[Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah
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[Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah

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MessageSujet: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeMer 17 Jan - 23:57

You gave up being good when you declared a state of warB-E-H-A-V-E never moreCrac !, fit la fine branche que j’agrippai au passage et tordit d’un geste sec du poignet. Crounch !, produisirent les feuilles mortes que je piétinai d’une démarche assurée et enjouée. Ploc !, sonna la pierre que je propulsai du pied en atteignant le premier obstacle sur sa route. Je m’amusais comme une petite folle aux dépends d’un autre survivant. Je jouais à un petit jeu, celui du chat et de la souris, mais en modifiant les règles : je ne pouvais qu’être entendue et non vue. Je voulais que ma proie sente mon souffle dans son cou sans être en mesure de me voir lorsqu’elle se retournait, paniquée et paranoïaque. Je restais donc à couvert tout en m’assurant d’indiquer ma présence à l’aide de moyens détournés. Lorsque je pensais être sur le point d’être découverte, je me jetais alors dans un détour, je rampais à l’abri des regards pour mieux retourner à ma chasse une fois le danger écarté. Peu m’importait de salir les genoux de mon jean ou de me retrouver les cheveux emmêlés, je savais que mon objectif final valait bien ces quelques désagréments. Même si j’adorais ce petit jeu, je fus toute aussi ravie lorsqu’il prit fin. Ma victime venait de se réfugier dans une énorme maison en mauvais état, que je savais envahie de rôdeurs pour avoir tenté de la fouiller quelques jours plus tôt. Je balançai le poing dans les airs en signe de satisfaction. Mon plan se déroulait sans accrocs.

Peut-être devrais-je raconter le début de cette histoire avant de poursuivre, histoire de clarifier le contexte. Voyez-vous, il y avait quelques jours de cela, j’avais vu un fantôme. J’étais en train de vadrouiller sans but précis, à la recherche de mon prochain coup. En effet, j’avais dévalisé un homme peu auparavant et j’avais encore un bon moment avant que ses possessions ne soient épuisées et que je doive de nouveau renflouer mes réserves. Cette énorme baraque était alors apparue sur mon chemin – celle devant laquelle je patientais en ce moment même – mais la vision des zombies à l’intérieur m’avait coupé l’envie d’y poser le pied. En me retournant pour fuir la demeure infestée, j’avais aperçu un élément plus prometteur à l’horizon : une silhouette solitaire. Contrairement à mes habitudes, j’avais décidé de la prendre en filature. Je voulais déterminer si cet individu possédait quelque chose valant la peine d’être volé, sans quoi je ne prendrais pas la peine de monter un piège à son intention. Au final j’avais découvert que cette personne ne vivait pas seule, mais avec tout un groupe, à l’intérieur d’une villa. Beaucoup trop de gens à affronter pour moi. J’observais la scène de loin, les jumelles sur les yeux, et j’étais sur le point de repartir tout aussi sournoisement que j’étais arrivé. C’était alors que j’avais vu ce fichu fantôme au travers d’une des fenêtres de cette baraque. Rebekah Fitzgerald.

Sur le coup, je n’en avais pas cru mes yeux et j’avais réajusté le focus de mes jumelles pour en être certaine, mais je ne m’étais pas trompée. Elle était bien là. Dès que mes yeux se posèrent pour la seconde fois sur elle, j’ai senti une bouffée de rage prendre naissance en moi et une soif de vengeance croître au creux de mon ventre. Je connaissais Rebekah de mon ancienne vie, bien avant cette épidémie, bien avant mon incarcération, et je gardais toujours dans mon dos le poignard qu’elle y avait planté. J’avais resserré ma prise sur mes jumelles, mes mains s’étant mises à trembler sous l’effet de la rage. Oh, je revoyais toujours ce clin d’œil, la dernière vision que j’avais eu d’elle jusqu’à aujourd’hui, et je n’avais plus qu’une seule idée en tête : le lui faire payer. J’avais résisté à l’envie de courir en direction de la villa, arme en main, pour régler mes comptes de façon impétueuse. Jamais auparavant je n’avais eu à faire preuve d’autant de self control. Rebekah méritait une vengeance élaborée et cruelle, pas un geste impulsif et irréfléchi, c’était ce que je m’étais répété. J’avais attendu quelques jours, campant non loin de la villa, ruminant mon passé et planifiant mon attaque. Lorsque Rebekah s’était enfin éloignée seule, insouciante du danger qui rôdait à proximité, je m’étais empressée de lui emboîter le pas, m’arrangeant pour qu’elle se sache suivie.

La suite, vous la connaissez : Rebekah avait mis les pieds dans une maison infestée qui deviendrait bien vite son tombeau. Mon cœur battant la chamade tandis que je me forçais à patienter quelques minutes encore, cachée à proximité de la demeure décrépie. Je me tournais les doigts nerveusement, cherchant un exutoire pour toute la tension accumulée depuis ces derniers jours. Faire les cents pas n’était pas suffisant et je n’avais pas de cigarette à griller. Pourquoi n’ai-je pas encore entendu de cri ? A-t-elle déjà été mordue ? Mais qu’est-ce qui se passe là-dedans ? Je ne pouvais le nier, le fait de savoir Rebekah enfermée dans une maison pleine de rôdeurs ne me suffisait pas. Je voulais la voir tandis qu’elle vivrait ses derniers instants. Pire, je voulais qu’elle me voie durant ses derniers instants. On pouvait me qualifier de sadique et de folle pour cela, je n’en avais rien à faire ; je voulais être là lors des derniers instants de cette traîtresse. Je laissais ma soif de sang m’envahir sans honte. Guidée par cette dernière, je me rendis jusqu’à l’entrée et poussai discrètement la porte. J’avançai dans le vestibule sur la pointe des pieds, ne désirant pas que les zombies s’intéressent à moi plutôt qu’à mon adversaire. « Où te trouves-tu, Rebekah Fitzgerald ? », chuchotai-je entre mes dents pour moi-même…
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeLun 5 Fév - 20:58


You gave up being good when you declared a state of war  

« Si quelqu’un vient a te traquer un jour, fait le tomber dans son propre piège.» Les sages paroles de Monsieur Edward Gabriel Fitzgerald, des paroles  qu’elle n’avait pourtant jamais eu a mettre en action, car jusqu'à maintenant jamais elle n’avait était traquer, ca avait toujours était elle qui traquer. Quand elle s’était éloignée  de la villa pour sa petite balade habituel, en solitaire bien sur, pour s’aéré un peu l’esprit, elle avait rapidement sentie une présence pas loin, elle s’était vite rendu compte qu’elle était suivi.  Au début elle s’était dit que c’était juste quelqu’un qui la suivait, qu’elle pourrait le cueillir plus loin et le dépouiller comme il voulait lui-même surement le faire. Mais rapidement elle s’était rendu compte que les bruits que cette personne faisait, n’était pas du a la stupidité, elle avait compris que tout était savamment calculé, elle n’était pas suivit. Elle était traquée. Nuance.  Et c’est quand elle s’était rendu compte de cela, qu’elle avait entendu dans sa tête la voix de son père, lui dire qu’elle devait toujours reprendre l’avantage sur les autres, ne jamais le perdre. Mais comment reprendre l’avantage quand, contrairement a normalement, on n’a pas dix coups d’avance sur son adversaire ? Comment reprendre l’avantage, elle ne l’avait jamais perdu avant. Elle n’aimait pas du tout cette sensation.  Elle devait donc faire tomber son traqueur dans son propre piège, mais quel était ce fameux piège, qu’es ce que cette personne lui voulait, elle était sortie avec rien d’autre que son magnum et son couteau, pas de vivre, pas d’autre vêtement que ceux qu’elle avait sur elle, même pas de sac a dos. Alors qu’es ce que cette personne lui voulait.  Elle était a des millions de kilomètre de se douter que cette personne, qui jouait avec ses nerfs était une vieille connaissance du passé, une des nombreuse personne a qui elle avait planté un beau couteau dans le dos. Et donc une des nombreuse personne a, surement, vouloir la mort de Mademoiselle Fitzgerald.

Elle aperçut une grande maison, style vieux manoir ancien, qui d’ailleurs lui rappela le manoir Fitzgerald, et se dit que c’était surement là le piège. C’était trop facile sinon, si ce n’était pas le piège, pourquoi la personne qui la traquer depuis maintenant un bon moment l’avait amené jusqu'à là ? Bon, maintenant plus qu’a se jeter dans la gueule du loup.  Elle soupira doucement, elle n’aimait pas cela, elle la sentait vraiment pas cette histoire, mais elle n’avait pas vraiment le choix. Elle entra donc dans la maison en frissonnant a cause du grincement sinistre de la massif porte en bois qu’elle venait de pousser, qui n’avait bizarrement pas était fermée totalement. Merde, en plus ca faisait du bruit, et le décor était digne d’un grand film d’horreur. Attendait, sa vie totalement était devenue un film d’horreur, alors un peu plus ou un peu moins.  Elle repoussa un peu la porte derrière elle une fois qu’elle fut dans le vestibule qui était plonger dans la pénombre. Elle ne voulait pas non plus être totalement prisonnière. Elle était un peu folle, ça c’était certain, comme dirait tout le monde, elle avait était bercer trop prêt du mur, mais elle n’était pas suicidaire.  Elle tira son foulard sur son nez, l’odeur était vraiment horrible, un mélange de renfermer, de moisissure  et de cadavre. Pas de doute cette maison était surement plein de mort, elle devait être prudente, mais surtout, elle devait attiré son traqueur dans son piège. Faire tomber avec elle celui qui voulait la faire tomber, un bon plan en soit, mais encore fallait-t-il le réaliser.  Elle s’adossa au mur a coté de la porte, elle avait fait en sorte de ne pas faire de bruit, ça aller forcément être suspect si elle ne faisait pas de bruit. Et avec un peu de chance la personne qui était derrière tous ces bruits qui l’avait fait stresser était curieuse et avait envie de venir voir la mort supposer de sa victime. Elle souri quand la porte se poussa, laissant entrer une personne. Une femme, elle le voyait par la silhouette qu’elle apercevez dans l’ombre et le comprenait pas la légèreté de son pas.  Rebekah souri victorieuse, elle avait pièger son, ou plutôt sa traqueuse. Elle repoussa d’un geste brusque la porte, ne sachant pas du tout qu’elle venait de les enfermer définitivement dans la maison et souri en se tournant vers son chasseur qui était devenue sa proie «  C’est moi que tu cherche ? » Dit elle d’un ton hautain. Comme toujours, égale a elle-même, elle savourée sa victoire et on le voyait dans ses yeux. Elle fut surprise quand la femme se retourna, et perdit l’espace d’un instant son sourire. Oh merde alors Svetlana. La blonde la plus dangereuse qu’elle connaissait, alors là, elle n’était pas dans la merde. Cette blondinette était surement aussi dangereuse qu’elle-même, alors c’est pour dire. Dans le fond, Rebekah avait beaucoup d’estime pour cette femme, et un peu d’admiration aussi surement, mais hors de question de l’avouer. Mais hors de question de montré qu’elle était en train de se dire qu’elle aurait du fuir plutôt qu’écouté les conseils de son défunt père.  Alors elle colla a nouveau son sourire hautain et détestable qu’elle avait l’habitude de coller a ses lèvre et la fixa «  Oh tien tien tien, Svetlana Atkinson, c’était bien la prison ? Tu t’es fais plein de copine ? J’espère que c’pas toi qui ramassait la savonnette » Dit elle avant de lâcher un petit rire pire que détestable.  Là, elle était redevenue Rebekah la garce détestable. Après tout, ce n’était qu’une des facette de la brune et surement la seule que Svetlana avait connue. Et dire qu’elles avaient étaient « amie » dans un passé lointain…Très lointain.

You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeLun 12 Fév - 3:26

You gave up being good when you declared a state of warB-E-H-A-V-E never moreMe yeux s’habituaient lentement au changement de luminosité, mais je n’arrivais pas à distinguer tous les détails de la pièce encore. Je voyais néanmoins que ma proie ne s’y trouvait pas. Où avait-elle bien pu se cacher ? Il y avait un moyen très simple de le savoir, réalisai-je. Il me suffisait de suivre les traces de pas qu’elle avait laissées dans l’épais tapis de poussière au sol. Je baissai les yeux vers mes propres pieds pour m’apercevoir que le plancher devant moi n’avait pas été foulé depuis un certain temps, ce qui voulait dire que Rebekah… BAM ! Je me retournai, laissant échapper un hoquet de surprise que je regrettai aussitôt. Je ne voulais pas laisser voir que je ne m’attendais pas du tout à ce que celle que je cherchais se trouve juste derrière moi. Oui, je venais effectivement de me faire attraper à mon propre piège et je ne pouvais que m’en prendre à moi-même. Même si j’aimais me considérer comme ingénieuse et calculatrice, je savais qu’il y avait trop souvent une partie indomptée de moi qui prenait le dessus dans ce genre de situation. Ce n’était pas la première fois que mes émotions supplantaient ma raison, mais peu importe le nombre de précédents je n’apprenais pas à éviter de reproduire les mêmes erreurs. J’avais tellement de rage accumulée en moi à l’encontre de Rebekah que je n’avais pas été en mesure de la réprimer, il avait fallu que je succombe et que je mette mon plan en déroute pour assouvir ma soif de sang. Le résultat : Je me trouvais face à Rebekah, éloignée de la porte de sortie et le dos tourné à tous les dangers que recelait cette demeure.

Oui, c’était bien toi que je cherchais, pensai-je même si je ne répondis pas à sa demande. Je ne voulais pas lui donner de raison supplémentaire de se réjouir, même si son sourire fondit bien vite lorsqu’elle posa les yeux sur moi. Je devais avouer que de la voir réaliser qui était sa poursuivante me remplit un instant d’une joie féroce, mais je ne pouvais m’en nourrir. Ce sentiment de supériorité, issu de l’effet de surprise, était grisant et il était facile de s’y perdre, alors que l’étonnement de ma victime ne serait qu’éphémère. Justement, Rebekah retrouva son sourire narquois assez rapidement et essaya de m’atteindre en utilisant le sujet sensible entre nous : la prison dans laquelle elle m’avait fait atterrir. Sa pique fut suivie d’un éclat de rire qui, je le savais, n’avais pour seul but que de m’énerver. Il était toutefois hors de question que je perde le contrôle devant elle et que je lui réplique sous le coup d’une impulsion. Je devais garder la tête froide si je voulais reprendre le dessus, ce qui n’était pas dans mes habitudes. Pourtant, la revoir en face, et non seulement au travers des lentilles de mes jumelles, faisait en sorte que tous les souvenirs remontaient à ma mémoire, vifs comme s’ils dataient d’hier…

…J’étais assise, vêtue d’un chemisier au col haut et chaste. Le tissu était parfaitement repassé et aucune tâche ne venait souiller le blanc pur du vêtement. Ce procès me rendait nerveuse, moi qui avait l’habitude d’être en contrôle, de toujours savoir quel était le prochain retournement de situation au scénario. Je voulais donc faire une bonne impression auprès du jury et passer pour une pauvre danseuse vulnérable qui avait dû utiliser un somnifère pour se protéger d’un homme insistant qui cherchait à dépasser les limites de l’acceptable. Je devais faire passer la sécurité pour des incapables, le client pour un maniaque, et je devais même maquiller la vérité sur ma personne. Je respirai un grand coup. J’étais capable de le faire. Je pouvais m’en sortir. J’aurais à travailler fort, mais je connaissais mes capacités et elles étaient à la hauteur de la tâche. Le procès aurait dû débuter depuis quelques minutes, mais nous attendions toujours un témoin clé. Je me tournais les pouces, pianotant sur la table, essayant de faire passer le temps lorsqu’enfin j’entendis la porte de la salle d’audience s’ouvrir. Je me retournai, m’attendant à voir le médecin présent le jour de l’empoisonnement, mais je tombai des nues lorsque je la vis…

…Non, je ne pouvais pas me perdre dans le passé. Je contractai les dents, les poings, tout ce qui me permettait de rester stoïque face à cette insolente. Je pris aussi une grande inspiration avant de lui répondre : « Oui, des tas de copines, des meurtrières surtout. Si tu savais le genre de bons conseils qu’elles ont pu me donner… » Ma voix n’avait pas tremblé, ce qui était bien, mais on pouvait bien sentir tous les sentiments négatifs qui bouillonnaient en moi et menaçaient de déborder. Derrière moi résonna un grognement. Je maudis une fois de plus Rebekah, qui avait fait tout un vacarme en claquant la porte. Par sa faute, je me trouvais vulnérable, exposée à tous les zombies de cette demeure. Si je voulais sortir, je devrais passer par-dessus Rebekah, mais je savais qu’il valait mieux ne pas agir trop brusquement, sans quoi cette rencontre pourrait tourner rapidement en bain de sang. Si la fuite n’était pas possible, il me faudrait alors surveiller mes arrières, mais je me refusais à quitter Rebekah des yeux et ainsi lui donner la chance de m’abattre lâchement. Je ne pouvais donc qu’écouter et évaluer la distance du monstre en me basant sur le bruit de ses pas. Près, très près… Vite, je me retournai et empoignai la veste de jean du cadavre ambulant, puis je tournai sur moi-même et balançai le rôdeur en direction de mon ennemie. Le zombie, maladroit, s’étala au sol juste devant Rebekah. Tout en gardant l’oreille alerte, je me fixai le regard sur mon adversaire, désirant la voir combattre le rôdeur. J’aurais dû en profiter pour courir vers la porte durant cette distraction et retrouver la sécurité, mais encore une fois l’appel de la vengeance fut plus fort que celui de la raison.
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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeMar 6 Mar - 18:08


You gave up being good when you declared a state of war  


Quel choc pour la brune aux yeux vert de se retrouver face a cette vieille connaissance du passé. Un de ses fantômes qui ressurgissait pour  qu’elle n’oublie pas qu’elle n’était pas quelqu’un de bien. Qu’elle n’avait jamais rien fait de bien dans sa vie d’avant, et pas grand-chose de bien non plus  pendant sa survie. Cette femme, elle lui avait planté un magnifique couteau dans le dos, tout ça pour se vengeait d’avoir était manipuler. Que voulez vous, la rancune et l’égo des Fitzgerald était parfois beaucoup trop grand pour leurs bien.  Et cette femme, avait jouer avec le feu, et elle s’était bruler, bien comme il faut. Une brulure au troisième degrés, qui devait encore lui laisser une belle cicatrice, vue qu’elle était là, qu’elle avait voulut piéger la brune.  Et encore une fois, elle avait fait une faute face a Rebekah, elle était tomber dans son propre piège. Et sans le vouloir vraiment, la brune avait définitivement refermer le piège sur elles en claquant la porte.  De plus, le bruit de la porte qui claque et la voix de la fille de mafieux avait suffit a attiré les morts présent dans cette maison… Présent en masse.  Elle ne put que sourire face a la demi seconde où elle vit la stupeur de la jeune femme. Elles ne se voyait qu’a peine, après tout la maison était plonger dans une pénombre presque dérangeante, mais Rebekah l’avait vue, cette surprise. Elle avait tiré son foulard de sur son visage, parce qu’elle voulait que Svetlana la voit encore une fois gagner, et elle se dit même qu’elle lui lancerait un nouveau clin d’œil quand la blonde serait en train de se faire dévoré. La haine était tellement présente entre elles qu’elles en étaient surement a imaginer la joie intense qu’elles ressentirait quand l’autre serait en train de se faire dévoré vivante.

Elle était adosser a un pilier en pierre, qui n’était là que pour décoré, pour rendre le tribunal plus impressionnant qu’il ne l’était déjà. Elle regardait les gens passer, s’activé, tous était presser, le  procès allait commencer d’une minute a l’autre. Et pourtant, le témoin clé de la journée, qui n’était autre qu’elle : Rebekah Fitzgerald, ou plutôt Rose Hanscom, n’était pas presser. Elle  avait déjà prévue d’avoir une bonne dizaines de minutes de retard. Juste histoire de faire mariné un peu l’accusée. Elle voulait que l’agonie soit longue et douloureuse, c’était comme cela que la brune aimait les voir tomber. C’était comme cela qu’elle aimait faire tomber ses ennemies. Elle voulait voir dans les yeux de la belle blonde, la peur, la haine et le respect qu’elle devait lui témoigner, et aussi le regret de s’être attaquer a elle, d’avoir essayait de  la manipuler. Comme si Rebekah n’allait pas s’en rendre compte. Enfin, ca apprendra a la brune aux yeux vert a faire « confiance » a quelqu’un, a une femme qui plus est.  Elle souri en regardant sa montre, voila, dix minutes tout pile, tout le monde devait s’impatienté dans la salle, les avocats devait passer pour des looser, et deviner quoi ? Elle adorer cela. Elle se décolla du pilier auquel elle était adosser, tira un peu sur le bas de sa veste de tailleur comme pour enlever les plies qui auraient put s’y former. Elle marcha d’un pas  assuré vers la salle du procès et y entra, comme si tout était normal. Comme d’habitude elle était en retard. Il n’aurait plus manqué qu’elle lâche un « désoler du retard » et ça aurait était le summum. Mais elle s’abstint, tout le monde la regarder déjà bien assez.  Elle fut accueilli par l’avocat  qui défendait la victime –déjà morte- qui n’était pas heureux qu’elle soit en retard. Il la conduit  a la barre et la fit s’installer. Un homme en costume, très distingué lui fit mettre une main sur la bible et lever l’autre « Juré vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. » Rebekah regarda l’homme, puis regarda la blonde qui s’était décomposer en la voyant, souri  et annonça haut et fort «  Je le jure » Les pauvres, s’ils s’avaient que rien que son identité n’était qu’un  mensonge…


Elle rit presque aux paroles de la blonde, ni l’une ni l’autre n’était visiblement intimidé par l’autre, cette histoire ne sentait vraiment pas bon.  «  Dommage qu’elles t’ai donner ces conseil trop tard.  J’vois pas trop ce que tu vas  en faire maintenant » De la provocation, encore et toujours, parce que c’était connue, le passe temps favori de Reb est de provoquer les gens, les faires entrer dans une colère noir.  Elle fut surprise de voir la réaction de Svetlana face aux rodeurs, elle avait de bon reflexe et surtout un instinct incroyable. Enfin, elle savait qu’il fallait s’y attendre face a cette blonde, elle était dangereuse et pleine de ressource.  Quand le monstre fut a ses pied, la brune du reculer pour qu’il ne lui saisisse pas la cheville le temps qu’elle sortait son couteau de sa ceinture et le planta dans le crâne du monstre pourtant déjà mort. « Aller, amuse toi bien » Dit elle ensuite quand d’autre morts s’approchait de la blonde. Elle se tourna et essaya d’ouvrir la porte, en vain, elle était bloquer, et elle avait beau tiré dessus, a part s’enerver encore plus et faire un bruit pas possible elle ne faisait rien. «  PUTAIN ! » Ne put elle s’empêcher de lâcher. Elle se tourna juste a temps pour planté son couteau entre les deux yeux d’un morts qui était prêt a fermer ses mâchoires sur elle.  Elle se rapprocha ensuite de la blonde, elle n’avait pas le choix, elles devaient s’entraider maintenant pour sortir, sinon s’en était fini d’elles. « Faut qu’on se tire de là » Dit elle en se collant au dos de la blonde, pour qu’il n’y ai plus d’angle mort dans la pièce. Et aussi évité que la blonde ne la tue sans qu’elle s’y attende.

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeSam 17 Mar - 17:13

You gave up being good when you declared a state of warB-E-H-A-V-E never moreDe ma naissance jusqu’à mes onze ans, je m’étais toujours sentie en contrôle, les deux mains sur le volant avant même de savoir conduire. Il n’y avait rien que l’argent de mon père ne pouvait m’obtenir, personne que je ne pouvais influencer en un battement des beaux yeux bleu-gris que j’avais hérité de ma mère. Il s’agissait donc d’un euphémisme de dire que j’avais fait une chute vertigineuse lorsque mon père nous avait quittées, ma mère et moi, pour sa petite assistante. J’avais l’impression qu’on nous avait tout dérobé à ma mère et moi, de nos vêtements de marques jusqu’au pouvoir de notre apparence. Nous étions toujours magnifiques, il va sans dire, mais notre charme était désormais teinté d’un soupçon de désespoir que les charognards avides reniflaient à des lieux à la ronde. Après ce face-à-face brutal avec le bitume, je m’étais promis de ne plus jamais me faire prendre de court et d’avoir toujours un as de caché dans ma manche. Je m’en étais plutôt bien tiré par la suite… mais jamais lorsque je m’étais retrouvée face à Rebekah. Voilà pourquoi l’entendre me narguer me faisait autant fulminer, parce qu’elle était la seule capable de me faire perdre le pouvoir que j’avais pris tant d’années à acquérir par moi-même. Déjà, je venais de me faire piéger par elle dans cette villa en ruine alors que cet endroit était supposé devenir son tombeau à elle. Et que dire de la première fois qu’elle m’avait prise dans ses filets, toutes ces années auparavant…

Il m’avait fallu des heures pour bâtir la confiance nécessaire pour gagner ce procès, mais un seul coup d’œil à Rebekah avait suffi à réduire en éclats tous mes efforts. Je ne pouvais que la fixer tandis qu’elle défilait en direction de la barre, ma bouche formant un « o » stupéfait. Sa vue m’avait paralysée complètement et je n’arrivais pas à faire le tri au travers de toutes les pensées qui se bousculaient dans ma tête, de toutes les émotions qui se mélangeaient pour former un sirop épais de lequel il était impossible de se dépêtrer. Il n’y eut que lorsque l’interrogatoire débuta que je fus en mesure de reprendre une certaine contenance, lorsque les questions habituelles du procureur furent répondues d’une façon plutôt intéressante par Rebekah… ou plutôt par Rose Hanscom. « Ce n’est pas son nom. » Je me tournai vers mon avocat, les yeux écarquillés. Voilà mon moyen d’empêcher la vipère de témoigner et de révéler tous mes petits stratagèmes au jury. « Qu’est-ce que vous dites ? » « Elle n’est pas qui elle prétend être. Son vrai nom est Rebekah Fitzgerald. » L’avocat passa la main sur son visage, lui aussi déstabilisé par ce retournement de situation. « En avez-vous la preuve ? » Sur le point de hocher la tête, je me rappelai qu’il serait sûrement plus difficile que prévu de prouver que Rose Hanscom n’existait pas. De la même façon que j’avais toujours vécu sous le nom de Zoya lorsque je vivais à Las Vegas, Rebekah avait sûrement dû faire en sorte de garder sa véritable identité protégée. « Elle ment sous serment. Il doit y avoir un moyen de le prouver. Je ne sais pas comment, mais c’est vous l’avocat, c’est votre boulot de le faire. » Profond soupir de la part du dit avocat. Je l’imitai. Étant habituée à toujours être deux pas avant les autres, je n’acceptais pas de me voir devancée, surtout pas par elle. « Allez, formulez une objection ! Il ne faut pas qu’elle en dise plus, sinon je suis cuite. » « Je ne peux pas formuler une objection sans preuve, vous le savez bien, il me faut… » L’homme se tut lorsque des coups de marteau résonnèrent dans la salle d’audience. Nous nous retournâmes en direction du juge, qui nous jeta un regard plein de courroux et nous sermonna sur le respect que nous devions à la cour. Je m’excusai, puis m’installai contre le dossier de mon siège, fulminant contre le témoin à la barre. Par sa faute, je venais de commettre ma première erreur lors de mon procès. Le juge avait désormais une mauvaise première impression de moi, impression que je devais faire de mon mieux pour corriger. Le seul moyen de le faire était de garder le silence et d’écouter en entier le tissu de mensonge de cette traîtresse…

Le combat entre Rebekah et le zombie fut bref, principalement parce que je lui avais déjà prémâché le boulot en jetant le rôdeur à ses pieds. Je m’apprêtais à avancer dans sa direction, couteau en main, pour faire ce que le mort-vivant n’avait pas été en mesure de compléter, mais un bruit derrière moi me fit me retourner plutôt. Un zombie venait rarement seul, et voilà qu’une petite troupe de carnassiers s’avançait dans le hall d’entrée. Je me mis en position de combat, prête à les accueillir, bien qu’une boule se forma dans mon estomac à la vue d’autant de cadavres ambulants. La voix de Rebekah résonna derrière moi, un dernier au revoir avant qu’elle me laisse crever ici. Je sentais que je perdais pied, que tous mes efforts avaient été retournés envers moi et qu’encore une fois, Rebekah sortirait victorieuse de notre affrontement. Les choses ne se passèrent finalement pas comme prévu pour elle, puisque j’entendis la poignée tourner sans que la porte ne s’ouvre, puis un juron sortir de la bouche de ma pire ennemie. J’abattis le premier rôdeur à ma portée, puis jetai un rapide coup d’œil par-dessus mon épaule pour voir que Rebekah était elle aussi coincée ici. Je souris, poussant une exclamation ravie, mais je me rappelai de ne pas jubiler trop vite. Les rôdeurs dans la pièce ne feraient pas de distinction entre nous deux, me dis-je tout en reculant au centre de la pièce, suivie par un mort-vivant affamé.

Lorsque mon dos entra en contact avec celui de Rebekah, j’eu le réflexe de m’éloigner d’elle, comme si ce contact physique allait me contaminer. J’avais tellement de haine accumulé envers elle que je ne pouvais supporter d’être aussi près d’elle, surtout qu’elle insistait que nous devions nous sortir de là. Nous ? Il n’y avait pas de nous et il n’y en aurait plus jamais, je me l’étais promis lorsqu’elle s’était débrouillée pour que j’atterrisse en prison. Le problème, c’était qu’elle n’avait pas tort. Il y avait beaucoup de zombies ici, peut-être trop pour une seule personne. Même si j’avais l’impression de me brûler au fer rouge, je collai mon dos au sien en signe de coopération. « Es-tu sûre de le vouloir vraiment ? », demandai-je tout en éraflant son jeans de ma lame en signe d’avertissement. Si elle essayait de me rouler cette fois, il n’y aurait pas le système de justice ni le décorum de la cour pour s’imposer entre elle et moi. Et l’issue de ce combat ne serait pas une peine d’emprisonnement, mais la peine de mort. Sans attendre sa réponse, je plantai ensuite mon couteau dans le crâne amolli d’un premier rôdeur, puis d’un suivant. Il ne fallait pas leur laisser la chance de nous encercler et il fallait alors les éliminer le plus rapidement possible, dès qu’ils apparaissaient dans notre champ de vision. « Comme c’est par ton imprudence que nous sommes enfermées ici, à toi de nous trouver une voie de sortie », dis-je tout en abattant un nouvel ennemi. Déjà que j’acceptais de m’allier à elle, je n’allais certainement pas faire tout le sale boulot à sa place.
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeLun 9 Avr - 21:08


You gave up being good when you declared a state of war  


Elle ne savait plus vraiment comment elle en était venue a s’associer a cette blonde, il y a fort longtemps. Il faut dire qu’elle s’était « associer » a tellement de gens dans sa vie d’avant, sa vie de luxure, de débauche, de crimes…  Cette vie où elle avait passer son temps a se fuir plus qu’autre chose. Elle avait fuit pour fuir le fantôme de son père, fuir tout ce qu’il avait laissé encré en elle, elle avait cru pouvoir fuir, alors qu’il avait marquer tout cela au fer rouge et que même si elle le voulait de toute ses force, elle ne le fuirait jamais.  De toute façon, tout ses associés avait fini plumé et mal en point, certain était même mort. Mais quand elle avait rencontré cette blonde, belle comme un cœur, manipulatrice comme une pro, elle s’était dit qu’enfin, elle avait trouvé son alter-égo, celle avec qui elle pourrait tout faire, et avec confiance. C’était pour cela qu’elle lui avait donné sa vrai identité, elle en avait pourtant tellement. Elle lui avait fait confiance, elle lui avait dévoilé sa vraie personnalité. Et tout cela pour quoi ? Pour découvrir qu’elle se faisait manipulée depuis le début. Cette relation n’était qu’une énorme mascarade. Mais Rebekah n’était pas quelqu’un qu’on entube facilement et surtout, elle n’était pas quelqu’un qu’il est bon de se mettre à dos.  Et si Svetlana en avait douté, Rebekah l’avait fait tomber. La blonde s’était sentit toute puissante, mais elle avait oublié qu’elle avait mit en colère la personne a ne jamais mettre en colère. La brune aux yeux vert avait cru ne plus jamais entendre parler de Svetlana Atkins, elle avait même presque oublier le nom et le visage de cette femme. Jusqu'à ce moment, jusqu'à ce traquenard qui s’était retourné d’abord sur la brune, puis sur la blonde et maintenant elles étaient dans la même merde.

« Quand avez-vous rencontré l’accusée ? »  Demanda l’avocat face a elle. Un homme un peu bedonnant, la cinquantaine, une calvitie plutôt avancé. Rebekah se dit tout de suite en le regardant qu’il avait l’air d’un vulgaire crapaud. Le genre de bestioles répugnantes sur lesquelles elle avait l’habitude de rouler en voiture.  Enfin, elle n’était pas là pour comparé l’avocat a un crapaud, elle était là pour montrer a Svetlana que la vengeance se manger pas froid, mais glacé chez les Fitzgerald et surtout qu’elle pouvait être horrible. Elle aurait put la tué, elle aurait même facilement put. Mais non, Rebekah pensait que la prison était bien pire que la mort. Elle voulait voir cette garce derrière les barreaux, enfermer jour et nuit, avec une heure de sortie par jour, réglementer. Elle voulait que la blonde perde toute intimité, toute dignité. Elle voulait qu’il y ait des yeux braqué constamment sur elle, elle voulait qu’elle côtoie les pires raclures de cette terre, elle voulait juste la détruire psychologiquement. Elle prit une grande inspiration, elle devait se concentré, être dans son rôle. «  Je… Je l’ai connue quand j’ai était embaucher comme danseuse dans le même club qu’elle… » Elle avait fait exprès de prendre une voix sincère, un peu timide, un peu triste, un peu déstabilisé. Et pourtant, elle poser ses yeux sur Svetlana,  et surement que la blonde pouvait lire dans son regard qu’elle allait pas lui faire de cadeaux.  «  Comment était elle en tant que collègue ? » La brune tourna les yeux sur l’avocat a la face de crapaud et prit d’un coup un air un peu terrifier. « Elle était… Dur  avec tout le monde, presque asociale, elle n’aimait aucune des autres danseuse, et encore moins nos clients. » Et voila, elle était partie dans son rôle, Rose Hanscom n’était qu’une pauvre fille qui avait subit la tyrannie d’une psychopathe…Enfin si on en croyait les paroles de Rebekah, qui jouait a merveille son rôle.

Elle se retrouva dos a dos avec cette femme, la haine qui émanè des deux jeune femme était palpable, surement que les rôdeurs aurait put morde dedans. Sauf que voila, elles étaient maintenant enfermé dans cette maison, envahi de mort vivant, et si l’une voulait vivre, il faudrait s’allier avec l’autre. Oh comme cela devait leurs faire mal a l’une comme l’autre. Mais comme elles n’étaient pas bêtes, elles avaient vite compris ce qu’elles devaient faire pour s’en sortir.  Elle grogna légèrement quand elle senti la pointe du couteau de la jeune femme lui faire une coupure superficiel a la jambe. Superficiel certes,  mais qui saigne quand même. Pas sur que ce soit très intelligent. «  Mais vas y, je t’en pris, continue a me blesser histoire que je saigne bien et que les mort soit encore plus attiré. Si je tombe, crois moi tu tomberas aussi. » Dit elle entre ses dents, elle avait envie de gueuler mais ce n’était pas approprié dans ce genre de situation.   Les mort venait sur elle, presque les uns après les autres. Elle les abataient, c’était presque une routine maintenant, sauf qu’elle n’avait pas manger depuis la veille, elle n’allait pas tarder a fatiguer. «  Oui, j’y compte bien. Je vais pas me fier a toi vue comme tu t’en ai sortie a ton procès. » Elle ne faisait aucune confiance en cette blonde, elle doutait fortement qu’elle puisse se sortir de là, et donc les sortir toute les deux de là. La brune essayait de balayer la pièce des yeux autant qu’elle pouvait entre les morts et la peine ombre. Elle remarqua cependant un couloir. «  Faut qu’on avance, on doit aller dans le couloir, on va trouver une pièce vide et on sortira par la fenêtre. »  Elle essayait de visualisé un peu ce qu’elle avait vue de l’extérieur de cette maison. Elle avait l’air d’être un peu comme le manoir de son enfance, un manoir qui n’avait pas de secret pour elle, elle trouverait forcement une sortie.  Alors voila qu’elle essayait d’avancer tant bien que  mal entre les mort toujours dos a dos avec Svetlana même si elle n’avait qu’une envie, se tourner et l’égorger d’un coup sec.

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeDim 22 Avr - 1:46

You gave up being good when you declared a state of warB-E-H-A-V-E never moreÀ force de grincer des dents, j’allais finir par les faire éclater en mille morceaux. Toutefois, cela semblait inévitable. C’était serrer les mâchoires, ou bien poignarder Rebekah. Même si j’aurais voulu plus que tout que la deuxième option prévale, je savais que j’avais besoin d’elle pour sortir de cet endroit vivante. Je devais donc réprimer mes pulsions meurtrières de mon mieux, ce qui s’avérait plus difficile que de combattre les rôdeurs qui nous encerclaient. Chacun de ses petits commentaires me poussaient à mes limites. « …Vu comme tu t’en es sortie à ton procès… » Après cette phrase, je fis un pas en avant, me détachant quelques instants du dos de Rebekah, pour me rapprocher du rôdeur en face de moi. Une femme, fin trentaine, les cheveux sombres et sales. J’essayai de mettre les traits Rebekah sur son visage en putréfaction, puis je frappai un grand coup pour achever la morte-vivante. Je venais de faire d’une pierre, deux coups : éliminer une menace et expulser un peu de rage accumulée. Suite à cela, Rebekah proposa d’avancer vers un couloir. Je jetai un coup d’œil, distinguant bel et bien un passage dans l’obscurité, puis j’approuvai. Toujours dos à dos, nous avançâmes donc lentement en direction de notre sortie potentielle, repoussant les assaillants au fil du chemin. Même si nous éliminions les zombies qui s’approchaient trop à notre goût, ils étaient aussitôt remplacé par un nouvel ennemi en provenance de je ne savais où. Peut-être ce manoir avait-il abrité une petite communauté, ou bien tous les survivants l’ayant visité avant nous étaient-ils morts et étaient venu grossir les rangs des carnassiers, qui savait, mais le fait était que le flot de macchabés semblait sans fin.

Une fois dans le couloir, je m’arrangeai pour avancer de côté. Personne devant ni personne derrière, nous marcherions toutes les deux en crabe. J’avais été dos à l’ennemi durant les premières minutes de cette confrontation, je voulais donc être certaine de pouvoir voir ce qui m’attendait cette fois. Je gardais cependant un œil en direction de l’entrée du manoir par mesure de prudence, même si les zombies, plus lents que nous, n’avaient pas encore pénétré dans le corridor. Il devait sûrement y avoir une sortie vers l’arrière de cette villa, c’était assuré. La question était de savoir si elle était dégagée… En effet, les rôdeurs provenaient eux aussi du fond de cette demeure, ce qui me faisait craindre le pire. Même si mes yeux étaient habitués à la noirceur, l’obscurité de ce couloir était presque opaque, il était difficile de distinguer quoi que ce soit. Mon pied heurta une plante en pot, qui tomba au sol en roulant. Sur le coup, mon cœur fit un bond, jusqu’à ce que je réalise qu’il s’agissait d’un inoffensif bouquet de fleurs mortes. Puis, relevant le regard, je distinguai un éclat de lumière. Je ralenti le pas pour me permettre de mieux observer. Effectivement, je me trouvais devant une porte entrouverte et par la fente je pouvais apercevoir un faible rayon de soleil percer entre les rideaux tirés. Sans perdre une seconde, je me jetai dans la pièce et refermai la porte, la claquant sans retenue. Tripotant quelque peu la poignée, je trouvai un verrou que j’enclenchai. Toutefois, je devais m’assurer que cet endroit était sécuritaire avant de crier victoire. Je couru donc en direction de la source de luminosité et tirai les rideaux. Le soleil illumina la pièce, que je trouvai vide de zombies.

Je me trouvais dans une salle de bain qui avait connu de meilleurs jours. Le carrelage était crasseux, le miroir ne reflétait plus rien tellement la poussière s’y était accumulé, mais la pièce me paraissait tout de même comme le plus bel endroit au monde, puisque ma voie de sortie s’y trouvait. Qui plus est, je serais la seule à en profiter. Rebekah pourrait crever dans ce manoir tandis que je m’enfuirais vers la liberté. Peu loyal comme décision, je devais l’avouer, mais je n’allais tout de même pas commencer à plaindre la Fitzgerald. Elle n’avait que ce qu’elle méritait. Je retournai à la fenêtre et tentai de l’ouvrir, mais le temps et la rouille avait scellé à jamais les pentures semblait-il. J’avais beau forcer, je ne parvenais à aucun résultat. Qu’à cela ne tienne, je n’avais qu’à briser le verre. Je me mis donc à farfouiller dans la salle de bain à la recherche d’un objet pouvant m’aider dans ma tâche. Lorsque je mis la main sur l’outil approprié, je fis face à la fenêtre pour réaliser que mon plan tombait à l’eau. Le verre était divisé par des traverses en métal. Même si je brisais la vitre, il me serait impossible de passer par les petits carrés formés par les barres métalliques. Enragée par cet échec, je jetai l’objet désormais inutile contre le mur. J’étais enfin débarrassée de Rebekah, mais pas encore tirée d’affaires. Il allait falloir que je poursuive mon avancée au creux du manoir… Il y avait une seconde porte dans cette salle de bain, vers laquelle je me dirigeai. Elle devait sûrement mener à une chambre d’invitée ou encore à un séjour. Faisant de nouveau preuve de prudence et de furtivité, je poussai lentement la porte vers l’inconnu…
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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeJeu 3 Mai - 12:47


You gave up being good when you declared a state of war  


Même si c’était dur de l’admettre, s’allier a Svetlana pour sortir d’ici était la meilleur chose a faire. Elles allaient pouvoir s’entraider pour une fois dans leurs vies. Bien qu’aucune des deux n’étaient bien fiable, il n’était pas sur qu’une ne fasse pas une crasse a l’autre. Enfin, Rebekah avait décider de l’aider, alors elle le ferait, même si elle s’attendait  a tout venant de la blonde. La preuve, elle l’avait déjà blessé physiquement. Reb’ savait parfaitement qu’il fallait qu’elle soit sur ses garde un mauvais coup pouvait arriver de n’ importe où et sous n’importe quel forme. Pour l’instant c’était cependant elle qui avait le dessus, car contrairement a la blonde, Rebekah avait le total contrôle d’elle-même. Elle ne se laissait pas envahir par la rage, elle ne laisser pas les émotions prendre le dessus. Et comme elle avait vue que ce n’était pas le cas de Svetlana, elle en jouait, l’énerver, la poussait dans ses retranchement. Elle avait toujours était comme cela, même quand elle était jeune. Evidement ca lui avait valut parfois des coups, parfois des insultes, mais elle en ressortait toujours plus forte et plus diabolique. En faite, elle aurait put être le diable. En apparence du moins, au fond tout au fond elle était juste une pauvre enfant perdu, brisée, horriblement seule qui a besoin d’attention et d’un peu d’amour.  Un peu comme Lucifer dans le fond. Souvent on l’avait comparé au diable, et elle s’était toujours dit que c’était un compliment, être comme l’ange qui avait osé défier le Dieu son père. Sauf qu’elle, elle n’avait jamais osé défier son père et elle avait pourtant quand même fini en enfer.  Elle avait aperçut une échappatoire, le couloir il mener quelque part, c’était obliger.  Alors les voila aller  dans ce fameux couloir, étroit mais assez large pour qu’elles tiennent a deux cote a cote.

Elle aurait du le prévoir, elle aurait dût s’y attendre…Mais non, elle avait relâcher sa garde et voila, Svetlana en avait profité pour se jeter dans la première pièce qui venait et fermer la porte derrière elle.  Bien sur, la brune avait essayé de la suivre, elle s’était jeter elle aussi contre la porte, mais s’était cogner contre celle-ci. Et c’est avec acharnement qu’elle essaya de l’ouvrir appuyant avec fureur sur la poigné avant de se rendre compte qu’elle était verrouillé. «  Salope » Marmonna avec fureur la brune avant de mettre un grand coup de pied rageur dans la porte face à elle. Elle se tourna d’un geste vif quand elle senti un mordeur lui agripper l’épaule et avec rage elle le tua, mettant plusieurs coups de couteau dans son crane avant de le laisser tomber  «  Toi me fait pas chier » Lâcha t elle en regardant le corps sans vie. Voila, elle avait perdu le contrôle. Elle voulait prendre son temps pour reprendre son calme, mais les morts commencer a suivre le pauvre malheureux qui avait crut pouvoir mordre la brune. Elle entra donc dans la pièce voisine de celle dans laquelle la blonde était entré et  se mit à faire les cents pas, après s’être barricadé bien sur.  Elle s’arrêta de marcher quand elle entendit une porte qu’elle n’avait même pas remarquée s’ouvrir. Quand elle vit Svetlana débouler de cette porte, la brune lui fonce dessus et la plaqua au mur, son couteau sous la gorge. Elle n’avait encore pas retrouvé son calme, Svetlana arrivait trop tôt et aller surement subir sa colère. « Alors comme ca on se tire en douce ? » Dit Rebekah a quelque centimètre de Svetlana, d’un ton qui puait la colère mais pourtant qu’elle retenait quand même. Leurs visages n’étaient qu’a quelques millimètre l’un de l’autre, un mouvement et elles pourraient s’embrasser. Si avant ca n’aurait pas dérangeait Rebekah de s’envoyer en l’air avec elle, maintenant la brune préféré mourir qu’avoir a toucher cette femme autrement que pour lui mettre des coups. «  Je vois que la trahison est dans ta nature. » Souffla a nouveau la brune, ses prunelles vertes pleine de rage plongeait dans les prunelles bleu de son « alliée ». «  Tu sais ce que je fais aux traitres quand il n’y a plus de prisons ? »  Elle attrapa l’épaule de la blonde et d’un geste se tourna et l’envoya par terre d’un geste plein de rage. Puis elle sortie son magnum et le pointa sur la blonde a terre. Elle la regardait de toute sa hauteur, de toute sa haine, elle avait le doigt sur la gâchette, l’arme était charger et prête a tuer.  Mais elle se résigna, et du plat de  la chaussure lui mit un coup dans le ventre avant de ranger son arme. «  C’est la première et dernière fois que tu me fais ce coup. La prochaine fois ce sera plus qu’un petit coup de pied. »  Dit elle en passant a coté d’elle « Aller amène toi j’ai pas envie de passer ma vie avec toi. » Lança t elle sèchement en allant vers la porte et commencer a pousser le meuble qu’elle avait mis devant pour la barricader.

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeVen 18 Mai - 4:28

You gave up being good when you declared a state of warB-E-H-A-V-E never moreJe venais à peine de franchir la porte que je me retrouvai plaquée au mur avec une lame sous la gorge. Mes yeux devant de nouveau se réhabituer à la pénombre après avoir vu la lueur du jour, mais je n’avais pas besoin de mes yeux pour savoir que je venais de tomber sur Rebekah de nouveau. Elle était comme une gomme sous la semelle de ma chaussure. Partout où j’allais, elle me suivait. Son visage était tout près du mien et si j’avais voulu, j’aurais pu ployer le cou dans sa direction et la mordre. La tentation était forte, mais le tranchant de son arme sur ma peau me rappelait que je devais rester prudente. Je la laissai donc m’insulter, essayant de programmer mon cerveau à considérer sa voix comme un bruit de fond, un charabia inaudible. Si je voulais quitter cet endroit, j’allais devoir apprendre à l’ignorer. Je ne pouvais plus laisser ses sifflements de vipère me mettre en colère. Comme je commençais à développer une certaine capacité pour éclipser la présence de ma rivale, je fus soudainement propulsée vers le sol par la traîtresse. Mon dos heurta le sol avec un tac! bruyant que les zombies au dehors ne pouvaient pas avoir manqué. La subtilité avait pris la dernière place dans l’échelle des priorités de Rebekah. Ma petite tentative d’évasion avait vraiment dû la mettre en rogne, puisqu’elle pointa son pistolet sur moi avec la ferme intention de m’abattre. Je le voyais dans son regard, qui luisait presque dans le noir sous l’effet de la pulsion du meurtre.

Je mentirais si je disais que je n’ai pas cru pendant un instant qu’elle allait réellement me tuer. Je n’étais pas du genre à paralyser face au danger, l’adrénaline me permettait souvent de réagir au quart de tour lorsque je me sentais menacée. Pourtant, cette fois-ci, j’étais déstabilisée par ce plaquage au sol et je ne savais pas comment j’allais me tirer de cette situation. Je m’imaginais déjà morte, vaincue par l’ennemie que j’avais tenté de piéger. Je n’osais pas bouger, les yeux fixés sur la bouche du canon. Au final, je n’eus pas eu droit à une balle en pleine tête, mais à un coup de pied dans le ventre auquel je ne pu pas me préparer en contractant les abdominaux. J’eu donc le souffle coupé pendant quelques minutes et je commençai à tousser. Lorsque les éclairs de douleurs cessèrent de traverser mon torse, je me relevai lentement. J’étais à la fois honteuse de m’être fait ainsi maltraiter par Rebekah et furieuse d’avoir encore une fois de plus finit bonne deuxième face à elle. Je ne croyais pas qu’une escalade de violence était la solution, et de plus je ne me sentais pas suffisamment en forme physiquement après tout cette histoire pour affronter Rebekah d’égale à égale, mais je savais comment faire aller ma langue. « Cette baraque est pourrie. Les fenêtres sont tellement rouillées qu’il est impossible de les ouvrir. Et elles sont parcourues de traverses métalliques, alors il ne faut même pas penser à les éclater. Et toi, qu’est-ce que tu faisais tandis que je cherchais une façon de sortir ? » Je haussai un sourcil, lui laissant à peine une seconde, puis je poursuivis avant qu’elle ne puisse me répondre : « Oh, laisses-moi deviner. Rien, c’est ça ? Même avec ces mordeurs dehors tu es encore trop princesse pour te salir les mains ? Il faut que quelqu’un fasse le boulot à ta place ? »

C’était bien là que notre mésentente avait commencé, il y avait des années. Sans vouloir entrer dans les détails, disons que nous avions toutes les deux tenté de manipuler l’autre. Aucune de nous deux ne voulait se mouiller dans une affaire particulièrement risquée, d’où notre obstination à vouloir que l’autre fasse tout le sale boulot. J’avais été très en colère quand j’avais découvert que Rebekah cherchait à me rouler, mais jamais je ne m’étais attendu à ce qu’elle réagisse comme elle l’avait fait, à mentir sous serment pour me faire atterrir en tôle… Je prêtai serment sur la bible à moitié présente, comme si j’étais hors de mon propre corps et que je me regardais de haut poser la main sur l’épais volume. La journée d’hier avait été éprouvante. J’avais pensé pouvoir gagner ce procès haut la main, mais voir Rebekah entrer dans la pièce avait fichu en l’air tous mes plans. Pire encore, ses mensonges avaient brisé en peu de temps ma ligne de défense. Au lieu d’une pauvre jeune femme innocente, le jury voyait désormais devant eux une vulgaire strip-teaseuse qui effrayait ses collègues et brutalisait ses clients. J’allais devoir redoubler d’ardeur pour renverser cette vision. Mon avocat ne chômait pas, tentant sans relâche de prouver que Rose Hanscom n’était qu’une invention. Jusqu’ici ses efforts avaient fait chou blanc. Rebekah avait vraiment assuré ses arrières sur ce coup-là. J’allais donc devoir assurer à la barre face au procureur.

Nom ? « Svetlana Atkinson. » Occupation ? « Danseuse exotique. » Connaissais-je monsieur Untel ? Comment l’avais-je rencontré ? « Oui, je l’avais rencontré dans la boîte où il m’avait demandé d’aller avec lui dans les cabines. » Sa crise avait eu lieu dans les cabines ? « Exactement. » Avait-il bu beaucoup cette soirée-là ? « Son haleine empestait le whisky, donc je crois que oui. » Vous croyez ou vous êtes sure ? « Je ne l’ai pas surveillé toute la soirée pour compter ses verres, mais il avait décidément beaucoup consommé. » Pourtant, un témoin a dit au bar que monsieur n’avait bu qu’un verre avant votre arrivée… « Je n’en sais rien. » Passons à la suite de la soirée. Monsieur vous a proposé d’aller dans les cabines et ensuite… ? « Ensuite il a commencé à devenir très insistant. Il m’a aggripé le poignet et… » Monsieur vous a serré fort ? « Oui. Il voulait que je… enfin que je lui fasse… » Les policiers qui vous ont interrogé n’ont pas noté d’ecchymoses sur votre bras. « La salle d’interrogatoire était sombre. Ils sont inspecteurs, pas médecins, mes blessures ne les intéressaient pas. »

Je commençais à avoir horriblement chaud. Je sentais que le procureur en savait beaucoup plus sur le déroulement de la soirée que je le croyais au départ. Mes mensonges se devaient d’êtres solides si je ne voulais pas être exposée. Je tournai un instant le regard dans la salle à la recherche de quelqu’un. Je la trouvai. Elle avait encore son sourire sur les lèvres tandis qu’elle me regardait avec son regard enjoué, comme s’il elle n’avait jamais vu meilleur spectacle…
Mes pensées furent interrompues par un coup puissant contre la porte de la chambre. Je tournai la tête par réflexe, sachant très bien ce qui causait ce bruit. « Bon, grâce à tout ton brouhaha les zombies nous ont retrouvées. » J’aimais considérer Rebekah responsable de tous mes malheurs puisque cela me permettait d’ignorer ma propre part de responsabilité. « Retournons dans la salle de bain et revenons sur nos pas. Nous trouverons bien un autre moyen d’atteindre la porte de derrière de cette maison de fous. » Un peu autoritaire comme réponse, mais je ne comptais pas rester plus longtemps que nécessaire entre les deux pires calamités au monde : les zombies et Rebekah Fitzgerald.
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeVen 1 Juin - 17:39


You gave up being good when you declared a state of war  


Svetlana avait encore une fois essayer de la devancer, de lui planter un couteau dans le  dos. Décidément cette blonde n’avait vraiment pas compris la première fois que c’est pas vraiment conseiller de se mettre Rebekah a dos. La première leçon qu’elle lui avait donner avant l’apocalypse ne lui avait donc pas suffit ? La prison ne lui avait donc pas mit de plomb dans la cervelle, c’était bien malheureux.  Mais alors qu’elle l’avait, là, par terre a porter de tire, elle l’aurait eu a bout portant. Une balle dans la tête et elle était débarrasser de se parasite blond qui lui pourrissait la vie.  Elle la tuait, la jeter aux morts pour pouvoir être tranquille le temps qu’elle trouve une sortie, et une fois dehors retourner voir son homme comme si de rien était. Et au pire elle ne dirait a personne ce qu’elle avait fait et voila. Et pourtant, elle l’avait sous son joug mais elle n’arrivait pas a appuyer sur la gâchette. Ce n’était pourtant pas l’envie qui lui en manquait.  Elle fixait la blonde au sol, elle  voyait dans ses yeux malgré la peine ombre, que la blonde la craignait a cet instant précis. Elle avait encore une fois l’avantage. Une petite voix lui soufflait a l’oreille «  Tire ! » Et pourtant son corps n’obéissait pas. A la place d’une balle dans la tête, la blonde reçut un coup de pied violent dans le ventre. Elle avait gagner et pourtant elle renoncer a une victoire totale. Pourquoi, cela ne lui ressemblait pourtant pas.  Normalement quand une victoire se présentait a elle, elle la saisissait et ne la lâchait plus, pire qu’un chien accrocher a son os. Mais là non, rien du tout, elle se contenta d’un coup de pied et d’une affirmation qu’elle avait envie de partir. Elle se retourna quand la blonde se mit a parler. Elle trop princesse ? Oui, totalement, et pourtant elle avait surement beaucoup plus de sang sur les mains que Svetlana. Elle souri doucement, ses paroles était plutôt amusante au final. Peut-être qu’elle la connaissait  plutôt bien en fin de compte. Oui, elle n’allait pas trop se salir les mains, elle comptait bien laisser a Svetlana tout le sale boulot et elle, elle se contenterait de commentaire désagréable et jouer les inspecteurs des travaux fini.  « Finalement tu n’es peu être pas aussi blonde que  je le pensait. Tu comprend des choses en faite ! Bravo je suis impressionner » Elle lui lanca un sourire mauvais et narquois, le même que ce jours là.

Elle avait témoigner, elle avait frapper fort. Là, Svetlana allait avoir du mal a  redresser son image auprès des jury. Elle s’était presque épaté elle-même tant elle avait jouer son rôle a merveille. Bien sur elle avait assuré ses arrière, elle savait que la blonde voudrait que son avocat fasse des recherche sur l’identité qu’elle avait utiliser, et c’est pour cela qu’elle avait utiliser l’identité qu’elle utiliser le plus « Rose Hanscom » et pour  être en sécurité, Rose avait un certificat de naissance, une carte d’identité, un passeport et même des comptes sur différent réseaux sociaux. C’était presque si Rose Hanscom existait pour de vrai.  Et maintenant, elle était là, sur un banc,  parmi  les autres personnes venue assisté a ce procès. Ce que c’était grisant de voir l’ennemie sur le banc des accuser et elle, elle allait s’en sortir indemne. Elle allait encore une fois envoyer une personne en tôle et continuer sa petite vie tranquile. Et bien sur, elle ne se privait pas de fixer la blonde qui répondait a toute les questions. Ses yeux disait « et maintenant tu va faire quoi ma grande. J’ai hâte de voir » et ses lèvres tiré en un sourire narquois et mauvais disait «  Fallait pas me chercher. Maintenant que tu m’as trouver tu es bien dans la merde »  Oh jamais elle n’avait assisté a un spectacle aussi amusant. Elle avait presque envie de nargué encore plus la blonde en lui faisant un petit coucou de la main. Mais n’abusons pas, elle ne devait surtout pas se faire remarquer plus que cela.


Elle souri plutôt fière d’elle quand la blonde pesta qu’elle avait fait tellement de bruit qu’elle avait surement rameuté tout les rodeurs de la maison. Tout pour faire chier la blonde, ça c’était sur. Parfois elle se surprenait a se dire qu’elle était peut-être un peut trop mauvaise et qu’elle devrait se calmé. Et après elle se rappeler que si elle devenait « gentille » c’était la porte ouverte a tout ses démons et a la réouverture de ses vieilles blessures. «  Bah alors Miss Atkison, on a peur de quelques morts ? » Dit elle amuser d’un ton moqueur.   Alors avec ça, si elle ne se prenait pas un coup dans la gueule, c’était vraiment que la blonde avait appris a contrôler ses  nerfs et donc elle devrait passer a l’étape supérieur.  Elle rit un peu au plan de la blonde «  Revenir sur nos pas, donc a l’entré de la maison pour trouver la porte de derrière ! » Elle rit a nouveau «  Amusant,  c’est comme pour ton proces ça, tu pense que tu va t’en sortir mais tu vas droit dans le mur. Enfin, soit allons y, j’ai hâte de voir comment tu va te sortir de cette merde » Dit elle en passant devant pour aller vers la porte de la salle de bain. Puis elle s’arrêta devant et la laissa passer, mais cette fois elle n’allait pas se faire avoir, elle la surveiller et d’un œil attentif. Une fois dans l’étroite salle de bain la brune regarda autour d’elle « Bon et maintenant  « chef » on fait quoi ? » Elle avait dit chef d’un ton assez ironique et moqueur. Evidement qu’elle allait laisser la blonde se planter, mais bien sur qu’elle avait un plan pour s’en sortir, enfin elle au moins, tant pis si la blonde ne s’en sortait pas.


You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.




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Aileen L. Blackhood

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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitimeSam 23 Juin - 19:44

RP archivé suite au départ de Svetlana. coeurrose
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MessageSujet: Re: [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah [Flashback] You gave up being good when you declared a state of war | Rebekah Icon_minitime

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