Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure.
Le dindon volant devra interpréter des passages de « C’est le moment (traduit de It’s time) de Imagine Dragons » Sexy voleuse devra interpréter des passages de « où allons-nous de Zazie » L’ange déchu devra interpréter des passages de « Je veux m’en aller de Saez »
Règles :
+ Vous pouvez changer les pronoms personnels de "il" à "tu" ou "vous". + Vous avez le droit de dire des mots simples : "oui" "non" "au secours" "peut être" "merci" ce genre de choses + Sur un Rp par personne, doit être mentionné deux passages minimum de la chanson, deux phrases obligatoires.
Mise en situation :
Bonsoir à toutes et tous, et bienvenues à cette toute première représentation. Notre scène se joue dans le cimetière de la petite ville de Charm. Avant la pandémie, il y avait quelques 5 000 habitants, aujourd’hui, ils doivent se compter sur le doigt d’une seule main. Arrivés chacun sur place en vue de récupérer de la nourriture au petit store, la route principale barrée par les intempéries, votre seule solution est de traverser le cimetière à pied. Le soleil se couche lentement à l’horizon, un petit vent léger, joue dans les feuilles mortes des arbres, et la petite grille en fer grince un peu… mais vous ne devriez pas avoir peur, au final les morts ne rôdent-ils pas de partout de nos jours ?
Dernière édition par Zombies le Mer 7 Aoû - 22:14, édité 1 fois
Je sais depuis mon enfance que si je veux quelques choses je dois me débrouiller et je sais aussi que dans le monde actuel, tout le monde s'en fou de tout le monde, moi je pense qu'aujourd'hui nous sommes tous égaux, qu'importe si vous êtes beaux, riches ou même intelligent, ce qui compte c'est comment vous êtes capable de survivre dans un environnement hostile et jusqu'au vous êtes prêt à aller pour ça, tuer ou être tué, c'est triste à dire. Moi, depuis mon enfance je dois survivre dans un monde plein de danger, mon beau-père en étant un, le manque d'argent en était un, le seul fait de sortir dehors en étant un. Alors que je commençais à arriver dans une ville, qui semblait désertique mais, il ne faut jamais ce fier aux apparences donc je préfère rester sur mes gardes. Je ne supporte pas les villes, tu peux voir sur le sol des traces de sang séchés, des jouets d'enfants qui ont étés abandonnés, il est possible de voir l'horreur que fut cette invasion quand elle était à son apogée, je crois que jamais je ne supportais cette vision d'horreur, c'était insupportable de voir des gens souffrir. J'imagine les voitures en flammes, les coups de feu, les cris s’angoissent, les pleurs des mères, je ne supporte pas ça, je repense alors aux gens qui le méritent et qui sont maintenant, mort ou presque, au final c'est peut-être juste le karma. Alors que j'avance lentement mais, sûrement j'observe les lieux. J'entends alors un bruit, un craquement, j'ignore s'il s'agit d'un humain, d'un zombie ou d'un rat mais je commence alors à m'éloigner, je me dirige sans m'en rendre compte vers un cimetière, je n'aime pas les cimetières, je trouve cela à la fois déprimant et sans grand intérêt. « Ce serait la bonne route, ce serait l'essentiel. Ou vais-je ? » Bonne question, je me demande sérieusement ou je vais, je me retrouve alors face à un mur fait de pierre, je pourrais éventuellement passer par la porte d'entrée mais, je n'aime pas me faire remarquer. Je mur n'est pas très haut et puis il me suffit de faire un petit saut de rien du tout pour grimper. Je respire alors et m'éloigne légèrement pour prendre mon élan et attraper le rebord de ce mur« Accrochés à la paroi...Se hisser au sommet coûte que coûte » Je me dis alors ça, je suis accroché. Je me remonte alors délicatement, me voilà donc debout sur ce petit muret. « Je frôle le ciel. » Je descend ensuite du petit muret et me voilà donc dans le cimetière « Pour redescendre aussitôt » J'affiche un petit sourire conquis. J'avance alors lentement mais, sûrement dans ce lieu qui ne me fait ni chaud ni froid, les morts sont vivants, le cimetière n'est rien d'autre qu'un lieu lugubre ou à une époque régnait les cauchemars, aujourd'hui ce n'est qu'un lieu ou les gens se cachent et ou éventuellement quelques zombies traînent mais, cela est rare. Je commence alors à avancer dans l'herbe, je ne suis pas loin du chemin principal, soudain j'entends une voix, je n'ai pas le temps d'installer un piège pour l'attraper, je vais donc devoir jouer sur la ruse et l'infiltration, je m'enfonce alors encore un peu dans ce lieu, dans l'ombre j'avance lentement mais, sûrement.
Si le jeune homme était certain d'une seule et unique chose, c'est qu'il détestait cette ville. Comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, c'est vrai ! Charm. Si Livingston pouvait se permettre une blague de mauvais goût, cette ville avait perdu tout son charme depuis l'épidémie. La seule chose dont Ezy était certain, c'est que le virus s'y était propagé à une vitesse fulgurante et qu'il devait rester des tas et des tas de nourritures. Néanmoins, le soleil commençait déjà à se coucher et suite à de nombreuses expériences, le jeune homme devait faire le moins de bruit possible. C'est ainsi qu'il gara son jeep 4x4 à l'entrée de la ville et s'assura de prendre plus d'armes que le nécessaire. Il faut malheureusement tué pour être tué et ce soir, pour survivre, il allait devoir utiliser cette nouvelle devise.
Depuis combien de temps était-il là, dans ce chaos, à se battre tous les jours ? Le temps n'existait plus, mais le jeune homme pouvait être certain d'un détail. « J'veux m'en aller ! J'veux m'en aller ! Je veux pas crever, dans cette...inhumanité. » Le garagiste avait toujours eu ses convictions et l'une d'elles étaient de se battre pour survivre. Après tout ce qu'il avait vécu : la perte de ses parents, crever de faim des jours entier, se balader seul et devenir son seul partenaire de discussion et surtout, lutter pour conserver son humanité. Voilà le pourquoi et le comment son véhicule l'avait mené jusque dans le petite ville de Charm pour trouver ce dont il avait par-dessus tout besoin pour continuer la route. Néanmoins, la tâche ne serait pas si facile. Un cimetière se tenait devant lui et pour arriver à son but, Ezyckiel n'avait guère le choix de le traverser. De plus, Livingston avait pris tellement de temps à stationner son auto, sortir ses objets et se préparer, que la lune était déjà bien haute dans le ciel. « Mais y'a plus d'étoiles dans le ciel » Malheureusement, elles se faisaient de plus en plus rare et ce, même si elles n'avaient plus vraiment de spectateurs... Toutefois, l'aiguille continuait de tourner et les rôdeurs sortiraient bientôt en masse.
Ainsi, avant qu'on aille été capable de dire «bouh», il avait à chacune de ses mains une arme chargée et prête à être utilisée. Désormais, il était en mode chasseur de zombies. Ce lieu était lugubre et ça ne sentait pas bon du tout - dans tous les sens du terme - pour un endroit où beaucoup de gens reposaient en paix. Le sol semblait renfoncé davantage à chacun des pas que le jeune homme faisait. Heureusement, c'était silencieux, peut-être trop même. Le vent, les feuilles sur le sol et quelques corbeaux devenaient à eux seuls, l'unique musique d'ambiance. Puis, il entendit un bruit. Depuis que le virus s'était rependu, le garagiste pouvait reconnaître n'importe quel bruit et ce, à des kilomètres à la ronde. Ce n'était pas des zombies, mais plutôt un humain qui s'amusait à faire du bruit, en pleine nuit. Le tout valait presque une main d'applaudissements.
Le jeune homme s'approcha de la source et eut l'idée de la prévenir dans un chuchotement. Ainsi, il limitait les chances de se prendre une balle en pleine tête. Certes, il y avait encore des humains, mais comme dit plus haut, l'humanité était en voie de disparition. On pouvait tirait sur n'importe qui, même sa famille. « Encore trainer les rues et les cafés et saluer mes frères » . Maintenant, il ne restait plus qu'à attendre une réponse. Le chronomètre était parti et le jeune homme ne comptait pas attendre une éternité. Aucune réponse dans le prochain délais et il partait sans aucun remord.
Bordel de bordel de merde.... Son regard se posa sur la rue principale, celle ci était totalement bloquée. Il joua avec l'idée de tout escalader en passant par dessus mais laissa rapidement tombé l'idée. Il n'avait pas envie de mourir aujourd'hui. La meilleure solution résidait dans un changement de direction. Le store se trouvait de l'autre côté de la ville, il allait bien réussir à trouver un moyen pour s'y rendre. De toute façon, il n'avait franchement pas le choix. Il devait trouver à bouffer. La faim lui faisait totalement perdre la tête et pour trouver une barre chocolaté, il étai près à toute les folies. Gayl pivota sur lui même et s'élança à la recherche d'un chemin annexe. Qu'est qu'il en avait marre, toujours devoir marcher, chercher... Aucune vacance à l'horizon dans ce monde de merde...
Non franchement il en avait marre, ça le soûlait de plus en plus cette histoire. Sa route l’amena à un cimetière. Oh quelle belle idée, une petite promenade dans le cimetière pour trouver un peu de réconfort. C'était tellement cool de lire les tombes. Franchement qui n'en avait jamais rêvé... Gayl haïssait les cimetières, il n'avait d'ailleurs jamais mis les pieds dans celui ou ses défunts parents avaient été déposé. Si ça ne tenait qu'à lui, il préférait crever bouffer par des charognards que d'être enterré. Franchement pourquoi se faire chier à creuser un trou pour l'y laisser reposer ??? Nan vraiment il n'en voyait pas du tout l’intérêt. Dire que son père l'avait tellement soûlé pour qu'il soit un fils digne de sa grande famille. « Alors c'est ça que tu voulais dire » Quel abruti songea t'il. Il avait pensé à quoi quand il disait ça. Au mode de vie à adopter en cas d'attaques de zombies. Rien n'était valable aucune règle, ils allaient tous crever comme des moins que rien et en prime ils finiraient par tuer le reste de leur semblable. Super ambitieux comme mode de vie. « Quand tu disais que tu étais épuisé » Épuisé de quoi , il foutait rien, lui était complètement épuisé oué, complètement crevé mais il n'avait pas assez de temps pour s'en plaindre.
Pas vraiment le temps de continuer à s'acharner, il devait trouver à bouffer. C'est donc avec un certain dépit qui rentra dans le cimetière en jetant quelques coups d’œils aux tombes. « Maintenant il est temps de tout reconstruire du début jusqu'à la fin » Reconstruire sa vie, pourquoi pas... c'était peut-être pas une si mauvaise idée. Enfin fallait voir ce qu'il y avait à reconstruire. Devant lui un pigeon laissa tomber de la fiente... Classe. « Ne te retiens pas » Rha c'était dégueulasse... « Je fais mes valises et je passerais plus tard à l’académie » Oui il allait reprendre les cours avec un pigeon comme proffff.
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Zombies (PNJ)
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× Âge du perso : : Je n'ai point d'âge.
× Caravane + colocataires : : Je n'ai pas été accepté à Ellia.
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× Copyright : : SAPPHIRE.
× Avatar : : Zombie.
× Et ton p'tit pseudo ? : : Selon ton bon vouloir ... ça va de "zombaque" à "zonzon" en passant par ... "rôdeur"..
Le dindon volant devra interpréter des passages de « La cerise / Matmatah » Sexy voleuse devra interpréter des passages de « Sombre Con / Rose » L’ange déchu devra interpréter des passages de « Fin de siècle / Noir désir »
Tous les trois dans ce cimetière, le soleil est couché et tout est calme autour de vous, Sexy Voleuse c'est la voix délicieuse de L'ange déchu que tu as entendu, et d'ailleurs tu peux le voir marcher. Dindon Volant, la tête en l'air, tu ne réalises que trop tard que le sol bouge sous tes pieds, une main surgit pour t'attraper la cheville. Dans le cimetière, plongé dans le noir, des tombes ont été vandalisé, d'autres la terre est retournée, et certains emplacement sont juste de grands trous béant avec le cercueil ouvert. Attention à vos pas!
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Mar 6 Aoû - 19:56
Je sais depuis mon enfance que si je veux quelques choses je dois me débrouiller et je sais aussi que dans le monde actuel, tout le monde s'en fou de tout le monde, moi je pense qu'aujourd'hui nous sommes tous égaux, qu'importe si vous êtes beaux, riches ou même intelligent, ce qui compte c'est comment vous êtes capable de survivre dans un environnement hostile et jusqu'au vous êtes prêt à aller pour ça, tuer ou être tué, c'est triste à dire. Moi, depuis mon enfance je dois survivre dans un monde plein de danger, mon beau-père en étant un, le manque d'argent en était un, le seul fait de sortir dehors en étant un. Alors que je commençais à arriver dans une ville, qui semblait désertique mais, il ne faut jamais ce fier aux apparences donc je préfère rester sur mes gardes. Je ne supporte pas les villes, tu peux voir sur le sol des traces de sang séchés, des jouets d'enfants qui ont étés abandonnés, il est possible de voir l'horreur que fut cette invasion quand elle était à son apogée, je crois que jamais je ne supportais cette vision d'horreur, c'était insupportable de voir des gens souffrir. J'imagine les voitures en flammes, les coups de feu, les cris s’angoissent, les pleurs des mères, je ne supporte pas ça, je repense alors aux gens qui le méritent et qui sont maintenant, mort ou presque, au final c'est peut-être juste le karma. Alors que j'avance lentement mais, sûrement j'observe les lieux. J'entends alors un bruit, un craquement, j'ignore s'il s'agit d'un humain, d'un zombie ou d'un rat mais je commence alors à m'éloigner, je me dirige sans m'en rendre compte vers un cimetière, je n'aime pas les cimetières, je trouve cela à la fois déprimant et sans grand intérêt. « Ce serait la bonne route, ce serait l'essentiel. Ou vais-je ? » Bonne question, je me demande sérieusement ou je vais, je me retrouve alors face à un mur fait de pierre, je pourrais éventuellement passer par la porte d'entrée mais, je n'aime pas me faire remarquer. Je mur n'est pas très haut et puis il me suffit de faire un petit saut de rien du tout pour grimper. Je respire alors et m'éloigne légèrement pour prendre mon élan et attraper le rebord de ce mur« Accrochés à la paroi...Se hisser au sommet coûte que coûte » Je me dis alors ça, je suis accroché. Je me remonte alors délicatement, me voilà donc debout sur ce petit muret. « Je frôle le ciel. » Je descend ensuite du petit muret et me voilà donc dans le cimetière « Pour redescendre aussitôt » J'affiche un petit sourire conquis. J'avance alors lentement mais, sûrement dans ce lieu qui ne me fait ni chaud ni froid, les morts sont vivants, le cimetière n'est rien d'autre qu'un lieu lugubre ou à une époque régnait les cauchemars, aujourd'hui ce n'est qu'un lieu ou les gens se cachent et ou éventuellement quelques zombies traînent mais, cela est rare. Je commence alors à avancer dans l'herbe, je ne suis pas loin du chemin principal, soudain j'entends une voix, je n'ai pas le temps d'installer un piège pour l'attraper, je vais donc devoir jouer sur la ruse et l'infiltration, je m'enfonce alors encore un peu dans ce lieu, dans l'ombre j'avance lentement mais, sûrement. 
