Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure.
PRÉNOM(S) † Dean NOM † Antoine, White ÂGE † 36 DATE DE NAISSANCE † écrire ici. LIEU DE NAISSANCE † France ANCIEN LIEU D'HABITATION † Paris ou Boston, ça dépendait des jobs. ANCIEN MÉTIER † Emmerdeur pro, fouille-merde, trafiquant, revendeur d'info et tout ce que tu veux, poupée. STATUT FAMILIAL † A chier. ORIENTATION SEXUELLE †hétéro.POSITION DU PERSONNAGE VIS-A-VIS DU VACCIN † On va pas parler de complot, comme pour toute la merde qui s'est échoué sur terre c'est dernières centaines d'années, mais ... Si. Bourrin ne rime pas avec crétin, et même si la perspective d'être transformé en cadavre t'enchante moins que l'idée d'être sauvée de cette saloperie, t'as mal digérer la pilule. CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR † Chris Evans GROUPE QUE TU SOUHAITES REJOINDRE † Sauvages CRÉDIT AVATAR † Moé.
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JE NE DIRAIS RIEN. J'N'AVOUE RIEN DU TOUT. LAISSEZ-MOI.
Décris ton caractère d'avant l'épidémie puis de maintenant.
« Mais t'es quoi, un putain de psycholol ? M'fais pas chier, du con. Eh, va niquer ta mère, ouais c'est ça, dégages connard ! » Oh, t'es adorable. Un véritable amour. Si doux, si honnête, si … Qui gobera ces conneries ? T'es une enflure, premier du nom. Une pauvre canaille qui s'encanaille avec la pire crasse des bas-fonds. Un sadique. Un cas d'école. Un cas perdu. T'aimes ça, faire lécher l'asphalte. Par la langue pendue de pauvres petites merdes, comme tu les surnommes. Oh, c'est pas la modestie qui t'étouffe, tu te prends même pour un dieu vivant. En tout. T'es comme ça, on t'a fait parfait. T'y peux rien, hein ? Si personne peut comprendre, alors "personne" léchera tes semelles, à grand coup de talons dans la gueule. T'as l'odeur de l'enfer qui te colle à la peau. Les bonnes-sœurs suaient la rouille d'leur crucifix rien qu'en te voyant. Tu pues tellement le blasphème. Tu détruis tout, Dean. Tu sais rien faire d'autre. Détruire, détruire, détruire. Et ça, c'était avant l'Apocalypse. Oh, cette charmante petite épidémie mondiale t'as pour ainsi dire rendue sacrément performant, tu dirais même qu'elle t'a façonné à ton avantage. Pour le plus grand malheur de ceux qui te croisent. Sauf elle.
Que ressens-tu quand tu vois un zombie ? Est-ce que tu les tues ? Si oui, que ressens-tu ?
Nan, tu lui offres un bouquet et je lui fais danser la valse. Conneries. Tu les bousilles. Et t'inventes toujours un nouveau stratagème à chaque fois. Défoncer des morbacs c'est comme le sexe, enfin presque. La nécrophilie c'est pas ton délire. Mais toi, tu te réinventes pour éviter la morne routine. Y en a qui se limitent à une arme fétiche pour toute l'année. Sérieux, qui peut supporter ça ? Oh, toi tu préfères aller de la tronçonneuse au fil de pêche. Tu l'jures, ça marche. Qui il était avant ? Quoi ? Vous allez vous mettre à chialer ? ON S'EN FOUT PUTAIN. Qui se demandait qui était le veau que t'avais bouffé la veille avant cette merde arrive ? ( A part les végétariens, mais ces gars là sont déjà hors-course, ) Hypocrites. Pour ce qui est du ressenti, la joie qui t'emporte lorsque tu prends une vie est mille supérieure à celle de tuer un cadavre ambulant, mais faute de moyen, tu dois souvent te contenter de tuer ceux-là. Les vivants sont de plus en plus dur à dénicher.
As-tu perdu beaucoup de proches et les pleures-tu encore ?
Quoi ? Tu vas te mettre à chialer ces connards ? T'en as strictement rien à foutre. Et puis, t'as toujours Anissa, et celle-là vaut clairement le détour. Au moins une qui tient la route dans tout ce merdier. Les autres, soit la nature s'est chargé d'eux, soit un gang, soit toi-même. T'as bien flingué ton propre père. Il prenait trop de place à la maison. Maman s'occupait pas assez de toi. Ah oui, t'avais pas dépassé la dizaine que t'as déjà commis ton premier homicide. Le premier d'une longue série. .
Penses-tu avoir évolué depuis le début de l'invasion ?
T'étais déjà une perle avant, mais alors là, t'es au sommet. L'Apocalypse avec un grand A t'as relevé au rang de chasseur. T'es libre de jouer l'alpha sans qu'une putain de loi d'un putain d'état vienne te faire chier au détour d'un carrefour de ta vie. Maintenant, terminée la démocratie. C'est toi contre le monde, ton terrain de chasse préféré. Et le temps a fait de toi un virtuose en la matière. T'étais fait pour ça. Depuis le début, t'attendais que le monde s'écroule.
Dernière édition par Dean A. White le Dim 10 Sep - 16:06, édité 9 fois
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Sujet: Re: BITE ME • DEAN. Mar 29 Aoû - 23:53
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Le goût du sang -
Les goûtes d'hémoglobine coule le long de tes dextres minuscules. Tu les fixes, intrigué. Les morceaux épais sont pareils à des écailles pourries. Elle hurle. Elle implores le pardon et toi tu ne comprends pas. Tu tournes le menton, observe ta maman et lui demande d'arrêter de crier. Il l'a mérité. Tu l'as vu lui faire mal. Elle pleurait. C'était la chose la chose la plus logique à faire. Ses épaules sont secouées par des spams incontrôlables et elle baragouine des balivernes intelligibles. « - Qu'est-ce que tu vas me faire ? La question ne vient pas d'elle, elle vient de toi. Ton timbre clair et enfantin résonne dans la pièce, noyée par les sanglots de ta génitrices. Ses prunelles hésitent entre l'horreur et l'amour. L'amour qu'elle te porte. Tu lui souris, approche et tend les bras. Elle recule. Tes membres s’affaissent légèrement et tu lui offres une moue boudeuse. - Il t'a fait des bleus partout, maman. Je l'ai vu, il t'a même forcé à faire l'amour ! Un ange passe et tu sens son cœur qui se brise. Maman a le regard d'une folle. - Où t'as appris tout ça, Dean ? Qu'elle geint en approchant pour te choper par les épaules avant de te secouer. T'as 11 ans, bordel ! Tu devrais pas savoir, tu piges ?! Tu devrais pas comprendre ces merdes là ! Tu la laisses te secouer comme un prunier, tes deux mains ensanglantées entre vous. Tu la laisses faire, elle va se calmer. Elle se calme toujours. Tu es son petit trésor, c'est elle qui l'a dit. Bientôt, la magie opère. Elle s'effondre, t'agrippe dans ses bras et noie ton coup d'eau salé. Le mur admire ton sourire satisfait.
Elle va te couvrir, et l'autre ordure crève doucement en ayant conscience de ce qui va arriver. T'as pris un malin plaisir à l'éventrer, et tu seras jamais accusé. Jamais.
Entre deux sanglots maternels et deux gémissements d'agonie de ton géniteur,, t'éclates d'un petit rire ravis, si discret qu'elle n'entend pas ta joie sous son agonie. Elle sait qu'elle a engendré un monstre, un monstre qu'elle couvrira quoi qu'il arrive.
Allô la terre, ici l'enflure
U.C
You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.