[FB] Et c'est pas forcément que je fuis les fantômes, mais plutôt que les gens parlent fort dans mon dos - LIBRE
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[FB] Et c'est pas forcément que je fuis les fantômes, mais plutôt que les gens parlent fort dans mon dos - LIBRE

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MessageSujet: [FB] Et c'est pas forcément que je fuis les fantômes, mais plutôt que les gens parlent fort dans mon dos - LIBRE [FB] Et c'est pas forcément que je fuis les fantômes, mais plutôt que les gens parlent fort dans mon dos - LIBRE Icon_minitimeSam 22 Sep - 23:49


[FB] Et c’est pas forcément que je fuis les fantômes, mais plutôt que les gens parlent fort dans mon dos - LIBRE

« Vivement qu’on s’arrête, mes pieds me font souffrir le martyr. » Je hoche de la tête en réponse, même si en réalité mes pieds vont aussi bien que ce matin. La douleur ? Connais pas ! Toutefois, ce n’est pas pour autant que je vais cracher sur un arrêt, puisque notre périple manque cruellement de distraction. Je n’ai jamais signé pour une vie de militaire, moi ! Impossible de siffloter ou de discuter, pour ne pas attirer les zombies. Interdiction de briser les rangs ou de s’immobiliser sans que l’ordre n’en soit donné. Je devrais regarder le bon côté des choses : je suis nourri, protégé et je me dirige vers la Californie où il fait soleil à l’année. Le problème, c’est qu’avant d’être rendu là, je dois traverser l’Amérique d’est en ouest. Pire, je dois le faire seul maintenant que Ferguson est morte. J’en suis attristé, bien sûr; Ferguson était une femme merveilleuse, une scientifique travaillante, dévouée et dédiée à sa cause en plus d’une personne sensible, attentionnée et qui voyait le meilleur en chacun. Toutefois, je dois dire que ce qui me manque le plus, c’est la protection qu’elle m’offrait. Personne n’osait me critiquer trop ouvertement sur mon fainéantise en sa présence, puisqu’on la respectait trop pour la mettre en colère en insultant son chéri. Également, j’avais toujours à ma disposition mon médecin personnel pour mes petits maux, ce qui se révèle utile quand, comme moi, on se blesse souvent sans s’en apercevoir.

Pour l’instant, les gens me considèrent encore comme en deuil, un « veuf » qui a besoin de quelques temps encore pour guérir son cœur éploré. Cependant, je sens déjà que les choses changent. On ne m’exclut plus aussi facilement des travaux physiques et on me demande plus souvent qu’avant où je me rends lorsque je m’éloigne du campement. Le traitement spécial qu’on m’accordait risque de disparaître plus tôt que je le voudrais et je dois donc profiter des derniers instants de liberté à ma disposition. Lorsque nous nous arrêtons enfin pour monter le campement pour la nuit, je demande au scientifique avec qui je dois partager mon abri maintenant que Ferguson n’est plus là : « Je vais aller me soulager plus loin et je vais en profiter pour rapporter du petit bois pour le feu du même coup. Ça te dérange de t’occuper de la tente ? » Pour lui forcer un peu la main, j’adopte une expression dévastée, comme si mon véritable but était d’aller pleurer dans les bois, hors de la vue du reste du groupe. L’homme hoche la tête tout en me tapotant l’épaule et commence à déballer notre matériel. Avant qu’il ne change d’avis ou que quelqu’un d’autre ne remarque que je quitte le groupe, je me faufile jusqu’à la lisière des arbres. C’est avec succès que je disparais dans les bois pour une heure ou deux de tranquillité.

Tout en m’enfonçant dans la forêt, je déballe un carré de gomme à mâcher que j’ai volé dans les bagages de mon colocataire de tente. Je commence à faire des bulles, qui explosent et viennent se coller dans ma barbe naissante. On s’amuse avec les moyens du bord désormais ! Comme j’ai marché toute la journée, je ne désire pas poursuivre trop longtemps et je m’arrête à proximité du campement, au bord d’un petit ruisseau. Le bruit de l’eau me rappelle que je dois effectivement me soulager et je m’approche d’un arbre pour ce faire. J’en profite même pour siffler une ou deux notes d’une chanson qui me trotte en tête, maintenant que les soldats ne sont plus là pour me réprimander. Alors que j’ai presque terminé d’uriner, j’entends un froissement dans les feuilles à proximité. Je me retourne en direction du bruit, mais je ne vois rien pour l’instant. Vite, je me dépêche de remonter ma fermeture éclair et j’avance avec prudence en direction du bruit. Peut-être est-ce un renard ou un écureuil, une simple bête un peu trop curieuse, mais il pourrait également s’agir d’un zombie, ce qui serait plus problématique. Je pose ma main sur le pistolet à ma hanche, mais je n’ose pas le sortir de son holster. Je ne sais pas encore très bien tirer et je préfère ne pas utiliser l’arme, sauf en cas d’absolue nécessité. Alors que je dépasse un arbre particulièrement large, j’aperçois enfin le responsable du bruit. Et il marche sur deux pattes, donc il ne s’agit pas d’un simple renard. Zut !

You kill or you die or you die and you kill. † the walking dead.



[Note : Dans ma présentation, j’ai écrit que Ferguson était morte au Missouri. Je suis resté volontairement vague sur la ligne du temps dans ce RP, donc l’action peut se dérouler au Missouri, au Kansas ou quelque part dans le même coin. Si votre personnage est passé par là, il peut y avoir croisé Oliver ! Si votre personnage est un Sauveur, il a peut-être fait partie du même groupe qu’Oliver pour le voyage !]
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Aileen L. Blackhood

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× Et ton p'tit pseudo ? : : Schizophrenic.




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RP archivé suite au départ d'Oliver. I love you
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