FUYEZ, PAUVRES FOUS, vous hurle votre bon sens. PRENDS CE QUI TE TOMBE SOUS LA MAIN, tente de vous raisonner votre estomac en manque de bouffe. Qui écouterez-vous ? Qui suivrez-vous ? Vous êtes dans une situation détestable et on ne peut plus effrayante : une maison de trois étages se trouvent devant vous. Elle pourrait vous offrir confort et sécurité ou à l'inverse, désespoir et mort. Vos chemins à toutes les deux se croisent à quelques pas de la porte d'entrée, pour le meilleur ... ou pour le pire ? Combiner vos forces pourraient s'avérer fort utiles une fois que vous serez à l'intérieur, là où inconnu et surprise sont de mises, ou pourraient bien s'avérer dangereuses à partir du moment où la situation échappe à votre contrôle ... Faites les bons choix : vite et bien.

Ordre de jeu : dans l'ordre indiqué dans le titre, en n'oubliant pas le maître du jeu, après chaque post d'Alliyah.

Ps : merci de ne pas laisser plus d'une semaine passer avant d'y répondre. ça évitera de bloquer le sujet. Pour faire plus simple, vous pouvez faire entre 500 et 600 mots maximum sans problème, et ne faites surtout pas trop long.

Ps² : le rp se déroule dans la réalité, c'est-à-dire qu'il peut avoir un impact sur votre personnage et ses futurs liens. Lieu pas spécifié avec précision pour ne pas bloquer quoi que ce soit mais se déroule néanmoins dans une maison de 3 étages au beau milieu de la compagne (une ferme en quelque sorte, quoi). Ce n'est pas spécifié mais on est en début d'après-midi.

Ne jamais entrer dans un endroit sans avoir une idée de comment en sortir. Depuis quelque temps, c'est leitmotiv principal d'Alliyah. Elle n'aime guère l'idée de laisser son destin entre les mains du hasard ; elle tâche donc de tout prévoir à l'avance. A commencer par ce point, détail important et pourtant trop souvent négligé. Elle le sait pour l'avoir vu plusieurs fois ; des types coincés, appelant à l'aide à l'étage. Ils étaient coincés dans une maison par une horde de rôdeurs, ils se retrouvaient désarmés avec des survivants traînant au rez-de-chaussée. Cela paraît évident, mais c'est avant tout nécessaire. Pire, c'est primordial. Alliyah entre donc dans cette maison, et laisse la porte d'entrée légèrement entrouverte. Pas assez pour que quiconque y passe, mais assez pour que, justement, elle l'entende grincer si jamais quelqu'un pénètre dans l'enceinte de cette maison. Elle est grande, et la jeune brune espère y trouver de quoi se nourrir ou de quoi lui être utile. Piles, lampes torches, elle n'est pas difficile : elle prend ce qui peut avoir un quelconque intérêt. C'est d'ailleurs avec une sourire immense qu'elle met la main sur une bouteille moyenne d'alcool à 90°. Elle est à moitié vide, mais cela fera l'affaire. De toute façon, elle est seule et a finalement peu de chance de se blesser. Si une telle chose venait à arriver, elle aura au moins de quoi éviter une infection ou un truc du genre ; c'est le plus important. De manière rapide, Alliyah fouille le rez-de-chaussée, une bandoulière de son sac accrochée à son épaule et sa machette dans son autre main. Elle ne trouve rien d'autre de bien concret en bas et ne veut, de toute façon, pas s'attarder trop longuement dans cette maison. Son instinct lui souffle qu'il y a quelque chose qui cloche, quelque chose qui ne va pas. Elle ne sait mettre le doigt sur cette dite chose, mais ne veut de toute façon pas s'attarder là-dessus. Elle est habituée à voyager seule à présent et elle sait qu'elle doit se méfier de tout et de tous, au risque d'y laisser la peau. Énergique, elle monte les escaliers aussi rapidement et silencieusement que possible. Et peu après, elle entre dans une première pièce. Idem qu'en bas, elle laisse la porte légèrement entrouverte. Juste au cas où. Et, de toute façon, s'il y avait eu un rôdeur vivace et sur le point de lui sauter dessus, elle l'aurait entendu. Sa conquête des lieux se poursuit mais Alliyah se fige quelques instants à peine plus tard. Elle entend des grincements dans les escaliers, ce qui veut dire qu'une autre personne est dans le coin. A moins qu'un rôdeur passant dans le coin ait eu la merveilleuse idée d'entrer dans cette maison précisément ? Pour en avoir le cœur net, la jeune femme saute sur ses pieds pour faire face à la porte mais c'est déjà trop tard : quelqu'un la pousse et lui fait face, une lampe torche à la main. Alliyah plisse les lèvres, le cœur battant à tout rompre. Elle n'a pas peur à proprement parlé, mais elle sait que sa vie est sur la sellette. La femme en face d'elle n'a pas l'air de vouloir rire ou mettre sa propre sécurité en danger. « Et bien ? C'est une façon de traiter les gens ? » Sa meilleure option : jouer les ingénus. Mais aussi ne pas faire le moindre mouvement, comme prévu. Elle garde sa machette bien ancrée dans sa main mais reste parfaitement immobile. Elle n'a pas trop le choix, de toute façon;

Dans ce monde post-apocalyptique, il apparaît clairement qu'il faut se méfier de tout et de tous. Peut-être plus des survivants que des rôdeurs, d'ailleurs ... Ces derniers sont complètement stupides, il ne fonctionne qu'à leur instinct de survie qui leur indique uniquement 'bouffe' et 'chair fraîche'. Les survivants, eux aussi, vivent à l'instinct. Mais ils sont intelligents, malins et réfléchis. Si certains fonceraient bien tête baissée dans une horde de rôdeurs, d'autres, plus sournois, sont prêts à attaquer des survivants par derrière pour récupérer leurs vivres. C'est l'anarchie. Vous voilà donc l'une en face de l'autre, Faith une arme à feu entre les mains et Alliyah une machette inutilisable dans ces conditions ; une balle va malheureusement beaucoup plus vite. Votre instinct vous hurle sans doute de ne pas vous faire confiance mais ... peut-être que les véritables ennemis de cette maison ne sont pas ici ? Si c'est le cas, il serait sans doute préférable pour vous d'unir vos forces. D'ailleurs, vous entendez bientôt des bruits de pas au rez-de-chaussée. Survivants ? Rôdeurs ? Difficile à dire .... mais ils sont nombreux, ça c'est un fait évident. Faites-vous confiance ou venez-en mains mais une chose est sûre : peu importe qui se trouve en bas, vous n'êtes plus en sécurité.

Ordre de jeu : dans l'ordre indiqué dans le titre, en n'oubliant pas le maître du jeu, après chaque post d'Alliyah.

Ps : merci de ne pas laisser plus d'une semaine passer avant d'y répondre. ça évitera de bloquer le sujet. Pour faire plus simple, vous pouvez faire entre 500 et 600 mots maximum sans problème, et ne faites surtout pas trop long.

Ps² : le rp se déroule dans la réalité, c'est-à-dire qu'il peut avoir un impact sur votre personnage et ses futurs liens. Lieu pas spécifié avec précision pour ne pas bloquer quoi que ce soit mais se déroule néanmoins dans une maison de 3 étages au beau milieu de la compagne (une ferme en quelque sorte, quoi). Ce n'est pas spécifié mais on est en début d'après-midi.

Un rire ironique s'échappe des lèvres d'Alliyah à l'entente des paroles de la brune. Tu ne crois pas si bien dire, pense-t-elle, amusée alors que la situation ne s'y prête vraiment pas. C'est elle qui en très mauvaise posture. Elle qui est menacée par un flingue avec, pour toute arme de défense, une machette qu'elle ne peut pas lever en direction de la survivante. Tenter de faire ça serait suicidaire. Elle n'a aucune intention d'attenter à la vie de la blonde mais elle a le sentiment qu'au moindre mouvement suspect, elle risque de se prendre une balle en pleine tête. Et, franchement, ça ne la tente pas plus que ça. Elle risque donc parfaitement immobile, silencieuse aussi. C'est ce qui leur permet d'entendre des bruits de pas au rez-de-chaussée, deux étages plus bas. Alliyah fronce les sourcils, jette un coup d'oeil inquiet en direction de la porte. « Bien sûr que non. » Lâche-t-elle comme s'il s'agissait d'une évidence. Evidemment que ça n'en est pas une. La blonde ne connaît pas la brune et inversement. Même si la situation est on ne peut plus en sa défaveur, Alliyah parvient à comprendre le point de vue de la jeune femme. N'aurait-elle pas énormément de soupçons à sa place ? Bien sûr que si. Tous les survivants réagissent de cette façon, c'est évident. Mais là, elles doivent trouver une solution pour se tirer de là et pas se mettre des bâtons dans les roues.

Alliyah fait donc disparaître toute trace d'amusement de son visage et reprend un air sérieux. C'est nécessaire là. Pire, c'est primordial et indispensable. Si elle veut se faire entendre, elle ne doit surtout pas passer pour la psychopathe qu'elle est justement. « J'crois que t'as pas le choix, il va falloir que tu m'accordes un minimum de confiance si on veut sortir de là vivante. » Marmonne-t-elle à l'intention de la blonde. Elles sont toutes les deux près des escaliers, alors Alliyah préfère chuchoter. Elle ne sait pas si ce sont des survivants ou des rôdeurs là en bas, mais son instinct lui souffle que les pas sont trop ... précis, contrôlés et discrets pour qu'ils s'agissent de ces imbéciles de morts-vivants. Mais cela n'augure rien de bon pour elles... Sans compter que la brune est incapable de définir combien ils sont. « T'as vu quelque chose ou quelqu'un en arrivant ? » Lui demande-t-elle, sérieuse. Elle a besoin de savoir, elles ont besoin de toutes les informations que possible. Pourtant, Alliyah n'a rien vu elle-même. Il y a peu de chance, donc, que la blonde, qui est arrivée avant elle, ait pu voir quoi que ce soit. L'espoir fait vivre, hein ? Y a plus qu'à espérer pour que la jeune femme ne joue pas les intrépides et décide de la jouer solo. Ou pire, décide de ne pas croire Alliyah. Manquerait plus que ça tiens ...

Fera confiance, ne fera pas confiance : telle est la question. Il est difficile de baisser sa vigilance. En particulier avec de parfaits inconnus, portant des armes à feu et / ou une machette et autre joyeusetés du genre. Il est logique de se méfier, de rester sur ses gardes et de ne pas accorder une quelconque opportunité à un survivant. Opportunité qui pourrait vous être fatale. Néanmoins, la véritable question est la suivante : n'est-il pas, parfois, nécessaire d'en arriver à de telles extrémités pour survivre ? Il semblerait que la réponse soit. Oui, oui et mille fois oui ! Les bruits de pas se font de nouveau entendre, cette fois un peu plus proches de vous. Au niveau des escaliers. Quelqu'un - ou quelque chose, il est encore difficile de trancher - et en train de montrer les escaliers. Dans l'obscurité vous ne pouvez pas y voir grand chose. Mais vous êtes deux ... jouer sur l'effet de surprise pourrait vous être bénéfique. Mais pour cela, encore faut-il être capable de dire oui, et d'accorder à une étrangère un peu de sa confiance ...

Ordre de jeu : dans l'ordre indiqué dans le titre, en n'oubliant pas le maître du jeu, après chaque post d'Alliyah.

Ps : merci de ne pas laisser plus d'une semaine passer avant d'y répondre. ça évitera de bloquer le sujet. Pour faire plus simple, vous pouvez faire entre 500 et 600 mots maximum sans problème, et ne faites surtout pas trop long.

Ps² : le rp se déroule dans la réalité, c'est-à-dire qu'il peut avoir un impact sur votre personnage et ses futurs liens. Lieu pas spécifié avec précision pour ne pas bloquer quoi que ce soit mais se déroule néanmoins dans une maison de 3 étages au beau milieu de la compagne (une ferme en quelque sorte, quoi). Ce n'est pas spécifié mais on est en début d'après-midi.

Alliyah ne peut pas s'en empêcher ; malgré l'atmosphère plus que pesante de la situation, elle est obligée d'esquisser un sourire narquois. La blonde est froide, méfiante et, franchement, un peu agaçante. Elles se retrouvent toutes les deux dans une situation critique et elle ne semble pas décider pour autant à baisser sa garde. C'est peut-être mieux ainsi mais parfois, il est nécessaire, voire obligatoire, de laisser en arrière ses principes. Au moins un peu. Il semblerait que ce ne soit pas son cas, et cela fait sourire Alliyah de plus bel. Elle est amusée par quelque chose qui ne devrait pas causer chez elle une telle réaction. Mais c'est d'Alliyah dont il s'agit, rien d'étonnant là-dedans donc. « Ouais ouais. » Elle accompagne ses paroles d'un vague geste de la main dans sa direction. Tant pis si cela l'énerve encore plus, Alliyah se fiche pas mal de ce qu'elle lui raconte. En fait, c'est surtout qu'elles n'ont pas le temps de faire causette. Et plutôt que de faire avancer les choses, elle préfère lui faire comprendre sans relâche qu'elle ne lui fait pas confiance. Soit. Mais en attendant, elles sont toutes les deux dans le pétrin. Face aux réactions de la blonde, Alliyah a finit par comprendre qu'elle ne connaît bel et bien personne dans cet endroit. Ceux, ou celles, qui s'approchent, sont donc de parfaits inconnus. Et ils sont en surnombre.

Sans compter qu'ils peuvent aussi compter les uns sur les autres ... Alliyah ne se fiera qu'à elle-même de son côté. La blonde est un peu trop agressive et perso' à son goût. « Donc tu me fais pas confiance, j'te fais pas confiance, ça marche. Plutôt que de te laisser couvrir mes arrières, j'préfère qu'on reste côte à côte. Moins de risques. » C'est que c'est un peu illogique tout ça ; si Alliyah ne doit pas lui faire confiance, elle ne peut certainement pas la laisser derrière elle. Hors de question. « De toute façon, ils viennent par là, on peut jouer sur l'effet de surprise et les attaquer un par un. » Aucun scrupule. Les deux survivants veulent des vivres, et il y aura sans de quoi en trouver dans le coin. Mais pour ça, encore faut-il qu'elles survivent. Et qu'elles butent ces gens-là. « Et en silence, tant qu'à faire. » Histoire de ne pas tous les attirer à l'étage. Elles n'ont aucune idée de combien ils sont, mais mieux vaut rester sur ses gardes. Cela semble être le point fort de la blonde, en plus ! Sans réellement attendre de réponse, Alliyah se positionne à quelques pas du haut des escaliers, accroupie. Elle ne tourne pas totalement le dos à la blonde, sait-on jamais. A présent, elle n'attend plus rien d'autre que de voir la personne arriver à sa hauteur ... Les pas se rapprochant annoncent son arrivée imminente.

Pour l'instant, le mystère est complet : vous ne savez pas combien ils sont. Aurez-vous la possibilité de vous en tirer vivantes ? Rien n'est moins sûr ... Jouer sur l'effet de surprise semble être votre seule chance. Ils ne savent pas que vous êtes là, pas encore en tout cas, tirez en profit. En restant silencieuses et prêtes à dégainer vos armes à tout moment, vous pouvez faire cela dans le silence le plus complet. Avec un peu de chance, ils viendront un par un et pas en gros groupe. Si tel était le cas, nous ne donnons pas cher de votre peau ... Pour l'instant, votre stratégie semble tout juste établi, mais n'attendez plus longtemps : un premier survivant débarque en haut des escaliers et vous apercevra d'une seconde à l'autre malgré l'obscurité.

Ordre de jeu : dans l'ordre indiqué dans le titre, en n'oubliant pas le maître du jeu, après chaque post d'Alliyah.

Ps : merci de ne pas laisser plus d'une semaine passer avant d'y répondre. ça évitera de bloquer le sujet. Pour faire plus simple, vous pouvez faire entre 500 et 600 mots maximum sans problème, et ne faites surtout pas trop long.

Ps² : le rp se déroule dans la réalité, c'est-à-dire qu'il peut avoir un impact sur votre personnage et ses futurs liens. Lieu pas spécifié avec précision pour ne pas bloquer quoi que ce soit mais se déroule néanmoins dans une maison de 3 étages au beau milieu de la compagne (une ferme en quelque sorte, quoi). Ce n'est pas spécifié mais on est en début d'après-midi.