(Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne
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(Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne

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Ambroisie Darkhölme

Ambroisie Darkhölme
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Rps : Charlie

× Âge du perso : : 34 ans

× Caravane + colocataires : : 3C en compagnie de ?

× Poste assigné : : assistante spécialiste

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× Avatar : : Keira Knightley

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MessageSujet: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeVen 28 Déc - 21:21

fiche #000

† NOM : Darkhölme
† PRÉNOM(S) : Ambroisie
† ÂGE : 33 ans
† DATE DE NAISSANCE : 25 février
† LIEU DE NAISSANCE : Los Angeles
† HABITAIT : Los Angeles
† ANCIENNE OCCUPATION : biologiste
† STATUT FAMILIAL : veuve
† ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle
† GROUPE : suspects
† AVATAR : Keira Knightley
Observations
Il y avait comme un malaise entre la personne qu'elle était avant et celle qu'elle est aujourd'hui. La jeune mariée d'avant était aimante et douce. La scientifique désavouée de maintenant était aigri, hautaine et ne voulait plus du tout croire en l'amour. Celle d'avant était à l'écoute, presque fragile, toujours à penser aux autres. L'espoir n'est dorénavant plus une option, aimer n'est plus un luxe, mais une malédiction. Elle préfère tout abandonner, ne pas parler de qui elle est, elle ne veut plus être une scientifique, elle ne veut plus aimer. Elle ne veut plus pouvoir perdre quoi que ce soit, pour ne rien perdre, il ne faut rien avoir. Il lui reste ses souvenirs, aussi bons que douloureux en même temps. Elle aura aimé deux hommes, deux hommes qu'elle pense faire parti des limbes. Néanmoins, elle n'aura jamais assisté à la mort du second. Aujourd'hui, bien malgré elle, elle endosse le rôle d'Augustine qui avait fuit le camp à ses débuts. Alors on la pense vindicative et cruelle, très hautaine et beaucoup trop sûre d'elle. Pour l'instant, n'ayant plus d'espoir, elle a fini par accepter ce rôle.
Questions posées lors de l'entrevue
QUEL EST TON AVIS À PROPOS DU VACCIN QUI A CIRCULÉ PENDANT UN MOMENT ? ES-TU VACCINÉ TOI-MÊME ? PREMIER ENTRETIEN (AUGUSTINE) : Je pense que c'est une chance de comprendre ce que ressente les rôdeurs. C'est sans doute de la folie, mais je m'en tape. J'aspire à m'en injecter une dose. On finira tous par y passer, autant savoir ce qui nous attends réellement. J'ai vu un membre de mon groupe se taper la tête contre un mur jusqu'à ce que sa tête explose comme une pastèque. Il était trop faible pour supporter les maux de têtes. Moi je ne suis pas faible !

SECOND ENTRETIEN (AMBROISIE) : Je l'ai étudié... Mais, j'ai dû quitter le camp des sauveurs et mes recherches. Vous y étiez, peut-être ? J'étais avec un ami, il s’appelait Théodore... Mais Théo, il... Je pense qu'il... Désolée, je m'égare. Bref, nous étions d'accord tous les deux, on voulait participer à sa fabrication, à son amélioration et après se l'injecter nous-mêmes. Je m'en rends compte à quel point ça peut paraître égoïste, mais c'était plus prudent. On gardait une petite fille, vraiment adorable, on ne pouvait pas se permettre de s'injecter quelque chose de dangereux. Je ne sais même pas où elle est maintenant...

QUE RESSENS-TU LORSQUE TU VOIS UN ZOMBIE ? EST-CE QUE TU LES TUES ? SI OUI, QUE RESSENS-TU ? PREMIER ENTRETIEN (AUGUSTINE) : On s'en tape, ils sont claqués depuis longtemps ! Sans déconner, on en arrive toujours à ce point-là ? Et toi t'es qui pour attraper des personnes et les attacher sur une chaise en leur posant ce genre de questions ? Tu te prends pour Dieu mon poulet ? Ma jumelle était plutôt... Pacifique, mais je ne l'ai jamais été. J'aimais tirer sur des cibles, ce n'était que du bout de papier, maintenant j'ai le droit de tirer dans des cibles bien plus intéressantes. Voilà, c'est tout ce que j'en retiens.

SECOND ENTRETIEN (AMBROISIE) : Je n'aime pas ce terme. Pour moi ce sont des leucos. Je n'ai jamais pu prouver ma théorie et j'aurais aimé plus la creuser avec mon ami, mais, le vaccin était sans doute plus important. Sauf si j'ai raison... J'ai peut-être fait une erreur de jugement. Il est possible qu'un parasite soit à l'origine de tout. Un parasite qui utilise le corps de nos défunts pour survivre. Je ne sais pas ce que je ressens lorsque... Je ne sais pas... Je n'ai pas voulu me poser la question depuis longtemps. Je ne le fais pas par plaisir, mais je n'éprouve pas forcément de culpabilité non plus. Ce ne sont plus des humains, enfin, plus des vivants.

AS-TU PERDU DES PROCHES ET LES PLEURES-TU ENCORE ? PREMIER ENTRETIEN (AUGUSTINE) : Tout le monde... Ma sœur est peut-être en vie, j'en sais rien. Cela ne regarde que moi, je ne vais pas me confier à un mec qui m'a ficelé comme un saucisson sur cette chaise ! Sérieusement, qui ne pleure pas ses proches ? J'en ai l'apparence, parce que je me la donne, mais je ne suis pas un monstre. C'est ce qu'est devenu le monde qui nous demande de porter un masque et poser ce genre de questions... C'est juste dégueulasse.

SECOND ENTRETIEN (AMBROISIE) : J'ai d'abord perdu mon mari, puis mon beau-frère, beaucoup d'amis... Je suis tombé amoureuse d'un autre homme qui est sans doute mort lui aussi. Il ne me reste plus personne. Je n'ai jamais revu ma sœur, ni même mes parents. Je préfère ne pas y penser. Si je les pleure ? Pas comme avant. Sinon j'aurais déjà passé une corde autour de mon cou. La douleur est tellement insupportable que je préfère la taire. Et vous ?

QUE PENSES-TU DU CAMP ELLIA ET DE SON PROPRIÉTAIRE ? COMPTES-TU COOPÉRER ? PREMIER ENTRETIEN (AUGUSTINE) : Soyons honnête toi et moi... T'es rien qu'un foutu psychopathe qui croit pouvoir dominer tout le monde. Je pourrais te mentir et te faire croire que je vais être une gentille fille. Mais je ne pense pas que t'es assez con pour y croire, alors je vais être direct. Ton truc va tomber comme un jeu de cartes. Depuis quand on garde les loups dans la bergerie ? Ce que tu veux vraiment, Vance, si c'est ton vrai prénom, c'est quoi ?

SECOND ENTRETIEN (AMBROISIE) : Honnêtement, je comprends que penser que deux jumelles soient encore en vie puisse déstabiliser. Mais je ne suis pas Augustine, en aucun point, je vous le promet. Si je suis venue ici, c'est parce que je n'ai plus aucun but... C'était ça ou rester seule et.. Pour être franche, sans doute que je serais devenue folle à force de vivre dans une solitude aussi grande. Vance, si je puis me permettre, je suis d'accord pour jouer à toutes tes règles, mais certains points me dérangent et j'aimerais que tu me les éclaircisses. Pourquoi tu gardes des monstres entre tes murs ? En cage, d'accord, mais est-ce que ça ne risque pas de les exciter encore plus ? Je sais bien que les libérer ou les tuer ne sont pas non plus de bonnes solutions mais... Pourquoi ne pas faire ta sélection en dehors des murs pour protéger ta ville ? Écoute, si tu penses que je suis Augustine malgré mes réponses, ou que tu ne veux pas courir le risque, je ne t'en tiendrais pas rigueur. Je le répète, c'était ça ou devenir folle alors, ce n'est pas bien grave... Juste... Augustine ne faisait pas parti de ceux en cage au moins ?


NOTES PERSONNELLES
PETITE PRÉSENTATION DU JOUEUR DERRIÈRE L'ÉCRAN † La chose la plus importante déjà, c'est de toujours viser la tête ! Ensuite moi c'est Mira, on peut aussi me connaître comme étant Taya (la petite fée qui tape sur le système dans un jeu de Zelda). J'ai 27 ans et je suis française ! Je suis bretonne de base et je compte bien rentrer dans ma région. Sinon je n'ai pas grand chose à dire que les anciens ne connaissent pas déjà, alors je laisse les nouveaux me découvrir. cuty

N'OUBLIE PAS DE CRÉDITER TES AVATARS/ICÔNES/GIFS † bazzart & tumblr


Dernière édition par Ambroisie Darkhölme le Mar 8 Jan - 1:19, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeVen 28 Déc - 21:21

fiche #000
La vie se passant sur un petit nuage avec quelques gouttes de pluies.
Je n'ai pas toujours été sage.
« J’aimerai retourner à Los Angeles… Faire de nouveau le parcours touristique. » Gloussais-je pour occuper Norman. On se connaissait depuis quelques années déjà, pourtant nous n’étions pas proches normalement. C’était même plutôt le contraire. Il sortait avec ma sœur, Augustine. Nous étions jumelles, mais jamais nous n’étions parvenues à vraiment nous aimer. Il y a les sœurs jumelles qui ne peuvent se séparer l’une de l’autre et le cas totalement opposé existe lui aussi. Ajouter le fait que nous ne nous entendons pas, au fait que Norman m’ait sauvé par erreur et vous imaginez à quel point il est étonnant de me voir lui sourire et essayer de le détendre.

Pour être honnête, je ne me rappelle plus quel jour nous étions quand c’est arrivé. J’étais en congé maladie et j’avais décidé de rentrer exceptionnellement chez mes parents. J’habitais Los Angeles, eux aussi, mais la ville était grande et aimant être indépendante, je n’étais pas dans le quartier d’à côté. Ma sœur et son petit ami Norman venait d’emménager ensemble, mais eux étaient tout proches de mes parents. Rien que cela m’avait irrité, je trouvais ma sœur égoïste de penser à ses parents, mais pas au fait que son petit ami aimerait peut-être lui être proche des siens. A moins qu’il soit comme moi et qu’il souhaite d’autant plus prendre ses distances avec sa belle-famille.

J’étais rentrée pour une fois, j’étais peut-être mal avisée de faire des réflexions. Je venais de me marier il y a à peine deux mois et la perspective de me retrouver seule avec 39 de fièvre ne m’enchantait guère. Daniel était parti deux semaines en voyage d’affaires et ma sœur me tapait sur le système à chaque fois qu’elle passait dire bonjour à mes parents en rentrant de son travail. Sa satisfaction personnelle était d’essayer de me faire douter de la fidélité de mon mari quant à ce voyage prolongé. Bien que nous ayons toutes deux la trentaine et que j’étais fiévreuse, ma mère venait nous séparer quand finalement le ton montait un peu trop fort entre nous deux. Non, nous ne pouvions vraiment pas vivre sous le même toit, même l’espace de cinq minutes.

Si je ne me souvenais plus du jour de la semaine, de l’heure ou même de la date exacte, c’est parce qu’en réalité, je ne m’en souvenais que trop bien. Que l’on aime ou non le cinéma, nous avons tous vus des films et combien de fois est-ce qu’on peut lever les yeux au ciel pour le timming parfait de certaines actions. Que ce soit pour montrer une tragédie ou au contraire une demoiselle en détresse qui est sauvée par le prince charmant de ses rêves les plus fous. Parfois, malheureusement, le parfait timming existe et ce n’est pas toujours pour quelque chose de bien ou d’heureux.

Quand la panique a engagé les rues, nous nous prenions la tête avec ma sœur et puis ce sont nos parents qui ont exigés que l’on se taise, s’apercevant de la panique dans les rues. Je n’étais pas encore rétablie et je me demandais s’il y avait un tireur ou encore pire, un attentat en cours, alors que c’était le jour où mon mari allait rentrer, son avion devait se poser dans deux heures. Ce fut la seule pensée réconfortante. Dans deux heures, le problème serait réglé. Ce n’était pas ma sécurité ou celles de mes proches qui m’inquiétaient. Nous étions dans la maison de mes parents après tout.

Mais bien vite, alors que j’ignorais de quoi il en retournait. Mon père m’aida à me lever et m’emmena dans la rue alors que ma mère et ma sœur nous suivait de près. J’avais beau être chercheuse chimiste spécialisée dans les maladies et leurs mutations, je me sentais totalement dépourvue de réflexion alors que le soleil me faisait plisser les yeux, la foule m’empêchait de comprendre, me bousculant sans arrêt alors que mon père ne cessait de me relever. J’étais encore fiévreuse, je le sentais bien puisqu’au moment où même mon père ne peut m’empêcher de tomber au sol, j’avais l’impression d’être bloquée dans un nuage cotonneux qui m’empêchait de réfléchir ou même d’agir.

La foule me piétina sans vergogne et je fini par perdre totalement connaissance. Même si un membre de ma famille, même ma sœur Augustine, venait pour me chercher, je pensais que la foule les en empêcherait. Alors je peux comprendre qu’à mon réveil, Norman fut déçu et inconsolable. Je ne lui en voulais pas. Ma sœur avait eu un geste envers moi que je n’ai pas su capter quand nous devions fuir. Craignant pour ma santé, cette dernière m’avait donné sa veste avant que mon père ne me demande de s’appuyer sur lui. C’est pour cela qu’au-delà du fait que nous soyons identiques, Norman avait sauvé la mauvaise sœur. Il m’expliqua ce qu’il avait vu et cru comprendre quand il me ramassa dans la rue et qu'il me porta sur son épaule pendant quelques kilomètres, pensant être à l’abri dans un immeuble désaffecté. Notre rue, suite au passage de la foule et des cris, c’était fait envahir parce qu’il nommait des morts-vivants. Je n’y croyais pas vraiment, mais je ne voulais pas non plus le couper ou être ingrate. Il devait être très perturbé. Contrairement à nous, alors qu’il était en pause déjeuner chez lui, il attendit que la foule se disperse pour nous rejoindre. Il craignait pour la vie de sa petite amie. C’est à ce moment qu’il les vit, heureusement, il n’était pas très nombreux et grâce à son arme de fonction, il réussit à s’en tirer. Bien qu’il ignorait encore comment faire pour qu’ils ne se relèvent pas. C’est en courant dans notre rue qu’il me vit inconsciente, portant la veste de ma sœur, il crut que j’étais Augustine. C’est pourquoi il me sauva la vie et préféra me mettre à l’abri avant de, peut-être, partir à la recherche des autres. Nous ignorions alors si ma famille allait bien.

Il se décomposait de secondes en secondes et malgré ma fièvre, il semblait bien plus pâle que moi. Je pris la décision que nous devions aller voir par nous-mêmes. Je lui faisais la promesse de rejoindre Augustine et de même faire des efforts avec elle, à condition que nous nous rendions à l’aéroport. Si ce que disait mon beau-frère était vrai, mon mari était peut-être en danger. Son avion avait déjà dû atterrir il y a une demi-heure environ et j’ignorais totalement où nous étions. Je n’avais rien sur moi, on était parti en catastrophe et pour Norman, c’était la même chose. Pas de papiers, pas de portables, rien qui nous permettent de nous déplacer convenablement ou de chercher à contacter nos proches. Encore heureux que nous puissions tous les deux encore marcher. Je commençais à compter plusieurs ecchymoses sur le corps et c’était seulement par chance que je semblais être en un seul morceau et sans blessures importantes. C’est aussi par chance que les assaillants, peu importe qui ils sont, n’étaient pas encore à mon niveau quand Norman est venu me récupérer. J’étais donc : malade, fatiguée, blessée et sonnée par-dessus le marché. Mais dans un tel état de stress pour mon mari que tout cela ne m’importait guère.

Une fois arrivé enfin à l’aéroport, en passant par des petites rues, des coins peu fréquentés, j’en vis un pour la première fois. Plus tard, tout le monde les appela rôdeur, mais pour le moment je les appelais Leucochloridium paradoxum. Mon beau-frère avait beau être intelligent, il était officier de police et ma passion pour la biologie l’avait toujours un peu dépassé. Surtout concernant les parasites. A l’origine, un Leucochloridium paradoxum est un parasite qui s’attaque en premier lieu à l’escargot, c’est cette partie qui m’intéresse concernant les rôdeurs. Une fois dans l’organisme de l’escargot, il remonte jusqu’à ses antennes et son cerveau. Il s’empare de l’esprit de l’escargot et l’amène à faire ce qu’il souhaite, comme une sorte de zombie. Sauf que, à part ce cas, je n’avais jamais cru l’existence potentielle de zombies. Surtout que l’escargot restait en vie durant le temps où le parasite le contrôlait. Je n’avais pas l’impression que le parasite qui s’en prenait en masse à l’homme le laissait en vie… Non, tous ces gens étaient morts et je n’avais pas besoin de pratiquer une autopsie pour le savoir. Surtout que je n’en avais pas effectué depuis l’école de médecine. A ce stade, j’étais parfaitement persuadée que les rôdeurs étaient affectés par un parasite cousin du Leucochloridium paradoxum. Pour faire plus simple, j’ai gardé mon terme et me permets de les appeler encore parfois comme cela même si tout le monde s’est décidé pour le terme de rôdeur. Ainsi, il n’est pas rare de m’entendre crier les Leucos sont là ! Enfin, si, maintenant que je n’ai plus réellement de compagnons, c’est rare. Norman m’a reproché depuis le début de leur donner un nom trop mignon. Je pense qu’il n’a jamais vu un escargot pris par ce parasite…

Mon mari était ingénieur et j’avais assez d’espoir pour penser qu’un tel penseur survivrait au moins le temps que l’on arrive avec Norman. J’avais totalement confiance en mon beau-frère là-dessus. Il avait rencontré ma sœur au stand de tir, alors j’avouais que je ne m’inquiétais pas plus que ça pour Augustine et mes parents. Néanmoins, nous fûmes rapidement désillusionner. L’aéroport était envahi par les Leucos, pire encore, des victimes des Leucos se relevaient suite à leurs morts. Il s’agissait donc d’un parasite qui prenait possession du vivant une fois sa mort arrivée, comme s’il attendait que le premier occupant meure pour pouvoir enfin prendre sa place. Je sais aujourd’hui qu’il ne s’agit certainement pas d’un parasite et pourtant, quelque part au fond de moi, j’ai la conviction que c’est possible. Alors que je n’étais qu’à quelques mètres de Norman, l’un des Leucos m’attrape le bras. Mon sang ne fit qu’un tour, ce n’était plus la scientifique mais l’être humain apeuré qui prit le dessus, incapable de savoir quoi faire. Contre toute attente, ce ne fut pas Norman qui me sauva cette fois, mais l’un de ses collègues qui fut ravi de retrouver Norman. Il nous apprit qu’il fallait viser la tête, que peu importe où on les touchait, si ce n’était pas la tête ils se relevaient. Je tentais alors de leur expliquer mon idée de parasite qui semblait se confirmer, mais ils étaient définitivement plus des hommes d’actions.

L’avion de Daniel était bien arrivé, mais une fois sur place, je tombais à genoux, prête à pleurer alors que pour la première fois depuis que nous nous connaissions, Norman tentait tant bien que mal de me rassurer et de me dire de garder espoir. C’était une boucherie. Il y avait tant de corps sur le sol, ils étaient tous morts. Tous ceux que l’on voyait. Rémy, le collègue de mon beau-frère, se mit alors à tous leur défoncer le crâne alors qu’un haut le cœur s’emparait de moi. C’est Norman qui commença à vérifier si on ne voyait pas Daniel, préférant que ce soit lui qui le découvre si c’était une mauvaise nouvelle. Relevant la tête vers l’avion alors que je pensais encore que ce que j’avais mangé ne resterait pas dans mon estomac, je vis quelques individus se mouvoir. C’était l’avion dont mon mari avait dû descendre, sauf si certains passagers s’étaient réfugiés dans l’appareil se pensant plus à l’abri ?

Imprudemment, je ne prévenais pas les deux officiers de police et me précipita dehors pour rejoindre l’avion au pas de course. Quand j’ouvris la porte, les larmes coulèrent d’elles-mêmes alors que je restais là, stupéfaite d’horreur. Ceux qui bougeaient étaient morts, mais ils s’agissaient de morts plus récentes. Tout le monde ne s’était pas encore réveillé et Daniel était là, gisant dans son sang, ne s’étant pas réveillé en Leuco. Machinalement, désespérément, je ramenais son corps vers moi alors que les Leuco ne semblaient pas encore connaître le but de leur nouvelle existence. J’essayais de ramener Daniel parmi les vivants ou au moins de ralentir le processus, faisant croire au Leuco en lui que le propriétaire du corps était encore vie. Je le savais, il était mort, mais je n’étais pas rationnelle. J’aimais cet homme et peut-être que si on lui retirait le parasite, il vivrait à nouveau. Il n’avait pas le droit de me quitter. Il avait été astucieux en venant se cacher dans l’avion, c’était profondément injuste ! J’étais dans l’embrasure de la porte, mais descendre son corps avec les escaliers auraient pris trop de temps. « A l’aide ! » Hurlais-je à l’attention de Rémy et Norman qui cherchaient toujours de leurs côtés des survivants. Mon beau-frère capta mon regard de loin et je savais qu’il saurait se montrer rapide pour me venir en aide, surtout si les autres Leucos finissaient par réaliser que j’étais encore chaude et vivante contrairement à leurs corps qui devaient se froidir de minutes en minutes. Reprenant mon bouche à bouche et mon massage cardiaque, je vis soudainement mon mari ouvrir les yeux. Cette fois-ci je laissais un sanglot de bonheur échapper de ma gorge. « Daniel ! Daniel je suis là ! Ça va aller, on va pouvoir t’aider avec Norman… On va te soigner. » Mais je m’arrêtais, mes yeux s’embuant de nouveaux de larmes. « Daniel… » Mais mon cœur se serra soudainement. Daniel était parti, je le savais, je le voyais dans ce regard totalement inexpressif. Un Leuco avait pris sa place et j’étais pourtant incapable de quitter le corps de l’homme que j’avais aimé plus que de raison. De rage et de rancœur face à cette épidémie totalement cauchemardesque, je frappais le corps du même homme que j’essayais de sauver quelques secondes auparavant. Je le frappais de toutes mes forces, espérant tuer ce foutu parasite. Alors que je le martelais de coups, il m’empoigna tout en se redressant, son regard livide me fixa alors que je me stoppais net. Il ouvrit sa bouche et approcha ses lèvres de mon cou avant qu’un coup sonore se fasse entendre tout près de mon oreille, si bien que j’en perdis un peu l’audition sur le moment. Une balle avait sifflé près de moi et je me refusais de regarder le sol où j’étais assise. Je sentais le sang encore chaud de Daniel couler sur ma joue, imprégner la veste de ma sœur et tâcher de manière irrémédiable ma jupe. Norman vient me récupérer prudemment. « Ne regarde pas… Je suis désolé, je n’avais pas le choix Ambroisie. Ce n’était plus… » « Je sais. » Le coupais-je, ne voulant pas l’entendre. Je le savais, mais cela ne voulait pas dire que je voulais que l’on me confirme ce que je savais déjà. Alors que je tremblais de tout mon long, Norman prit la décision de me porter pour me faire descendre les escaliers, pensant que c’était plus prudent. Rémy arriva à mon niveau et je compris malgré moi qu’il demandait à son collègue de faire le ménage.

Assise sur un pose bagage, je fixais le vide, j’étais déjà partie au fond. Mais je ne deviendrais pas un Leuco, je savais que protégée par deux agents de police, j’aurai plus de chance de survivre, même dans ce monde. Je savais que bien malgré moi, je finirai par guérir de ce que je venais de vivre. Pourtant je n’avais pas envie de l’oublier, d’oublier mon sentiment, ce sentiment que plus jamais je ne pourrai revivre. Du moins, ce jour-ci – et c’était bien normal – j’en étais persuadée. Quand Norman s’abaissa à mon niveau, une fois leur sale besogne terminée, je ne dis que ceci : « Elle est en vie. » C’était la moindre des choses que je puisse faire. Augustine et moi étions bien différentes sur différents points. Nous étions opposées, mais dès que l’une était blessée, peu importe la distance, l’autre le ressentait. Si elle était morte, je le saurai.

Et voilà où nous en étions aujourd’hui, à parler ensemble comme si tout était normal. Jamais nous n’avons retrouvé ma sœur ou mes parents. Aucun proche de Norman ou de Rémy ne s’est manifesté sur notre chemin non plus. Fort heureusement, les Leucos éventuels des gens que nous aimions ne semblaient pas exister. Ou du moins, nous l’ignorions et nous portions mieux avec le vague espoir de revoir un être aimé un peu plus tard sur notre route. Cela faisait cinq mois que nous étions un petit groupe de quatre. Nous avions récupéré Natasha au passage. Une jeune blonde de dix-neuf ans, assez futée, plus habile que moi au tir. Mais je restais le cerveau du groupe malgré tout. La pauvre petite blonde avait perdu ses parents, sa sœur mutait alors que nous venions de croiser leurs routes. Norman se chargea de l’achever quand, malheureusement, il fallait se rendre à l’évidence que nous ne pourrions pas la sauver. « Tu te souviens des parcs à thèmes ? On pourrait aller à Disney ! » Je parvins malgré tout à arracher un sourire à Norman. Alors que d’un seul coup, Rémy posa une main sur mon épaule, m’intimant en silence de me taire. Nous étions dans un bosquet et une personne écartait les buissons. Rémy pointait directement le crane de l’individu avec son arme alors qu'il ne semblait en aucun cas menaçant. Ce fût ma première rencontre avec Théodore, avant que je ne parvienne à convaincre ce dernier à rester avec nous. La route était encore moins sûre pour une personne seule.

« On dort ensemble Théodore ? » J’aimais le taquiner, je savais très bien qu’il ne saisissait aucunement le besoin d’affection physique qu’une personne peut rechercher, même dans une simple poignée de main ou même quand je les prenais chacun dans mes bras une fois qu’ils revenaient sains et saufs dans notre maison du moment. J’étais celle qui restait le plus souvent sur place, avec Théodore. Nous étions plus intellectuels que combattifs. Mais j’étais déterminée et tuer des rôdeurs, ou des Leucos de leur petit nom, ne me faisait plus peur. Je ne ressentais plus de sentiments à le faire non plus. J’étais intimement persuadée qu’ils s’agissaient d’insectes parasitaires et non d’êtres humains. Mais à chaque fois que je voulais l’avis de Théodore sur la question, tous les autres commençaient à se plaindre alors je me taisais en levant les yeux au ciel. Cela faisait déjà deux mois que nous étions devenus un groupe de cinq personnes. Il faisait nuit et nous nous étions mis à l’abri dans une maison, juste le temps de quelques jours avant de reprendre la route. Je touchais alors l’épaule de Théodore qui dormait seul dans une chambre. « Pousse-toi s’il te plaît… Natasha me donne des coups de pieds en dormant. » Cette nuit je m’endormais donc près de Théodore, réellement pour la première fois. D’ordinaire je préférais le laisser tranquille, je savais pertinemment que cela pouvait se montrer désagréable pour lui que quelqu’un vienne se coller à lui. C’est pourtant de cette façon que je survécu… C’est Théodore qui me réveilla en pleine nuit, remarquant que des rôdeurs étaient à la porte de notre chambre. La chambre que nous occupions donnait sur le toit et il était facile de s’échapper par la fenêtre. Nous nous mettions à exécutions mais, quelque chose me taraudait l’esprit. Où étaient les autres ? Allaient-ils bien ? A part nous deux, les trois autres dormaient au rez-de-chaussée. Pour la première fois depuis deux mois, Théodore était bien meilleur survivant que moi et ce fût seulement grâce à lui que je survécu. Il le savait, je le savais, nous devions les sauver. La seule question c’était comment ? Malgré le fait que Théodore ait montré à plusieurs reprises qu’il était plus intelligent que moi, aucun de nous deux ne parvinrent à trouver une solution. Le lendemain matin, espérant qu’ils aient trouvés un moyen de se protéger de la horde, je demandais à Théodore de rester loin alors que je jouais le rôle d’éclaireur. Mais ce que je pus constater ne fus qu’horreur et désolation. Norman rampait sur le sol, ses jambes ne lui permettant plus de marcher, il essayait désespérément d’atteindre la chaire vivante et chaude que j’étais. J’ai cru que j’allais y rester alors que je tentais tant bien que mal de rester forte face à ces images qui ne quitteraient plus jamais ma tête. De manière digne, je tirai une balle dans la tête de mon beau-frère qui avait tellement compté depuis le début de l’épidémie. Ce qui amena les deux Leucos restant : Natasha et Rémy à venir vers moi.

Une fois ce travail des plus pénibles terminés, il ne restait plus que moi et Théodore et cette question qui sans cesse me taraudait. Pourquoi étaient-ils restés dans la maison ? Pourquoi n’avaient-ils pas suivis les autres rôdeurs ? J’avais l’impression d’avoir tué mes amis, ma famille. Rien ni personne ne pourrait m’enlever cette vision, cette impression et cette horreur constante qui jaillissait le soir lorsque je me couchais.

Nous vivions à deux, nous survivions à deux, deux intellectuels perdus au milieu d’une jungle d’horreur sans avoir la nette possibilité de régler ses comptes avec les Leucos. Théodore était devenu mon tout, mon âme sœur sans que je ne puisse jamais réellement être en couple avec lui et je le savais. J’avais été mariée, j’étais habituée au contact physique et dire que cela ne me manquait pas serait un mensonge éhonté. Mais par amour, j’étais prête à ne pas compter dessus. J’ignorais même si Théodore éprouvait la même chose que moi. Lui qui semblait tellement croire que les sentiments étaient un mythe, à part celui de la peur qui, au contraire, pour moi, n’en était pas un mais une question de survie, d’instinct et donc un geste animal. J’aurai très bien pu essayer d’expliquer les sentiments de manière scientifique à Théodore, mais c’était bien plus qu’une question d’hormones. Bien plus que de savoir si telle ou telle personne avait des points communs et que cela justifiait une amitié. Non, les sentiments ne pouvaient s’expliquer réellement et c’est pour cela qu’il dépassait autant Théodore, même lorsqu’il s’agissait de reproduction ou de ressentir un quelconque plaisir physique. Ce n’était sans doute pas plus mal vu la vie que nous vivions. Elle n’était pas réelle, juste cauchemardesque, mais j’avais au moins la chance d’avoir la personne que j’aimais le plus à mes côtés.

Cette vie seulement à deux, nous l’avions vécue pendant huit mois. Huit mois presque paisible, presque d’harmonie, jusqu’à ce qu’il arrive. Clint… N’avait rien du gentil garçon, rien du mec futé non plus. Rien ne m’intéressait chez lui, pire encore, il me donnait envie de vomir, littéralement. C’était un survivant qui aimait profiter des autres, de la situation et se moquait pas mal de la morale. Il ignorait totalement ce que le mot compassion signifiait ou encore solidarité. Il était l’incarnation de l’ignominie. Il était ma confirmation que ce monde n’avait plus aucune sociabilité collective. L’humain était mauvais par essence, c’était un choix que d’être bon, mais sa capacité de réflexion devait tellement être minuscule qu’il ne réalisait même pas. Je fulminais devant cet homme qui nous tenait en permanence en joug. De toute évidence il n’était pas assez brillant pour comprendre que j’étais aussi intelligente ou au contraire, il avait suffisamment de capacité de réflexion pour savoir que je lui cracherais au visage alors que Théo n’oserait pas.

Dans le malheur d’avoir un cerveau pas plus développé qu’un Leuco, Clint, savait tout aussi bien parasiter. Il voulait utiliser l’intelligence de Théodore à ses fins. Jamais je me serai cru capable de tuer un être humain, sans doute que je ne le peux pas et c’est ce qui me différencie de Clint. Il n’empêche que je me sentais capable de le maîtriser une bonne fois pour toute afin de m’échapper avec Théodore. Seulement il était déjà bien trop tard… Ce dernier me prit par surprise, une fois de plus où je me mettais entre lui et l’homme que j’aimais. Il me tira dessus et j’en perdis connaissance. A mon réveil, ils n’étaient plus là et au spectacle abominable qui se déroulait devant mes yeux, je ne pus croire qu’une chose, que la deuxième personne que j’avais réellement aimée d’un amour sincère avait finie comme le premier. Fuyant face aux rôdeurs où se trouvait peut-être aussi un Théodore Leuco, je ne pouvais me résigner à me retourner et à lui faire face, pas cette fois. Je ne voulais plus souffrir, je ne voulais plus m’attacher et surtout, je ne voulais plus jamais croire en l’espèce humaine.

Par la suite, seule, je m’étais risquée à la zone 51, mais au plus mauvais moment. Les cannibales avaient envahis la zone. Je parvins à m’échapper de justesse avec une femme plus âgée que moi, mais finalement, je partis sans un mot une nuit. Entre Clint, les cannibales et tous ceux que j’avais perdus, je ne voulais ni être déçue, ni m’attacher de nouveau. Contre toute attente, j’ai de nouveau croisé le chemin des cannibales et l’un d’eux qui s’étaient éloignés du groupe avait tenté de m’amener comme dîner. Je réussi à prendre le dessus sur lui, j’ai hésité de longues secondes à l’achever alors que je l’avais assommé grâce à une pierre. Mais j’avais raison, je n’étais pas un monstre comme eux, j’étais incapable de tuer une fois que je savais que ce n’était plus de la légitime défense. De jours en jours je porte en moi le poids d’avoir laissé un tel monstre s’en sortir. Il allait prendre tellement de vies alors que j’aurai pu en prendre qu’une seule. J’étais seule et désemparée. Il ne me restait que quelques objets qui me rappelaient ceux qui avaient comptés avant. Un livre que j’avais offert à Théodore, même s’il avait eu un autre propriétaire. Une photo de famille que nous étions revenus chercher avec Norman. Un collier de coquillages que Natasha m’avait offert et le revolver que Rémy m’avait confié en cas de besoin. Il me restait tout le chargeur, ne l’ayant jamais utilisé, considérant ces balles trop précieuses tant que je ne trouverai pas un nouveau chargeur plein.

Le reste de mon histoire reste encore à écrire, évidemment, je pourrais vous raconter plus en détails mes longs mois de solitudes, mais ils sont semblables à n’importe quel survivant solitaire. Je suis devenue plus froide en apparence, mais j’aide toujours mon prochain, je refuse seulement qu’il me suive. Je suis toujours en quête d’apprendre, je vais souvent dormir dans des maisons pour bouger tout de suite après. Je n’ai plus confiance dans les groupes ou même les personnes solitaires et je vis constamment dans l’ombre de Théodore qui est redevenu poussière. Il me hante nuit après nuit, quand la brise est trop légère et que je ne peux pas espérer me blottir contre lui. J’ai aimé mon mari Daniel, mais cet amour ne me hante plus. Théodore a pris sa place et la douleur continue de s’accroître, m’empêchant d’être chaleureuse plus que de raisons à chacune de mes nouvelles rencontres. Je continue de marcher, mon nouvel objectif serait de me rendre à DisneyLand. Après tout, je lui la seule qui risquerait ma vie dans ce périple. Seulement, mon périple nécessite quelques arrêts et même si j'ai horreur de ça, j'ai trouvé refuge à Yosemiite. A la meilleure occasion, je m'en irai une nouvelle fois sans un mot.

Le tonnerre éclate, la pluie est devenue rouge et chaude.
Toi et moi c'est à la vie, à la mort.
Théodore, je t'écris cette lettre, j'en ai besoin. Tu sais, la première fois que je t'ai perdu, je t'ai énormément pleuré. La seconde, je crois que la folie a pris possession de moi. Tu étais devenu ma drogue, mais même quand on était ensemble, je te sentais distant. Je te disais que ça m'allait, mais je réalise que le contact physique me manquait quand même. C'est comme si j'avais été la seule à t'aimer et puis.. La colère l'a emporté. Pourquoi m'as-tu encore perdu ? As-tu rencontré quelqu'un d'autre ? Quelqu'un qui n'a pas besoin de te toucher ou quelqu'un qui a réussi à te faire comprendre qu'un câlin est quelque chose de positif ? Je préfère cette vision, plutôt que celle de ton corps froid. Je préfère croire que tu m'as abandonné de ton plein grès. Venir à Yosemite m'a rendu mon bonheur, aller au camp des sauveurs me l'a fait perdre de nouveau. Tu n'aurais jamais dû lâcher ma main. Au moins, on aurait pu mourir ensemble.

Il y a une nuit, l'espoir m'était revenu, je nous voyais tous les deux et tu m'embrassais enfin. Cela ne venait pas de moi, mais de toi. A mon réveil, je me suis peut-être dis que c'était ton esprit qui était venu me dire au revoir. Une fois de plus, j'ai pleuré pour toi, je m'étais pourtant promis de ne plus jamais le faire. Tu es toujours profondément ancré dans ma chaire et mon âme, mais je crois que j'ai envie de te rendre triste, tout en sachant que je me rendrais triste et que tu n'en saura jamais rien. J'ai envie de te tromper Théodore, rien qu'une fois, comme si cette faute allait te faire revenir pour que l'on ait une réelle dispute de couple. Ce serait sans doute la fin de notre histoire, mais au moins je te verrais, je pourrais constater que tu vas bien et que tu te foutais juste de moi.

J'ai envie de me donner l'illusion que tu m'évites volontairement. J'aimerais que tu ailles bien et que tu sois seulement comme tous les autres garçons, que tu sois parti au bras d'une autre. Théodore... Tu ne sais pas à quel point je rêve d'embrasser un autre et de repenser à ce rêve fou où tu te décidais enfin à m'embrasser, à te décider à tester quelque chose de nouveau pour savoir si j'étais peut-être la seule avec qui tu accepterais de... Sauter le pas. J'en deviens folle de maladie de ton absence. Pitié, ne reviens pas si c'est pour qu'une fois encore nos chemins se séparent, je n'y survivrais pas.

Tu es au courant, n'est-ce pas ? Vance me prends pour Augustine... Tu sais, Augustine, tu ne l'aurais pas aimé. Elle est très impétueuse et quand elle veut se montrer plus intelligente que la personne en face d'elle, elle le prends souvent pour un con et utilise un langage grossier. Elle se fait passer pour une autre, en réalité, on est assez semblable. La seule vrai différence, c'est que je ne suis pas égoïste de nature. Augustine, si elle veut quelque chose, elle l'a. Oh mon dieu... Mon pire cauchemar ce serait ça, que tu ais fuis avec elle. Le manque de ta présence me dévore...

J'ai erré longtemps, tu sais ? Je ne savais même pas sur quelle ville j'étais, je ne sais pas vraiment où se trouve Ellia. Mais un jour, j'ai décidé que cette solitude devait cesser et je m'y suis précipitée. On m'a reçu comme une prisonnière en cavale et ce ne fut que bien plus tard que je compris ce qui se passait. Augustine a réussi à fuir le camp. Paradoxalement, je suis assez fière d'elle, cela montre que nous sommes des personnes intelligentes dans la famille. Par contre c'est aussi une garce de m'avoir laissé dans tout ce qu'elle avait commencé. Je pense qu'elle voulait prouver à Vance que son camp était fragile. A mon avis, il ne l'est plus du tout maintenant. Moi, j'ai décidé de jouer le jeu, maintenant je m'en fous, si tu savais Théo... Pour être honnête, je pense aussi que ma jumelle avait cédé à la folie avant de se faire kidnapper par le chef d'Ellia. J'ai une personne qui m'aide à me faire passer pour Augustine, auprès de ses anciens camarades. On jurais que c'est Norman... J'ai étouffé un sanglot la première fois que je l'ai vu. Il lui ressemble tellement. Tu te rends compte ? Elle a remplacé son copain par quelqu'un qui lui ressemble... Je te rassure, tu ne ressembles pas du tout à mon défunt mari. En fait, je trouve ça glauque de la part d'Augustine.

Il s'appelle Deacon, il pense aussi que c'est un peu de sa faute si elle s'est enfuie. Il lui restait une dose du vaccin. C'est un ancien dealer cet homme, alors il m'a dit qu'il était plutôt bon pour voler et garder les psychotropes. Bref, il en a donné une dose à Augustine et il paraît que le résultat n'était pas beau à voir. Elle a perdu beaucoup de sa vision, ses yeux étaient devenus blancs et les maux de crânes la réveillait en pleine nuit. Je sais qu'elle n'est pas morte, mais depuis, il m'arrive moi aussi de me réveiller sans savoir pourquoi. Je suis certaine que c'est ce lien compliqué entre jumelles qui m'indiquent qu'elle a mal. Mais je suis bloquée dans ce camp avec ce Deacon, je ne peux rien faire pour ma sœur. Théodore... Si tu es encore vivant, trouve-là et sauve-là.

Je t'aime. Tout simplement.

Craquant une allumette, je mis le feu à mon écrit, les flammes rougeoyantes me brûlant légèrement les rétines, je ne décollais pas mes yeux de mon message d'adieu.


Dernière édition par Ambroisie Darkhölme le Mar 8 Jan - 1:58, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeSam 29 Déc - 0:23

Re-bienvenue chez toi cuty
J'enlève tout de suite les deux louloutes des non-recensés coeurrose
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Conrad Williamson

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeDim 30 Déc - 16:18

Toujours aussi belle cette petite coeurrose
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMar 1 Jan - 22:56

Of course yes Conrad coquin coeurrose
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMar 1 Jan - 23:44

Hello Miss, rebienvenue du coup & bon courage pour refaire ta fiche coeur
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMer 2 Jan - 18:00

Re-bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeDim 6 Jan - 19:10

Merci à vous deux duck
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeDim 6 Jan - 21:01

Ce physique quoi yeux yeux
Je m'en remets pas à chaque fois que je la vois Arrow

Courage pour ta fiche en tous cas ilu corde
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Ambroisie Darkhölme

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeDim 6 Jan - 21:29

Merci SaId duck je sais que je n'ai pas assuré la dernière fois, mais comme maintenant je suis de nouveau vraiment là, on pourra se faire un rp si tu veux cuty
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMar 8 Jan - 9:06

Waou trop belle ton histoire, c'était vraiment sympa à lire, fluide et très bien rédigé, sans superflu tout ça XD Vivement de te lire en RP, AmbroiAugustine lele
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Rebekah Fitz-Williamson

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMar 8 Jan - 9:10

Validation


Félicitations, tu es désormais Bornien !
Rebekah Fitz-Williamson a l'immense plaisir de te valider !
Félicitations, tu rejoins le groupe Suspects  

J'aime beaucoup l'évolution de ton Ambroisie, elle est vraiment complexe et si humaine.

Vance ne sait pas vraiment sur quel pied danser avec toi. Quelque chose lui dit que tu mens, que tu n'ai pas Augustine, mais le doute persiste tellement. Alors il se méfit, il ne te fait absolument pas confiance et trouve cela fort dommage vue inintelligence dont tu fais preuve.  Il va quand même te rassuré en te confiant que Clint est enfermer et le restera jusqu'à la fin de ses jours.  Il te place dans la caravane 7A avec Anissa et te souhaite beaucoup de chance avec elle.  Pour le métier, il a décider de te faire un peu confiance sur ce point et exploité ton savoir et ton intelligence pour le bien de la communauté. Te voila donc Professeur spécialiste des sciences a l'école. Oui tu risque de prendre cela pour une régression alors qu'il aurait put te mettre a la recherche, mais n'oublions pas qu'il ne te fait encore pas confiance et te fait même surveiller au cas où.

Tu peux dès à présent :
→ Te lancer dans le RP en t'amusant ici ou chercher des partenaires de jeu par !
→ Recenser ton avatar en postant dans ce sujet.
→  Prendre connaissance du système de points et ce qu'il implique (en plus d'autres informations nécessaires à la compréhension du forum) par ici (cf INFO N°3).
→ Poster tes fiches de liens et de RPs.
→ Créer tes propres scénarios qui pourraient t'être utiles.
Voter régulièrement pour gagner des points et nous faire connaître ! De même en postant sur Bazzart et PRD
→ Et surtout TU PEUX T'AMUSER !
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Ambroisie Darkhölme

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeMer 9 Jan - 2:39

Merci beaucoup à vous deux duck bril
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Vance P. Elford

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeJeu 14 Nov - 18:19

Bonjour, @Ambroisie Darkhölme. Suite aux derniers événements survenus aux alentours d'Ellia, voilà où nous en sommes...

Ton côté très solitaire a de quoi éveiller ma curiosité et mon inquiétude quant à ton intégration à Ellia et ta volonté de poursuivre avec nous. C'est pourquoi je décide de te placer chez les "guarded" où tu as, je pense, plus ta place. Reste à voir ce qui surviendra par la suite bien sûr... Il se pourrait que je change d'avis ! Quoi qu'il en soit, tu seras légèrement encadrée par certaines personnes plus positives quant au futur du village.
Nous te permettons tout de même d'intégrer la caravane 3C en assez bon état (il est possible que tu aies, dans un futur plus ou moins proche, un(e) colocataire) et un métier au poste médical. Tu seras assistante spécialiste, ce qui devrait te permettre de poursuivre tes recherches de vaccin que je te sais mener.
Je te souhaite une bonne intégration à Ellia !
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Ambroisie Darkhölme

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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitimeJeu 14 Nov - 22:42

Merci Vance pour m'accorder un nouveau poste cuty bril
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MessageSujet: Re: (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne (Ambroisie) Engage le jeu que je le gagne Icon_minitime

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