I say friend, your hear me ?
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Une annonce importante arrive...
Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure. coeurrose
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez

I say friend, your hear me ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMar 2 Avr - 21:30

" A new beginning start. "

Qu’est-ce qu’elle faisait ! Depuis quand elle devait avoir besoin de quelqu’un ? La jeune femme n’avait qu’une envie s’était de le revoir. Il y avait très très peu de chance qu’elle le retrouve. Après tout, il pouvait être mort. Il pouvait ne pas avoir survécu ? Elle chassa l’image dans sa tête. Il ne pouvait pas être mort. Cela n’était même pas une solution à envisager. Il avait réussi à lui insuffler une lueur d’espoir. Dans ce monde, on ne pouvait plus vivre sans personne. C’était trop risqué. Elle n’avait pas envie de devenir un monstre et encore moins un rôdeur. Sa voiture avait roulé dans la direction que Nate lui avait signalé la dernière fois qu’elle l’avait vu. C’était complètement débile de traîner en espérant rentrer à nouveau des personnes. La jeune femme fit une escale à Ramer. C’était une ville assez isolée et elle pourrait poser son feu de camp pour faire ses recherches sur ce fameux complexe. La nuit allait bientôt tomber. Il était hors de question qu’elle dorme dans sa voiture. Elle vit une grange et une ferme à côté. Elle décida d’aller là-bas. Il y avait plusieurs moyens de s’échapper. Elle prit son arme à sa main pour scruter ce qu’il se trouvait autour. Elle décida à rentrer quand le danger était plus ou moins écarté. Elle fit le tour de la maison. Elle eut une mauvaise rencontre, un gentil zombie qui avait une faim de loup. Il devait être assez vieux dans les septante ans. Il avançait vraiment lentement. Elle eut le temps de faire une manœuvre pour le tuer d’un coup de couteau dans l’œil. Elle soupira pour le trainer et le mettre dans une chambre isolée en prenant le soin de fermer la porte. Elle sortit pour prendre des munitions et des provisions. Elle garda la clé dans sa poche après avoir fermé la voiture.

Elle vérifia tous les accès au rez-de-chaussée. Elle les ferma de manière à lui être à son avantage. Les zombies n’arriveraient pas à rentrer comme ça. Elle se rendit au premier étage pour voir les vues qu’il y avait. Trop imprudente, elle sentit quelque chose lui attrapait le pied pour la tirer dans le lit. Heureusement pour elle, le zombie s’était attaqué dans son talon. Elle lui donna un coup de pied pour se dégager. Elle recula pour le laisser sortir. Son talon de ses bottes alla s’enfoncer dans la tête du zombie. Une mine de dégout s’installa sur son visage. Elle se rendit dans les toilettes pour voir un seau d’eau. Elle trempa un peu ses chaussures pour les nettoyer. Elle vit le crépuscule s’installer petit à petit. Elle vit des feux au loin. Une voiture ! Elle descendit des escaliers pour voir qu’elle allait passer pas loin de la route. Elle la regarda et se dit qu’il venait peut-être du complexe. Le temps qu’elle arrive au bord de la route, ce serait un peu tard. Pourtant, elle prit une lampe de poche pour faire des signes. Peut-être que la voiture viendrait ? Arwen vu que la voiture venait dans sa direction ? Elle remonta à l’étage pour scruter la personne qui allait arriver. S’il avait une arme, elle devrait prendre des précautions. Elle pourrait toujours s’aider de la connaissance des pièces de la maison pour s’enfuir.

Quand la voiture fut arrêtée, en face, elle remarqua qu’un homme sortit. Elle s’aida des rideaux pour passer inconnaissable. Quand la personne leva les yeux pour inspecter, elle se cacha et se mit dans la coulissure des escaliers. Elle entendit la porte s’ouvrir. Des bruits sourds se répandaient dans la maison. La jeune femme éleva sa voix pour se faire clairement entendre. Elle était consciente qu’il allait la localiser. Elle voulait savoir si elle pouvait lui faire confiance.

« êtes-vous armé ? Venez-vous du complexe ? Si vous me créez des ennuis, je n’hésiterais pas à vous mettre une balle entre vos deux yeux ! Nous sommes plusieurs dans la maison, faites attention. »

Du bluff ? Aujourd’hui, elle pouvait le faire sans remords. La personne ne pouvait rien savoir et cela lui donnait un sérieux avantage. Enfin, cela pourrait faire partir quelqu’un à toute vitesse. Elle ne voulait pas qu’on la prenne pour une faible et encore moins pour une imbécile. Mais elle devait savoir comment se rendre dans le complexe. C’était une des seules manières d’y accéder. Elle ne voulait pas passer son temps à chercher en tournant en rond. Pourquoi le téléphone ne marchait plus !
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMer 3 Avr - 18:19

Silver avait quitté le complexe à la recherche de survivants, un travail qui n'allait pas vraiment avec le caractère solitaire du protagoniste. Il ne comprenait pourquoi on l'envoyait lui mais bon, il ne faisait confiance à personne et on l'envoyait lui, c'était n'importe quoi. Il emprunta un véhicule et partit à la recherche de potentiel survivants. Il alluma une radio de police au cas où il entendait un message de survivant mais rien. Il se doutait qu'il ne devait pas plus y avoir grand monde de vivant. Il roulait et n'entendait que de grésillement. Soudain l’essence commençait à manquer et il s'arrêta à un supermarché et prit de l'essence de l'essence en siphonnant les voitures du parking et rempli donc deux barils assez pour faire un peu de chemins et rentrer au complexe. Il n'aimait pas vraiment cette endroit mais au moins il pouvait y être en sécurité. Il se méfiait de ce chef Chuck comme Nate quoi. Il l'appuyait sur le renversement discret de Chuck. Il savait que tôt ou tard, il se retrouverait dehors alors bon il faisait son travail comme il le pouvait. Il n'irait pas supplier comme certains ont du le faire et si il se faisait fusiller alors tant pis.

Alors qu'il remontait dans sa voiture, un zombie le chargea et renversa notre ancien policier. Il tentait de se débattre mais le zombie gesticula dans tout les sens. Il vit soudain un bout de métal pas loin de lui. L'enfer jouait avec lui alors d'accord il allait jouer. Il parvint enfin à ramasser le bout de métal et le planta dans la mâchoire et le fit ressortir par le haut de la cervelle. Il fit les poches du zombie et trouva un paquet de cigarette qu'il rangea dans sa poche avant de voir que des zombies approchaient. Il monta dans la voiture et accéléra, il avait échappé de peu à la mort. L'enfer voulait encore jouer avec lui, son heure n'était pas encore arrivé. L'enfer avait débuté à la mort de son fils qui était revenu et qui avait dévoré . Il roulait et il commençait à faire nuit, il devait trouver un endroit où il pourrait dormir et repartirait au camp demain. Il n'avait trouvé personne et il finit par tomber dans une petite ville isolé du nom de Ramer. Il roula encore ne comptant pas rester dans cette ville. Il vu soudain une lumière, un genre de morse alors il se dirigea vers la grange. Enfin il avait trouvé quelqu'un alors il arrêta sa voiture, et si c'était des pillards ? Une petite lumière, un gentil monsieur ou madame voulant les aider et «  BIM » tu te retrouve dépouillé et tué. Il descendit laissant ses armes rangées, il n'avait qu'un couteau et son 9mm sur lui. Il descendit doucement de la voiture et tentait de voir le moindre signe de présence. Il vit une voiture, il pouvait être jusqu'à cinq voir six si il se tassait bien. Il rentra donc dans la maison discrètement. Il n'avait pas pris son arme mais elle était assez proche pour dégainer. Son couteau était planqué au cas où prêt à être utilisé et le canif était dans sa chaussures. Il entendit soudain une voix s'élever et vit une femme qui le menaça. Il se contenta de répondre simplement de manière un peu ironique.

Avant de répondre à toute vos questions dont certaines de ses réponses pourrait vous faire plaisir. C'est souvent que vous menacez les gens que vous appelez à l'aide ?Mais vous avez raison de ne pas me faire confiance parce que je n'ai pas non plus confiance en vous. D'ailleurs vous n'auriez jamais du me prévenir, j'aurais pu être un tueur. Nous vivons dans un monde où la confiance ne doit être donné qu'à soi-même. Je n'ai pas confiance en vous non plus surtout depuis que vous m'avez braqué. Cependant vous ne me semblez pas méchante et je respecte votre instinct de survie mais vous oubliez quelque chose, il fait nuit et si vous me tuez avec votre arme à feu alors vous allez rameuter tous ces enfoirés de croqueurs ce que je ne vous conseille nullement croyez moi. Toi et tes amis si il existe serait encerclé par les marcheurs des environs.

Il restait calme, il avait tellement de fois vécu ce genre de moment quand il était policier. Il se souvenait même s'être fait tirer dessus. Parlementer c'était son truc, il la regardait pour voir ce qu'elle allait faire. Elle attendait sûrement la réponse à la question ou était en réflexion sur ce qu'il venait de lui dire. Il la regardait et se contenta de répondre car aprés tous autant clore vite ce malentendu.

Alors premièrement oui je suis armé comme chaque personne survivants vivant actuellement, je sais pas pour vous mais ce qui me ferait vraiment peur c'est de voir un homme sans arme m'attaquer. Donc oui je suis armée j'ai un 9mm et un couteau. Deuxièmement oui je viens du complexe, un enfer qui ce fait passer pour un paradis, voilà maintenant j'ai tous dis tu peux tirer maintenant j'ai tous perdu toute manière après il faut voir comment tu vivras avec un homme qui venait là juste pour t'aider crois moi je sais ce que c'est. Si jamais tu veux venir au complexe je t'y amènerais demain

Au fond de lui, elle lui faisait penser à lui, il était passé au tutoiement cela marchait mieux pour pas ce faire trouer la peau. Il ne pourrait même pas repartir car il faisait nuit. Il n'avait pas peur de la mort et ne comptait pas supplier pour sa vie. Il a été un monstre au début de la contamination et il avait réussi à vivre avec mais elle en serait-elle capable ? Prendre une vie cela n'est pas comme tuer un rôdeur et ça ne devrait jamais le devenir.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMer 3 Avr - 21:54

La question actuellement était simple ? Pouvait-elle lui faire confiance ? Il disait qu’il venait du complexe. Elle avait descendu les escaliers pour se retrouver en face de lui. Son arme braquait sur lui. Ses yeux inébranlables ne la trahiraient pas sur son mensonge. Elle ne tremblait pas. Elle ne voulait pas que ça aille plus loin, pourtant elle voulait être sûre qu’elle pouvait lui faire confiance. Il la regardait. Elle le regardait. Il tenta de désamorcer son comportement avec des paroles. Pouvait-elle lui faire confiance ? Intérieurement, elle avait l’impression qu’elle le pouvait. Elle ne savait pas pourquoi… Mais c’était un fait, comme le fait que si elle tirait… Cela attirait tous les rôdeurs qui étaient dans les environs. Elle baissa légèrement l’arme. Elle pouvait lui faire confiance. Il dit quelque chose qui l’intrigua : un enfer qui voulait se faire passer pour un paradis ? La jeune femme eut soudainement peur. Il devait être beaucoup au sein du complexe. Elle descendit avec beaucoup de précautions pour se mettre derrière un comptoir assez loin de l’homme dont elle avait affaire. Elle l’observa durant un moment pendant qu’il parlait pour voir si ces yeux mentaient. Elle décida à la fin de son discours de mettre son arme sur le comptoir. Elle jugea qu’elle pouvait lui faire confiance. Ces derniers mots la convainquirent. Il avait tout perdu comme elle. Pourtant, elle voulait se battre. Elle voulait le retrouver. C’était plus fort qu’elle. Arwen le regarda encore un moment sans rien dire. Elle lâcha son arme pour lui faire bien comprendre qu’il n’y avait rien à craindre. Elle lâcha un soupir.

« Désolée simple précaution, on sait plus à qui on peut se fier aujourd’hui. Je suis seule. Je veux me rendre au complexe pour retrouver une personne. C’est aussi simple que ça. »

Elle se dirigea vers une fenêtre pour voir que le crépuscule se faisait plus présent. Elle vit au loin deux rôdeurs qui marchaient dans leur direction. Arwen se retourna pour regarder son « sauveur ». Elle essaya de lui adresser un sourire qui n’avait rien de très naturel. Cela faisait partie des choses qu’elle voulait retrouver. Vous savez la joie de vivre. Elle fouilla dans les placards pour voir s’il n’était pas possible de retrouver de la nourriture. Elle ne se retient pas de parler en attendant.

« Il y a deux rôdeurs qui viennent. On ferme la porte et on va à l’étage. Il y a une bonne vue. J’ai tué les morts qui étaient dans la maison. On ne devrait pas avoir de mauvaise surprise. Et je vois que dans les placards, il reste des boites de conserves avec des fruits et des raviolis… »

Elle recherchait tout ce qui était mangeable. Elle les posa sur le comptoir pour les prendre à l’étage. La jeune femme n’avait pas pris le temps de manger correctement depuis assez longtemps. Elle trouva même un pot de confiture avec un paquet de biscuit non ouvert. À la fin de sa petite collecte, elle redonna son attention à son invité. Il semblait être ailleurs pendant un moment. Elle essaya de rassembler son courage à deux mains pour sympathiser. Elle luttait contre son envie de ne rien dire.

« Alors, tu t’appelles comment ? Tu peux m’aider à ramener ça à l’étage. Faudra que tu me racontes ce qu’il se passe dans le complexe. Je n’ai pas envie d’aller dans un centre pour fous. »

Un sourire revint sur son visage. Il était plus nerveux qu’autre chose. Pouvait-elle lui faire confiance ? Elle n’avait aucun choix de toute façon. Il était la personne qui pourrait la ramener à Nate. Elle n’avait plus cas évoluer dans le sociale et faire attention à ce qu’elle dit. Elle ne comptait pas le laisser rentrer dans sa vie aussi rapidement que Nate ! Pourtant, cela s’avérait un peu mission impossible. Arwen compatissait plus vite que son ombre. Les mots, qu’il avait dit, la touchaient. Pourtant, il devait surement avoir une sacrée volonté de vivre… Il ne serait pas là. Les faibles se faisaient avoir par les zombies. D’ailleurs, elle avait lu dans un livre qu’il fallait toujours quelqu’un de faible pour survivre. C’était un bon moyen pour distraire les zombies et détaler comme un lapin. Revenons à notre histoire : Arwen qui accorde sa confiance une deuxième fois ? Très étonnant.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeVen 5 Avr - 17:22

Silver se concentrait sur ce qui se passait, elle avait l'air un peu effrayer et on sentait dans ses yeux perçant la recherche d'une réponse. Verrait-elle qu'il a tué pour arriver jusqu'ici, verrait-il le mal qu'il a fait au début de la contamination. Il a perdu son âme pour avoir abandonné son groupe à une mort certaine. Il était un peu un monstre à la recherche de son âme. A l'époque, on l'aurait pointé, il aurait tiré mais non il a rien fait. C'était étonnant le mental qu'elle devait avoir pour avoir survécu seul juste ici. Il respectait beaucoup ce genre de personne alors il attendait. A plusieurs reprise, il aurait pu la désarmer pendant qu'elle était en réflexion ou juste la tuer mais il ne faisait rien et ne fera rien. Soudain, il lit de la peur dans ses yeux quand il parla de ce qu'il pensait du complexe. Il savait qu'il risquait comme Nate l'exclusion si jamais cela se savait. Être l'opposant d'un chef attire toujours la fougue du peuple, on hurle à la trahison et nous voilà exécuté. Il la vit partir vers le comptoir et commençait à approcher un peu comme la suivant mais en marchant doucement. Il avait horreur d'être pointé comme ça mais là pas le choix, si cela n'avait pas été une femme, il aurait sûrement tiré. Un cas de légitime défense mais là c'était différent, il n'avait jamais tué de femme ou de famille. Avait-elle encore quelqu'un ? Non de notre temps on est seul et on se doit de le rester. Une vie pour une vie, il ne voulait plus s'attacher, jamais au grand jamais il ne s’attacherait à quelqu'un.

Il l'écoutait parler, elle avait déposé son arme ce qui le fit sourire et il commença alors à se détendre un peu. Etre pointé aussi longtemps cela finit par devenir stressant. Elle voulait retrouver quelqu'un au complexe ? Alors elle n'avait pas tout perdu ? Cette pensée le fit rapidement sourire puis il ressenti un sentiment de jalousie ou d'envie. Personne ne l'attendait à part la fille de Nathaniel qui le rendait plus humain. Il n'avait plus de famille et plus de femme, il était seul. D'accord c'est ce qu'il voulait mais ne dit on pas «  Le bonheur n'est réel que si on le partage à deux » ? Il se demandait de qui elle parlait mais ne disait rien, ne voulant s'attacher à elle. Il ne voulait pas s'attacher à elle pour ne pas souffrir de sa mort imminente. On meurt tous, Silver ne voulait pas d'attache et ne voulait pas qu'on s'attache à lui. Il ne voulait être qu'un nom qui disparaît à sa mort, personne pour le pleurer et personne pour parler de lui.

Écoute on partira demain matin ou demain midi et tu pourras retrouver ta «  personne » mais un conseil ne t'attaches pas trop ni à moi ni à lui, on finit tous par mourir alors t'attache pas à moi parce que je ne veux pas d'attache, après t'avoir raccompagné vers ton inconnu, je retournerait dans ma solitude car la seule personne en qui j'ai 100% confiance c'est moi même.

Une remarque triste dans l'ensemble et balançait un peu comme ça à la va-vite. Il la vit partir vers une fenêtre, c'était imprudent de sa part, si un zombie était prêt de la fenêtre, elle aurait pu se faire mordre. Elle avait comme l'air de savoir ce qu'elle faisait alors il se tut. Elle c'était retourner ce qui aurait pu être une grave erreur si Silver aurait été un bon menteur. Il avait connu ça et son ami Sam était mort parce qu'il avait accordé sa confiance. Il n'aurait pas du faire confiance, une erreur qui lui a fait comprendre que la confiance on ne doit l'accorder qu'à peu de personne et bizarrement il avait envie de faire confiance à la jeune femme et il allait lui dire quelque chose qu'il n'avait jamais dit. Il attendait son «  temps de parole » pour pouvoir lui dire. Il se contenta de sourire et de lui dire le plus clairement possible.

Écoute, ne te retourne jamais en laissant ton arme sur le bar, tu ne survivrais pas en faisant cela. Imagine si je t'avais menti depuis le début, tu serais morte à l'heure qu'il est. Si tu as tué tous ces salopards alors nous allons dormir ici cette nuit mais on ferait mieux de dormir dans la même pièce on sait jamais. En tous cas avec ce que tu as trouvé et ma moitié de Whisky on ferait presque un bon repas

Aprés tous, il y avait un truc chez elle qui lui faisait à lui. Il ne savait pas quoi ni même les raison d'une telles pensée, elle était belle et innocente et lui avait fait tellement d'erreurs dans sa vie qu'il ne prenait même plus la peine de les compter. En faites, il se reprochait la mort de ses proches, il était plus concentré à sauver tous une ville que sa propre famille et cela avait causer leur perte. Il commença à prendre une cigarette et en proposa une à sa coéquipière d'un soir. Elle semblait fatigué , elle n'avait pas beaucoup dormi cela se voyait, elle survivait seule donc toujours sur ses gardes quand elle dort. Il fit un sourire un peu faux et lui dis :

Silver, Je m'appelle Silver et toi?. Bien sûr que je vais t'aider ne t'en fais pas. Pour ce qui est du complexe je sais pas si Nate voudrait que je t'en parle alors désolé mais je ne peux rien dire à part de te méfier une fois là bas. On est pas tous fou t'en fais pas il y a des gens bien différent de moi ..

Il pensa directement qu'il ne l'était pas, il n'était pas un homme bien, il était un homme qui avait perdu son âme. Il jouait avec les zombies par symbole de vengeance et les massacrait comme il se devait quand il en attrapait un. Il commençait à s'ouvrir à quelqu'un chose qu'il n'avait pas fait depuis longtemps, après tous il pouvait discuter un peu sans vraiment s'attacher. Il avait confiance en elle c'était suffisant, largement suffisant.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeVen 5 Avr - 20:29

Il fallait dire qu’elle n’était pas la dernière des survivantes pour rien. L’homme ne savait pas qu’est-ce qu’elle avait du faire pour survivre. Elle était du genre à être pire qu’un loup. Si ça sentait les problèmes, elle disparaissait et continuer sa route toute seule. La jeune femme décida de continuer à rechercher des provisions encore un petit moment. Elle lui retournait le dos pour cacher la frustration surtout qu’elle éprouvait à ces mots. Elle avait envie de prendre son arme et d’appuyer sur la détente. Impulsive, oui, on pouvait dire qu’elle l’était. Son instinct de survie l’avait poussé à devenir une personne qu’elle n’avait même pas imaginée exister en elle. En tout cas, il semblait du bon camp, mais quel était le bon camp aujourd’hui. Elle serra un peu des poings sans que cela se remarque pendant qu’elle fouillait les tiroirs du bas.Elle se disait qu’elle pourrait prendre la route et repartir dans l’autre sens retourné vers New York. Il y avait quoi là-bas ? Rien. Il y avait rien à part la mort. Elle mourrait seule. Après tout, c’était ce qu’elle avait souhaité en partant de cette ville maudite. La jeune femme imaginait bien la scène. Il devait se dire que son comportement était assez imprudent. Elle en avait rien à faire. Il la jugeait bien trop rapidement. Cela lui avait en effet traverser la tête. Il ne se privera pas de lui faire une remarque de prévention. Elle glissa un regard pendant qu’elle fouillait pour voir qu’il lui adressait un sourire, un sourire qui la désaperait. La jeune femme ne s’éternisa pas trop. Elle regarda tout ce qu’elle avait trouvé dans la cuisine en lui demandant quels étaient son nom et son aide pour ramener le tout à l’étage.

Il mit peu de temps à répondre. Elle resta bloquer sur la cigarette. Elle déclina gentiment la tête pour refuser cette offre. La jeune femme n’allait pas la fumer comme il fallait le faire et elle n’avait pas envie d’être dépendante à une drogue quelquonc. Arwen bugua avec l’histoire du complexe. Elle sentit les poils de sa peau se hérisser au prénom de Nate. Peut-être que c’était lui ? Il avait réussi ? La jeune femme était en effet fatiguée. C’était pour ça qu’elle était ici. Elle reprit son arme d’une grande rapidité. Il ne lui fallut pas longtemps pour montrer un air assez dur qui la vieillissait. Cela ne lui avait pas plu.

« Mettons une chose au clair veux-tu ! J’ai envie de te mettre une balle dans la tête de partir pour retourner d’où je viens. Les morts sont des parasites, mais au moins il ne raconte pas n’importe quoi. Si je t’accorde ma confiance, c’est uniquement pour retrouver la personne… Qui est rentré comme ça dans ma vie. Cela ne fait pas de moi une personne fréquentable. »

Elle avait eu l’occasion de le tuer pourtant elle rangea son arme derrière son jean. En se demandant ce que Nate avait bien pu faire encore… Elle prit un plateau pour mettre la nourriture et lancer un regard noir. S’il croyait qu’elle se laisserait impressionner et ses conseils l’avaient plus remonté qu’autre chose. Ses conseils étaient les fondements de sa survie. Pourtant, elle allait dans un complexe pour revoir Nate. Elle grogna et prit son plateau pour monter en haut. En montant les escaliers, elle lâcha encore un jurement.

« De toute façon, on ne choisit pas les personnes auxquelles on s’attache ! Et vérifie que la porte soit bien fermée. »

La jeune femme n’avait rien demandé. Il lui était tombé dessus comme ça et avait récupéré son sourire grâce à lui. Elle n’avait pas envie de le lâcher. Une fois arrivée en haut des escaliers, elle prit une chambre qui lui permettait de sauter en dessus de sa voiture pour partir en vitesse. Elle posa les provisions trouver et partit dans les autres chambres pour prendre des couvertures. Les nuits étaient devenues assez fraîches. Elle déplaça un matelas après coup pour qu’elle dorme vers la fenêtre. Elle remarqua qu’un meuble pouvait être assez facilement mis devant la porte comme sécurité. La jeune femme démonta son arme pour commencer une maintenance et pouvoir le nettoyer. Elle tourna la tête pour le voir arriver. Elle fixa son arme en le nettoyant. Elle avait eu le temps de se calmer.

« Je suis désolée pour toute à l’heure. Mais un conseil, tu as dit que je pouvais appuyer sur la détente parce que tu n’avais rien à perdre. Sache que je suis prête à tout pour retrouver Nate. Je ne sais pas si c’est la même personne et dans quel pétrin vous vous lancez… Mais je veux rester vivante, je me suis promis ça depuis que j’ai perdu ma famille ! Alors, ne viens pas me dire ce que je dois faire. »

Elle remonta le tuyau du calibre pour nettoyer et regarder après dans le cylindre si cela était bien propre. Elle leva la tête au bout d’un moment pour regarder le visage de son guide. Il devait s’en foutre de toute façon… Il allait repartir comme si de rien n’était après de son côté. Il l’avait dit lui-même.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMer 10 Avr - 16:41

me ? Elle faisait une erreur qui causerait sa perte mais inutile de lui dire ou Madame s'énerverait. Il rangea son paquet et fuma un peu avant de s'arrêter et de ranger sa moitié de clope dans son paquet. Il écoutait sa menace avec attention, elle sait japper mais savait-elle mordre ? Elle comptait lui tirer dessus qu'elle le fasse et elle aurait une horde à ses trousses. Il a déjà connu ça une fois en assassinant le meurtrier de son ancien compagnon de voyage et il avait failli ne pas s'en sortir vivant. Les zombies s’accéléraient autour de lui alors qu'il avait réussi à s'enfuir. Elle ne savait pas ce qu'elle allait affronter. Cela se trouve, elle avait déjà eu affaire à ses créatures groupé. Il ne souriait plus étant lui même énervé. Elle était trop lui et il la regarda d'un air un peu mécontent, un peu énervé.

Cela tombe bien moi c'est le cœur que je viserais.. Puis je repartirais au complexe ni vu ni connu, je pense que tu ne sais pas ce que j'ai été obligé de faire pour survivre. Arrête de dire ce genre de chose quand tu sais pas sur qui tu tombe, d'accord ? Je n'ai nullement besoin de ta confiance alors si tu veux tenter ta chance toute seule. Moi je veux juste t'aider à te trouver un chez toi et à te ramener à Nate, un brun qui bosse dans la médecine ou dans ce secteur du moins alors tu sais quoi... Va te faire foutre !!!

Il lui tourna le dos et tentait de se calmer, il n'aimait pas être comme ça et dire ce genre de chose que dirait la fille de Nathaniel si elle le voyait comme ça. Il était le «  héros » de la petite fille et il ne se comportait pas comme ça pour le moment. Il allait forcément l'aider mais il était trop fier pour le dire. Il respectait le caractère de la jeune femme qui était très semblable au sien. Il sentit son regard noir et ne dit rien. Il a tellement eu ce genre de regard dans sa vie. Il comprenait sa colére, elle était un peu comme lui et c'était vraiment «  bizarre » à la limite du pas normal du tout. Il la laissa monter écoutant ce qu'elle disait sans rien dire. Il ouvrit la porte tua les deux zombies prêt de la porte et les laissa mort pas loin de la porte, l'odeur de cadavre couvrirait un peu l'odeur de l'humain. Il ferma la porte qu'il bloqua avec une commode, il avait l'habitude de tous ça et la nuit était vraiment obscurci. Il se posa un peu sur une chaise et regarda une photo de sa femme et de son fils caressant la photo de ce dernier.. Une larme coula sur sa joue qu'il écarta rapidement. Il ne devait montrer aucun signe de faiblesse et repris du poil de la bête. Il rangea sa photo soigneusement et se dit qu'il devrait sûrement la rejoindre à l'étage.

Joyeux anniversaire fiston, tu aurais onze ans aujourd'hui. Si tu savais comment tu manques à ton père.

Il se contentait d'un signe de croix, il n'était pas du tout croyant mais sa femme l'était alors il fit cet effort. Regarder cette photo l'avait calmé, apaisé. Il décida de prendre sur lui, ce jour où il aurait du voir son fils soufflait ses bougies était important pour lui et il se calma puis monta voir Arwen. Il prenait sur lui et il savait très bien qu'il allait devoir s'excuser et il n'aimait pas vraiment ça. Il la regarda nettoyer son arme et l'écouta. Pas de doute, au fond de lui, il le savait cela ne pouvait être que ce Nate là. Il écouta ce qu'il disait respectant sa parole et ce qu'elle disait. Il
écouta attentivement les dires de la jeune femme. Elle était même totalement comme lui, alors elle devait en avoir fait des choses pour survivre. Il se contenta d'hôcher la tête pour dire qu'il avait compris et partit s’asseoir. Il ne c'était pas excuser mais il devait le faire. Il se posa et dit avec un petit soupire :

Moi aussi je suis désolé, sincérement désolé. J'ai bien compris un truc un peu flippant mais toi et moi on est pareil. On a chacun eu nos problémes et nos galéres qui ont fait que nous soyons tous deux devenu comme ça. Alors je tenais à m'excuser des propos que j'ai tenu. Alors ce que je te propose c'est de ne pas se prendre la tête du moins pas aujourd'hui... Pas aujourd'hui... Je t'amménerais à Nate, parce que ce genre d'histoire en pleine fête du monde, c'est rare. Alors tu acceptes qu'on arrête de se foutre sur la gueule et qu'au contraire on mette ce que nous avons en commun ?

Il laissa la jeune femme nettoyait son arme et il regarda par la fenêtre. Les mort marchaient toujours en quête d'un rien ou d'un tout. Il regarda le nombre de balle dans son chargeur, 8 balles. C'était peu mais il ferait avec. Il laissait la jeune femme nettoyait son arme, elle s'y prenait très bien même mieux que lui apparemment mais là encore il ne dirait rien. Il la regarda et lui sortit une photo faites au complexe et mit la photo de Nate sur la table. Pourquoi avoir une photo de ce type ? Il y avait eu une photo faites au complexe avec tous les survivants et Nate était dedans. Il laissa la photo et se contenta d'une simple phrase

Je prends le premier tour de garde. Je te ramènerais à lui, et va pas croire que je fais ça pour toi mais parce qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon fils... Enfin je crois...

Il tenait son carnet avec les dates alors il suivait à un ou deux jours prêt la date actuel. Il n'était même pas sur s'être souvenu de la bonne date pour son fils mais il voulait l'aider cette femme c'était lui. Il parti en bas, trouva une chaise à bascule et commença à de nouveau regarder sa photo.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMer 10 Avr - 16:45

me ? Elle faisait une erreur qui causerait sa perte mais inutile de lui dire ou Madame s'énerverait. Il rangea son paquet et fuma un peu avant de s'arrêter et de ranger sa moitié de clope dans son paquet. Il écoutait sa menace avec attention, elle sait japper mais savait-elle mordre ? Elle comptait lui tirer dessus qu'elle le fasse et elle aurait une horde à ses trousses. Il a déjà connu ça une fois en assassinant le meurtrier de son ancien compagnon de voyage et il avait failli ne pas s'en sortir vivant. Les zombies s’accéléraient autour de lui alors qu'il avait réussi à s'enfuir. Elle ne savait pas ce qu'elle allait affronter. Cela se trouve, elle avait déjà eu affaire à ses créatures groupé. Il ne souriait plus étant lui même énervé. Elle était trop lui et il la regarda d'un air un peu mécontent, un peu énervé.

Cela tombe bien moi c'est le cœur que je viserais.. Puis je repartirais au complexe ni vu ni connu, je pense que tu ne sais pas ce que j'ai été obligé de faire pour survivre. Arrête de dire ce genre de chose quand tu sais pas sur qui tu tombe, d'accord ? Je n'ai nullement besoin de ta confiance alors si tu veux tenter ta chance toute seule. Moi je veux juste t'aider à te trouver un chez toi et à te ramener à Nate, un brun qui bosse dans la médecine ou dans ce secteur du moins alors tu sais quoi... Va te faire foutre !!!

Il lui tourna le dos et tentait de se calmer, il n'aimait pas être comme ça et dire ce genre de chose que dirait la fille de Nathaniel si elle le voyait comme ça. Il était le «  héros » de la petite fille et il ne se comportait pas comme ça pour le moment. Il allait forcément l'aider mais il était trop fier pour le dire. Il respectait le caractère de la jeune femme qui était très semblable au sien. Il sentit son regard noir et ne dit rien. Il a tellement eu ce genre de regard dans sa vie. Il comprenait sa colére, elle était un peu comme lui et c'était vraiment «  bizarre » à la limite du pas normal du tout. Il la laissa monter écoutant ce qu'elle disait sans rien dire. Il ouvrit la porte tua les deux zombies prêt de la porte et les laissa mort pas loin de la porte, l'odeur de cadavre couvrirait un peu l'odeur de l'humain. Il ferma la porte qu'il bloqua avec une commode, il avait l'habitude de tous ça et la nuit était vraiment obscurci. Il se posa un peu sur une chaise et regarda une photo de sa femme et de son fils caressant la photo de ce dernier.. Une larme coula sur sa joue qu'il écarta rapidement. Il ne devait montrer aucun signe de faiblesse et repris du poil de la bête. Il rangea sa photo soigneusement et se dit qu'il devrait sûrement la rejoindre à l'étage.

Joyeux anniversaire fiston, tu aurais onze ans aujourd'hui. Si tu savais comment tu manques à ton père.

Il se contentait d'un signe de croix, il n'était pas du tout croyant mais sa femme l'était alors il fit cet effort. Regarder cette photo l'avait calmé, apaisé. Il décida de prendre sur lui, ce jour où il aurait du voir son fils soufflait ses bougies était important pour lui et il se calma puis monta voir Arwen. Il prenait sur lui et il savait très bien qu'il allait devoir s'excuser et il n'aimait pas vraiment ça. Il la regarda nettoyer son arme et l'écouta. Pas de doute, au fond de lui, il le savait cela ne pouvait être que ce Nate là. Il écouta ce qu'il disait respectant sa parole et ce qu'elle disait. Il
écouta attentivement les dires de la jeune femme. Elle était même totalement comme lui, alors elle devait en avoir fait des choses pour survivre. Il se contenta d'hôcher la tête pour dire qu'il avait compris et partit s’asseoir. Il ne c'était pas excuser mais il devait le faire. Il se posa et dit avec un petit soupire :

Moi aussi je suis désolé, sincérement désolé. J'ai bien compris un truc un peu flippant mais toi et moi on est pareil. On a chacun eu nos problémes et nos galéres qui ont fait que nous soyons tous deux devenu comme ça. Alors je tenais à m'excuser des propos que j'ai tenu. Alors ce que je te propose c'est de ne pas se prendre la tête du moins pas aujourd'hui... Pas aujourd'hui... Je t'amménerais à Nate, parce que ce genre d'histoire en pleine fête du monde, c'est rare. Alors tu acceptes qu'on arrête de se foutre sur la gueule et qu'au contraire on mette ce que nous avons en commun ?

Il laissa la jeune femme nettoyait son arme et il regarda par la fenêtre. Les mort marchaient toujours en quête d'un rien ou d'un tout. Il regarda le nombre de balle dans son chargeur, 8 balles. C'était peu mais il ferait avec. Il laissait la jeune femme nettoyait son arme, elle s'y prenait très bien même mieux que lui apparemment mais là encore il ne dirait rien. Il la regarda et lui sortit une photo faites au complexe et mit la photo de Nate sur la table. Pourquoi avoir une photo de ce type ? Il y avait eu une photo faites au complexe avec tous les survivants et Nate était dedans. Il laissa la photo et se contenta d'une simple phrase

Je prends le premier tour de garde. Je te ramènerais à lui, et va pas croire que je fais ça pour toi mais parce qu'aujourd'hui c'est l'anniversaire de mon fils... Enfin je crois...

Il tenait son carnet avec les dates alors il suivait à un ou deux jours prêt la date actuel. Il n'était même pas sur s'être souvenu de la bonne date pour son fils mais il voulait l'aider cette femme c'était lui. Il parti en bas, trouva une chaise à bascule et commença à de nouveau regarder sa photo.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeMer 10 Avr - 23:42

Argh, on pouvait dire que cette dispute l’avait bien tapé sur les nerfs. Il l’avait jugé trop rapidement. Elle n’avait pas envie d’envenimer plus les choses. C’était pour ça qu’elle avait décidé de s’isoler en haut. Elle n’avait pas envie de faire que cela tourne à la Seconde Guerre mondiale. Elle avait besoin de lui. Elle s’était occupée de son arme du mieux qu’elle le pouvait. Elle savait que ce n’était pas la manière façon de le faire, mais elle s’en tirait bien que mal. Elle entendit un bruit sourd en bas. Elle entendit quelqu’un monter les escaliers. Ils étaient devant elle. Ses excuses sortirent et finir par ce faire entendre par le principal concerné. Elle regrettait vraiment. Elle était toujours une pile électrique quand il s’agissait de ses sentiments. Elle avait si peur de le perdre, si peur de s’attacher qu’elle surchargeait et causer des dégâts sans se rendre compte. On pouvait la comparer un peu comme un chat. Quand il en a marre, il griffe…. Après, il revient tout mignon pour se faire pardonner. Elle avait beaucoup trop passé de temps toute seul. Elle leva les yeux pour voir qu’il hocha la tête à la fin de ses dires. Il s’assit pas loin d’elle. Ses yeux ronds l’observèrent pour voir qu’est-ce qu’il allait répondre ? Bizarrement que ce soit, elle sentait qu’il savait ce qu’elle endurait. C’était vraiment bizarre à expliquer. Il finit par lâcher, un léger soupire. Ses mots la clouèrent sur place. C’était comme s’il avait pris un énorme marteau et qu’il avait tapé très très très fort dessus. Un regard légèrement surpris le détaillait. Elle se leva avec son chiffon et elle regarda par la fenêtre pour voir s’il y avait un danger précis. Il avait parfaitement raison. Cela ne servait absolument à rien de se taper dessus. Elle tourna la tête pour voir qu’il la regarda. Ses yeux restèrent bloquer sur la chose qu’il venait de sortir. Il l’étala sur une table. Ses yeux restèrent un long moment sur la photo. On pouvait dire qu’elle était bouche bée. Il voulait prendre le premier tour de garde. Elle n’avait rien dire à part qu’elle trouvait dangereux le fait qu’il reste en bas. Il n’avait cas rester à l’étage. Cela était déjà plus sûr que le rez-de-chaussée à la vue de ses rôdeurs. La jeune femme posa son arme par terre. Elle était plus intriguée par la photo. C’était une chose qu’elle aimait. C’était un souvenir. Les photos permettaient de se rappeler de son passé et du visage des gens qu’elle avait aimé. Elle mit sa main sur son médaillon. Il contenait la photo de ses parents et de son frère. Le reste des photos se trouvèrent dans la voiture. Elle regrettait qu’il soit dehors. Arwen avait comme peur de ce qu’elle pouvait trouver de cette photographie. Elle finit par se décider de la regarder. Elle rechercha son visage. Nate. Il était là. Une larme coula sur son visage. Il n’était pas mort. Cela lui fit plaisir. Après tout, elle était comme un papillon de nuit qui était attiré par une flamme. Elle voulait croire en quelque chose. Elle avait trouvé une cause. Elle finit de nettoyer et remonter son arme. Elle en aurait besoin. Elle regarda les provisions qui étaient à l’étage. Il restait une partie en bas. Elle posa son arme sur le lit. Elle descendit les escaliers pour voir Silver sur une chaise. Elle se dirigea vers lui pour l’embrasser sur sa joue. Aussi fut-elle arriver qu’elle disparut dans la cuisine, elle prit un couteau. Elle décida de descendre dans la cave. Cela pouvait paraître bizarre, mais elle voulait avoir une bonne bouteille de vin.

Elle descendit les escaliers avec un couteau à la main. Elle écouta le bruit en bas. Il n’y avait même pas une souris qui bougeait. Une fois les escaliers descendus, elle prit attention à ce qu’il pouvait se trouver dans les étagères. Elle découvrit deux bouteilles de vin. Elle les saisit, puis remonta en refermant la porte derrière elle. Elle regarda l’étage. Elle mit le tout sur un plateau. Son regard s’arrêta sur Silver avant qu’elle remonte dans la chambre. Elle redit quelques mots pour détendre l’atmosphère.

« Merci pour la photo. Je sais qu’il est vivant. C’est ce que j’avais espéré depuis des semaines. Je pense que c’est mieux de se fier à ce que tu as dit en premier. Vaudrait mieux qu’on soit dans une chambre en haut. Cela est plus sécurisant et les zombies ne seront pas qu’on est là. On met un meuble devant les escaliers avec un cadavre et ils penseront qu’on n’est pas là.»

Elle posa le plateau un peu plus haut. Elle redescendit pour aller dans la pièce où elle avait tiré le zombie mort. Aucun scrupule ? Non, elle voulait survivre et elle était sûre qu’il ne voyait pas d’inconvénient. Elle arriva dans une démarche qui la rendait parfaitement sexy. Prenez ça pour de l’ironie. Arwen le glissa. Elle vit une commode qui n’était pas encore utilisée. Elle regarda Silver pour qu’il la tire. C’était un moyen pour resserrer les liens d’équipe. Il devait plus se taper sur la tête et en plus. Il avait bien dit qu’il devait mettre ce qu’il avait en commun ?

« Tu viens m’aider. Une fois fait, je te suis derrière et on s’enferme dans la chambre. Comme ça, on est tranquille jusqu’à demain ? Et on pourra boire un verre de vin. Un. »

Elle acquiesça un sourire qui devait se faire passer pour un « je suis gentille », mais en réalité il passa plus pour un « j’ai un sourire de psychopathe ». La situation lui donna un léger rictus. Elle savait qu’elle ne savait plus interagir, pourtant elle était douée pour ça avant… Dans son ancienne vie.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeJeu 11 Avr - 15:04

Silver était en bas sur cette chaise à bascule, la photo de sa femme et son fils sur ses genoux. Il ne pleurait pas, il ne savait plus faire. Il avait perdu toute âme dans ce monde de chaos, il n'avait d'humain que son enveloppe corporel. Il avait perdu son humanité depuis la fin du monde, il avait fait des choses horribles pour survivre. On lui a souvent dit que ce n'était pas grave et qu'il voulait juste «  survivre ». La survie a un prix, celle de la perte de notre humanité. Pour vivre, il faut avoir l'âme d'un mort-vivant c'est à dire tuer pour survivre. Il se demandait si c'était bien le bon Nate, si c'était ce Nate là. Elle était amoureuse ou quelque chose qui s'en rapprochait, lui ne retrouvera jamais un tel sentiments. Il se retrouvera seul un jour où l'autre, il le savait très bien. Il se sentait mal mais pas pour ceux qu'il avait fait mais plutôt parce qu'il ne regrettait rien. Il bascula un peu et ne pensait qu'à son fils perdu. Ce petit être de dix ans qui avait dévoré sa mére qui n'avait pas osé la tuer. Il n'a pas pu le tuer et c'est enfui laissant sa femme se faire dévorer par son propre fils. Il s'en voulait et cela le pesait tellement. Il ne dormait presque pas et surtout il se sentait très mal mais il ne disait rien.

Soudain il entendit des pas dans l'escalier, il vit soudain Arwen descendre et continuait de basculer un peu. Il ne s'attendait pas à ce qui allait se passer, elle lui avait fait un bisous sur la joue. Il n'en avait plus eu depuis le début de la contamination, cela lui avait fait du bien et il eu un de ses rares vrai sourire joyeux et la laissa descendre et faire ce qu'elle voulait. Elle était lui, il était elle alors il avait confiance en elle car il avait confiance en lui. Il travaillait sur lui même pour la comprendre, inutile de chercher plus loin, il était fait pour s'entendre. Il sifflota un peu, il était plus calme et rangea la photo regardant les zombies marchaient sans s'approcher de la maison, il avait eu raison de mettre deux zombies devant la porte. L'odeur les éloignaient alors et ils étaient tous deux tranquille. Il vit Arwen arrivait avec deux bouteilles, il est vrai qu'il y a quelqu'un qui a dit « l'alcool est le meilleur des amis, il te fait oublier durant quelques temps les problèmes de la vie ». Il écouta la jeune femme lui parler avec beaucoup d’intérêt. Elle le remerciait pour la photo, lui disant qu'elle allait enfin le retrouver et qu'elle allait atteindre son but. Il était content pour elle et un petit peu jaloux car lui n'avait plus de but que d'attendre sa mort pour mourir une seconde fois espérant que quelqu'un sera là pour lui pour l'empêcher de revenir mais qui serait là pour lui ? Personne, Nath ou Blue peut-être mais là encore il n'était sûr. Elle lui fit une remarque sur la sécurité et il aurait bien pu s'énerver mais non il ne voulait pas s'énerver. Il ne voulait s'opposer à cette femme qu'il aimait bien. Il fallait dire qu'elle avait eu une assez bonne idée et il acquiesa d'un signe de tête.

Tant mieux si c'est lui je suis content pour toi, avoir quelqu'un qui nous attends ou qui nous cherche je n'ai jamais connu ça alors te dire que je te comprends serait faux mais je vois que cela te tient à cœur je te guiderais jusqu'au complexe. Quand à ton idée je la trouve excellente sincèrement alors allez on a du boulot.

Il monta les escaliers et l'aida avec le cadavre. Il avait eu la même idée et c'était encore plus étonnant. Il était tellement surpris de la voir ainsi, il se voyait en moins sexy mais il se voyait. Il fit oui de la tête et se dépêcha de l'aider. Le cadavre était léger mais il fallait faire gaffe à ne pas faire casser le cadavre où tous le contenu de son corps se déverserait dans l'escalier et après je te dis pas l'odeur. Une fois le cadavre posé, il se contenta de pousser le meuble et y arriva assez bien. Il avait souvent poussé de lourd poids, ces rares amis l'appelait souvent pour les déménagements. Il frotta un peu son front pour enlever le peu de sueur qu'il avait. Il était tard mais quel heure était-il ? Il attendit qu'elle soit monté dans la chambre et poussa une commode encore une fois. A quoi servait alors la commode dans l'escalier ? C'était simple si un zombie montait, il glisserait en tombant ou alors il sera bloqué. Une idée comme une autre bonne ou mauvaise mais il fallait des idées. Il partit chercher les verres et sortit son sac de couchage

Voilà tu dors dans le lit et moi je prends le sac de couchage. Demain tu le verras ton Nate et tu pourras le rejoindre. Moi je retournerais dans mon fourgon en solitaire attendant ma prochaine mission.

Il avait peur de s'attacher à elle. Que ferait-elle une fois qu'elle aura son Nate ? Allait-elle revenir le voir ? Il n'en savait rien et il hésitait à s'attacher et pourtant quelque chose en lui le poussait s'attacher à elle. Une envie qu'il n'avait presque jamais ressenti. Il lui fit un sourire entre joie et crainte. Elle devait se douter de ce à quoi il pensait ce qui lui faisait peur.. Il avait tellement à cacher et si lui arrivait à lire en elle comme dans une image alors le contraire était fortement probable.
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeDim 14 Avr - 21:53

Revenons sur terre. Revenons à la réalité. Revenons dans une vie dévastée. Revenons à la vie. C’était ça le plus important. Il fallait simplement réapprendre à vivre. C’était ce que Arwen voulait. Le sentiment d’appartenance et d’amitié lui manquait cruellement. Seules les bêtes assoiffées s’en fichaient de la solitude. Les personnes étaient toujours plus fortes quand elle était en meute. C’était une triste réalité. On devait toujours être dépendant de quelque chose ou quelqu’un. Arwen comprenait Silver. Insconciament, elle ressentait déjà l’envie de prendre soin de cet homme. Il était dans un mauvais état comme elle. Il se comprenait tellement sur divers points que cela ne pouvait pas être vrai. Tout se déroula, comme elle l’avait voulu. Ils montèrent à l’étage. Il lui dit qu’elle pouvait dormir dans le lit. Il prendrait le matelas par terre avec le sac à couchage. Arwen ne put que sourire à cette remarque. Elle préférait toujours les lits bien chaud à un sac couchage. Demain pourra être un nouveau jour. Elle pourra revoir l’homme qu’elle avait commencé à aimer. Silver finit avec une phrase qui ne la fit pas sourire du tout. Son sourire disparut directement après sa remarque. Elle se sentait premièrement coupable. Elle imaginait complètement la scène. Arwen se posa sur le lit en regardant Silver sceller la porte avec une commode. La nuit commençait à venir gentiment. Le soleil commençait à disparaître pour laisser l’obscurité apparaître. La jeune femme sortit les verres. Elle ouvrit la bouteille de vin pour remplir le verre. Elle tendit celui de Silver en premier. Elle allait mettre fin à ses doutes et à sa solitude. Il devait arrêter de regarder le passé comme elle. Il fallait recommencer une vie et s’habituer au départ des gens. Ce monde n’était pas fait pour les gens seuls. C’était toujours les premiers à mourir. Elle monta le verre pour commencer son discours.

« Un petit mot avant de savourer ce bon vin. Nous buvons ce verre pour l’anniversaire des gens qui nous sont chers et pour fêter cette nouvelle collaboration. Peut-être à une nouvelle amitié, j’ai envie de dire que la solitude, c’est fini. Même si je retrouve Nate, tu m’auras toujours dans les pattes. Ça, tu peux compter dessus Silver. »

Elle acquiesça à nouveau un sourire. Elle prit une gorgée pour célébrer ce moment. Même si elle devait y mettre du sien, elle ne le laisserait pas retourner à sa solitude. Tout le monde a besoin de soutien aussi. Tout le monde faisait des choses moches pour survivre. Il fallait garder la part d’humanité qu’il nous restait… Sinon les survivants ne seraient pas plus intelligents qu’un Walker. Elle posa le verre pour étaler la nourriture, qu’elle avait trouvée en bas. Elle prit pour commencer une boîte de ravioli, même si elle n’aimait pas manger froid. Elle avait tellement fin qu’elle pouvait manger une baleine. Elle prit une fourchette pour commencer le festin après avoir attendu sur Silver. Elle balbutia un « Bon Appétit » entre deux morceaux. Elle fit une pause entre deux raviolis froids pour regarder l’homme. Elle n’avait plus cas attendre demain pour parler avec Nate. Il lui expliquerait sûrement ce qu’il se passerait au complexe. Elle décida de mettre aussi les points sur les « i ». Elle reprit la conversation en regardant son plat de ravioli.

« Écoute, je sais que nos jours. C’est dur de se fier à quelqu’un. On ne sait pas si on peut leur faire confiance et encore moins s’attacher à une personne. J’ai l’impression qu’on est pareil les deux. Une expérience similaire… Dans ce monde, cela ne sert à rien de regretter les personnes qu’on perd. On a juste à vivre en pensant qu’il ne voudrait pas qu’on soit mort. La culpabilité n’arrangera rien. Je sais qu’on se connaît à peine et que j’ai une tendance à fuir aux relations humaines. Je ferais tout pour ne pas fuir. »

Elle venait de dire ce qu’elle pensait. Ce n’était pas une manière de le juger, mais elle ressentait ce sentiment. Mieux valait mettre au clair. Elle savait qu’elle pouvait lui faire confiance. D’ailleurs, elle préférait qu’on lui mette une balle dans la tête qu’on la laisse se balader en temps de rôdeur. Elle tuerait des gens. C’était hors de question pour elle de devenir un monstre. Il n’y avait rien à faire. Elle regarda Silver pour voir sa réaction à ses mots, puis elle reprit des raviolis. Elle lui tendit la boîte pour savoir s’il en voulait. Elle en avait marre de manger du salé. À la vue des boîtes de conserve des fruits, cela la tentait plus. S’il n’en voulait pas, elle le finirait, mais elle voulait partager. Après tout, il était dans la même galère. Arwen reprit son verre de vin pour prendre une gorgée. Elle mangeait rapidement temps qu’il y avait de la lumière. Elle n’avait pas envie d’en allumer pour donner signe de vie au mort vivant dehors. Elle essayait d’imaginer quel métier il aurait pu faire ! Elle imagina toutes les possibilités. Elle n’avait même pas remarquer qu’elle le fixait pendant plusieurs minutes. C’était comme s’il était devenu la télévision. La survivante l’imaginait dans plusieurs métiers. Vu sa carrure, il devait faire un métier physique. Elle ne le voyait pas dans un bureau ? Ses rides montraient qu’il ne devait pas en voir des belles tous les jours. Elle l’aurait bien vu comme ambulancier ou dans les forces de l’ordre. Elle se rendit compte qu’elle le fixait un peu trop intensément.

« Désolée, plus l’habitude d’être avec des personnes. J’ai pris l’habitude de me distraire avec un rien. Je suis contente de t’apprendre que tu es l’attraction du jour. J’essaie toujours d’imaginer quels métiers faisaient les personnes avant… Aussi avec les zombies. Tu étais ambulancier ? Sinon Pompier ? Ou dans les forces de l’ordre ? »
Revenir en haut Aller en bas

Anonymous

Invité
Invité



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitimeJeu 27 Juin - 21:06

Archivé.
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé



I say friend, your hear me ? Empty
MessageSujet: Re: I say friend, your hear me ? I say friend, your hear me ? Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

I say friend, your hear me ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» [FLASHBACK] A friend in need, a friend indeed| Faith & Nikita.
» can you hear it? | Flashback +18 |Luke
» We all need a friend. Feat. Mike
» this is the end beautiful friend •TYBALT
» NOAH&LUCY ≈ it's been a long day, without you my friend

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
BORN TO BE A WALKER :: ARE YOU ALIVE ? :: CEMETERY :: ARCHIVES DES RPS :: RPS NON FINIS-