I intimidate you ? | Samuel & Letizia
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I intimidate you ? | Samuel & Letizia

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Letizia L. Zocchetti

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MessageSujet: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeMer 16 Aoû - 16:44



I intimidate you?

Méconnaissable, voila ce qu’elle trouvait qu’elle était en se regardant dans un miroir.  Elle était loin la belle blonde toujours bien apprêté  qu’elle avait était pendant ses quelques années de gloire. Et dire que tout s’était arrêté subitement quand les morts s’était relevés. Parfois elle fermait les yeux et imaginait ce qu’elle serait aujourd’hui si l’apocalypse n’avait pas sonner.  Elle s’imaginer encore dans sa belle villa a Malibu, peut-être que Loukas aurait enfin prit son envoler, même si elle se doutait qu’il n’aurait pas aménagé loin de chez elle. Il était tellement dépendant d’elle, qu’elle devait tout le temps l’amener en tourné avec elle car elle ne voulait pas rentrer et retrouver sa maison en feu ou en bazarre et son frère mal en point. Il ne savait pas s’occupé de lui tout seul de toute façon…Il n’avait jamais sut d’ailleurs. Et malheureusement il ne saurait jamais… C’était en partie a cause d’elle, elle le savait et c’était d’ailleurs ce qui la rongeait. Toutes les nuits sans exception elle pleuré quand elle se savait seule. Il lui manquait, Li lui manquait, sa vie lui manquer… Chanter lui manquer, c’était ce qu’elle faisait le mieux, et maintenant faire trop de bruit c’était proscrit. Trop dangereux, trop mortel. Parfois elle ne pouvait pas s’empêcher de chantonner ou fredonner, toujours quand elle était toute seule bien sur, pour ne pas exposer les autres.   Elle soupira, et posa le miroir que son amie lui avait prêté. Avant elle passait beaucoup de temps a se préparer, a prendre soin d’elle… Aujourd’hui elle ne prenait même pas une seconde pour se regarder, elle n’aimait pas ce qu’elle voyait dans son reflet de toute façon. Elle se leva et attrapa le fusil qu’on lui avait donner pour son tours de garde. C’était la première fois qu’elle devait faire une ronde depuis qu’elle était a Yosemite c’était un peu déroutant pour elle. Surtout qu’elle n’était pas super bonne avec une arme a feu. Elle savait tirer mais pas super bien et pas rapidement du tout. Elle préféré de loin ses armes ninja.

Quand elle arriva a son point de départ pour sa ronde, elle fut surprise de voir qu’il y avait déjà quelqu’un. Quelqu’un qui semblait attendre, surement qu’il l’attendait elle pour commencer sa ronde. Elle n’avait pas vraiment de notion du temps, alors peut-être qu’elle était en retard. Elle ne savait pas, et au pire elle s’excuserait de l’avoir fait attendre. Elle s’approcha de l’homme après avoir prit son courage a deux mains, elle était un peu anxieuse quand a sa ronde, elle ne savait pas vraiment comment cela se passer et elle avait peur de faire une bêtise. Mais bon, c’est comme cela qu’on apprend et elle voulait se rendre utile pour le camp. Elle se mit a coté de l’homme tranquillement et l’observa rapidement. Il était grand, très grand comparé a elle, enfin ce n’était pas vraiment difficile d’être plus grand qu’elle. Il avait les cheveux d’un noir de jai et mit long. Il avait quelque chose de très charmeur. Elle lui fit un grand sourire, Letizia était quelqu’un de souriante de toute façon. « Salut, je crois qu’on doit faire notre ronde ensemble. Je m’appelle Letizia » Dit elle simplement avant de se tourner et regarder un peu l’horizon. Parfois, quand elle se présenter on la coupé en disant qu’on savait qui elle était. Il y avait donc encore des personnes qui la reconnaissaient malgré ses cheveux gras et emmêler, ses cernes et son visage sale. Beaucoup lui disait qu’ils étaient fan, un jour quelqu’un lui avait même demandé un autographe, comme si de nos jours cela avait encore de la valeur. Enfin Letizia n’avait pas rechigné a le lui signé. Cela avait fait plaisir a son fan et puis a elle aussi quelque part, c’était comme si pendant un instant elle n’était pas en plein apocalypse mais encore dans ses heures de gloire. Mais là, elle attendait juste patiemment que l’homme se présente à son tour. «  Oh et je suis désoler si je t’ai fais attendre. » Dit-elle simplement. Oui elle le tutoyait d’emblait, de toute façon, elle était italienne, donc elle avait le tutoiement tellement facile qu’elle ne vouvoyait presque personne.  

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeSam 2 Sep - 18:45

I Intimidate You ?Samuel & LetiziaÇa faisait un bon 20 minutes déjà que j’étais planté debout à l’entrée du parc. J’observais les alentours sans vraiment remarquer quoi que ce soit d’anormal. C’était encore le matin, il y avait de la rosée par terre et par chance que j’avais mes bottes sinon j’aurais les pieds trempés. Une mauvaise idée par ce froid. L’herbe m’arrivait aux mollets et mouillait presque mon pantalon. Est-ce que les températures assommantes de l’été californien étaient terminées ? J’avais l’impression que non. On allait encore y gouter dans les prochains jours. Je ne savais pas trop quelle heure il était, mais le soleil venait à peine de se lever et je le voyais pointer le bout de son nez au dessus de la forêt. J’attendais une survivante à qui je devais expliquer comment faire une ronde de surveillance à l’entrée du parc. C’était surtout par là que les survivants arrivaient donc c’était important de les intercepter avant qu’ils n’entrent. Pas qu’on refusait les gens qui voulaient entrer, mais certains avaient été jetés dehors auparavant et c’était important de ne pas les laisser revenir. Et il y avait ceux qui venaient seulement pour faire du grabuge ou voler. Il y avait déjà les rôdeurs pour foutrent la merde, pas besoin d’humain en plus pour déstabiliser les survivants venus s’établir ici. Déjà que la vie n’était pas facile depuis quelques années, tenir les dangereux à l’écart était une bonne idée.

J’aperçu du mouvement dans les bois lorsque j’entendis quelqu’un m’interpeller. Du moins c’est ce que je croyais. Et juste à côté de moi. La personne que j’attendais était donc arrivée. Avec un peu de retard mais ce n’était pas important. Ce qui était important c’est ce que j’avais vu dans la forêt. Un rôdeur ? Un animal sauvage ? Je l’avais perdu de vu en détournant le regard quelques secondes et j’essayais de le retrouver. J’avais presque envie de sortir mon Macmillan pour regarder à travers la lunette. Mais si je ne savais pas précisément où se situait la chose, ça ne servirait pas à grand-chose. « Salut, moi c’est Samuel. Vous pouvez m’appeler Sam. Et oui, c’est avec moi que vous ferez votre ronde aujourd’hui. J’espère que ça ne vous dérange pas trop. » Dis-je avec un demi sourire sans trop regarder à qui j’avais affaire. Je lui lançais un regard rapide avant de m’emparer de l’arme sur mon dos. « Si ça ne vous dérange pas. J’ai vu quelque chose entre les arbres devant nous. Je ne sais pas trop ce que c’est… » Je manipule l’arme avec assurance et pose mon œil devant la lunette de précision. Je cherche un moment avant d’enfin percevoir du mouvement dans un buisson. Je tremble à peine en tenant le fusil de précision et je reconnais une petite biche à travers mon objectif. J’abaisse l’arme en poussant un soupir de soulagement et entend la jeune femme s’excuser d’être en retard. Elle l’était à peine en fait. Et de nos jours, ce n’était pas tout le monde qui avait une montre. Dur d’être à l’heure quand ce concept n’existait presque plus. Ce qui me surprit plus fut qu’elle me tutoie sans même me connaitre. J’étais habitué au vouvoiement. Dans l’armée on vouvoyait toujours les supérieurs et j’avais gardé cette habitude autant envers les étrangers que les gens avec une certaine importance. Je tournais la tête pour regarder franchement la jeune femme. Je fronçais les sourcils, un air confus sur le visage. Ce visage, j’ai l’impression de l’avoir déjà vu… Je dois l’avoir déjà rencontré lorsque je marchais dans le parc j’imagine. Mais étrangement, je ne crois pas que ce soit ça. Non je ne l’ai jamais vu à Yosemite. Où donc ? Avant l’épidémie ? C’était pas comme si mes anciennes connaissances étaient toujours en vie aujourd’hui. « Vous ne m’avez pas vraiment fait attendre. Vous êtes dans les temps. On devrait commencer par l’entrée du parc. Suivez-moi. »

Non sérieusement, je la connais. Plus je la regarde et plus j’ai l’impression de la reconnaitre. Plus personne ne se ressemble de nos jours, mais certains de ses traits me sont familiers. N’avait-elle pas dit qu’elle s’appelait Letizia ? Letizia… Je me retournais pour mener la marche mais je voyais encore son visage dans ma tête. Je n’osais pas poser de questions, ce n’était pas mon genre. Je préférais que ça vienne naturellement. Une Letizia aux cheveux blonds, au visage ovale et aux yeux bleus. Je me tournais pour lui jeter un coup d’œil rapide et me retournais presque immédiatement. Qu’est-ce qui me prenait ? Je n’avais pas une attitude aussi gênante d’habitude. Je tentais de me reprendre en relevant la tête et abaissant les épaules mais je ne croyais pas pouvoir avoir la tête totalement à ma tâche tant et aussi longtemps que je n’aurais pas trouvé d’où je la connaissais.
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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeMer 6 Sep - 20:01



I intimidate you?

Elle fut un peu surprise de le voir sortir tout de suite son arme après s’être présenter. Il la manier vraiment très habilement, comme un vrai pro. Enfin, a force tout le monde qui manier une arme a feu tout les jours devenait vraiment habile avec. Mais chez lui ça semblait tellement naturelle qu’elle se dit qu’il était surement dans l’armée avant ou du moins dans les forces de l’ordre. En plus il la vouvoyait, cela la fit un peu sourire, elle avait l’impression d’être de retour dans la vie normal, quand elle était une célébrité alors tout le monde la vouvoyer partout où elle passait. Bien sur, elle finissait toujours pas demander à ce qu’on la tutoie. Elle n’avait pas vraiment l’habitude qu’on la vouvoie et elle n’aimait pas cela du tout.  Elle resta silencieuse jusqu'à ce qu’il baisse son arme et souri un peu quand il dit que c’est bon elle n’était pas vraiment en retard. «  Tu peux me tutoyé, j’suis pas la reine d’Angleterre et puis on a surement le même âge ou presque. » Humble, elle l’avait toujours était, elle n’avait jamais prit la grosse tête et toujours fait en sorte d’être une personne accessible comme les autres… Même si elle avait souvent un garde du corps quand elle faisait les courses, avant, par exemple, sur ordre de son manager.  Elle hocha la tête quand il lui demanda de la suivre et s’exécuta. Après tout il était plus expérimenté qu’elle.  Elle marchait d’un pas assez soutenue, elle avait un peu de mal a le suivre, elle faisait deux pas quand il en faisait un, mais elle ne se plaignait pas, elle avait l’habitude.  Et puis elle avait gagné en endurance depuis le début de tout cela, donc elle n’allait pas se fatiguée de si tôt.

Elle avait remarqué qu’il semblait préoccupé, comme distrait.  C’est quand elle remarqua le petit coup d’œil qu’il lui jeta encore une fois qu’elle comprit. Il était surement en train de chercher où il l’avait déjà vue. Elle n’était donc peut-être pas si méconnaissable que cela. C’était ça, ou il avait peut-être un coup de cœur pour elle… Enfin, elle parié plus sur la première option, c’était la plus plausible. Elle n’était plus jolie comme avant, donc personne n’allait craquer sur elle au premier coup d’œil c’était certain. Elle souri un peu et réussi à ajuster son pas au sien. Elle tourna un peu la tête pour le regarder, autant mettre tout de suite fin a ses interrogation. « Laisse moi deviner, tu essaye de te souvenir où tu m’a déjà vue ? » Elle souri un peu  «  T’es pas le premier à faire ça. J’me suis pas bien présenter. Je suis Letizia Zoccheti… Tu m’a surement vue a la télé, j’ai fais des pubs pour un parfum connue. J’ai était aussi a plusieurs émission. Ou tu a vue un de mes clips. Et surement entendu a la radio si tu écoutais la radio » dit elle simplement. On pourrait croire qu’elle se vanté comme cela, mais ce n’était pas du tout le but, elle essayait de l’éclairé pour qu’il sache où il l’avait déjà vue. Ainsi il se concentrerait sur sa tache.  Elle se mit a marcher un peu plus vite «  Oh et je tien a te prévenir, je ne tire pas très bien » dit elle en passant totalement a autre chose. De toute façon tout ce qu’elle avait évoquer avant c’était du passé, elle ne voulait pas vraiment prendre le temps d’y penser, ca lui donnerait le cafard sinon, et elle était de bonne humeur pour l’instant, elle tenait a la conserver.

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeDim 17 Sep - 5:56

I Intimidate You ?Samuel & Letizia Elle me demanda de la tutoyer et je me contentais d’hocher la tête. Je préférais vouvoyer les gens que je ne connaissais pas mais si c’était ce qu’elle préférait alors je le ferais. C’était une étrange habitude à garder du passé, mais ça m’était resté. Probablement que c’était suffisamment ancré pour que je continue à vouvoyer les gens même maintenant que la société n’existait plus vraiment. Aujourd’hui les gens se traitaient de tous les noms juste en s’apercevant. C’était pire que jamais. Au nombre de fois que je m’étais fais traité de con et de salopard, j’aurais du m’habituer. J’avais moi-même souvent laissé libre cours à ma rage en hurlant des jurons à des survivants qui avaient tentés de me flouer ou quelques imbéciles essayant de me voler à la pointe de leur fusil. C’était pas les occasions qui manquaient en fait.

Puis en marchant, j’essayais de me souvenir d’où je la connaissais. Elle avait un visage familier. Et cette voix… Elle sembla comprendre ce qui me tracassait. Avait-elle un sixième sens ? Comment savait-elle que je me questionnais sur son identité ? Soit elle me connaissait et je ne l’avais pas reconnu soit… Letizia Zocchetti. Je savais que je la connaissais ! Mais elle ne me connaissait pas. J’avais eu raison sur un point. Elle était en train de me décrire tout ce qu’elle avait fait mais je le savais déjà. Je n’écoutais plus vraiment en fait, marchant sans trop savoir quoi lui répondre. C’était un peu gênant non ? C’était ce que je me disais dans ma tête mais j’étais encore plus gêné que je ne le croyais. Maintenant que je savais qui elle était. J’avais eu le béguin pour elle avant l’épidémie. Je me grattais nerveusement la tête et la regarda rapidement par-dessus mon épaule. Oui c’était bien elle. Elle ne se ressemblait plus vraiment sans les luxes de la société d’avant, mais c’était elle. Si Hazel avait été là, elle aurait bien rit de ma gueule. Combien de fois elle c’était moquée de moi avec Letizia Zocchetti ? Assez pour que je me sente rougir même si la fauteure de trouble n’était pas présente en ce moment. Elle était même disparue depuis le début de l’épidémie. Mais j’entendais presque sa voix dans ma tête qui disait : Oh mais regarde Clayton ! C’est ta copine imaginaire ! Tu te souviens quand je t’avais acheté son affiche ! J’avais presque l’impression de retourner dans le passé. Et la nostalgie n’est pas un bon sentiment à vivre dans mon cas. « Oui je me souviens de vous… toi » Elle voulait que je la tutoie non ? Si je commençais à faire des bourdes j’aurais l’air d’un parfait imbécile. Je ralentissais légèrement la cadence pour réussir à avoir une discussion sans qu’elle ne tente de me rattraper tout en me parlant. « J’avais un de tes cd. Je l’écoutais parfois dans la voiture. C’est ma sœur qui l’écoutait au départ, puis un jour elle l’a oublié dans ma voiture et il y est resté. » Un vague sourire apparu sur mon visage pour disparaitre à peine quelques secondes plus tard. Ma sœur. Probablement morte aujourd’hui. Comme tous les proches que je n’avais jamais retrouvés. Ma mère et Hazel étaient probablement mortes elles aussi. Je savais que ça ne servait à rien de s’apitoyer sur son sort mais avec ce souvenir qui venait de refaire surface, difficile de faire autrement.

Je revenais au présent quand Letizia me prévenu qu’elle ne tirait pas très bien. J’hochais la tête en lui offrant un demi-sourire. « C’est pas grave. Tu n’as qu’à surveiller les environs. Si tu vois quelque chose de louche tu me préviens et si on a besoin de s’en débarrasser c’est moi qui s’occuperai de le mettre à mort. » J’étais heureux du changement de sujet. Mais à chaque fois que je la regardais il y avait ce malaise qui s’installait. Je ne savais pas si c’était parce qu’elle me rappelait le passé ou parce que j’avais vraiment eu un béguin pour elle il y a de cela plusieurs années. C’était étrange non pour un homme adulte d’avoir un béguin pour une star de la musique ? En fait ce n’était même pas une question, j’étais persuadé de l’étrangeté de la chose. « Pour la ronde, c’est pas bien compliqué. En équipe de deux, on fait le trajet jusqu’à l’entrée du parc puis on suit la clôture en s’assurant que rien n’y soit coincé. On garde l’œil ouvert pour toutes traces de rôdeur ou d’autres survivants. Pour tout de suite on va aller jusqu’à l’entrée pour voir si les gardes la surveillant sont toujours vivants. » Et une petite blague complètement pourrie de placé dans la conversation. En continuant de marcher, je me maudis de ne pas être capable de rester moi-même devant elle. Ça allait bien tout à l’heure non ? Clayton tu as vu les pires horreurs à la guerre et puis maintenant avec cette stupide épidémie, arrête d’agir comme un adolescent pré-pubère.
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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeDim 24 Sep - 14:40



I intimidate you?

Elle souri un peu quand il dit qu’il se souvenait d’elle. Elle était toujours un peu partager quand elle rencontrer des gens qui la reconnaissait. Elle était à la fois flatter de voir que les gens ne l’avait pas oublier malgré l’apocalypse, et aussi elle était un peu nostalgique et triste car ça lui rappeler qu’avant elle avait était quelqu’un. Qu’elle s’était sortie de la misère et qu’elle avait réussi à toucher des gens et en influencé d’autre. Elle avait put aider des gens dans le besoin. Elle aurait tout donné pour revenir en arrière, revivre sa vie d’avant, avant que le monde ne devienne que danger et cruauté. Mais bon, elle savait bien que c’était impossible et de toute façon maintenant elle n’avait plus rien a donner donc…  Son sourire s’élargie un peu quand elle apprit qu’il écoutait un de ses CD dans sa voiture avant. Donc des hommes aussi l’écoutait, elle avait longtemps pensait que son public était surtout composer de fille. «  Malheureusement, je sais pas pourquoi, ils ne se vendent plus trop en ce moment » Dit-elle pour rire un peu. Elle avait toujours de l’humour, c’était une des raisons pour lesquelles le public l’aimait tant avant. Elle se prenait très peu au sérieux et connaissait l’autodérision.  «  Enfin, blague a part, je  suis toujours contente de rencontrer des gens qui écoutait ma musique avant »  Dit elle en lui adressant un de ses plus grand sourire. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas souri avec autant de sincérité que maintenant. Depuis qu’elle s’était disputé avec son frère en faite, donc depuis des années maintenant. Elle avait beau avoir perdu la notion du temps, elle savait que cela faisait des années que tout cela avait débutait. C’était bien trop long pour ne faire que quelque jours ou mois…

Elle lui avoua ensuite qu’elle ne savait pas tirer, enfin si elle savait, mais vraiment très mal.  Elle lui souri a nouveau quand il dit que ce n’était pas grave qu’elle n’avait qu’a ouvrir l’œil et lui se chargerait d’éliminé les menaces. Elle tira un de ses Saï et lui montra «  Pour ce qui est du corps a corps par contre je gère » dit elle simplement avant de ranger l’arme de ninja dans sa ceinture. Et oui, elle avait beau être petite et ne pas payer de mine, elle avait beau ne pas bien savoir tiré, elle avait plus d’un tour dans son sac.  Elle rit très légèrement a la blague du brun, oui parce qu’elle avait quand même compris que c’était une blague. Enfin elle espérait qu’ils soit vivant, après tout on ne sais jamais ce qui peu arrivé.  «  J’espère quand même qu’ils le sont » Elle n’avait rien de mieux a répondre a cela de toute façon. Elle aurait put faire de l’humour pour entrer encore plus dans son jeu, mais ça aurait put très vite devenir morbide, elle avait donc préférait s’abstenir niveau humour.  Elle se mit contre le grillage qui clôturé le parc et se mit a marcher le long en laissant tranquillement traîné le bout de ses doigts contre celui-ci. Elle savait que ca pouvait être dangereux, un mort pouvait s’être coincé dedans et la mordre des qu’elle passerait devant lui, mais elle ouvrait l’œil. Après tout il lui avait dit de le faire. Et elle ne s’inquiétait pas trop pour cela, elle entendrait et sentirait le mort bien avant de le voir. «  Ca fait longtemps que tu fais les rondes comme ca ? » Lui demanda-t-elle d’un coup piquer par la curiosité et aussi par l’envie de faire la conversation, elle aimait le calme, mais bon elle en avait trop souvent vue qu’elle s’isolé un peu. Alors maintenant qu’elle était accompagner, et avec quelqu’un de plutôt charmant en plus, elle comptait bien en profité pour parler un peu. Après, libre a lui d’accepter ou non de parler avec elle, mais vue comme cela, il n’avait pas l’air contre une petite conversation.

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeDim 15 Oct - 19:36

I Intimidate You ?Samuel & Letizia C’était étrange de tourner la tête et de voir une artiste que j’avais apprécié par le passé. J’avais presque oublié ce temps là. J’avais presque oublié qu’avant toute cette merde je pouvais écouter de la musique, faire de la voiture sans avoir peur de me faire tirer dans la tête ou même donner des morceaux de papier en échange de nourriture. C’était bien fini ce temps là. Si ma sœur avait toujours été en vie, j’aurais pu la lui présenter. En fait je ne savais pas si elle était toujours vivante mais je préférais me dire qu’elle avait péri, comme ça je ne me faisais pas de faux espoir. Letizia semblait heureuse au moins que je lui ai dit avoir écouté de sa musique. Ça me semblait si loin tout ça aujourd’hui. « Je t’aurais bien demandé un autographe. Mais je n’ai pas de papier et pas plus de crayon. » Et à quoi bon de toute façon ? Pour l’afficher dans ma cabane ? Ça aurait été ridicule non ? Peut être pour lui remonter le moral un peu. J’imagine qu’après avoir été connue comme elle l’avait été, retomber dans l’ombre n’avait pas du être des plus faciles. Bref c’était ce que je pensais, mais comment j’aurais pu savoir ? J’avais été soldat dans l’armée, pas chanteur country.

J’étais heureux de savoir qu’elle était douée en corps à corps. Je n’étais pas très bon pour manier le couteau alors ça nous ferait un talent de plus. J’étais meilleur à distance ou avec un bon pistolet. Tout ce qui touchait les armes à feu, j’étais un pro. En arrivant près de la clôture, nous commencions notre ronde en prenant par la droite. La clôture faisait bien plusieurs kilomètres même si elle ne faisait pas tout le parc. C’était quasi impossible de toute façon de clôturer entièrement le parc de Yosemite. Si nous arrivions au moins à surveiller l’entrée et à empêcher les grosses menaces d’y entrer, c’était au moins ça. Parce que même s’il y avait des survivants établis un peu partout dans le parc, la majorité se concentrait à l’entrée. Pour ce qui était de la sécurité des gens plus éloignés, ils le faisaient eux-mêmes. Et de toute manière, plus ils étaient éloignés, moins le danger était grand. J’imagine qu’il y avait des rôdeurs qui se baladaient parfois dans la forêt du parc, mais ce n’était pas un ou deux rôdeurs qui effraieraient un survivant. À moins qu’il ne sache pas se défendre. Mais les survivants incapables de se défendre étaient morts pour la plupart au début de l’épidémie. Si on n’était pas capable de se défendre dans ce monde, on était pas mieux que mort.

Lorsqu’elle me demanda si ça faisait longtemps que je faisais des rondes, j’haussais les sourcils, repensant à quand j’avais commencé. Ça faisait combien de temps déjà ? Je me perdis un moment dans mes pensées, essayant de me souvenir. « C’était quelque temps après mon arrivé ici je crois. Je ne pourrais pas te dire précisément quand, je ne compte plus les jours depuis longtemps. C’était en hiver en tout cas, ça je m’en souviens. » Déjà presque un an alors ? L’automne était entamé depuis quelques semaines déjà, les températures changeaient et il faisait plus froid le matin quand je sortais de ma cabane. « J’avais besoin de faire quelque chose pour me changer les idées. Et pour m’intégrer aussi. J’ai beaucoup voyagé et j’ai rencontré beaucoup de groupe. J’ai bien aimé l’idée de pouvoir aider à la sécurité. Disons que je connais ça un peu. » Est-ce que j’ai déjà parlé autant auparavant ? En tout cas, c’est le plus que j’ai dis dans toute ma semaine, ça c’est sûr. Je suis presque gêné de ma loquacité. Normalement, envers les étrangers, je ne dis que deux ou trois mots pour discuter. Mais j’ai l’impression de la connaitre depuis longtemps. Peut être parce que je l’ai souvent vu à la télévision ? C’est stupide non, croire qu’on connait quelqu’un parce qu’on l’a vu à la télévision… « Et toi, ça fait longtemps que tu es arrivé à Yosemite ? » J’étais sincèrement curieux. Je ne l’avais jamais vu dans le coin. Peut être nos chemins ne s’étaient-ils jamais croisés. Pour l’instant, notre ronde c’était faite sans entrave. J’espérais sincèrement que ça resterait calme. Pas que je j’aurais dis non à quelques rôdeurs pour égayer un peu la journée, mais c’était préférable de ne pas perdre des munitions pour quelques morts vivants. Et aussi pour le bien des doigts de la dame qui glissaient sur la clôture depuis tout à l’heure. J’hésitais presque à l’avertir du danger qu’elle courait, mais je me résignais, me disant qu’elle était adulte et avait survécut jusqu’aujourd’hui, donc elle savait ce qu’elle faisait.
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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeVen 20 Oct - 20:37



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C’était bien de faire une nouvelle rencontre. Et en plus c’était un fan, surement qu’il aurait voulut la rencontrer avant que tout cela ne se passe. Avant, quand la vie était « normal », ça aurait surement était une meilleure situation de rencontre. Elle souri un peu quand il évoqua le fait qu’il lui aurait bien demander un autographe s’il avait eu du papier et un crayon. « Toute façon c’est obsolète aujourd’hui les autographe. » C’était ça façon de lui dire qu’il ne perdait pas grand-chose. Elle lui en aurait signé un sans problème sinon, elle lui écrit un mot sympa sur un bout de papier et il aurait était content et aurait put s’en vanter. Certain les revendait aussi, elle en avait souvent croisé sur le net. Sauf que maintenant tout cela n’avait plus lieux d’être, internet n’existait même  plus et maintenant on échangeait les choses on ne les vendait  plus.  Et puis, autographe ou pas, maintenant ils se connaissaient.  C’était mieux qu’un bout de papier griffonner.   Et alors qu’ils étaient en train de marcher tranquillement, elle joua à la curieuse. C’était un de ses défauts, elle était curieuse, peut-être parfois un peu trop. Enfin   ca n’avait pas l’air de le gêner plus que cela, car très vite il répondit. Et en calculant, elle se rendit compte qu’ils étaient presque arrivés en même temps dans le camp. Elle haussa un sourcil quand il dit que la sécurité ca le connaissait.  «  Tu était flic, ou un truc comme garde du corps, militaire… Ou agent du FBI ? Ou agent secret ? » Demandât-elle bien sur en rigolant sur le dernier point. Quoi que cela lui aurait donné un petit air un peu mystérieux et sexy.  Enfin, au moins elle était avec un professionnel de la sécurité, donc forcément elle se sentait un peu plus en sécurité. Bien sur, elle avait survécut depuis tout ce temps, même si parfois elle se demandait un peu comment elle avait fait.  Enfin, même si ses début dans la survie avait était dur, très dur, elle s’y était habitué et maintenant elle était une bonne survivante. Enfin du moins le genre qui reste en vie.

Elle ne fut pas vraiment surprise qu’il lui retourne la question. C’était des plus légitimes.  Elle trouvait cela presque marrant qu’ils soient presquent arrivé en même temps et que jusqu'à là ils ne se soient jamais rencontrer. Enfin elle était avec un groupe et elles ne se mêlaient pas trop aux autres. Elles étaient d’ailleurs un peu à l’ écart de là où les gens se regroupait vraiment.   «  C’est assez drôle, je suis arrivé avec mon groupe en hiver aussi… Enfin tu dois surement être arrivé avant moi » Dit-elle en réfléchissant un peu encore.  «  Mais au début  avec mon petit groupe on se mêlai pas vraiment  aux  autres. » Elles avaient mit du temps à se mêler aux autres. Enfin ce groupe était composé de femmes presque toutes assez marqué par la vie.  Du coup elles avaient longtemps étaient sur la réserve.  Mais maintenant elles étaient prêtes à aider. La preuve, elle était là en train de faire la ronde de garde. Elle  détacha ses doigts de la clôture et  passa une main dans ses cheveux blonds  et laissa à nouveau tomber ses bras le long de son corps. C’était assez calme, elle s’était attendue à autre chose.  A quelque chose d’un peu plus mouvementé, elle s’était imaginé des rodeurs à tuer, et des gens à sauver. Enfin elle avait surement un peu idéalisé la ronde.  «  Tu es arrivé avec quelqu’un ? » Toujours aussi curieuse. Et puis c’était une bonne façon de faire passer le temps et de faire connaissance.  Letizia était toujours contente de rencontrer des gens, elle aimait se faire des amis. Elle aimait être entouré, elle n’avait pas eu beaucoup d’amis quand elle était en Italie, trop prise par sa famille, mais quand elle était arrivé au USA elle avait put se faire un petit cercles d’amis, connue ou non.  Ici elle essayait de reproduire un peu cela, même si c’était l’apocalypse et donc pas l’ambiance qui donne envie de se faire des amis.

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeMar 7 Nov - 5:38

I Intimidate You ?Samuel & Letizia Était-elle vraiment en train de me questionner sur ce que je faisais avant l’épidémie ? J’avais presque envie de faire durer le mystère en lui répondant vaguement mais ce n’était pas mon genre. Et puis quand elle proposa agent secret, je ne pu m’empêcher de tourner la tête dans sa direction, un sourcil froncé et un sourire aux lèvres. « Agent secret, sérieux ? » Je m’imaginais plutôt mal me la jouer à la James Bond. Mais encore là, les vrais agents secrets ne portaient sûrement pas des smokings pour partir en mission. J’avais peut être écouté trop de film. Ou son imagination à elle était trop développée. C’était probablement le deuxième cas. « Je ne comprend pas pourquoi tu n’as pas proposé un videur. J’ai pas l’air de pouvoir sortir des gens saoul d’un bar ? » Videur c’était beaucoup moins intéressant quand même. Et quand on parle de professionnel de la sécurité, c’est vraiment pas le genre de métier qui nous vient premièrement en tête, mais ça aurait pu être le cas non ? Même si c’était loin de ça… « Plus sérieusement. J’étais militaire. Tireur d’élite dans l’armée. J’ai presque l’impression que c’était dans une autre vie. » Et je ne rigolais même pas sur ce dernier point. Combien de temps s’était écoulé depuis le début de tout ça ? Je ne savais plus. Mais mes compétences de tireur m’avait été utile depuis le jour 1. Je crois que je ne serais pas encore ici aujourd’hui si ce n’était pas de ça. Je m’étais souvent tiré des pires situations seulement en utilisant mon œil et mon fusil de précision. C’était une chance que j’ai gardé mon arme car je n’avais jamais mit la main sur un autre fusil du genre. Tout ce qu’on trouvait dans les magasins c’était de vieilles carabines inutilisables ou des petits pistolets qui n’étaient utiles que lorsque l’ennemi était presque collé sur nous. Aussi bien dire que si on avait la chance d’avoir une bonne arme, aussi bien lui faire attention et l’entretenir.

Je continuais de marcher, observant toujours discrètement l’autre côté de la clôture. Toujours rien à signaler. Je serais surpris de ne rien rencontrer durant notre ronde, mais ce serait apprécié d’avoir congé de nettoyage de rôdeur aujourd’hui. Je l’écoutais me raconter qu’elle était également arrivée l’hiver dernier avec un petit groupe. Et qu’ils ne s’étaient pas vraiment mêlé aux autres. J’avais un peu fais la même chose à mon arrivée. Je m’étais isolé et j’avais commencé à me construire une cabane avant tout. Et j’avais survécu pendant si longtemps par moi-même que j’avais refusé d’accepter l’aide des autres. Alors qu’aujourd’hui je pouvais échanger mon savoir et mes vivres contre la même chose en retour. C’était bien utile. C’était comme ça que j’avais appris à pêcher et à chasser pour me nourrir. « On a du se rater de peu alors. Mais je dois dire que je me suis également isolé dans mon coin quand je suis arrivé. » Maintenant je me mélangeais aux autres sans problème. C’était seulement une question de temps avant que je ne sorte de ma tanière. Je tripotais la bandoulière de mon fusil qui pendait dans mon dos et vérifiais que mon pistolet était toujours accroché à ma ceinture. Letizia me demanda si j’étais arrivé avec quelqu’un et j’hochais la tête. « Oui. Avec Carolyn. Je ne sais pas si tu l’as connais. Nous sommes arrivés ensemble à Yosemite et nous sommes séparés par la suite. Je ne sais même pas si elle est encore dans le coin. Ça fait un sacré bout que je ne l’ai pas vu. » Et je n’y avais pas repensé non plus. Si elle avait quitté Yosemite elle serait sûrement venue m’en parler. Mais je me souvenais qu’elle m’avait dit n’être pas sûr de rester ici bien longtemps. Pourtant elle m’avait dit qu’elle me préviendrait si jamais elle quittait. Peut être n’a-t-elle pas pu tenir sa promesse. Je ne savais pas si je devais être déçu ou triste de ne pas avoir eu de nouvelles. Mais d’un autre côté je m’étais fais de nouvelles connaissances ici et si Carolyn avait décidé de quitter Yosemite, elle avait sûrement ses raisons. Peut être que nos chemins se recroiseraient un jour.
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Letizia L. Zocchetti

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeMar 14 Nov - 19:01



I intimidate you?

Elle le regarda quand il fut surpris mais aussi amuser qu’elle lui demande s’il avait était agent secret. Oui c’était assez improbable, mais elle était une chanteuse célébre avant non ? Alors niveau improbalité elle n’était plus a cela prêt. « Bah oui, pourquoi pas après tout, j’étais bien chanteuse avant moi. » Dit-elle avant qu’il ne lui demande pourquoi elle ne lui avait pas proposer videur. Non, elle ne le voyait pas du tout videur. Il avait surement les capacités pour sortir les types saoul d’un bar ou d’une boite de nuit, mais elle n’avait pas l’impression qu’il avait était videur. Elle lui souri « Parce que j’aime mieux t’imaginer Agen secret. » Dit-elle en lui faisant un petit clin d’œil amuser avant de rire un peu. Il la rendait joyeuse, ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas retrouvé son humour et qu’elle n’avait pas rit autant. Elle eu ensuite la vrai réponse a sa question. Il n’était ni agent secret, ni videur, non, il était militaire et même tireur de précision, ce qui expliquer surement le fait qu’il fasse des rondes et qu’il manie si bien l’arme qui était accrocher dans son dos. Certain aurait put prétendre que cela expliquer pourquoi il avait survécut tant de temps, mais Letizia trouvait cela ridicule, il avait autant de chance que n’importe qui d’y passer demain, après demain, ou dans l’heure qui venait ou pire les minutes qui venait. Pour Letizia ça n’avait aucun rapport avec le métier qu’on faisait avant, surtout que beaucoup de militaire avait déjà du y passer, non, pour elle c’était une question d’instinct de survie et surement un peu de chance. Elle soupira doucement a la suite de ses paroles, il avait l’impression, tout comme elle que c’était dans une autre vie. Et elle donc, elle avait l’impression que cela faisait des siècles et des siècles qu’elle n’avait pas chanter. « A qui le dis-tu… Moi aussi j’ai cette impression, j’suis presque sur de même plus savoir chanter. Au moins tu peu te consoler en te disant que t’es aptitude professionnel te son toujours utile » Dit elle en le regardant avec un fin sourire sur les lèvres. Elle était toujours souriante, même quand elle était aussi nostalgique. Elle continuait a marcher le long de la clôture aux cotés du brun, et ils se mirent a discuter de leurs arrivé. Elle souri et hocha la tête quand il dit qu’ils ne s’étaient pas raté de beaucoup, ils étaient arrivé presque au même moment dans le camp. Elle lui demanda ensuite s’il était arrivé avec quelqu’un. Une soudaine curiosité qui la brulait et la poussait a savoir s’il était avec quelqu’un. Elle écouta sa réponse sans rien dire. Elle lui souri un peu désoler qu’il n’ai pas eu de nouvelle de son amie depuis longtemps, elle espérait sincèrement que cette Carolyn ne soit pas morte ou blesser quelque part, elle espérait qu’elle aille bien. « Je suis désoler de l’apprendre, j’éspere qu’elle va bien et que tu la verra bientôt » Dit elle simplement.

A cause de la conversation, elle ne vit même pas qu’ils avaient parcourut un sacré bout de chemin. Il faut croire que le courant passer plutôt bien entre eux, et que du coup le trajet semblait surement moins long. Ils arrivèrent a la porte, elle souri un peu en voyant que les personne de garde était toujours en vie. « Ils sont en vie, tant mieux, je n’avais pas vraiment envie de les achever » Dit elle en lui lançant un regard amuser. Ils prirent le relais. Elle se posta a la place ou l’un des hommes précédent était et se mit a scruté l’horizon. Elle avait dix mille question, mais elle essayer de les faires taire dans sa tête. Elle ne devait pas jouer les pipelettes non plus. Maintenant qu’il la connaissait, il devait peut-être se dire qu’elle n’était pas celle qu’il avait surement imaginé. Quoi qu’elle ne savait même pas ce qu’il avait imaginé a propos d’elle. Mais bon en général on a tendance a idéaliser les célébrités qu’on admire. Ils discutèrent encore un peu tout de même échangeant des banalité tout ce qu’il y a de plus classique quand on fait connaissance avec quelqu’un. Dans l’ensemble cela se passa bien, rien de catastrophique, pas d’attaque que ce soit de vivant ou mort. Pas ame qui vive, ou corps en ame qui vive a l’horizon. Quand la relève arriva, elle souri a Sam , le temps de se quitter était venue, elle alla lui coller un doux baiser sur la joue, lui offrant ainsi mieux qu’un banale autographe et luk dit même un « A plus tard » signifiant qu’ils se reveraient surement bientôt. Elle avait apprécié sa compagnie, alors pour sur qu’elle voudrait le revoir. Une fois fait, elle retourna rejoindre ses amies de voyages. Amies qu’elle quitterait bientôt elle le savait.

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MessageSujet: Re: I intimidate you ? | Samuel & Letizia I intimidate you ? | Samuel & Letizia Icon_minitimeJeu 23 Nov - 4:15

I Intimidate You ?Samuel & Letizia Me consoler en me disant que mes aptitudes professionnelles m’étaient toujours utiles ? C’était bien vrai. Et je l’oubliais souvent. C’était normal pour moi de pouvoir utiliser avec facilité mon arme de précision. J’utilisais cet outil depuis tellement longtemps que pour moi ça n’avait plus rien d’inhabituel. J’étais entré dans l’armée à 18 ans. On ne m’avait pas flanqué un fusil de précision aussitôt commencé, mais j’avais toujours été meilleur que les autres avec une arme dans les mains. Certains étaient meilleurs à l’arme blanche, d’autres à la mitrailleuse, mais moi j’excellais au tir de précision. Ça avait toujours été quelque chose que j’adorais faire. Le sentiment d’euphorie lorsque j’atteignais ma cible était grisant. Les premières fois que j’avais du abattre des cibles par contre, ça ne m’avait pas vraiment amusé. Je m’étais remis en question. Me demandant si j’étais vraiment à ma place. Mais des collègues m’avaient aidé à me faire comprendre que c’était pour le mieux. On n’allait pas en guerre pour rien. C’était pour rétablir l’équilibre, pour neutraliser l’ennemi et ceux qui voulaient mettre fin à notre liberté. C’était dans cet état d’esprit que j’étais depuis. Je tuais dans l’optique d’être libre mais surtout, de survivre. Mon message avait changé depuis l’armée, mais ça restait sensiblement le même. Sauf que c’était moi que je protégeais maintenant, pas mon pays. Parce que mon pays n’existait plus vraiment. « Oui c’est vrai. Bien manier une arme ça peut sauver une vie. Sauf que y’a certains trucs qu’on apprend pas à l’armée que j’ai du apprendre depuis le début de cette merde. » Je préférais ne pas ajouter de détail à ce que je venais de dire. Parce que pour la plupart, ce n’était pas le genre de chose qui se disait dans ce genre de conversation. Apprendre à couper le bras de quelqu’un qui venait d’être mordu par un rôdeur, je ne l’avais pas appris à l’armée. Équiper des civils d’armes à feu pour qu’ils se défendent. Troquer des poissons fraichement pêché de la rivière pour des munitions, etc. J’aurais pu en parler toute la nuit.

Lorsqu’elle me dit espérer que Carolyn aille bien et que je la revois bientôt, je lui fis un sourire triste, pensant intérieurement que mon amie était probablement morte. Ça ne servait plus à rien de s’apitoyer sur le sort de nos connaissances et amis. J’avais perdu tellement de gens de mon entourage depuis le début de l’épidémie que je n’étais même pas sûr que ça me faisait encore quelque chose. Même si à chaque fois j’avais ce pincement au cœur. Il y avait cette carapace qui s’était formé et qui m’empêchait d’avoir des réponses émotionnelles trop intense. Comme si plus rien ne me faisait réagir. Il n’y avait que l’adrénaline maintenant qui me faisait vivre des émotions fortes. Et peut être aussi le sourire en coin de Letizia… Je me demandais encore si c’était le fan de la chanteuse en moi qui réagissait ou si c’était Samuel le survivant. Comme si je pouvais avoir deux personnalités distinctes. Lorsque nous revinrent à l’entrée, les gardes y étaient toujours attendant notre retour. Rien de spécial n’était arrivé pendant notre ronde. Tant mieux. Je n’aurais pas craché sur quelques rôdeurs pour égayer la journée, mais pour Letizia c’était mieux que tout soit calme. Histoire de ne pas l’effrayer pour ses prochaines rondes. Elle aurait bien assez tôt de tomber sur des rôdeurs sans que ce soit à son premier tour. Lorsque nous nous quittâmes, elle déposa un baiser sur ma joue qui enflamma mon visage. Lorsque je retournais à ma cabane, j’eu presque l’impression que tout le monde que je croisais me regardait étrangement. J’étais un parfait idiot de réagir de la sorte. Après tout, j’avais vécu des situations bien plus torrides et voila que je perdais mes moyens pour un minuscule baiser. S’en était risible. Les gars se seraient bien moqués de moi pendant une bonne semaine. Mais en me couchant ce soir là, je repensais également au calme de notre ronde de l’après midi. Ça avait été calme, beaucoup trop calme. J’étais peut être paranoïaque, mais j’avais l’impression que ça cachait quelque chose.
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