(baudelaire) ▽ « C'est la mort qui console, hélas ! et qui fait vivre. »

Marche ou crève. Cette phrase est selon toi celle qui reflète le mieux la situation actuelle, Stephen King n'est pas complètement dans le faux, en tout cas cette phrase te paraît moins stupide qu'avant. Tu as perdu ta voiture il y a peu et tu commences à en avoir marre de marcher, ces pourquoi cette nuit tu as chercher une maison ou te reposer et dans un endroit pas trop dangereux. Tu tombes sur un petit quartier avec quelques maisons abandonnés, tu entre dans une avec ton fusil à la main, il fait nuit tu ne vois quasiment rien, tu tentes alors, en vain, d'allumer la lumière mais, le courant à sans doute été coupé lors de l'invasion de monstre. Tu montes alors à l'étage, les escaliers ne sont pas trop bruyant mais, ils craquent quand même. Tu montes lentement à l'étage sans trop faire de bruit, tu te poses un instant pour écouter, rien, le silence complet. Tu ouvres alors toutes les portes de l'étage et tu ne trouves rien si ce n'est des allumettes et des bougies, parfait ! Cela sera utile pour cette nuit. Tu vas alors dans la pièce qui donne accès à une grande fenêtre pour t'enfuir en cas de besoin, tu y poses ton sac, tes armes et tu allumes de ton mieux deux bougies et tu en gardes une pour toi pour un autre jour, tu descend vérifier s'il n y a personne dans la maison et si par la même occasion tu ne trouves pas une voiture, non, nada rien ! « Merde » Tu meurs de fatigue, tu ne fais même pas attention s'il y a des vivres dans les pièces du bas, tu veux juste aller te reposer pour ce soir et si possible, te réveiller demain en découvrant que cela n'était qu'un rêve. Tu montes alors dans la pièce du haut, c'est une chambre, une chambre d'adulte, cela se voit à la décoration et le lit deux places ne fait que confirmer tes dires. Tu vois alors une commode près de la porte et par simple précaution tu décides de bloquer la porte avec . Tu fais alors tomber par inadvertance un recueil de poème, Baudelaire, tu as travaillé sur lui à ton école d'art... Il y a un marque page, enfin une photo de famille qui à servit de marque page, tu n'oses pas regarder le marque page mais, à la page indiquée il y a une phrase soulignée en rouge ; « C'est la mort qui console, hélas ! et qui fait vivre. » Tu affiches alors un petit sourire « Non, la mort c'est juste la merde » Tu reposes alors le livre à sa place et tu te diriges avec ton arme à feu à la main vers le lit, il y a juste une couette et deux oreillers mais, cela fera l'affaire... Tu t'endors alors mais, toujours avec ton arme à feu sous ton oreiller.


Tu entends un bruit, tu te réveils en sursaut sortant ton arme de sous ton oreiller. Tu respires le plus calmement possible et tu sors de sous ta couette, enfin ta couette de fortune. Tu as les cheveux complètements détachés toi qui pourtant les attaches, tu as du perde ton élastique en dormant, pas grave tu viendras le chercher après ! Tu as l'impression d'avoir entendu de la vaisselle se briser, tu attrapes alors ta veste, tu laisses ton sac là, tu pousses alors la commode très vite pour ouvrir délicatement la porte et descendre les escaliers et là BAM, une fenêtre se fracasse, un rôdeur ne ferait pas ça, tu en vois d'ailleurs deux au sol. Tu ne sais pas trop comment agir tu attrapes alors le couteau qui est dans ta veste avant de le lancer dans le crane d'un des rôdeurs, l'autre se tourne vers toi avec un regard noir et il commence à courir vers toi « Putain de merde » Tu remontes alors en vitesse dans la pièce ou tu te cachais, tu vas devoir aller reprendre ton couteau et vite, tu te mets dos à la porte pour la bloquer pendant que le rôdeurs tente d'entrer, tu aurais pu en effet lui tirer dessus mais, tu gardes tes balles pour une urgence et là tu étais encore un peu endormis donc bon... Tu vois alors ton sac il n'est pas loin mais, tu dois vite attraper une flèche et ton arc, tu lâche alors au dernier moments la porte pour te jeter à terre, attraper une flèche et alors que le rôdeurs te saute dessus tu lui plantes une flèche dans la gorge et cela trois fois de suite pour finalement l'enfoncer dans son crane. Tu te relève alors temps bien que mal, cet enfoiré t'auras donné du fil à retordre. Tu le regardes avec dégoût. Tu te diriges alors vers la fenêtre à de la pièce et tu regardes alors dehors et là tu vois une bonne trentaine de rôdeurs morts... Et ou est la personne qui s'enfuyait ? Qu'importe tu te diriges vers la salle de bain de l'étage ou tu l'eau marche encore, à ton plus grand bonheur d'ailleurs ! Tu te laves le visage et rapidement les cheveux. Tu vas ensuite récupérer toutes tes affaires, ton élastique également, tu te fais une tresse très rapidement et puis tu descends alors dehors. Tu fais le tour de la maison et tu te diriges alors lentement vers l'endroit ou se situaient les cadavres, qu'importe qui à fait ça, elle est la cause de tes problèmes mais, si elle n'avait pas été là tu aurais du les affronter toi aussi donc finalement cela n'est peut-être pas une si mauvaise chose.