Après sept ans de bons et loyaux services, Born ferme ses portes. Merci à tous ceux qui ont participé, d'une manière ou d'une autre, de près ou de loin, à son aventure.
Few month ago; - «Saloperie.» lâchas-tu comme pour toi-même. Car crier n’avait aucun intérêt mis à par attirer plus d’attention qu’il ne l’aurait fallu.
Quelques instants auparavant, tu avais pris de la hauteur, laissant ton sac au sol. Vous vous étiez séparé pour couvrir plus de terrain. Une tactique qui autrefois n’aurez inspiré personne, mais ce temps était révolu. Car maintenant vous aviez appris, vous saviez vous défendre. Et pouvoir couvrir plus de terrain dans une ville était ce qui vous sembliez le plus judicieux. Car vous pouviez récupérer plus d’affaire, en moins de temps. Inutile d’être à trois lorsqu’une personne suffisait pour une tâche. Toi tu cherchais principalement de la nourriture. Et tu avais récupéré plusieurs conserves et autres denrées dont le temps n’avait pas trop abîmé son contenu. Alors tu avais pris de la hauteur, pour voir où étaient les autres. Fernando avait su mettre à profit les capacités d’Asher et la tienne à pouvoir grimper à peu près n’importe quel bâtiment. Une fois terminé, vous deviez prendre de la hauteur donc, pour trouver les autres et vous regrouper. Rien de bien sorcier. Mais pendant que tu avais entrepris de grimper sur le toit d’un petit bâtiment, que du coin de l’oeil tu vis du mouvement. Mais tu fus bien trop lent pour comprendre que ce n’était pas l’un de tes compagnons de route mais un individu qui avait entrepris de fouiller ton sac. Le temps où tu le réalises, elle l’avait vu, que tu l’avais remarqué, alors elle c’était enfui les mains pleines. « Putain.» Tu descendis de ton perchoir aussi rapidement que tu avais entrepris de montrer. Et ce fut un peu essoufflé que tu te mis à sa poursuite. Il était difficile, maintenant, de faire des efforts sans que le corps n’en soit contrarié. La nourriture, était devenue quelque chose qui faisait tant défaut qu’on ne pouvait plus faire le moindre effort sans se sentir rapidement à court du souffle. Mais tu ne pouvais pas la laisser partir. Tu ne pouvais pas laisser quelqu’un te voler sans rien dire. La civilité était devenue inexistante, les gens se servaient sans se soucier de ce qu’ils amputer aux autres. La survie, cette notion qui vos rendez semblables à des animaux. Vous alliez réellement vos battre pour des boîtes en fer, car vous en aviez autant besoin l’un que l’autre. C’était triste, mais tu ne savais pas ce qu’elle avait pu prendre de plus dans ton sac, alors tu te contentais de la poursuivre dans la rue. Elle se retourna, voir si tu avais gagné du terrain, ou en avoir perdu. Tu tenais la distance c’était la seule chose qui était importante. Alors elle du se montrer inattentive, ou alors avait une issue de secours, car elle prit la direction d’un cul-de-sac. Tu réussis à accélérer ta course pour gagner quelques mètres. - «Arrête-toi.» Tu saisis ton arme et la pointas vers elle. « Rends-moi ce que tu m’as pris.» Et elle te fit face. Ton souffle était rapide, la déglutissions un peu difficile car l’effort avait été trop intense pour toi. Ton corps avait faim.