurs pas à lui demander Tu avais une entière confiance en elle, pour te couvrir mais aussi pour se défendre lorsque les rôdeurs allaient sortir. Elle faisait partie de ses survivants que tu respectais pour sa façon de combattre, avec ou sans armes à feu. Et ça peu de gens savaient le faire une fois leur arme retirée. Et tu avais défoncé la porte, laissant la sortie aux rôdeurs. Tu te chargeais de l’un d’entre eux, lui assénant un coup de baton le faisant tomber au sol avant de lui enfoncer ta barre dans le crâne. Tu savais qu’il en faudrait plus à Carolyn pour s’inquiéter mais tu préférais tout de même lui demander si c’était bon pour elle. On ne sait jamais, tous le monde n’a pas forcément le même rythme que toi. Mais la belle blonde t’accompagnant semblait le suivre et même aller parfois plus vite. Tu avais souri en entendant sa réponse avant de lui faire un clin d’œil complice avant d’entrer dans la maison suivi de près par la survivante. D’un accord commun vous aviez décidé de vous séparer, sans trop en parler en réalité. Mais tu te doutais bien que l’un comme l’autre, si vous veniez à tomber sur d’autres rôdeurs, sauriez faire face seule à ce genre de situation. « On fait ça ! » Tu te sentais confiante, prête à faire face à toute situation, tu te sentais comme un roc, sans la moindre brèche prête à faire face à tous les dangers. Tu ne t’étais cependant pas attendu à ce qu’un rôdeur, un petit blondinet de cinq ans même pas, te fonce dessus prêt à te dévorer. Tu avais été surprise, tu avais beau être un véritable cœur de lion et t’être habitué à voir toutes sortes d’horreur, l’espace d’un instant tu n’avais vu que l’enfant. C’était peut-être le fait qu’il t’ait foncé dessus comme un enfant foncerait vers sa mère en la voyant rentré d’une course. Mais la dure réalité te revint en plein visage et tu l’avais jeté à travers les escaliers non sans hurler ta rage. Tu avais ensuite dévalé les escaliers à ses trousses et dans toute ta colère, tu lui avais enfoncé ta barre en métal dans l’orbite de l’un de ses yeux, lui faisant ainsi cesser tout mouvement. Ton cœur battait la chamade et plusieurs émotions ondoyaient en toi de manière brutale. « Oui… J’ai été surprise » Sans t’en rendre compte tu portais ta main à ton ventre, ce petit ventre dans lequel un enfant avait été tué à coup de pieds. Ce n’était pas forcément plus mal en voyant ce monde. Tu te reprenais alors. « Désolée de t’avoir inquiétée pour si peu. » Tu lui souriais reprenant totalement tes esprits. Et tu remontais, en te doutant que tu ne trouverais pas forcément grand-chose dans les chambres. Tu fouillais essentiellement les commodes, jetais un coup d’œil aux armoires. Tu avais entendu du bruit en bas, mais pas de cri, tu te doutais donc que Carolyn s’en était sortie comme une grande. Tu ne récupérais qu’un paquet de bonbon à suçoter. Rien d’extraordinaire. Tu fus alors appelé par Carolyn qui semblait avoir trouvé quelques choses. Tu l’avais assez rapidement rejoint en observant tous ces médicaments. Il y avait énormément d’anti douleur à base d’ibuprofène mais tu remarquais quelques choses d’un peu plus costaud. « Prévoyants et dépressifs je dirais, ou toxico, y a des trucs vraiment costauds dans le lot. » Tu observais certaines boites et pour l’ancienne droguée à … Tout ce qui te tombait sous la main, certaines boites ne t’étaient pas inconnues. Mais prévoyant semblait le terme exact, ils avaient vidé un pharmacie ou quoi ? Tu étais plutôt contente de sa trouvaille, comme vous partagiez tous à deux, tu pourrais aller à Bodie ou à l’Angel échangé ça assez facilement. « J’ai trouvé qu’une boite de bonbons, t’en veux un ? » disais-tu en lui tendant le paquet avant de rigoler. Peu de nourriture mais de belles trouvailles médicales. « On s’fait encore une maison ou deux ? »
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeLun 2 Jan - 19:26

If I told you what I was, would you turn your back on me?
Malia & Carolyn
C’étaient ces moments-là que Carolyn appréciait le plus ces derniers temps. Partir en expédition, seule ou à plusieurs, se confronter aux rôdeurs ou à d’autres survivants pas forcément très sympathiques, bref, c’est ce qui l’aidait à se sentir vivante. Elle n’était pas du genre à rester enfermée, à tourner en rond, elle préférait se mettre en danger, sentir l’adrénaline l’envahir. Bien qu’elle faisait de son mieux pour se protéger, faire attention à ne pas mourir, elle ne craignait pas de quitter ce monde pour rejoindre l’au-delà. Elle avait tant perdu. Elle était soulagée que ses parents n’aient pas connu tout ça. Ils étaient décédés avant que cette merde ne s’installe. Elle était également heureuse que son enfant n’ait jamais vu le jour. C’est horrible de penser ainsi, mais au moins, il ne connaitrait jamais de mort douloureuse, et ça n’avait pas de prix pour elle. De toute façon, elle ne savait pas si elle aurait été ou non une bonne mère, et elle ne le saurait d’ailleurs certainement jamais. Pourtant, elle adorait les enfants, mais elle n’avait guère plus l’occasion d’en côtoyer.  
Malia avait rejoint Carolyn, et la blonde ria à sa remarque. Il était vrai qu’elle ne connaissait que quelques un des noms de médicaments que contenait ce tiroir. Mis à part en lisant la notice, Caro aurait été incapable de savoir à quoi ils servaient. Malia, quant à elle, semblait en connaitre les effets. Elle était assez dubitative, il valait mieux qu’elle sache avant de les emporter, dans le but de ne pas trop se charger inutilement, mais peut être que la question provoquerait une gêne auprès de son amie. Elle tenta néanmoins sa chance.


« Je n’en connais pas la moitié, on devrait peut être lire rapidement les notices avant de les emmener, non ? »

Elle était parvenue à formuler les choses de façon évasive, et c’était parfait ainsi. Malia lui proposa un bonbon,  que Carolyn accepta volontiers. Le sucre était une denrée assez rare pour laisser passer une telle occasion. Elle plongea sa main dans le paquet et en sortit deux qu’elle engloutit immédiatement. Ces sucreries lui rappelèrent son enfance. Elle avait toujours adoré les bonbons, même ceux qui vous collaient les dents.

« Qu’est ce que c’est bon ces conneries là… »

Elle ria avec son amie. Elle acquiesça d’un signe de tête lorsque Malia lui proposa de continuer vers une autre maison. Elles avaient fait le tour ici, et Caro fut un peu déçue de leurs emplettes. Elle commença a ramasser les médicaments dont elle connaissait les noms. Les ressources médicales étaient importantes, surtout à cette période de l’année. Une grippe pourrait se montrer foudroyant, leur système immunitaire n'était plus aussi résistant qu'auparavant, ils devaient donc se méfier. L'avantage qu'ils avaient était d'avoir un médecin à Yosemite, et même un bon médecin d'après ce qu'avait pu voir Carolyn. Néanmoins, un médecin sans médicament ne leur permettrait pas de survivre à un virus puissant.

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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeVen 10 Fév - 1:52

Tu avais bien longtemps tenté de te faire passer pour une jeune fille stéréotypée, la petite blonde fragile et craintive pour ne pas éveiller les soupçons sur toi, pour te mentir à toi-même sur celle que tu étais mais désormais c’était totalement fini. Si auparavant la meurtrière que tu avais été n’avait pas sa place dans le monde, aujourd’hui, c’était clairement ce qu’il fallait pour survivre et tu avais longtemps tout fait pour le dissimuler. Seules quelques personnes avaient déjà pu voir l’étendue de ton potentiel avant que tu ne te décide à l’assumer le jour de l’attaque de l’Angel Camp. Carolyn faisait des gens avec qui tu étais déjà sortie et aux côtés de qui tu t’étais déjà battu. Elle était de la même trempe que toi après tout, c’était une femme forte et qui ne se laissait pas marcher sur les pieds, qui savait survivre par ses propres moyens. Comme quoi, les blondes sont des femmes fortes et pas les idiotes pour lesquelles on les a si longtemps faites passer. Tu n’avais jamais rempli les critères de cette stigmatisation pour ta part, ta couleur de cheveux n’avait jamais impacté ton caractère, tu avais toujours été un garçon manqué, une bagarreuse. Tu étais devenue physiquement plus féminine au fil des années mais mentalement tu n’avais pas changé, tu ne faisais que te battre. Et la seule fois où tu t’étais sentie devenir plus femme, devenir une épouse et une mère, tout t’avait été retiré et c’était bien avant cette apocalypse. Tu ne fonctionnais sans doute pas dans le bon ordre, à l’inverse des autres, mais le monde normal t’avait bridée, t’avait tout fait perdre et t’avait enfermé dans une cellule d’isolement… Ce monde nouveau t’avait libérée, t’avait offert une seconde chance et t’avait permis d’être toi-même. Tu étais presque comme un poisson dans l’eau. Tu avais rejoint Carolyn lorsqu’elle avait fait sa trouvaille, une armoire à pharmacie pleine de médicament dont tu aurais rêvé pouvoir les consommer à l’époque où tu étais dépendante au shoot en tout genre. « Je saurais pas te dire l’effet de toute ces boites parce que y en a vraiment trop mais ces deux là sont des anxiolytiques, celles-ci des antidépresseur. Là haut je t’apprends rien mais c’est des médicaments basique, paracétamol et ibuprofène apparemment et … Oh du sirop pour la toux. » Ton expertise rapide ne vidait qu’une bonne partie de l’armoire mais ça ne servait à rien de se charger inutilement comme te l’avait fait comprendre Carolyn. « Faut aussi regarder les dates de péremptions, certain médicament durent des années, d’autres non. » Tu avais ensuite proposé un bonbon à Carolyn, histoire de ne pas s’attarder sur quelques boites de médicaments. Ce n’était à tes yeux pas suffisamment satisfaisant pour que vous vous permettiez de rentrer avec seulement cela et Caro’ allait sans doute être d’accord avec cela puisqu’elle accepta de faire la maison suivante. Tu avais pris un autre bonbons, puis une part des médicaments que tu avais enfourné dans ton sac. Soudain un grognement se fit entendre derrière vous. Tu soupirais avant de faire signe à ta camarade que tu t’en chargeais, tu avais attrapé ta barre en métal avant de l’enfoncer dans le crâne du rôdeur sans aucune autre forme de procès. « J’espère que la prochaine sera plus généreuse en nourriture. » Vous aviez quitté la maison, armes en main prêtes à agir en cas de problème. « En face ou à côté je te laisse choisir. » Tu affichais un sourire en coin avant de suivre Carolyn l’a où elle l’a décidé, jetant régulièrement des coups d’œil à la rue déserte qui pouvait ne plus l’être en quelques minutes.
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeJeu 16 Fév - 18:41

If I told you what I was, would you turn your back on me?
Malia & Carolyn
Carolyn avait bien entendu repéré les médicaments à base de paracétamol et d'ibuprofène et les avait ramassé, ça pouvait toujours servir. Le sirop contre la toux également, néanmoins elle avait décidé de ne pas s'encombrer d'anxiolitiques et d'antidépresseurs dont les effets indésirables pourraient s'avérer dangereux pour ceux qui tomberaient dessus. Elle n'en n'avait pas besoin et se doutait que Malia non plus, il n'était donc pas nécessaire de les emporter avec elles. Elle hocha la tête lorsque son amie lui fit part de son espoir concernant la prochaine maison. Effectivement, leur butin était pour le moment bien trop maigre pour rentrer. Carolyn était habituée aux expéditions infructueuses, mais elle était chaque fois contrariée et déçue de rentrer les mains vides, ou presque. Après tout, chaque sortie du Parc de Yosemite était risquée, elles pouvaient y laisser leur vie à chaque instant. Néanmoins, ce n'était pas vraiment comme si elles avaient le choix, alors il fallait y aller et ne pas songer au pire. Equipées et concentrées comme elles l'étaient, elles pourraient se sortir d'un maximum de situation, mais pas toutes. Il fallait être vigilant et ne pas se laisser distraire. Malia lui laissa le choix quant à la prochaine maison qu'elles allaient piller. Instinctivement, Carolyn traversa la rue, ne jugeant pas utile de commenter sa décision. En réalité, il n'y avait pas de raison précise, cela lui paraissait simplement plus logique. Quoi qu'elles auraient pu faire un côté de la rue, puis l'autre, mais non, ce n'était pas ce qu'avait décidé Carolyn.

Elle avança donc en direction de la porte d'entrée, arme au poing, prête à dégainer si besoin. Son arme à feu était prête à être utilisée également si l'arme blanche ne suffisait pas. Tout était une question de réflexe et d'organisation pour brandir une arme plutôt que l'autre en fonction des situations. Elle jeta un coup d'oeil par la fenêtre avant d'entrer, histoire de s'assurer qu'il n'y avait pas de gros danger à l'intérieur. Une fois cette vérification effectuée, elle posa sa main gauche sur la poignée de la porte, la droite maintenant fermement son arme. Elle jeta un coup d'oeil en arrière, pour vérifier que Malia se tenait bien derrière elle et qu'elle était prête. La porte n'était pas verrouillée, ce qui ne rassura pas Carolyn. Quelqu'un était peut être déjà passé par là, auquel cas elles avaient peu de chances de trouver des ressources intéressantes. Néanmoins, elles se devaient malgré tout d'essayer. Une fois à l'intérieur, pas de danger imminent. Carolyn reconnut malgré tout un bruit familier derrière l'une des portes du couloir. Il y avait un mort enfermé derrière. Elle fit signe à Malia de ne pas faire de bruit, elle voulait s'assurer qu'ils n'étaient pas cinquante derrière la porte. Adressant un signe de tête à son amie pour lui indiquer qu'elle s'en occupait, elle ouvrit la porte et planta son couteau entre les deux yeux du rôdeur. « Un de moins. Je me charge de cette pièce, c'est une chambre. »

Ses paroles invitaient Malia à visiter un autre endroit de la maison pour plus d'efficacité. Carolyn commença à fouiller l'armoire. Il y avait principalement des vêtements, des pulls et des vestes ainsi que quelques pantalons pour homme et femme. Changer de tenue ne serait pas du luxe, au moins avoir des affaires de rechange lorsqu'il fallait nettoyer celles qu'elles portaient.

« C'est pas le paradis du shopping, mais y a de quoi faire, viens voir par là Malia ! »

Un sourire se dessina sur le visage de Carolyn alors qu'elle essayait une veste en imitation cuir. Par le passé, la jeune femme avait toujours adoré faire les magasins et sa frustration dans ce domaine grandissait de plus en plus chaque jour.

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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeSam 4 Mar - 16:00

Au moins à défaut de pouvoir remplir vos estomacs, vous alliez pouvoir vous assurer de soigner les petits rhume pour l’hiver. Ce n’était pas tellement votre objectif mais bon, vous preniez ce qu’il vous venait sous la main sans jouer aux fines bouches. Tu l’avais laissé mettre les boites dans son sac et pour ta part, tu avais décidé de prendre les anxiolytiques et les antidépresseurs. L’espace d’un instant tu avais hésité, tu avais voulu ouvrir l’un des flacons pour en prendre un. Mais tu t’étais ressaisi aussitôt, un monde comme celui-ci ne permettait plus que l’on se drogue, de planer et encore moins de ne plus avoir conscience de ses actes. De plus, cette Malia était morte et pourtant, tu savais que tu aurais cette envie tout le reste de ta misérable vie. Quoi qu’on en dise, le sevrage ne se fini jamais totalement. Tu t’étais alors contenté de les refourguer dans ton sac  Vous aviez alors prit la décision de visiter d’autres maisons, pour ne pas rester sur un butin si maigre. Si sortir était dangereux, il fallait au moins que cela vous rapporte un minimum sinon il n’y en aurait aucun intérêt. Même si au fond, pour vous deux le risque n’était plus tellement élevé, il était toujours présent, disons simplement que ça craignait moins maintenant qu’au début de l’apocalypse, bien que pour ta part, tu ais dès le début commencer à te défendre et à tuer les rôdeurs. Tu avais fini par suivre Carolyn dans la maison d’en face. Ca t’étais un peu égale de savoir dans laquelle vous iriez en première, alors tu n’avais pas plus posé de question cela. Tu restais cette fois-ci en arrière, prête à couvrir ton amie en cas de besoin, qui se montrait plus prudente que toi, elle regardait avant d’entrée. Il faut dire qu’avec ses hautes fenêtres et ta taille, cela aurait été difficile pour toi d’inspecter l’intérieur de l’autre maison. Tu étais resté sur tes gardes lorsqu’elle avait posé sa main sur la poignée et n’avait fait qu’un simple mouvement de tête lorsqu’elle avait vérifié que tout était ok pour toi. La porte s’était ouverte sans grand mal mais tu ne t’inquiétais pas plus que ça. En quatre ans, ou presque, les maisons avaient souvent été exploré et il était de toute façon de plus en plus dur de trouver de la nourriture autrement qu’en la produisant. Un bruit de rôdeur s’était alors fait entendre dans un placard, Carolyn s’en était occupé mais tu étais resté là au cas où. Ni une, ni deux, le rôdeur était neutralisé. Tu continuais ton chemin jusqu’à la prochaine porte. Tu voyais qu’elle était verrouillée contrairement aux autres pièces ce qui attira ton attention. Il fallait une clé, tu te disais que tu pourrais toujours vérifier dans la cuisine avant de te casser la tête, et l’épaule à l’ouvrir. Tu te dirigeais vers la cuisine dont les placards semblaient déjà vidés. Tu regarderais plus en approfondis plus tard, si la pièce était fermé c’était bien que personne ne devait être passé par là. Tu regardais les étagères que tu inspectais une à une avant de regarder dans une espèce de panier au dessus du réfrigérateur. Et bingo, tu tombais sur une clé dorée dont la couleur correspondait à la serrure de ta porte. « J’arrive ! » répondais tu à ton amie qui t’avais appelé. Tu passais la clé dans la porte que tu ouvrais donnant lieu à un vieil escalier et dégageant une horrible odeur de moisissures. Tu descendais prudemment, la pièce n’était éclairée que par la lumière de la maison et la visibilité était faible. Vers les dernières marches, tes pieds arrivèrent dans de l’eau. C’était donc ça la cause de cette odeur. Tu observais les étagères quand tu trouvais des fruits dans du sirop et des boites de confitures. Tu en aurais mis ta main à coupé en voyant les cadres de ces enfants et le style un peu ancien de cette maison de mamie. Tu prenais tout, tu ne voyais pas très bien alors tu ferais le tri là-haut. Puis tu remontais, rejoignant Carolyn, les chaussures totalement trempée. « Dis moi qu’il y a des chaussures là-dedans j’ai les pieds trempés ! » Tu avais immédiatement remarqué l’armoire présente sous tes yeux. Les vêtements ne semblaient même abimés. Tu retirais tes chaussures et surtout des chaussettes avant de prendre une paire de basket dans l’armoire, pas ton style et assez loin de tes bottines, tu serais au moins à l’aise dedans. « Belle veste, elle te va bien ! » Tu t’approchais à ton tour de l’armoire. Finalement la mamie ne devait pas vivre seule parce que ces affaires là était plutôt à la mode, enfin avant tout ça. Tu attrapais une écharpe que tu observais avant de la jeter sur le lit pour la prendre plus tard. « Oh ! Des jean sans trou ça existe encore ? »
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeMer 22 Mar - 13:11

If I told you what I was, would you turn your back on me?
Malia & Carolyn
Carolyn avait laissé Malia visiter le reste de la maison sans se poser de question, restant néanmoins aux aguets du moindre bruit qui l'avertirait du danger que courait son amie. Le but des expéditions à plusieurs était, d'une part, d'être plus rapide, plus efficace et de pouvoir rapporter plus de choses, mais il ne fallait certainement pas mettre la sécurité et la solidarité à l'écart. La blonde ne s'était jamais fait de soucis pour son amie, elle l'avait vu à l'oeuvre plus d'une fois et elle devait avouer que Malia se débrouillait beaucoup mieux qu'elle au corps à corps. Carolyn était beaucoup plus à l'aise avec les armes à feu, allez savoir pourquoi, elle n'en n'avait pourtant jamais manipulé avant ces quatre dernières années. Néanmoins, elle avait appris à utiliser les armes blanches également, beaucoup plus discrètes et par conséquent beaucoup plus sécurisantes. Il fallait faire preuve d'une grande capacité d'adaptation pour survivre, et bien qu'elle soit plutôt têtue, la jeune femme n'avait pas eu de mal à s'adapter à ses nouvelles conditions de vie. En réalité, si, intérieurement et certainement comme tout le monde, mais elle n'était pas du genre à se plaindre ou à chouiner. De toute façon, quelle autre option pouvait-elle avoir que de s'adapter, se battre, et survivre ?

Elle entendit Malia fouiner dans des placards, il s'agissait certainement de la cuisine. Caro aurait du s'y diriger en priorité, après tout, la nourriture était le plus important de tout ce qu'elles pourraient trouver, mais elle préférait visiter les pièces dans l'ordre, afin de ne pas passer à côté d'une trouvaille intéressante. Bien que les vêtements ne faisaient plus partie de leurs besoins primaires, il n'était tout de même pas négligeable de pouvoir changer de vêtement le temps de laver les autres, troquer un pull d'hiver contre une veste un peu plus légère, remplacer un pantalon ou un t-shirt déchiré, bref, aux yeux de Carolyn les vêtements étaient importants. Elle entendit Malia la rejoindre, quelques minutes après qu'elle l'ait appelée. Peut être avait-elle trouvé quelque chose d'intéressant ? Elle fut surprise de l'odeur qui émanait la pièce lorsque son amie entra. Une odeur d'humidité, presque une odeur de moisi. Elle arqua un sourcil lorsque la jeune femme lui demanda s'il y avait des chaussures, ses pieds étant trempés. « Comment as-tu fait pour te mouiller les pieds ? Où as-tu trainé ? Je veux pas te vexer, mais une odeur particulière te suit... » Elle n'avait pas envisagé une quelconque inondation dans la bâtisse. Convaincue par la veste qu'elle venait de trouver, Carolyn décida de l'emporter avec elle. Elle enfourna également des chaussettes et des sous-vêtements, bien que les soutien-gorges ne semblaient pas convenir à ses mensurations.

Carolyn esquissa un sourire à la remarque de Malia. Effectivement, par les temps qui couraient, il était plus fréquent de croiser quelqu'un avec un jean déchiré (par la mode ou par l'usure). La femme qui vivait ici semblait avoir de bons goûts vestimentaires, les deux jeunes femmes allaient donc pouvoir emporter de quoi se changer régulièrement. « Je n'en n'avais pas vu depuis au moins un siècle...  » elle ria. Elle était contente de partager ce moment avec Malia, dans cette maison elle avait l'impression d'être loin de l'apocalypse. Elle savait que ce moment ne durerait que quelques minutes, elle posa donc un chapeau sur la tête de la jeune femme pour plaisanter. « Ce chapeau te va  à merveille, tu rendrais jalouse toutes les survivantes du camp avec ça sur la tête !  »

Trève de plaisanterie, elles n'avaient pas toute la journée devant elles. Après avoir pris deux pulls, un jean, trois t-shirt et des sous-vêtements, elle décida de changer de pièce.

Elle arriva dans le salon où trônait une magnifique bibliothèque. Caro avait toujours aimé lire, elle n'en n'avait pas eu l'occasion depuis très longtemps. Elle commençait à parcourir les titres et les auteurs, beaucoup de littérature française et quelques thrillers américains. « Je pense pouvoir dire que la personne qui vivait ici était parfaite…  » Elle savait qu'elle ne pourrait pas tout emporter, mais ils ne croulaient pas sous les activités au camp, Carolyn cèdait parfois à l'ennui, quelques bons bouquins égayeraient un peu ses journées.

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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeDim 10 Sep - 17:21

Tu avais visité le reste de la maison sans grande inquiétude, l’incident s’étant produit à l’étage quelques instants plus tôt était exceptionnel et tu resterais vigilante.  Tout pouvait arriver tellement vite mais avec un peu de prudence, les accidents pouvaient facilement être évités et tu n’allais pas mourir comme une débutante simplement car tu ne tendais pas les oreilles. Tu restais par ailleurs très concentrée dans le cas où Carolyn t’appellerait pour un quelconque problème. Tu ne t’inquiétais pas pour elle mais encore une fois, vous vous accordiez à dire qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Ensemble vous formiez un sacré tandem et votre seul et unique objectif, bien avant celui de mettre la main sur des trouvailles intéressantes, était de rentrer en un seul morceau et tu comptais bien tout mettre en œuvre pour y parvenir. Actuellement, tu t’étais retrouvé dans une sorte de cave bizarre rempli d’étagère en bois donc la moitié avait cédé à l’humidité. Toutefois tu n’avais pas sacrifié tes chaussures pour rien, tu avais tout de même mit la main dans des fruits au sirop ainsi que sur des boites de confiture et même si ce n’était pas le plus nourrissant, c’était toujours ça à manger et surtout, c’était sucré. Et plein de survivants auraient tué juste pour ça, tu avais donc enfourné tout ce que tu pouvais dans ton sac à dos avant de remonter à l’étage rejoindre ton amie qui t’avais appelé au début de ton exploration au cœur du bois pourri. Elle se trouvait de ce qui semblait être une chambre, au vu du lit mais surtout de la grande armoire ouverte que ton amie explorait de fond en comble à la conquête de vêtements.  Et tu devais avouer que ça faisait plaisir à voir. Même si les vêtements n’étaient plus tellement la chose la plus importante de ce monde, il n’empêchait que pouvoir changer ou en trouver des neufs ne faisait jamais de mal ni au moral, ni à l’apparence, ni à l’odeur. Et en parlant d’odeur, ta priorité était avant tout de changer de chaussures, tes bottines étant totalement trempé et puant le moisi à des kilomètres. « Longues histoires… En fait non, la cave était innondé et avait tout fait moisir. Un truc dégueu, mais j’en ai tiré des pots de confitures qu’on se partagera une fois au camp. Sauf si tu redis encore une fois que je pu. » Tu affichais un sourire avant de te mettre à rire, c’est vrai que tu puais le mort. Et pourtant l’odeur de la mort vous la connaissiez tous. Tu la complimentais sur la veste qu’elle s’était trouvé tout en adoptant une nouvelle paire de basket dans laquelle tu étais déjà plus au sec. Et tu tombais sous le charme et surtout l’étonnement de voir un jean en parfait état. En réalité, à l’époque tu t’intéressais assez peu à la mode voir pas du tout, tu t’habillais bien quand il le fallait pour ne pas faire honte à Cole mais en dehors de ça, tu adoptais volontiers un vulgaire jean et les hauts de ton petit ami. De toute façon, la mode rentrait dans le même lot que tout le reste parmi les choses auxquelles tu ne t’intéressais pas avant l’apocalypse. A croire que tu ne t’étais jamais senti aussi vivante que depuis que l’humanité était morte. Toujours est-il que ton ami partageait ton avis sur la rareté des jeans totalement intact, à tel point que tu le fourrais dans ton sac à nouveau, qui commençait à se remplir de tout et rien depuis que tu te trouvais dans cette maison. Tu souriais lorsqu’elle posa son chapeau sur tes cheveux attachés en tresse épis de blé. « Haha c’est vrai ? Bon alors je l’adopte » En réalité, tu te fichais bien des autres survivantes du camp, mais c’est vrai que tu aimais bien ce chapeau. On t’avait d’ailleurs toujours dis que ça t’allait particulièrement bien. Toutefois, vous reveniez aux choses sérieuses et à votre exploration, Carolyn partit la première tandis que tu finissais de prendre certaines affaires intéressantes. Tu retrouvais par la suite ton équipière dans le salon farfouillant parmi la bibliothèque. « Je pense qu’elles étaient plusieurs. Mais j’suis d’accord ! Tu trouves des livres intéressants ? » Toi, la lecture tu n’aimais pas ça et tu ne comptais pas t’embarrasser de ça maintenant. Tu avais tant d’autres choses à faire. Cependant, un  objet attira ton attention, au dessus de la bibliothèque, entre une statuette africaine et une sorte de mini-totem indien. Une dague soigneusement disposé sur un présentoir noir. Surement pas un objet de combat mais bel et bien de décoration, toutefois tu ne pouvais pas t’empêcher de l’attraper pour l’observer. Elle était plus belle en design qu’elle ne devait être utile en défense mais tu avais un coup de cœur pour cette lame au couleur argenté et ce fourreau noir orné de pierre rouge. Celle-là tu l’adoptais et tu étais sur de la garder pour toi. « Ca, ça me parle plus ! » Décidemment, cette maison avait été pleine de surprise tant pour toi que pour ton amie. Lorsqu’elle eut fini ses recherches, tu lui demandais ce que vous alliez faire. « On fait quoi maintenant ? J’ai bien rempli mon sac perso’ »
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitimeLun 18 Déc - 19:06

Rp archivé suite à la suppression de Carolyn.
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MessageSujet: Re: If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn If I told you what I was, would you turn your back on me? + Carolyn Icon_minitime

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